Fiction: Il n'y a pas quarante douze Mille solutions !

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Il n’y a pas quarante douze mille solutions…


Chapitre 1 : Fumi De Suna.


C’est drôle parfois la vie, on ne sait pas ce qui se passe, on est tranquillement allongé, on se repose d’une journée fort difficile, on se sent bien, à ses côtés on a celui ou celle, c’est selon, qu’on aime, tout semble allez pour le mieux, on est bien, on se prend même à rêver que la vie ne sera qu’une éternelle sieste.
Pourtant, comme pour briser ce moment de paix, il faut qu’il y ait une personne qui vienne vous déranger, et si par malheur, c’est une personne que vous détestez, votre journée est doublement gâchée. Ce terrible scénario allait arriver au pauvre Fumi, déserteur de Suna. Ce matin là en effet, il devait, avec une horrible déchirure, quitté son hamac, Sasuke Uchiwa, l’appelait, ce dernier lui dit :
- Viens là, faut s’en aller, sinon on est grillé.
- Pauvre tache, on ne t’a jamais appris à dire bonjours dans ton village, un jour, je te tuerais, toi et tout tes pairs.
Il était évident aux yeux de tous que Fumi était un homme bougon, après un coup porté à l’épaule de son rival, Fumi se leva tant bien que mal, et réveilla son voisin de chambrer. Ce matin là, ces trois déserteurs, fuyait Oto, afin de rejoindre Konoha. En avaient ils eu assez de leur vie de meurtrier ? Ils ne savaient plus pourquoi ils partaient pour certains. Fumi devait partir seul à l’origine. Plus il fut rejoint par Hara déserteur de Konoha, puis finalement Sasuke s’étaient ajouté à leur voyage, mais s’il savait ce qui l’attendait il ne serait sans doute pas venu.


Le passé de Fumi n’était pas si noir qu’il paraissait, en effet, bien qu’il ait rejoint le clan d’Orochimaru, par défaut, dans un moment de faiblesse, non pas par conviction, ce qui faisait de lui, un homme honnête, malgré ses tristes apparences. Fumi n’avais jamais était dans les conventions, se moquant d’être ce qu’on appel normal. Grand lecteur de Jean Jacques Rousseau, auteur réputé de Genève No Kuni. Fumi justifiait toujours d’avoir déserté en disant qu’il se sentait persécuté par ses pairs. Il se remémoré toujours cette phrase « On a beau être paranoïaque, on n'en est pas moins persécuté. », il le savait, il était détesté dans son village. Il n’avait pas fuit le village mais bien la haine des autres envers lui. Un pincement au cœur lui vint quand il quitta Suna, pourtant, il était heureux, et libre. Mis la réalité était plus dure, il était seul. Il avait laissé seul derrière lui ceux qu’il aimait, ceux qui l’aimait encore, soit très peu de personne.
Fumi n’était pas le gars conventionnel, il le disait toujours cette phrase : « Dans 50, si ça continue ans, nous aurons tous la tête ronde les yeux bleus, on fera 1 m 70 et 68 kilogrammes, tous pareil inodore et sans saveur artztchev, j’en veut pas de cette vie ».Pourtant, il ne supportait pas l’idée d’être seul dans ce monde. Un soir, alors qu’il continuait ces pérégrinations, il se réfugia sous un arbre, et se mit à pleurer, il regrettait le fait d’être parti, sa décision était prise, il resterait là, sous cette arbre, à attendre sa mort. Les heures s’écoulèrent, il continuait à se vider des ses larmes, quand soudain, un homme, vint à ses côtés. Celui-ci, le releva de force, avant de le remettre à terre violement. L’inconnue continua à s’approcher et lui demanda :
- Qui es tu ?
- Je suis un homme sur la terre, je suis un dauphin dans la mer, je vis très loin, très loin d’ici, dans le courant…
- Je ne te demande pas de me chanter une chanson de Tri Yann (1), nous ne sommes pas à Nantes No Kuni mon ami, je te demande qui es-tu.
- Excuse moi, ta claque m’avait abrutie…Je suis Fumi, ancien de Suna.
- Que fais-tu ici, aurais-tu fuit, tu semble ne plus avoir vue personne depuis des mois…En outre tu me semble en détresse, c’est une chance pour toi de m’avoir rencontré, je vais t’emmener avec moi, tu pourras retrouver le goût de la vie. Je te tend la main, prend là.
Fumi, la pris, et se releva, quelques jours plus tard, il était devenu un « soldat » d’Orochimaru.
Fumi passa alors le plus clair de son temps à s’entraîner afin de devenir un soldat, sans fois ni lois, il était fan de Louise Michele (2) faut dire…Mais Fumi n’était pas foncièrement un sale type (il se lavait) et ne supportait plus l’oppression, il lui fallait fuir…
Cette expérience lui avait pourtant permis une chose, il avait rencontré Hara, un garçon magnifique à ses yeux, prétentieux à ceux des autres. Mais Fumi, roi de la mauvaise foi expliqué que personne ne pouvait être aussi parfait que lui. Leur amour se concrétisa vite, la chair fut vite consommée, ils s’aimaient tout deux, et personne ne pouvait leur faire barrage. Où presque, Sasuke était le fruit de leur problème, il en savait trop, et pouvait leur poser problème. Jouant la connivence, Hara et Fumi avait embarqué le jeune Uchiwa dans leur fuite. Il n’avait qu’un but, le concernant, le tuer, sauvagement, lâchement, mais sûrement, sans honte, sans trembler. Pour leur bien et celui des autres, Fumi et Hara courrait vers une carrière de criminels.


Prochaine épisode, Hara de Konoha,

Cette épisode reviendra sur ce qui poussa le jeune Hara à quitter son village.



(1) groupe Nantais, de musique Bretonne, Francophone/Bretophone.
(2) « Le laurier du poète est souvent un cyprès. », Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte et morte le 9 janvier 1905 à Marseille, alias Enjolras, est une militante anarchiste et l’une des figures majeures de la Commune de Paris. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste.

Bonus de la fics : Le nom de Fumi m’a été inspiré de mon coureur cycliste préféré Fumiyuki Beppu, champion du Japon…Mais le problème de ce personnage est qu’il gène, et oui, Fumi gène (voici de l’humour de fumiste)

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