Fiction: Les enfants d'Orochimaru

Qui est Kyôkan, cette jeune femme qui débarque à Konoha, affamée et enceinte ? En elle, elle porte un lourd fardeau... celui de deux jumeaux, Hebi et Fushi, enfants du pire des monstres qui puisse exister...
Version imprimable
Aller au
Me-and-orochi (Féminin), le 28/02/2009
LE chapitre que j'adore o) celui de la réincarnation de ma poupette chérie o) alias Kyôkan !

Enjoy o)




Chapitre 29: Acte.



Bureau du hokage, 17h30 :



Cela faisait deux bonnes heures que Naruto faisait attendre Orochimaru et ses genins dans le couloir. Le sannin aux cheveux noirs avait cela en horreur. Il regarda Katami d'un air furieux.

- Il avait dit quinze heures, non ?
- Oui, mais il fallait qu'il passe un coup de fil, et...
- Rien à foutre.


Sans plus de mots, Orochimaru défonça la porte du bureau d'un coup de pied. Elle céda avec un craquement sinistre, et assourdissant.
Naruto était encore au téléphone. Il regarda Orochimaru d'un air surpris.
Ce dernier, le regard luisant de colère, alla droit sur lui, lui arracha le combiné des mains, et trancha net le fil électrique.

Naruto se leva, l'air offensé et indigné.
- ÇA VA PAS, NON ? TU POUVAIS PAS ATTENDRE DEUX MINUTES ?!
- Rectification, ça va bien faire deux heures qu'on poireaute dehors avec les genins de mon fils, on commence UN PTIT PEU A S'AGACER !

Naruto poussa un profond soupir.
- Je t'enverrai la facture pour le téléphone et pour la porte...
- Tu peux toujours le faire... tu peux aussi toujours te gratter pour que je paye !
- Imbécile.

Les trois genins entrèrent timidement.
- Euh... vous vouliez nous voir, Hokage-sama ?
- Magne, on a pas que ça à faire, maugréa Orochimaru.
Naruto se rassit.
- Je vous envoie en mission.
- En mission ? De quel rang ?
- C.

Orochimaru, déjà bien en rogne, frappa du poing sur la table.
- Merde à la fin ! Tu peux pas nous donner quelque chose d'intéressant ?!
- Je n'ai pas de missions de rang B, ce ne sont que des missions de rang C, A et S !
- Donne nous une mission de rang S !
- Non ! Les genins de Fushi ne sont pas prêts !

Naruto se prit le front.
- J'ai déjà assez de problèmes comme ça. Une guerre ouverte à été déclarée contre Konoha, par Kiri no Kuni. Nous avons envoyé pas mal de genins sur le front mais rien n'y a fait. Ça ne suffit pas.
- Eh ben envoie-nous !
- Toi, oui. C'était prévu. Mais pas tes genins.
- J'y vais avec eux.

Katami s'incrusta dans la conversation.
- Euh, grand-père...
Orochimaru fit une grimace tandis que Naruto étouffait un hurlement de rire.
- Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça, crétin !
Katami rougit.
- Euh, oui, Orochimaru-senseil.
- Bon, tu voulais quoi ?
- Tu sais... maman va encore crier si elle apprend ça...

Orochimaru eut un petit reniflement dédaigneux (ça faisait longtemps).
- Dis tout de suite que tu ne veux pas te fatiguer !
- Ok. Je ne veux pas accomplir cette mission, parce que je trouve que la vie est belle.

Naruto intervint.
- Tu vois !
Orochimaru se vexa.
- Bon, ben j'y vais tout seul !
- Avec moi. Le coup de fil que tu as coupé venait du front. Ils me demandaient, avec toi.
Le ninja de légende observa ses ongles.

- Hum ! J'espère qu'on ne me fait pas déplacer pour rien.
- Ça m'étonnerait.
Orochimaru se tourna.
- Ok ! A tout à l'heure. Je vais prévenir Hebi et Fushi. A plus les mioches !
- Ferme la porte ! dit Naruto.

Orochimaru enjamba la porte, la souleva, puis la remit sur ses gonds. Puis il sortit du bâtiment.



En rentrant chez sa fille, il trouva Kabuto et Jiraya assis à la cuisine.
- Où est Hebi ? demanda-t-il en guise de bonjour.
- Barricadée dans sa chambre. Elle s'est disputée avec Fushi, depuis, elle est en haut. Mais elle ne devrait pas tarder à descendre.

Orochimaru s'assit. Kabuto s'enquit :
- Vous voulez boire ?
Après avoir jeté un coup d'œil mauvais à Jiraya, Orochimaru répondit :
- De l'eau.
- Ils n'ont plus de sang frais, Oro-chan ?
- Qu'est-ce que tu fous là, toi ?
- Ton fils m'a invité. Il m'a dit qu'il viendrait me chercher quand il sera prêt.
- Prêt à quoi ?

Jiraya sourit.
- ça te regarde pas.
- Il s'agit de mon fils, alors ça me regarde.
- Justement, c'est lui qui m'a dit de me taire.

Le verre que tenait Orochimaru se brisa dans sa main. Le sannin semblait d'humeur revêche.
A l'étage, une porte claqua. Des bruits de pas. Puis une silhouette descendit les escaliers, et entra dans la cuisine.
- Oh ! Bonsoir Hebi !

Hebi sourit gentiment à Jiraya. Mais le cœur n'y était pas. Ses yeux étaient rouges, signe qu'elle avait beaucoup pleuré. Kabuto lui prit la main.
- Ça va ? Tu t'es calmée ?
- Ne t'en fais pas pour moi... murmura la jeune femme.

Kabuto l'enlaça avec tendresse.

- Tu ne veux toujours pas me dire l'objet de votre dispute ?
Hebi enfouit la tête dans le cou de son mari.
- Non... j'ai fait une promesse à Fushi. Je dois m'en tenir là. Tu sauras tout ce soir, je te le promets...
-Ce n'est pas grave. Je comprends.

Jiraya leva la tête vers Hebi.
- Ne t'inquiète pas pour ton frère. C'est un débrouillard. Il ne perdra pas la vie à cause de cette expérience.

Hebi lui jeta un regard surpris. Jiraya lui fit un clin d'œil.
- Allez-vous enfin m'expliquer ce qu'il se passe ? s'écria Orochimaru qui commençait à s'agacer.
- Non, répondirent Jiraya et Hebi en chœur.
Orochimaru se vexa. Hebi sourit.
- Tu sauras en même temps que tout le monde.
Le sannin aux cheveux noirs soupira.
- Très bien. J'étais venu vous prévenir. Katami est en mission, il rentrera tard.
- De quel rang ?
- C.

Hebi sourit.
- C'est bien. Naruto est plus raisonnable que toi. Et toi, que fais-tu ?
- Je pars pour le front. Tout de suite. Je suis juste venu vous prévenir.
- Eh bien c'est fait.
- Naruto part aussi.

Il se leva, et enfila sa veste.
- Moi j'y vais. Dis à ton frère de ne pas faire trop de conneries en mon absence.
- T'en fais pas.
Jiraya sourit.
- Bonne chance, Oro-chan !
- Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça !
- C'est amical !
- Ouais, mais je suis pas ton ami !
- T'en aurai bien besoin pour calmer ton caractère de merde...
- Je t'ai demandé des conseils, abruti ?
- Quelle humeur ! C'est le décès de Kyôkan qui te met dans cet état ?

Il y eut un silence plus que pesant. Orochimaru se tourna vers le sannin.
- Quoi ?
- Tu as très bien entendu.
Les yeux brillants d'une colère sourde, Orochimaru se rapprocha de Jiraya. Kabuto et Hebi paraissaient inquiets.
- Papa...

Kabuto la fit taire d'un geste.
- Laisse le faire. Jiraya a bien mérité une bonne baffe.
La main d'Orochimaru tremblait. Il fusillait Jiraya du regard.
Mais il ne fit rien. Il baissa la main, et se dirigea vers l'entrée, tout en disant :
- Je t'interdis de parler d'elle devant moi, compris ? Elle ne fait plus partie de ma vie. Je ne te frapperais pas, tu es tellement immonde que tu ne mérites même pas que je pose la main sur toi.

La porte d'entrée claqua derrière lui. L'air était chargé de tension.
Hebi s'apprêta à dire quelque chose, mais elle fut coupée par la porte du sous-sol, qui s'ouvrit devant un Neko au sourire immense.
- Venez vite ! Ça va commencer !
- Hum, tu es en avance, dit Jiraya avec un sourire.
Il se leva.
- Allons-y !
Kabuto regarda un moment Hebi.
- Je ne peux pas t'accompagner ?
- Je viendrais te chercher quand tout sera fini. C'est une surprise...

Kabuto sourit.
- Eh bien à tout à l'heure...
Il resta seul tandis que le petit groupe descendait.
- Et quelle surprise... murmura Hebi avec joie et inquiétude...



Laboratoire de Fushi, 18h :



Le pentacle était tracé. Les chandelles sinistres brûlaient dans tous les coins de la pièce. Le couteau d'invocation était posé à droite du pentacle.

Le corps de Kyôkan se trouvait eu centre, les yeux fermés, l'air triste. Il restait des traces de formol sur sa peau blême.

Fushi était près d'elle. Il était torse nu, et avait tracé des signes sur ses abdominaux.

- Prêt, Kiseki ?
- On peut y aller !
Fushi se tourna vers les deux spectateurs.
- Restez en retrait. Je vais lancer l'invocation. S'il m'arrive quelque chose, ne bougez pas ! N'est-ce pas Hebi ?

Hebi croisa les bras.
- Je ne vais pas te laisser te faire tuer sous mes yeux !
- Si ça arrive, je dois mourir !
- Tu serais prêt à te sacrifier pour nous ?

Fushi eut un regard déterminé.
- Assieds-toi, et ne fais aucun bruit.
Hebi soupira, mais obéit tout de même à son jumeau. Ce dernier fit un signe à Neko.
- Lorsque j'aurais fini de négocier avec LUI, lance le plan, ok ?
Neko leva un pouce griffu.
- Okay !
- Allons-y dans ce cas.

Il inspira un grand coup. Neko, Jiraya et Hebi retenaient leur souffle.
Fushi regarda une dernière fois le corps de Kyôkan.
- Tu vas ré-ouvrir les yeux, maman...
Il composa des signes avec application.

Serpent.

Cochon.

Mouton.

Lapin.

Chien.

Rat.

Coq.

Cheval.

Serpent.

Les mains de Fushi tremblaient un peu. C'était d'ailleurs assez compréhensible.
- L'ordre des signes, murmura Jiraya avec inquiétude. Il est complètement taré !
Hebi s'affola.
- Qu'est-ce qu'il fait ?
La réponse vint seule.

Une lumière aveuglante emplit la pièce. Un bruit assourdissant retentit, un râle grave, venu des profondeurs, sans doute.
Fushi sourit, tout en gardant la tête haute. Tout se passait exactement comme prévu...
Soudain, la lumière diminua, et le bruit disparut.
A gauche du pentacle, le dieu de la mort fit son apparition.
Hebi retint un hurlement. Jiraya parut très surpris, quant à Neko, il resta de marbre.
Voyant que sous lui se trouvait un pentacle, tracé de signes et de runes complexes, il ôta le couteau qu'il avait de sa bouche aux dents noires, et baissa les yeux vers Fushi.

- Ainsi, ce n'est pas pour prendre l'âme de quelqu'un que l'on m'invoque... qui es-tu, microbe ?
Fushi rassembla tout son courage. Il répondit d'une voix forte et assurée :
- Dieu de la mort ! Ce soir, tu agiras selon ma volonté. Je te somme d'accomplir le marché que je vais te proposer.
- Et pourquoi le ferais-je ?
Fushi sourit.
- Parce que ce pentacle te retiens prisonnier !
- Je n'ai qu'à te tuer pour partir !
- C'est là que tu te trompes ! Si je meurs, tu resteras coincé. Seul moi et Kiseki pouvons te libérer. Et Kiseki ne le fera pas si je meurs.

Sentant qu'il était piégé, le démon siffla de colère.
- Donne-moi tes conditions !
Fushi se détendit.
- Je veux que tu me rendes l'âme de ma mère, et que tu la places dans le corps qui est à mes pieds. Je veux aussi que tu me laisses la vie.
- Que me donnes-tu en échange ?
- L'âme d'Hachibi qui, tu le sais, en vaut trois humaines.
- Quelle troisième personne veux-tu ramener ?
- Juste deux.
- Non. Tu dois choisir une troisième personne.

Fushi réfléchit. Il n'avait pas pensé à cela. Qui pourrait-il bien prendre ?
Son cœur se serra lorsqu'il songea à Ketsu. Mais oui ! Elle, il pourrait la faire revivre !
Il renonça bien vite à cette idée. Il s'était juré de la laisser où elle était.
Alors il se décida :
- Rends à Kiseki son corps d'origine. En es-tu capable ?
- Oui.
- Alors passe ta main dans mon corps, et accomplis mon dessein.

Hebi se rongea les ongles. Neko, fou de gratitude envers son neveu, attrapa le couteau à sacrifices, et s'approcha de lui.
- Merci, Fushi.
Le jeune homme n'eut même pas le temps de sourire. Il poussa un hurlement de souffrance, tandis que la main griffue de la mort entrait par le sceau.
Il cracha du sang, et dut s'agripper à Neko pour ne pas tomber à terre.
- FUSHI ! s'écria Hebi en se levant.
Elle fit un pas vers lui,mais Jiraya l'arrêta.
-Ne bouges pas, il te l'a demandé.
-Mais il va mourir !
-Attends un peu.

Fushi était agité de spasmes violents. Neko le tint fermement.
- Coupe... les têtes... articula le jeune homme.
Un cri strident retentit lorsque la première tête du démon apparut. Sans réfléchir, Neko la trancha.
Il oeuvra ainsi avec souplesse pour les huit têtes. Fushi hurlait. Des larmes de douleur se mêlaient au sang sur le sol. Il se tourna vers Neko.
- TUE-MOI ! JE VEUX MOURIR !
- Tais-toi ! C'est bientôt fini, ne t'inquiètes pas, répondit l'homme chat, sans cesser de le soutenir.

Les huit têtes étaient tranchées. La lumière aveuglante revint. Les cris se poursuivirent.
La salle n'était plus qu'un embrouillamini de bruits et de luimière.
Et puis tout fut fini. L'âme du démon sortit entièrement du corps de Fushi. La main de la mort se retira.

Fushi poussa un dernier cri, puis croisa le regard de Neko. Celui-ci prit presque peur. Le regard de Fushi était vitreux et vide.
- J'ai...réussi...dit-il dans un dernier souffle avant de tomber.
- NON ! hurla Hebi, les yeux pleins de larmes.
Le dieu de la mort ouvrit la bouche et laissa sortir deux formes bleues avec lenteur.
- Voici ce que tu m'as demandé !
Les deux âmes se séparèrent. L'une entra dans le corps de Kyôkan, l'autre dans celui de Neko.

Le dieu de la mort disparut avec un grand bruit. Neko avait brisé l'invocation.
Hebi se jeta sur son frère. Elle lui toucha la joue. Il était froid.
- Non...non !
Elle se tourna vers Jiraya.
- Allez chercher Kabuto ! Vite !
Le vieux ninja s'exécuta. Il se leva, et grimpa les escaliers en courant.
Hebi, trop occupée à pleurer sur le corps de son frère, ne remarqua pas le second changement.
Neko n'était plus Neko.

Kiseki regarda ses mains. Elles étaient recouvertes d'une belle peau bronzée.
Il toucha sa bouche. Plus de moustaches. Plus de babines. De belles lèvres roses. Ses canines étaient encore pointues, mais depuis toujours elles l'étaient.

Il toucha ses cheveux. Ils étaient toujours long du côté gauche et courts du côté droit, mais ils étaient à présent de la couleur du feu. Plus de taches.
Plus de poils. Plus de sens, plus de souffrances.

Neko était Kiseki, à présent.

Jiraya revint, Kabuto sur les talons. Celui-ci fut tout d'abord très surpris de trouver le laboratoire juste en-dessous de chez lui. Encore plus lorsqu'il vit le petit groupe étendu dans le pentacle.
- Que c'est-il passé, ici ?
- On t'expliquera plus tard. Va voir Fushi !
Le jeune homme s'exécuta. Hebi leva la tête.
- Il est tout froid ! Il est mort !
- Laisse-moi voir.

Kabuto toucha le front glacé de Fushi. Non. Cela ne voulait rien dire.
Après un rapide examen, il se prononça :
- Il est juste dans le coma.
- C'est...c'est vrai ?
Comme pour répondre de lui-même, Fushi ouvrit faiblement un œil. Hebi sourit, soulagée.
- Tu m'as fait peur, imbécile !
- He...bi ?

Kiseki se pencha vers lui. Il sourit à son tour.
- Tout à fonctionné comme prévu. Bravo.
Hebi sursauta.
- Neko ?!
- Appelle-moi Kiseki, maintenant.
- Tu as retrouvé ta véritable apparence ! Fantastique !
- C'est Fushi qu'il faut remercier.

Ce dernier eut un regard inquiet.
- Et ma...mère ?
Tout le monde tressaillit. Dans la mêlée, ils avaient complètement oubliés Kyôkan !
- Je commence à comprendre... murmura Kabuto.
- On t'expliquera après, dit Hebi. Va voir ma mère, s'il te plait, mon ange.

Kabuto acquieça. Il se pencha vers Kyôkan, et posa la tête sur son cœur.

Boum...

...

...

...

...

Boum...

...

...

...

Boum...

...

...

Boum...

...

Boum...

Boum Boum... Boum Boum...

- Elle vit !
Tout le monde resta bouche bée.

Des larmes de joie coulèrent des yeux d'Hebi, de Fushi et de Kiseki.

- On... on a réussi...

Un frisson parcourut l'échine de Kabuto, tandis que la respiration de Kyôkan se remettait en marche.

Kyôkan vivait. Un exploit encore jamais vu. Et Fushi et Kiseki y étaient parvenus. A deux.

Les beaux yeux bleus de Kyôkan s'ouvrirent. Elle regarda tous les visages tournés vers elle, puis murmura :

- Où...suis-je ?
- Dans le laboratoire, sous votre maison, répondit Kabuto.
- Ma...maison ?
Elle se redressa un peu. Puis elle dévisagea Hebi et Fushi.
- Qui êtes-vous ?

Hebi ne comprit pas. Elle prit la main de sa mère.
- Maman, c'est moi ! Hebi !
- Maman ?
- Oui ! Tes deux enfants ! Hebi et Fushi !

Kyôkan secoua la tête.
- Je n'ai pas d'enfants, moi...
Jiraya comprit immédiatement. Il se pencha à son tour vers Kyôkan.
- Qui es-tu ? Quel est ton nom ? T'en souviens-tu ?

Kyôkan eut l'air perdu. Elle regarda Jiraya, et lui répondit simplement :


- Je ne sais pas... qui je suis...




Alors ? =D



Chapitres: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 [ 29 ] 30 31 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: