Cette histoire commence dans un village mystérieux appelé Leïla, Village caché des Ténèbres et de la Lumière... Ce village n'est qu'un mythe au regard du reste du monde et pourtant...
Asran-Zalla (Masculin), le 15/03/2008 Cette fiction est partie d'un rêve que j'ai fait et que j'ai voulu écrire...
Chapitre 2: Shûri, l'enfant prodige
Trois ans ont passé…
Shûri a grandi, ses yeux bleu-vert sont encore plus perçants, il a acquit une chevelure bleu foncé magnifique comme le crépuscule du soir et son petit air sérieux fait craquer toutes les kunoichis de Leïla; cependant, depuis que le Daïkokage a annoncé la découverte de cet enfant ainsi que son intention de l’entraîner afin de lui faire intégrer la prestigieuse académie des Okizage lors de ses 5 ans, le conseil du village n’a cessé de s’opposer à ces décisions si soudaines, arguant le fait que l’on ne connaissait pas les origines de cet enfant et que 5 ans serait trop jeune pour être accepté dans une école de si haut niveau. Le Daïkikokage coupa court à ces oppositions et leur demanda de lui faire confiance car il avait prit la bonne décision. Le conseil céda, mais à une seule condition : leur donner carte blanche afin de choisir une épreuve spéciale en guise d’examen d’entrée à l’académie des Okizage lorsque le moment serait venu. Le Daïkokage accepta, non sans réticences, mais après tout, il ne s’inquiétait pas pour Shûri : son instinct lui disait que cet enfant ne serait pas près de le décevoir. Ainsi, Shûri fut confié à une nourrice et le Daïkikokage décida de commencer à l’entraîner que lorsque celui aurait appris à marcher. Shûri fit ses premiers pas à 1 an.
Ainsi l’entraînement commença et continua durant les deux années qui suivirent…
Aujourd’hui, c’est le troisième anniversaire du jour où Shûri fut trouvé par le Daïkikokage : celui-ci l’avait soumis au fameux test de la feuille lors de son premier anniversaire; au moment même où Shûri avait pris la feuille, celle-ci gela instantanément, puis se froissa, ce qui signifiait que ses deux affinités étaient Hyoton, la glace et Raiton, la foudre. Ce qui étonna le Daïkikokage, fut que l’une des deux affinités naturelles de Shûri fut Hyoton car étant donné que cette affinité est une combinaison des affinités Futon et Suiton, Shûri possédait non pas deux mais quatre affinités naturelles! Ce qui n’était jamais arrivé dans l’histoire du village caché des Ténèbres et de la Lumière. Cependant, il se remémora le fameux prodige qui eût lieu ce fameux jour où il avait trouvé Shûri, lorsque ces gangues de glace avaient emprisonné ses mains et avaient mystérieusement fondu au contact des mains de Shûri…Cela confirmait donc les soupçons du Daïkikokage sur ce singulier prodige…Maintenant, à l’âge de 3 ans, Shûri sait parfaitement exécuter les signes nécessaires pour utiliser ses jutsus, sait même les exécuter à une vitesse effrayante, et maîtrise déjà plus de vingt techniques de Hyoton et Raiton.
Ainsi, le Daïkikokage estime qu’actuellement il a déjà le niveau d’un chuunin de niveau supérieur, et encore il voit bien que le potentiel de Shûri est loin d’avoir atteint ses limites; pour preuve, la vitesse effrayante à laquelle Shûri progresse; le Daïkikokage peut observer cette évolution très rapide lors de leurs entraînements quotidiens; il pense même qu’un jour viendra (et ce jour pourrait venir plus vite qu’il ne le croit) où ce gamin pourrait le pousser dans ces derniers retranchements…Ce qui le rend encore plus fier de lui, car il le considère comme le fils qu’il n’a jamais eu. Il eut ainsi l’occasion de voir de quelle ingéniosité il était capable d’avoir au combat…Un après-midi, lors d’un entraînement : "*Dragon-Cheval-Serpent-Tigre : *Activation* Hyoton : Aiguilles de glace, *Rat-Cheval-Buffle-Lièvre : *Activation* Raiton : Foudre statique. Le Daïkikokage commença par éviter toutes les aiguilles de glace, certaines aussi grosses que des pics de glace puis se défendit : Tigre-Dragon-Coq-Chien-Sanglier *Activation* Katon : Barrière enflammée". Mais soudain, le mur de feu se recouvrit entièrement d’une couche de glace et des pointes de glace apparurent à la surface de la barrière devenue de glace, et ces pointes de glace devinrent des aiguilles de glace qui se dirigèrent droit vers lui. Surpris par ce phénomène, il réussit néanmoins à les éviter. Mais alors qu’il avait remarqué un infime changement dans la fréquence du nombre d’aiguille de glace lancé et un furtif effet de lumière, il sentit une brûlure lancinante au bras droit. Il observa à l’endroit de la brûlure, ne vit rien au premier abord, puis en regardant attentivement, vit une aiguille de glace plantée dans son bras, dix fois plus fine qu'une aiguille à coudre. Les deux jutsus combinés font que les aiguilles de glace sont électrisées, à une tension plus ou moins élevée, ce qui peut paralyser et électrocuter l’adversaire ainsi que causer des brûlures plus ou moins graves selon les points vitaux touchés. De plus, les aiguilles de glace peuvent devenir de plus en plus fines, ce qui les rend invisibles à l’œil nu. Cette redoutable technique mise au point par Shûri n’est qu’une des nombreuses combinaisons de jutsus qu’il a élaboré,et à un âge aussi jeune! Le Daïkikokage appris les effets de cette technique à ses dépens, car lors de leur entraînement, il ne put analyser cette technique avant d’être touché par une de ces aiguilles; heureusement pour lui, elle n’était pas très chargée en électricité et il s’en tira avec une légère brûlure au bras. Mais l’ingéniosité de Shûri le stupéfiait de jour en jour. Ce qui le confortait dans l’idée que Shûri puisse bel et bien être admis à la prestigieuse académie des Okizage, et qui sait, peut-être lui succéder un jour…
Un an passa.
A l’âge de quatre ans, Shûri passa au rang de Jônin, sans même avoir passé l’examen Chuunin, ce qui était sans précédent dans le village. Il fit aussi un stage de trois mois chez les ANBU où il se débrouilla très bien; il développa même une technique d'assassinat appelé Hyoton : Epée de glace. Parfaitement adaptée au combat rapproché, elle gelait instantanément l'adversaire dès que celui-ci était touché par l'épée. Celle-ci pouvait aussi s'allonger à l'infini et changer de forme selon la situation. Certaines mauvaises langues dans le village murmuraient (ou plutôt sifflaient) que le Daïkikokage était à l’origine de cette promotion. Cependant, Shûri n’y prêtait aucune attention, connaissant sa force, et n’avait plus qu’une hâte : montrer à tout le village de quoi il était capable lors de l’examen d’entrée à l’académie des Okizage. Et en attendant ce jour, il s’entraînerait sans relâche…
Voici la suite...j'espère que vous l'apprécierez autant que le premier chapitre...surtout n'hésitez pas à faire des critiques; comme ça j'essaierai de m'améliorer en tenant compte de vos remarques.