Fiction: One-shot Tema/Shika

Voila un petit One-Shot, fait spécialement pour la rentrée ^^ dans l'ensemble c'est gai, même si il ya des passages un peu tristes. bon bref. Interdit au -12 car il y un passge ou l'héroine... Roooooh j'en dit trop !!! Lisez et vous verrez :)
Classé: -12I | Romance | Mots: 2483 | Comments: 24 | Favs: 34
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eyra (Féminin), le 09/01/2008
Voila ptite fic écrite comme d'hab c'est à dire sur le moment. C'est un one-shot. Personnellement, je trouve la fin moins bien. Je manquais d'inspiration. Bonne lecture, en esperant que ca vous plaira !! :D


enjoy !




Chapitre 1: One-shot Tema/Shika



- Eh toi ! Bouge de là !

Je me retourne pour me retrouver en face d'une.... Non, je ne dis pas, je serai vulgaire. Bref. Blonde, les yeux bleus, habillé toute de rose, elle me regarde d'un air hautain du haut de ses 8 centimètre de talons à motifs roses. Je grogne. Que me veut-elle ? Je viens d'arriver dans ce lycée pourri et voilà qu'on me fait chier. Re-grognements. Grrr.

- Allez bouge t'es sur mon chemin là !

Gentille ( haem ), je me décale sur le côté. Avant, je lui aurais latté sa tronche de barbie, mais je suis nouvelle, comme je l'ai déjà dit et je n'ai pas envie qu'on m'embette.

Je m'appelle Temari, et j'ai 17 ans. J'habitais avant à Suna, mais mes parents ont décidé de déménager dans cette "merveilleuse" ville, Konoha. Je leur ai gentiement demandé si on pouvait laisser mes frères là-bas, mais non, tout ce à quoi j'ai eu droit c'est une remarque désobligeante. Non mais vraiment. Je suis blonde ( enfin pas autant que la botox-girl qui vient de passer. Comprenez, ,je ne vais pas dire " je suis blonde foncée " ! ), et j'ai les yeux bleus-verts. Je suis plutôt grande ( 1m72 :D ) et fine. Ce qui me vaut des regards pervers des vieux poltrons ( ca ce dit ? ) dans la rue. Ce qui leur vaut généralement un pain.

Revenons à nos moutons. La botox-girl trace un sillage d'enfer dans le peuple du couloir. Elle ( enfin son ombre, une autre botox-girl ) est limite obligée de prendre un bâton pour repousser les garçons devant la blonde. Tout en les regardant, je recule de quelques pas, et la je me cogne contre quelque chose. Il s'avère que ce quelque chose, c'est un quelqun. Un garçon, brun, avec un queue de cheval, l'air amusé, un peu vantard. Je me retourne en bafouillant quelques excuses. Dieux qu'il est grand, et beau ! Ooops ! Mais qu'est-ce qu'il me prend là ? Et qu'est ce qu'il fait derrière moi aussi ?

- Non, c'est moi, pardon, je me cachais.

Alors là, je reste interloquée. Il se cachait ? Comment ça il se cachait ?
Donc je lui sors :

- Comment ça tu te cachais ?

- Hum, d'elle. me fait-il en montrant le fond du couloir ou la grande blonde signe des autographe sur les fesse de deux garçons.

J'éclate de rire devant son air tout penaud lorsqu'il parle d'elle.

- Salut, me fait-il, je m'appelle Shikamaru.

- Enchantée moi c'est Temari.

- Je sais, nous sommes dans la même classe, je t'ai vue ce matin. Mais, peut-être as-tu des choses plus interessantes à faire en cours que de t'interesser à ce qui t'entoure.

Alors là, je prend la mouche.

- Non mais, eh, oh, je suis parfaitement consciente de ce qui m'entoure ! C'est pas parce que j'ai pas écouté le prénom d'un seul mec que j'suis dans la lune constament ! lui dis-je, en insistant sur le SEUL.

Et je tourne le dos, furax. Il paraît surpris de ma réaction. Avant de sortir du couloir, je me retourne, mais le voila entouré de dizaine de nanas qui gloussent en l'empêchant de partir. Je soupir et je sors, dépité.
Arrivé chez moi, je monte direct dans ma chambre. Je suis fatiguée. Premier jours de cours, et, déjà, je n'en peux plus. Du coin de l'oeil, je vois mon tiroir qui est ouvert. Je m'approche et le tire.............vide !!

Je sors de ma chambre en effectuant un dérapage, et j'ouvre d'un coup de pied celle de Kankuro.

- GROOOAAAAARRRRR !!!! fais-je

Gaara et Kankuro, occupés à faire des noeuds entre mes strings, me regardent d'un air vide ( ==> O_O ). Puis, l'info monte dans leur cerveau, et ils se relèvent, blêmes. Avec un sourire sadique, je ferme doucement la porte derrière moi. Mouarf mouarf.

[...]

J'ai enfin recupéré mes sous-vêtements. Kankuro me masse les pieds et Gaara m'évente tandis que j'écoute de la musique, allongée sur mon lit. ahhhhhhh. Soudain, ma mère m'appelle.

-QUOI !! je hurle.

- Tema, mon nounours, un très joli garçon désire te parler !! descend, il est à la porte !

O_O Je saute de mon lit, je me passe un coup de brosse et enfile mes chaussons. Je descend les escaliers, maudissant ma mère ( " un très joli garçon !! ", " Tema, mon nounours ! " grrrr )
J'arrive dans le salon en catastrophe, et là, qui j'aperçois ? Shikamaru, maître incontesté de la beauté masculine, dans mon salon !

- Gh

- Bonsoir Temari, me dit-il doucement.

- Bon, allez, allez, montez vous deux.

Ma mère nous pousse tout les deux dans l'escalier. Je ne pense même pas à l'engueuler. Arrivés dans ma chambre, je m'assoie sur mon lit et regarde le gus avec une pointe d'envie dissimulée sous un masque de rancoeur. Je suis sure qu'il ne pense qu'au sexe, ou que je ne l'interesse pas.

- Ecoute, me dit-il, je suis désolé pour tout à l'heure, je ne voulait pas te blesser, pardonne-moi.

-....

- J'ai demandé à ton frère, Gaara, pour savoir ou tu habitais. me dit-il en réponse à ma question muette.

-hn.

Il sourit, un petit sourire triste, et à se moment j'ai tellement envie de lui sauter dessus que je mords furieusement mon chaussons droit. Il me regarde bizarement, puis éclate de rire, et me caresse la joue.

- Bon je te laisse à ton chaussons.

Et la il m'embrasse....................sur la joue ( mouah ah ah ah vous y avez cru, hein ? )
Et le voila déjà repartit. Et moi, je me rends compte que je n'ai pas encore lâché mon chausson. Oh-oh !

Les semaines suivantes au lycée on été un pur bonheur. Je me rapprochais de Shikamaru de jours en jours. Il me plaisait tellement, ses yeux fatigués, son sourire triste, sa coupe ananas, son odeur merveilleuse lorsqu'il s'asseyait à côté de moi en cours, ses bras rassurants, son torse musclé... hum, je l'avais espionné pendant qu'il jouait au foot. D'ailleurs, toutes les filles le mattaient sur le barrières, certaines avaient des jumelles, et j'avais eu un mal fous à me frayer un chemin pour le voir.

Ce matin, je l'attend comme d'habitude devant le lycée, en fumant une cigarette. Mauvais habitude qu'il m'a transmis. Vu qu'il n'arrive pas et qu'il fait froid, je rentre dans le lycée. J'arrive devant ma classe, et la, je le vois en train de parler à la blondasse-en-chef, j'ai nommé miss Botox. Je m'approche d'eux. Je les trouve un peu trop près l'un de l'autre.

- Salut ! dis-je gaiement.

Shikamaru me voit, il sourit et se décolle de la fille. Il a l'air de la repousser légèrement. Ca me plaît, ça ! Je ricane interieurement. Et extérieurement.

- hum, Tema ? pourquoi tu ricanes ? tu fais peur.

Je lui décoche un regard du style Ben-Quoi-Pourquoi-Tu-Me-Regarde-Comme-Ca-? .

La blondasse s'avance vers moi, la main tendue.

- Salut ! me dit-elle de son sourire niais. Etrange, au début de l'année elle me saque pas et la elle paraît m'accorder un minimum d'importance.

Je zieute sa main tendue, sans la serrer, puis je le zieute à son tour. J'approche mon visage du sien.

- Tékitoi ? je lui sors.

Elle recule, me sourit ( grr ! ) et se colle contre Shikamaru.

- Je suis sa petite copiiiiiiine ! sussure-t-elle.

Je reste bouche bée. J'arrive pas à en placer une. Shikamaru à l'air tout gêné, mais je m'en fous. J'hallucine, c'est pas possible. Pincez-Moi-Je-Rêve.

- Bon...ben, euh... alors, euuh... je vous laisse. bafouillais-je ( ca ce dit pas ca ? )

Je rentre comme une furie dans la classe, sans un regard pour Shikamaru qui essaye pourtant de capter le mien.

Je m'assoie à ma place et je pleure. Je pleure bruyement sur mon sac, la tête dans mes bras. je n'arrive pas à croire qu'il m'aie oubliée aussi vite. Je n'arrive pas à croire qu'il ne m'aie rien dit. Je suis sidérée. J'entends des bruits de pas, un sac qui se pose sur ma table, une odeur agréable se porte jusqu'a mon nez.

- Temari... me dit doucement Shikamaru.

-........
Je ne réponds pas.

- Temari.... répete-t-il. Ce n'est pas ce que tu pense, je......

Je ne lui laisse pas le temps de finir. Je releve la tête, le regarde indifférement, comme si je ne le connaissait pas, puis j'attrappe mon sac et je sors de la classe. Je l'entend m'appeller, je ne répond pas, ne me retourne même pas.

Je sors du lycée, le cerveau en vrac. Je ne comprend pas, j'ai juste envie de partir. Je n'irais pas en classe. Je cours, jusqu'à ce que je sois fatiguée, épuisée, ésouflée. Je suis arrivée dans un parc, alors je m'assoie sur un banc. J'y reste pendant trois bones heures. Je ne pense à rien, j'ai la tête vide, Ca me sidère qu'un homme puisse me faire autant d'effet. Je fume cigarette-sur-cigarette. Je me lève, je vais acheter un autre paquet et un sandwich. Les gens me prennent pour une clocharde. Il commence à pleuvoir, mais je ne bouge pas. Tout la journée, je reste assise.
Le soir commence à tomber. Je ne sais pas ou je suis, alors je me dis qu'il faut que je rentre. Je commence à marcher dans les rues. Je ne sais même pas ou je vais.

J'ai attrapé froid. Je ne porte qu'une jupe bleu et un haut rose. Soudain, je me rends compte que je suis entrée dans une petite ruelle sombre, froide. Je marche, les sens en alerte. On m'attrappe le poignet.

- eh bien, ma jolie, on est perdue ? murmure un homme sale, assis par terre.

- On va l'aider, hein ? dit un autre homme.

- Mais oui. Et elle va se laisser faire, la petite, hein ? murmure un troisième.

- Je.......

Sans que j'aie le temps de réagir, l'un des hommes se jette sur moi et me baillonne. Comme je me défend, il me donne un coup de poing. Je tombe, il me releve et me giflfle, puis me donne un coup dans le ventre. J'ai terriblement mal. J'ai peur, j'ai froid, je sens leurs mains sur ma peau. Je suis trempée, il pleut à verse. Le manque de visibilité est terrifiant. Leur main fouillent mon sac, puis se balladent sur mes bras, rentrent sour mon haut, m'arrache mes sous-vêtements. Je suis terrifiée. Je n'arrive pas à parler, je ne peux que gémir. L'un des hommes me jette à terre, ou je m'effondre. Il ouvre sa braguette. Je comprend ses intentions, j'ai tellement peur, tellement froid. Un autre homme me releve la tête en me tirant les cheveux. Il m'enlève la chose visqueuse et sale que j'ai sur la bouche. Je hurle, mais je suis interrompue par une giffle. Je manque de m'étouffer. Je pleure, je gémis, mais je suis impuissante. Je suis nue, au milieu d'une ruelle sombre, et je me fais violer.

Soudain, mes cheveux sont lachés, et je m'effondre à terre. J'entends des bruits des pas dans les flaques d'eau, des bruits de combat. Puis le silence. Quelqu'un qui se précipite vers moi. Qui me souleve la tête, me prend le visage entre les mains.

- Temari ! Temari tu m'entends ? Oh Temari je suis désolé..... Je t'aime, je t'aime tellement...

J'ai du mal à parler, mais je murmure.

- Shikamaru ?

Il lève sur moi des yeux pleins de larmes. Ou alors je confond avec les gouttes de pluie, mais je ne pense pas. Je sombre dans l'inconscience.


Lorsque je me réveille, je suis toujours nue, mais je me trouve dans un lit chaud, agréable. Il pleut à verse dehors. Il flotte dans l'air une odeur délicieuse. Shikmaru surgit de sa minuscule cuisine, et se précipite vers moi.

- Temari ! Mon dieu. Tu vas bien ? Tu vas mieux ? Comment tu te sens ? ESt-ce que tu a mal quelque part ??

- Laisse moi parler, Shika.

Il reste un temps interdit, puis rigole doucement.

- Oui, je vais bien, non, je n'ai pas mal, je me sens très bien.

Il soupire de soulagement. Puis il baisse les yeux, et les remonte vite, rouge jusqu'aux oreilles. En voulant parler, je me suis relevée, et ma poitirine nue est découverte. Je me regarde, puis je sourit. Tanpis. Je l'attrappe par les épaules, le fait tomber sur moi. Il sens tellement bon. Je lui releve le visage et l'embrasse passionnément.
Il m'a avoué son amour, je m'en souviens, il est temps que je lui avoue le mien.

- Je t'aime, lui dis-je.

Il ya comme des étoiles dans ses yeux.

Peut après, nous somme attablés à sa petite table, et on mange. On se regarde, comme un vieux couple qui n'a plus rien à sa dire. Il n'ya plus trace de sourire sur son visage.

- Tu comprends, je n'ai pas eu le temps de te dire que ce que Botox-girl ( on l'appelle comme ça maintenant ) t'as dis. Elle est sur moi depuis deux ans, ajoute-t-il.

Il me regarde, puis continue, vue que je ne dis rien.

- Quand tu es partie, j'ai voulu te suivre mais Tsunade m'a obligé à aller en cours. Je n'ai pas voulu lui dire que je voulais te chercher, cela t'aurais apporté des ennuis, et j'ai pensé que tu ne risquais rien en pleine journée. Dès que je suis sortis, je suis partis à ta recherche. La nuit tombait et je craignait pour toi. Tu étais partis super loin !

Il s'arrête deux secondes, puis reprend.

- Alors, au bout de une heure, je suis arrivé devant une ruelle, et j'ai appelé. On a rien répondu, mais j'ai entendu un cris. Si tu savais ! ajoute-t-il en posant la main sur son coeur. J'ai cru que j'allais defaillir. J'ai avancé, et je t'ai vue, avec ces trois types. Je me suis jetté sur eux. A la fin tu t'es évanouis, et je t'ai porté ici, chez moi. J'ai prévenu ta mère que tu dormais chez moi, je ne lui ai rien dit.

Je ne dit rien, me contentant de le regarder. Heureusement qu'il est arrivé. Je serais peut etre pas la a l'heure qu'il est.

- Tu vis seul ? je demande. Tu ne m'en avais jamais parlé.

- Tu ne me l'as jamais demandé, me répond-t-il.

Je ris. C'est vrai. Je me lève, et le prends dans mes bras. Je lui sussure à l'oreille :

- Je veux oublier ce qui s'est passé.

Il me regarde, sourit, se leve et m'attrappe par la taille. Il me dépose délicatement sur son lit, et commence a m'embrasser pendant que j'enleve sa chemise.

On va rattraper le temps perdu.

Je n'ai plus jamais vu une ombre de sourire triste sur son visage.

Finalement, le lycée, c'est utile parfois !



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