Fiction: Les enfants d'Orochimaru

Qui est Kyôkan, cette jeune femme qui débarque à Konoha, affamée et enceinte ? En elle, elle porte un lourd fardeau... celui de deux jumeaux, Hebi et Fushi, enfants du pire des monstres qui puisse exister...
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Me-and-orochi (Féminin), le 08/05/2008
Bon, eh bien le chapitre 8, écrit en physique, comme d'hab ^^ il faut dire que c'est pas ma matière préférée XD
J'ai plus rien à dire, si ce n'est que j'ai été agréablement qurprise par tous les commentaires que vous m'avez laissé, merci beaucoup, et bonne lecture !




Chapitre 8: Deuxième épreuve... quelles surprises ?



2ème épreuve Chunin - Forêt de la mort : 12h

Hebi se frotta les mains de contentement et entra dans la clairière. Fushi finissait les derniers pièges de sa fabrication; ici, un collet projetant des boules de feu énormes si on marchait dessus. Il les disposa ensuite avec amour à chaque recoin du campement en veillant à recouvrir soigneusement le tout de feuilles mortes et de branchages.

- Euh, Fushi, dit Hebi avec une hésitation, tu ne crois pas que ces pièges… peuvent nous retomber dessus à nous aussi?
- Aucun risque. Nous trois seuls pouvons marcher dessus sans soucis, grâce à un dispositif de reconnaissance.
- Je suis perplexe…
- Ferme-la. Tu as mis les pièges que j'avais demandés ?

Hebi ne répondit pas. Elle s'assit sur l'herbe avec une moue. Son frère soupira.
- Ok, qu'est-ce que j'ai fait, encore?
- (Silence profondément vexé)
- Hebi…
- (Silence vexé)
- Bon, Ok, je m'excuse, ça te va?
- (Silence taquin)
Fushi s'énerva et lui tourna le dos. Hebi éclata de rire.
- Faut savoir ce que tu veux! D'abord, tu me dis de la fermer et ensuite, tu veux que je réponde!
- Tu me soules avec ta bonne humeur! On n’est pas là pour rigoler!
- Ok, ok. Bon, vous avez apporté à manger?
- Nan.
- Nan.

Ce fut Hebi qui soupira.
- Super… Et on mange quoi ?
Soudain, il y eut un bruissement de feuilles. Fushi sourit.
- Oh, déjà ? Voyons voir l'efficacité de mes collets...
- On a repéré vos pièges, dit une voix claire, une voix de jeune fille. Ça ne sert à rien d'en mettre partout si vous ne savez même pas les cacher comme il faut…
Trois jeunes Genins sortirent de leur cachette. Hebi, Fushi et Kira les reconnurent aussitôt.
Il s'agissait en effet d'Ino Yamanaka, de Shikamaru Nara et de Chôji Akimichi. Ino faisait la fière, mais Shikamaru et Chôji ne souhaitaient pas exactement être là.
- Ino, chuchota Shikamaru, j'ai repéré les pièges, ça ne voulait pas dire que nous pouvions les attaquer! Rien qu’à voir la tête de ce mec (Il désigna Fushi du doigt), ça se voit qu'ils sont plus forts que nous!
Mais Ino ne bougea pas. Elle tentait d'assassiner Hebi du regard. Lorsqu'elle parla, ce fut avec dédain et colère contenue.
- Il nous faut un rouleau, non? Nous avons celui de la terre, ils ont celui du ciel. Je l'ai vu quand Fushi le sortait de sa poche. On va donc se battre. J'ai un compte à régler avec cette sale morveuse.

Fushi observa sa sœur, curieux de voir comment elle allait réagir. Celle-ci, d'abord étonnée, ricana un peu à la manière de son frère.
- Tiens, tiens, tiens… Fushi, Kira, le rouleau manquant nous arrive sur un plateau d'argent… Ino-la-truie et ses deux fidèles lèches-cul…
- Tu vas regretter le jour où Sasuke est tombé amoureux de toi!
- Tu croyais quoi? Que c'était en faisant la groupie que tu allais te faire aimer de lui?
- Je ne savais pas que Sasuke aimait à ce point les émotions fortes! Rien qu'à voir ta tête, on prend peur ! T'as la peau tellement livide qu'on croirait que t’es malade ou que tes parents ont bouffé des craies le jour de ta conception! Ta mère est super belle, mais alors toi… Tu es le contraire! C'était qui ton père? Un Frankenstein leucémique? Un serpent blanc?
Ce fut Fushi qui s'emporta.
- Bats-toi, blondasse, tu règleras tes comptes avec ma sœur après!

Griffes et dents dehors, Hebi se précipita sur Ino, qui esquiva ses coups non sans difficultés. Les coups de la jeune fille étaient monstrueux, mais maladroits.
Elle ne s'était pas transformée. Elle n'était pas en colère. Elle voulait juste s'amuser un peu. Après un petit mouvement de tête consistant à relever sa frange, elle dévisagea Ino avec mépris.
- C'est tout ? Remarque, ça ne m'étonne pas, tu préfères tenter de plaire à Sasuke alors que c'est peine perdue, plutôt que de t'entraîner à devenir une VRAIE kunoichi ! Minable !

Fushi et Kira, après avoir ficelé Shikamaru et Chôji à un tronc d'arbre à la suite d'un combat rapide dans lequel ils avaient été écrasés, s'assirent au centre de la clairière.
- Eh, Hebi ! C'est elle qui a le rouleau. Magne-toi, s'il te plaît, j’aimerais être à la tour avant la nuit.
Hebi hocha la tête avec un sourire. Pour Fushi et Kira, il ne manquait plus que le pop-corn.
Ino perdit, bien sûr. D'un seul coup d'œil, Hebi la pétrifia de terreur grâce au pouvoir de ses yeux, l'immobilisa à terre et lui arracha le rouleau. Ino n'eut même pas le temps de composer des signes. C'était trop facile. Elle faisait pâle figure contre le pouvoir d'Hebi.
Fushi se leva paresseusement et trancha les liens des deux prisonniers.
- Allez, on a bien rigolé. Fichez le camp, maintenant.
L'équipe ne se le fit pas dire deux fois. Ils disparurent tandis que Shikamaru hurlait à l'adresse d'Ino:
- Pourquoi il faut toujours que tu fasses la maligne, hein?! Et regarde où ça nous mène à chaque fois !
Fushi et Hebi éclatèrent de rire.
- Bon, dit Fushi, j'ai changé d’avis. On ne va pas tout de suite à la tour.
- Pourquoi ? demanda Kira.
- Réfléchis, crétine! Je suis sûr, presque à 100%, que la prochaine épreuve sera une épreuve de combat. On va donc observer les autres équipes afin de calculer leur niveau!
- Mais si une autre équipe nous tombe dessus? répliqua Hebi.
- Nous sommes plus forts que n'importe quel Genin minable de cette épreuve. T'as les boules?
- Nan, mais ça n'empêche pas d'être prudents !
- T'inquiète. Je maîtrise.

Ils s'activèrent à cette tâche pendant tout l'après midi. Ils dérobèrent d'autres rouleaux à d'autres équipes, Fushi tenta même d'assassiner un Genin un peu trop hardi qui avait foncé sur lui, tête baissée, un kunai à la main. Dans la précipitation, il lui avait coupé une de ses mèches de ses cheveux noirs. Après l'avoir plaqué au sol et fait manger sa mèche, Fushi, ivre de fureur, avait tenté de l'étrangler avec sa langue. Heureusement, Hebi était intervenue à temps, lui disant qu'il n'était pas si défiguré que ça avec une mèche en moins.

Lorsque le soir tomba, ils rentrèrent au camp, épuisés, mais ravis. Ils avaient espionné une quinzaine d’équipes, mais Hebi s'étonna de ne pas avoir croisé l'équipe 7. Fushi, lui, ricana, quant à Kira, elle s'allongea à même le sol et s'endormit aussitôt. Fushi renifla un moment, puis dit :
- J'ai besoin de me laver. À cause de l'imbécile qui a coupé mes superbes cheveux, je sens aussi mauvais que lui.
- Les douches ne sont pas incluses dans cette épreuve.
- Y a pas une rivière ?
- Tu ne sens pas mauvais, Fushi, ce n’est pas parce que tu prenais trois douches par jour à la maison qu'ici tu vas pouvoir faire pareil!
- (Silence profondément vexé)
- Allez, quoi, Fushi !
- (Silence vexé)
- T'es vexé ?
- (Silence)
- Bon, ok. Je suis désolée.
- (Silence content mais, silence quand même)
Hebi sourit, et s'allongea dans l'herbe.
- Allez, frérot, dors, on rentrera demain.

Fushi grogna, puis s'allongea à son tour, maugréant contre l'herbe trop froide, la terre trop humide, le sol trop dur, le ciel trop bas, le temps trop mauvais, la forêt trop sombre, sa mèche coupée, l'air trop glacé… Si bien qu'il finit par s'assoupir à son tour.
Les trois Genins endormis ne surent pas que trois personnes les observaient, tapis dans un coin de la clairière. Les trois avaient des lunettes.
- Kabuto, on se les pèle. Tu voulais nous montrer quoi?
- Regarde dans la clairière, Yoroi. Tu comprendras.
L'intéressé mit ses mains en visière, mais comme tout le monde qui voyait les jumeaux à la peau blanche, il eut une réaction démesurée. Il cria et tomba de la branche sur laquelle il était perché, s'affalant sur le sol comme une bouse de vache… Pile sur l'un des collets de Fushi.
Il hurla de douleur, la boule de feu consumant son visage, le défigurant et le brûlant atrocement. Le troisième binoclard lui plaqua les mains sur la bouche et éteignit les flammes grâce à une technique Suiton.

- Abruti ! Tu vas nous faire repérer !
- Misumi, Yoroi, arrêtez de faire les imbéciles et remontez dans l'arbre. Je n'aime pas l'odeur de viande grillée avant le petit déj’. Et le gamin a mis une centaine de ces pièges, par terre.
Le dénommé Misumi attrapa Yoroi, et tous les deux rejoignirent Kabuto. Il soupira.
- Vous comprenez, maintenant, pourquoi je vous ai fait venir?
Blême, Yoroi murmura:
- Des démons… Ce sont des démons… Le garçon, on dirait…
- On dirait notre maître, oui. Étonnant, non? De plus, il est capable lui aussi d'allonger sa langue à son envie. Il maîtrise des techniques auxquelles les miennes ne peuvent rivaliser. Ses yeux sont les mêmes et font le même effet. Il est hautain, arrogant, capricieux et méprisant. Et il ne supporte pas de perdre.
- Et la fille ?
- Elle ne lui ressemble qu'au niveau physique. Elle est joyeuse, elle rit sans cesse, elle est toujours de bonne humeur, taquine, maligne… Il semble qu'il n'y ait qu'elle qui soit capable de calmer son frère et de lui tenir tête. Évidemment, elle sait aussi se servir de ses yeux. Et qu'est-ce qu'elle est jolie…
Cette dernière phrase, Kabuto la prononça pour lui-même. Ses pommettes rosirent, tandis qu'il fixait la jeune fille endormie. Évidemment, cela n'échappa pas aux deux autres.

- Tu as dit quoi, Kabuto? Ne me dis pas que tu t'intéresses à une gamine!
- Tu la trouve jolie? Tu parles! Elle est aussi belle qu'un fantôme translucide!
- Silence, abrutis!
- Qui pense-tu qu'ils sont, Kabuto?
Il y eut un silence. Kabuto continua de contempler Hebi, mais il répondit sans aucune hésitation:
- Ce sont ses enfants.
Cette fois-ci, Misumi et Yoroi éclatèrent franchement de rire.
- Ça ne va pas, non? Orochimaru-sama n'aime personne. Et je ne pense pas que ça l'amuse de mettre des nanas enceintes! C'est du hasard, du pur hasard!
- Et supposons que ça n'en soit pas? Supposons, comme je l'ai dit, qu'Orochimaru-sama ait bel et bien deux enfants? Imaginez! À quinze ans, ils maîtrisent parfaitement leurs techniques de ninjutsu, de genjutsu, et ils ont un taijutsu parfait. Ils savent se servir de leurs techniques à bon escient, efficacement et au bon moment. Ils sont identiques à notre maître. Tu n'imagines pas? S'ils peuvent représenter un frein à l'ascension d'Orochimaru-sama, ils peuvent aussi devenir une source de pouvoir impressionnante!
Yoroi réfléchit un moment. Puis il questionna :

- Vas-tu en parler à Orochimaru ?
- Pas pour le moment. Pour l'instant, seul Sasuke compte à ses yeux. Nous verrons cela après l'épreuve, quand le moment sera venu.
- Allons nous-en, jeta Misumi. On a besoin d'un rouleau, nous aussi.
Kabuto acquiesça d'un signe de tête, puis les trois espions retournèrent rejoindre le noir de la nuit. Pourtant, Kabuto ne parvint pas à s'enlever de la tête l'image de la belle Hebi endormie…

Forêt de la mort, 7h du matin :

Hebi fut éveillée à l'aube par des cris. Kira et Fushi, au centre de la clairière, étaient encore en train de se disputer.
- Mais c’est pas vrai, ça! T'es même pas capable de faire un feu!
- Je ne connais pas d'attaques Katon, moi! T'avais qu'à en faire un, toi, plutôt de me critiquer sans arrêt !
- J'hallucine, là! C'est TOI qui a froid et c'est MOI qui devrais faire un feu? Idiote! À cause de ta débilité, trois de mes superbes collets sont cassés et il fallait en plus que tu tombes dans un trou parce que tu voulais ramasser du bois mort! Crétine!
- Ouais, ben, la prochaine fois, ne compte pas sur moi pour t'aider!
- Ha! Mais tu crois quoi? Y aura pas de prochaine fois! Quand je serais Chunin, je travaillerai seul! Et tu ne seras plus là pour me faire chier!
Hebi se leva avec un soupir. Elle appela son frère :
- Eh, Fushi! Tu as fait la tournée des pièges?
Il se retourna, et répondit :
- Ouais. Et devine quoi ? On a eu de la visite, cette nuit.
- Ah oui ?
- Ouais. Je m'attendais à voir un macabé, mais il semble avoir été aidé.
- Tu es sûr que ce n'était pas un animal ?
- Non. Il y a des traces de pas. Je pense que…
Soudain, des cris déchirants coupèrent la discussion. Cela se passait très près du campement. Fushi, intéressé, demanda à sa sœur :
- On va voir? Hein? Dis!
Hebi sourit d'un air entendu.

Ils déboulèrent dans une clairière où ils assistèrent à un spectacle peu commun.
L'équipe 7 était là et combattait les ninjas d'Oto. Du moins, Sakura les combattait. Sasuke et Naruto étaient étendus par terre, un linge sur le front, inconscients. Ino était à leur chevet, quant à Shikamaru et Chôji, ils restaient en retrait. Kira les rejoignit aussitôt.
- Sasuke!!
Hebi bouscula Ino, qui siffla de colère. Elle n'y fit pas attention et prit le pouls de Sasuke.
- Il est mort ?
- Non, imbécile ! Il est blessé !
Hebi observa un moment son épaule. Elle blêmit en voyant la marque.
- Comment a-t-il eu ça?
- Sakura m'a dit qu'il avait été mordu…
- Comment est-ce possible?
- Qu'y a-t-il?
- Fushi n'a pas été mordu, pourtant, il a exactement la même marque, en bas du dos. Je l'ai vu, une fois, quand il prenait sa douche…
Hebi observa Sasuke.
- J'ai l'impression qu'il va mieux, non?
- Je ne sais pas.

Fushi, lui, s'approcha lentement, la démarche féline, vers les trois du Son. Il sépara Sakura et Zaku à coups de poings.
Les trois ennemis reculèrent, terrifiés. Fushi les toisait avec un sourire qui n'avait rien d'aimable. On aurait plus dit un rictus de prédateur, qui tient ses proies entre les mâchoires, et qui s'apprête à les dévorer.
- Ne touchez pas au petit copain de ma sœur.
- Ce n'est pas mon petit copain ! Enfin…

Hebi rougit. Quand à Sakura et Ino, elles perdirent leurs couleurs.
- Que… quoi ? balbutia Sakura.
- Je t'expliquerai, jeta Ino.
Dosu, Zaku et Kin reculèrent d'un pas.
- Bon, dit Fushi d'une voix enjouée. Je commence par qui?
Dosu déposa le rouleau par terre. Puis il recula, suivi par les autres, une expression de terreur infinie au visage.
- Nous vous laissons le rouleau. Pitié, épargnez nos vies! Laissez-nous partir! (Puis il chuchota) Orochimaru-sama…
Fushi éclata d'un rire de dément.
- Et si je n'avais pas envie de vous laisser partir?

Il passa sa langue autour de ses lèvres. Sa soif de sang s'était éveillée. Les sens en alerte, les dents dehors, le regard fou, il se prépara à se jeter sur le premier des trois qui bougerait. Mais…
- Non, Fushi.
Hebi alla se placer entre Dosu, Zaku, Kin et son frère.
- On n’a pas besoin de ça. Laisse-les partir, s'il te plaît.
- Mais…
- Chut !
Elle se tourna vers les trois autres.
- Dégagez. Mon frère va s'énerver, ne restez pas dans les parages. Et ne vous approchez plus de Sasuke.
Lorsque les trois du son disparurent, Fushi laissa éclater sa colère.
- Idiote ! J'avais enfin l'occasion de tuer quelqu'un et tu m'en empêches!
- Ils étaient terrifiés ! Ils ont donné un rouleau! Ça ne servait à rien de se battre!
Elle ramassa le rouleau et le tendit à Sakura.
- Tiens. Tu l'as bien mérité.
Effarée, Sakura le prit. Hebi sourit et se pencha vers Sasuke.
Il avait ouvert les yeux.
- Hebi…
Celle-ci rayonna. Sasuke eut un faible sourire, en voyant la fille qu'il aimait si près de lui.
Elle ne lui demanda pas l'autorisation. Elle ne le prévint pas. Elle se pencha simplement, tout simplement vers lui et l'embrassa doucement. Sasuke ferma les yeux, et tendit une main pour caresser la nuque de sa compagne, et toucher ses cheveux de soie.
Ino et Sakura se regardèrent, horrifiées. Puis elles se mirent à hurler et éclatèrent en sanglots. Sasuke et Hebi n'en tint pas compte. Ce n'était pas important.

- Alors, dit Hebi après avoir séparé ses lèvres de celles du jeune garçon, que voulais-tu me dire à l'hôpital ?
- Je t'aime, souffla Sasuke avant de l'enlacer doucement.
Soudain, on entendit un grand bruit. Fushi, de dépit et de dégoût, venait de balancer un grand coup de pied à un petit arbre, qui s'était effondré avec un bruit assourdissant. Fushi cracha par terre, furieux.
Hebi se leva. Elle sourit à Sasuke, puis se tourna vers son frère :
- Allez, Fushi, on y va. Kira, suis-nous.
Sasuke les regarda disparaître un moment, tandis que Sakura et Ino envoyaient des injures à l'encontre d'Hebi.

Lorsque Naruto s'éveilla, il ne comprit pas. Il trouva Sasuke en train de hurler après Sakura et Ino, Shikamaru qui dormait et Chôji qui s'ennuyait car il n'avait rien à manger.
- Que c'est-il passé, ici? demanda-t-il, stupéfait.
- NARUTO, LA FERME! s'écrièrent les Genins en chœur.

Drôle de matinée dans la forêt de la mort… Fallait-il présager le pire ou le meilleur?



Voilà ! Vous avez aimé ? Merci de me donner votre avis ^^



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