Fiction: Gabrielle

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** Hopital Rangueil**


Itachi Uchiwa était un homme très soucieux de son travail. Le crime, c’était son affaire, pas une seule enquête irrésolue à son actif. Son père ne lui avait jamais permis l’échec. Il épluchait les registres de l’hôpital quand un docteur en blouse blanche vint l’accoster. Il sortait apparemment d’une salle de réanimation. L’homme se présenta comme étant le chef de service. Kakashi Hatake.

- Vous êtes le deuxième inspecteur à venir me voir cette semaine, remarqua-t-il, il semblerait que quelqu’un ici a fait quelque chose de mal. Je me trompe ?
- Si vous parlez de l’Inspecteur Shikamaru, je ne sais pas l’objet de ses visites Docteur. Je viens pour un patient, pas pour le personnel.
- Enfin quelqu’un qui comprend ! Je peux faire quelque chose pour vous aider ?
- Et bien, je cherche cet homme. Il se prénomme Kankuro, et serait venu ici pour une blessure par balle.
- Mhh, fit Kakashi en prenant le dossier. C’est exact. Nous avons prévenu la police, mais quand les policiers sont arrivés, l’homme avait disparu…
- Nous recherchons cet homme, il serait témoin d’un meurtre.
- D’un meurtre ?
- Je ne peux pas vous en dire plus docteur, vous devez avoir d’autre patients a voir j’imagine. Tachez de me trouvez l’infirmière qui s’est occupé de lui.
- Naturellement.

Sur ce, il parti dans une autre salle. Itachi regarda un peu les environs, personne ne tournait au ralenti ici. C’était plutôt rassurant, pour du personnel hospitalier. Il marcha le long d’un couloir et accosta une jeune infirmière.

- Bonjour mademoiselle.
- Je n’ai pas à parler au pervers dans votre genre !
- Police mademoiselle, j’aurais besoin de quelques renseignements sur cet hôpital.
- Oh pardon…
- Où puis-je trouver le stock d’anesthésiant ? C’est dans un de ses placards là ?
- De quoi me parlez vous ???
- Police mademoiselle, coopérez sinon je vous arrête et vous amène au poste.
- …nous n’entreposons pas le matériel d’anesthésie à cet étage monsieur, vous êtes aux urgences, ils se trouvent dans les blocs opératoires. Seuls les infirmiers et les anesthésistes peuvent y accéder.
- Et, vous n’avez pas d’amies qui travaille là bas ? A tout hasard…
- J’y ai travaillé pendant 2ans avant de demander mon transfert ici monsieur. Que voulez vous savoir ?
- Pour commencer, votre nom mademoiselle, lui fit-il en souriant.
- …Konan monsieur. Vous voulez discuter devant un café ? La cafet’ de l’hosto’ est terrible mais je n’ai pas autre chose à vous proposer…et vous ?
- Mon nom ? Inspecteur Uchiwa. Ça suffira pour le moment.
- Je suppose que comme je n’ai pas votre badge je ne peux pas protester…ces hommes.

Elle lui donna rendez vous dans 20minutes, le temps de changer de sonde à quelques patients. Itachi revint à l’accueil. Pour y trouver Sakura un peu terrorisée.

- Euh, que faites-vous ici ? lui fit-il. Vous n’enquêtez pas j’espère ?
- Mais non !!! je…j’ai fait une bêtise !
- Calmez vous enfin !
- Ma voisine…elle a fait une chute dans les escaliers…
- Votre voisine ?

Ils restèrent là à parler quelques minutes. Un médecin vint les voir, apportant de bonnes nouvelles. Elle n’avait pas une égratignure. Plus de peur que de mal. Sakura fut tellement soulagé qu’elle commença à pleurer sur le bras du nouvel inspecteur.

- Hey…ça va aller ? Vous voulez vous asseoir ?
- Non c’est juste… tout ce qui vient de m’arriver…j’avais pas encore réaliser qu’elle n’étais plus là, mais en venant j’ai vu brancard qui se dirigeait vers la morgue…j’ai eu l’impression d’être vraiment toute seule un instant.
- Euh, dit-il un peu gêné, il n’avait pas l’habitude de cette facette du métier. Nous retrouverons celui qui a fait ça. Nous sauverons les autres.
- Il ne me reste que Kankuro…et il a disparu, il est peut être déjà mort lui aussi…oh, ces fleurs…

Une infirmière venait de poser un beau bouquet de fleur sur le comptoir. Des fleurs orange vif. Elles étaient magnifiques.

- J’adore ces fleurs. Vous savez pourquoi inspecteur ?
- Euh…non…fit-il ne sachant pas trop quoi dire. Son rendez-vous était dans 5minutes.
- Quand j’étais petite, je me suis casser le bras. C’était pas bien méchant, mais comme je venais de changer de famille, je n’avais personne. Et il y avait ses fleurs, orange vif, qui m’ont redonné l’espoir. Je n’en avais jamais revu.
- C’est normal mademoiselle, ce sont des fleurs très rare, fit une voix derrière eux.
- Oh, docteur Hatake, fit Itachi en souriant, vous avez de très belle infirmière dans votre service.
- Ce sont des Throlle orange king. J’en importe une fois par mois ici.
- Vous aimez les fleurs docteur ?
- Enormément inspecteur. Sur ce…

Il quitta les lieux et prit l’ascenseur. Itachi regarda Sakura, qui était devenue livide. Il l’accompagna voir Chiyo et parti à son rendez-vous. Il savait que ce docteur mentait, mais pourquoi ?





** Un restaurant près de Nice**

- Santé !
- Santé !

Deidara et Sasori prit un demi et le burent d’une traite et posèrent leur verre à l’unisson. De vieux potes qui se retrouvent comme ça, c’était le signe du destin !

- Bon, on s’est assez amusé vieux, parlons affaire, y’a un truc qui me chiffonne mec, commença Deidara
- Oué vieux tu me le fais pas dire. Déjà qu’on sait plus qui est notre chef…
- Ça sent mauvais tu trouves pas ? ça sent…
- L’étouffement d’affaire ? à plein nez. Depuis que c’est le père Uchiwa qui donne les ordres, les incohérences se multiplient. J’y comprends plus rien.
- Le père ? Attend mais c’est une SARL familiale votre section ou quoi ?
- Bah tu sais, ils sont flics de père en fils…Mais j’ai jamais pu blairer le père. A l’époque, il était de mèche avec un avocat de l’accusation, il en a trafiqué des preuves pour les procès, je te dis pas les ragots qui circulent sur lui. ça s’est calmé quand il a été rétrogradé dans un bureau, mais voila qu’il s’en mêle encore une fois. Il veut trafiquer des preuves j’en suis sure !
- Alors c’est pas un accident ?
- Bien sur que non, t’as fait les même études que moi quand même…mais ils m’ont dit qu’il me priverait de salaire ce mois ci si je faisais la forte tête…alors ils font comme si mon rapport n’existait pas. Tiens, prend le, il ne me sert à rien de toute façon.
- Merci vieux ! tu veux quoi en échange ? ça te dit des photos coquines de ma supérieure ? Elle est vraiment canon tu sais !
- Hey arrête son mec va nous tuer tous les deux ! Non mais par contre… je sens que je vais pas faire long feu ici, tu veux pas parler de moi a ton boss ?
- Et me faire virer ?! Hey mec j’taime bien mais j’aime encore plus mon boulot !
- Tu comprends pas Deidara, quand ils sauront ce que je t’ai dit, ils me le feront payer, d’une façon ou d’une autre. Je vais t’aider un max, j’ai horreur qu’on cache la vérité. Je vais te donner les autres rapports des autres incendies, on trouvera peut être un lien comme ça.
- Ça n’a pas déjà été fait ?
- Avec des fausses preuves on arrive toujours à des fausses conclusions. Donne ça ta supérieurs canon de ma part.
- Elle te les enverra pas direct les photos coquines, même si tu lui donnes tout ça tu sais.
- Brise pas mon rêve…brise pas mon rêve…

Ils se donnèrent rendez-vous dans une semaine à Toulouse. Deidara sorti le premier et laissa son ami régler la note. Il ne remarqua pas en sortant une voiture blindée qui s’apprêter à le suivre.



**Aéroport de Mexico**

Ino allait attendait son vol pour Paris. Elle était assez nerveuse. C’était la première fois qu’elle devait garder ce genre d’objet chez elle. Une statuette Inca, de très grande valeur, que le rédacteur en chef devait absolument récupérer. En échange, elle avait pu choisir une autre pièce Inca de moindre valeur, offert par le magazine. C’était plutôt sympa, un voyage et une statuette offerte, elle avait sauté sur l’occasion.
La jeune femme repéra son interlocuteur. C’était une femme d’apparence mure, qui ne faisait absolument pas son âge. Elle tenait une enveloppe de papier kraft et une grande poche à la main. Ino lui fit signe, et la personne laissa ses paquets sur place, en s’en allant. Ino s’arrêta net sur place, puis pris ses paquets, un peu perplexe. Elle n’eut pas le temps de lire le mot dans l’enveloppe, son avion allait partir, elle disparu dans la porte d’embarcation quelques instant plus tard.



**Appartement de Chiyo**

Les deux femmes venaient de rentrer de l’hôpital. Chiyo avait du mal a marcher, mais elle s’en sortait plutôt bien pour son age. Sakura n’avait pas parlé de tout le voyage, elle repensait trop à ce qui c’était passé la bas…ces fleurs… cet homme.

- Oh ma chère Sakura, on dirait bien que ce petit voyage vous à bien ennuyer.
- Mais non pas du tout !! rétorqua Sakura un peu précipitamment, c’est juste que…je n’aime pas trop les hôpitaux. Et j’ai eu si peur !
- Ou, je vois bien qu’il n’y a pas que ça…vient à la maison, je vais te faire du thé, en plus c’est son heure.
- Son heure ?
- A Sasuke bien sur, c’est l’heure où il me rapporte un tas de trucs, tu sais, mes chats coincés sur le toit, des fleurs, des très belles d’ailleurs, je ne sais pas d’où elles viennent. Il est si gentil ce garçon, je me demande pourquoi il reste seul comme ça.
- Ah…
- Je crois même qu’il t’aime bien, il me parle souvent de toi tu sais. S’il y a quelqu’un à qui tu peux bien te confier, c’est à lui.
- Pourquoi me dis-tu ça comme ça ? Tu crois que je ne me confis pas assez c’est ça ? Tu es bien trop curieuse !
- Oh tu sais, c’est la vieillesse qui veut ça. Mais je comprendrais très bien qu’il y a des choses dont on ne peut pas parler a n’importe qui. Sasuke est un enfant élevé dans la rue, il ne connaît pas les conventions sociales, le mensonge, la vérité, les sous entendus, la politesse, tout ça est instinctif chez lui. Tu peux me faire confiance, jamais il n’a répété un de mes vieux secrets.
- Après tant d’années, ça doit faire du bien de pouvoir se débarrasser de…certaines choses.
- Apporte-moi la théière s’il te plait Sakura.

Les deux femmes venaient de prendre leur première tasse de thé quand Sasuke frappa aux carreaux, des jonquilles à la main. C’était les fleurs préférées de Chiyo.
Sakura fut étonnée de voir à quel point ces deux là s’entendaient bien. Il ne balbutiait pas le moins du monde devant elle.

- Vous êtes là Sakura chan ?
- Oui aujourd’hui je reste un peu plus longtemps chez Mme Chiyo. Je peux me joindre à vous ?

Ils prirent le thé tous ensemble. Sakura partie la première pour aller voir M, tandis que la vieille femme continua de tenir la conversation. Une fois seule avec lui, son visage changea littéralement :

- Il faut qu’on parle Sasuke.
- A propos de votre coup de fil de hier Mme Chiyo ?
- Oui mon petit. Un ami très cher est en danger. Il veut trouver lz vérité, et sauver cette fille encore…
- La même fille que l’autre fois ?
- Oui, Gabrielle. Tous ceux qui sont morts, ils sont comme leurs assassins, ils veulent la retrouver. Et ils se font tuer avant.
- Mais pourquoi font-ils ça alors. J’avoue ne pas très bien comprendre. C’est une de leur amie ?
- Si on veut…tu ne peux pas comprendre, c’est bien pour ça que je te raconte tout mon petit. Ça fait du bien de soulager ma lourde conscience. Quand je serai parti…raconte tout ça à Sakura. Rien qu’à elle.
- Oh, vous partez ? où allez vous ?

Elle le regarda en souriant tendrement et posa sa main dans ses cheveux. Bizarre ce dit-elle, pour un gamin élevé dans la rue, ils sont drôlement propre ces cheveux.



** Commissariat du Canal**

Choji avait enfin trouvé un dictionnaire français / japonais sur le net. L’informatique c’était vraiment pas son truc. Il allait commencer à traduire un site sur Gabrielle quand Shikamaru fit irruption dans la salle. Il avait l’air beaucoup mieux que ce matin. Même si un morceau de poulet froid rodait près de ses lèvres.

- Bon, j’ai eu le rapport d’Ibiki. On a retrouver le mec qui à tirer sur Kankuro. Et devines quoi, c’est un extrémiste musulman. La bonne blague.
- Donc, ce type a tiré sur Kankuro, dans le musée…mais pour quelle raison ?
- Il dit qu’il en voulait à la Ministre. Ce type à la cervelle vide, il a été manipulé par le vrai meurtrier c’est clair. On cherche à savoir qui lui a refiler son arme. Il dit qu’il fait de la chasse avec son oncle depuis qu’il est gamin mais ça colle pas bien. C’est pas une arme standard.
- C’est quoi alors ?
- Un TankGewehr Allemand. C’est de la grosse artillerie. On a retrouvé ce beau bébé dans une poubelle juste à coté, il manquait deux douilles.
- Il en est question dans le rapport d’Itachi sur la mafia japonaise ?
- J’ai pas encore eu le temps de tout lire, mais on approche vite. Et de ton côté ?
- J’ai pas appris grand-chose sur Gabrielle elle-même, mais par contre sur ses fans…ils sont tous fanatiques ! Je crois que j’ai trouvé le plus dingue sur ce site là, je cherche un traducteur japonais pour avoir le plus d’info. Cette fille c’est une vraie légende là bas.
- Tant que ça ? fit Shikamaru étonné.
- Et apparemment elle avait ‘trop la classe’. Ne me regarde pas comme ça c’est un des commentaires que j’ai pu traduire !
- Un des commentaires ?
- Bon ok, LE commentaire que j’ai traduit.
- Essaye de traduire la suite ça pourrait être intéressant…
- Ah oui, un type à appeler, il dit s’appeler Lee Rock, c’est un journaliste d’investigation qui veut nous interroger. J’en fais quoi ?
- Laisse le à Ibiki si jamais il doit passer, il retournera vite chez lui. Bon bon, tu viens boire un verre ?

Choji s’apprêtait à répondre quand le téléphone sonna. C’était Hinata, c’était une urgence. Quelques secondes plus tard, un homme, grand, les cheveux longs et blancs s’assit dans la chaise en face de Shikamaru. Il était assez imposant comme type, pas du tout le genre avec qui on plaisante.

- Désolé de vous interrompre dans votre enquête messieurs. Je suis Inspecteur Jiraiya, enfin, ex Inspecteur. Aujourd’hui je ne m’occupe que de la paperasse, vous savez, une retraite anticipée quoi.
- Bonjour inspecteur, Hinata nous a dit qu’il était urgent que nous parlions. Avez-vous un lien quelconque avec notre affaire ?
- Au début, je n’y prêtais pas attention. Je reviens de Majorque vous savez, là bas cette affaire n’est qu’un petit fait divers. Mais quand Temari est morte, là, j’ai reconnu les crimes. Je me suis dit que vous auriez besoin de mon aide.
- En quoi pouvez-vous nous aider Inspecteur ? demanda Choji
- Vous la connaissiez…remarque Shikamaru. Vous connaissiez la Ministre.
- Normal, nous étions tous les deux des ‘Grands frères’ à l’époque.
- Vous…vous êtes un grand frère ? fit Choji en s’escannant
- Et le prochain sur la liste mon gars. Voila le deal, vous assurez ma protection, et je vous donne toutes les informations dont vous avez besoin.
- Vous savez, continua Shikamaru toujours très calme, en tant qu’ex membre de la mafia japonaise, je devrais vous arrêter.
- Vous n’avez rien écouté mon gars, rétorqua Jiraiya. Je suis inspecteur maintenant, mais…j’étais membre du même groupe spécial que voter collègue Uchiwa à l’époque. Ma spécialité, c’était l’Infiltration.
- Vous étiez un infiltré ? fit Choji encore plus sous le choc.
- Du calme Choji c’est courant dans ce genre d’affaire. Mais très risqué. On va enfin avoir des informations de l’intérieur.
- Je peux vous donner des noms, continua Jiraiya. Des noms qui ne figurent pas dans les rapports, parce que ces personnes sont trop externes. Il y avait deux recruteurs aux ordres du chef, Orochimaru.
- Orochimaru qui est mort une balle dans la tête il y a 10 ans environ…
- J’ai fait des recherches. Le premier c’est un homme. Il a une voix un peu roque, mais je n’ai jamais pu voir son visage ni l’approcher de près. Par contre la deuxième personne, dit-il en sortant une photo de sa poche, c’est elle.
- Une si vieille femme responsable d’une tache si importante ? remarqua Shikamaru
- Ne vous fiez pas aux apparences, ces deux là ont fondés le clan il y a bien longtemps, et à l’époque c’était elle la chef. Quand elle devint trop âgée, elle fut remplacée. Je n’ai retrouvé que son nom, elle s’appelle Chiyo.
- C’est noté, dit Choji derrière son nouvel ordinateur ;
- Et…sur Gabrielle ?
- Elle avait une place à part dans le clan. Tous les autres membres étaient casés en duo ou trio, on ne laissait jamais personne seul. Sauf elle.
- Elle faisait cavalier seul…
- C’était une tireuse d’élite, au sniper, elle n’a jamais raté sa cible. On ne la voyait jamais, mais elle se cachait toujours sur un toit pour surveiller les opérations et tuer les ennemis discrètement. C’est grâce à elle que les opérations ce sont si bien déroulé les 2 dernières années.
- Vous n’avez pas des renseignements plus morphologiques ? Que l’on puisse la retrouver ?
- Aucune idée, et croyez moi, les assassins non plus ne la connaisse pas. Il n’y a qu’une seule personne qui sait qui elle est. Et c’est cette vieille femme. Retrouvez la, et vous saurez.
- Oh, mais c’est que le vent est en notre faveur, fit une voix à la porte du bureau.
- Inspecteur Uchiwa, fit Jiraiya tout sourire, heureux de vous revoir.
- Heureux de voir que vous êtes toujours vivant, répondit Itachi. Je devais m’entretenir avec l’inspecteur Shikamaru, mais je suppose que cela ne fait rien que vous soyez là.
- Pas le moins du monde, ajouta Shikamaru. Ça donne quoi à l’hôpital ?
- J’ai croisé votre Sakura, elle accompagnait sa voisine qui avait fait une chute, vous feriez bien de lui trouver un psy, elle va vite craquer.
- Je parlais de Kankuro…
- Et bien, disons qu’il s’est enfui quand il a vu l’infirmière appeler la police. On signale chaque blessure par balle, il n’était peut être pas au courant. D’après l’infirmière toujours, sa blessure n’est pas grave. Il n’en mourra pas, sauf si il s’infecte.
- Ce qui est totalement impossible pour un homme en pleine nature, ironisa Shikamaru.
- Attendez deux minutes, fit Jiraiya, je connais ses noms…
- Kankuro était le frère de Mlle Temari, et Sakura leur sœur adoptive. Elle a du vous en parler.
- Reprenons, continua Itachi. Jiraiya, que penses-tu de cet homme ?
- …mais c’est impossible !
- Tu le reconnais ? As-tu déjà vu Kakashi Hatake auparavant ?
- Le docteur ? fit Choji
- C’est le dernier…avec moi, c’est le dernier grand frère encore en vie. C’était mon coéquipier.
- C’est bien ce que je me disais…



Shikamaru restait calme, mais il jubilait intérieurement. Les pièces du puzzle commençait s’emboiter. Mais il avait oublié une autre pièce, qui revenait d’un long voyage, et qui allait tout chambouler.




faite pas cette tête, je suis sure que vous vous en doutiez :p
commentaires pliz <3

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