Fiction: Itachiottes

Quand Itachi se retrouve technicien de surface dans l'Akatsuki, joaillerie internationale,que Kisame vient nager dans les toilettes a defaut d'aller dans la salle de bain, que Deidara crame les balais et que Sasori les transforme en petites marionettes de la pub pour le machin en cire, la vie n'est pas toujours facile... PS: Inspirée de la fic Sexitachette. Allez la lire ^w^
Classé: -12D | Humour | Mots: 1709 | Comments: 10 | Favs: 11
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Oneechan (Féminin), le 23/12/2007
Un One Shot sur la vie trépidante d'un homme de ménage.

PS: Si vous aimez bien je ferai une suite.

Oneechan.




Chapitre 1: Itachi ou Le ménage, ma bête noire



Chaque jour quand je rentre dans cet immense building qui ressemble a une chaussette trouée je vois toujours la même chose. J’avais oublié de me présenter. Hittashi Oushiwa. Ah non, ça c’est cet abruti de Kisame qui a réécrit mon nom a sa façon sur l’uniforme. Je m’appelle Itachi Uchiwa et mon métier dans ce machin... C’est de faire le ménage. Je sais, ce métier aurait très bien convenu à ce transsexuel de Deidara, mais il aurait fait sauter tout l’immeuble. J’avançe tranquillement dans l’immeuble et monte au 3ème étage. Voila les chambres des personnes travaillant ici. Les seules que je connaisse sont Kisame, Deidara, Sasori et Orochimaru (bien qu’il ait songé à démissionner, le coquin). Mission 1 : Nettoyer les chambres... J’entre tranquillement dans la chambre de Deidara... Et j’aperçois une vision qui me fait peur. Un poster de Lorie. Avec un mini T-Shirt. J’irai l’inscrire dans mon bouquin des secrets, rubrique Deidara. Il y a déjà : Deidara rêverait d’être la Belle au Bois Dormant, Deidara adore Charlotte aux Fraises, Deidara... Enfin voila. Je fais le ménage tranquillement, en baillant. Ensuite passons à la chambre de Sasori. Il est le seul à avoir un peu de bon sens et à penser à ranger sa chambre. Par rapport à celle de Kisame, la sienne est une suite première classe. Le problème... C’est que j’epuise mes stocks de cirage à parquet. Il a fait des petites marionnettes partout ! On aurait dit l’exposition mondiale de petites marionnettes mascottes d’un produit à cirer... Je passe rapidement devant sa chambre et m’en vais dans celle d’Orochimaru. Là je crie.
Désespoir.
Haine.
Meurtre.
Sasuke.
Voila les mots qui décriraient la sensation que j’ai eue en entrant dans sa chambre. Si vous pouviez voir ce que j’ai vu, vous vous diriez : « Il est où Voldemort ? On est pas sur la tombe de Tom Jedusor non ? » avant de mourir dans les atroces souffrances de la saleté. En bref, le sol est noir d’araignées, le mur est noir de posters de Sasuke et de Michael Jackson et le plafond est noir naturellement (le seule chose qui ne soit pas sale dans cette chambre). J’ouvris un tiroir. Un carnet rose avec écrit « Journal Intime de Orochimaru-sama ». Le con, qu’est-ce qu’il pouvait écrire à part être amoureux de Sasuke ? J’ouvris le journal et... My god, WTF. Orochimaru était une femme. Il était amoureux de Kabuto, sa bonniche personnelle qui se teignait les cheveux en blanc, mais je m’en doutais un peu ça. Je refermai le journal, écrasai une ou deux araignées et fis le menage dans ce dépotoir gothique. Je sortais et m’attaquais à la chambre la plus horrible que le monde ait portée : celle de Kisame.
Pisse.
Poisson.
Carcasse.
Fer.
Voila la liste des ingrédients. Répandez délicatement l’odeur de pisse et ajoutez celle de poisson par-dessus. Répandez quelques carcasses d’humains et de publicitaires immobiliers et mettez un océan de ferraille. Vous aurez un parfait dépotoir Kissamièng. En effet, à defaut de piscine dans ce magnifique bâtiment, vous aurez droit à des toilettes grand standing. Oui. Kisame NAGEAIT dans les toilettes. Si ce n’aurait été que ca... Il va chercher son poisson frais tous les matins, bonjour l’odeur. Dès qu’un publicitaire se présente, il le bouffe et ramène sa carcasse comme un bon chien-chien à son pépère. Pire. Il oublie de nettoyer son epée géante qu’il se trimballe pour faire staile du coup ça chlingue encore plus... Je n’en dirai pas plus pour ne pas mourir. Une fois cette dure corvée finie... Le boss final, le Basilic, le dernier mot de Foucault, les toilettes. La cave au trésor de Kisame, où il deposait du poisson derrière la chasse d’eau. Il essaye de me les boucher pour que je me fasse renvoyer. Mais j’ai ma botte secrète ! Mangekyou Sharingan ! Canalisation, débouche toi ! Avec les Arcanes Lunaires c’est du gâteau, Kisame le saura jamais ! Je sors des toilettes avec le désodorisant senteur Deidara cramé. D’ailleurs, voila qu’il arrive. Je prends une Uchiwa-attitude correcte et lui dit (il ne peut pas voir ma bouche avec l’uniforme) :
-Deidara... T’as un poster de Lorie dans ta chambre ?
-Oui, elle a le sens du design artistique, blablablabla, bla, blablabla....

Je ne l’écoute même pas et change de sujet.
-Et ton c**, il en a un de design artistique ? Lui dis-je avec un ton étonnamment calme.
-Oui ! Il peut adopter plusieurs positions étonnement design et blablabla....
-Deidara, arrête ton char et écoute-moi. As-tu un peu de TNT à me prêter ?
-Mmmm... D’accord.
Il me passe un peu d’argile explosive et je prends l’ascenseur pour me rendre au niveau supérieur. Avec ma Keyblade Balai et mon objet magique Seau, je vais défoncer les sans-cœurs de la saleté ! D’ailleurs, je croise Orochimaru, sans l’uniforme réglementaire. Il se trimballe avec une vielle boussole de Sasori repeinte en jaune pour faire genre comme Lyra dans La Croisée des Mondes. Je ne le regarde pas du tout. Bonjour, ici Itachi Einstein. Je vais vous démontrer l’utilité de l’argile explosive pour déboucher les salles de bains. On fait fondre l’argile et on la met dans les conduits. Et voilà ! Une canalisation toute neuve ! (Les Enfants, ne faites pas ça chez vous heing ?). Cet étage est le plus redoutable de tous. L’argenterie. J’ai failli mourir une fois en perdant mon chiffon pour astiquer. Ici sont répertoriées 5000 bagues identiques, le trésor de la société. J’ai lu ça sur le guide. Les menteurs. Franchement a quoi ça sert ? A me faire perdre trois heures ? A donner la calvitie à Harry Potter ? Quoi qu’il en soit, j’utilise encore Mangue-et-cou Char-in-gan avec les chiffons pour terminer tout cela. J’en sors épuisé. Mais le plus dur reste encore à venir. Comme je suis homme de ménage... Que dois-je faire en plus, question à 1 million d’euros ? La cuisine ! Ah non, la cuisine c’est nous, et Schmitt ! (Je n’ai jamais su comment ça s’écrivait). Eh oui, les gosses (c'est-à-dire Kisame et Deidara) réclament leur gibier toutes les 3 heures...

Je suis dans la (luxueuse) cuisine de la société. Je parie que même les hommes préhistoriques avec leur four Mammouth cuisinaient dans de meilleures conditions que moi. Je disposais seulement d’un frigo, une gazinière, un fouet, un mixer, une poêle et une casserole. Si avec ça on pouvait faire des choses... De plus, les couverts datent de l’an 1000. L’autre jour, j’ai mis mon ancienne cuillère dans l’eau bouillante des pâtes et elle a fondu. L’eau était devenue marron clair. J’ai fait passer ça pour de la soupe aux champignons et vous imaginez la suite... Mais bon, vous allez lui demander vous, au mec plein de piercings, un rouleau de PQ ou une petite cuillère ? Cette fois je demandais à Sasori-sama de m’en fabriquer des nouveaux. Alors, qu’allais-je faire aux morfales cette fois ci ? Il ne me restait plus rien... Alors mon cerveau de génie eut une idée incroyable. Je pris un rouleau de papier toilette et le laissai infuser jusqu'à que l’eau prenne une affreuse teinte rose saumon. Je m’empressai de venir à la table, gardant mon regard qui glaçait le sang. Le petit nouveau, c'est-à-dire Tobi qui était arrivé aujourd’hui jouait à Dark Vador avec ses couverts. Il me demanda :
-C’est kouwaaaa ?
-Cochon bouilli.
Je laissai la casserole sur la table et m’en allais pour souffler un peu. C’est vrai, moi Itachi, quand je n’ai pas mon café du midi, j’ai la tête dans le pâté. Ca me rappelle les vieux souvenirs, quand j’ai tué ma famille avec ma célèbre épée Masamune en Lego, quand j’ai dit à Sasuke « Tu ne peux pas me tuer car ELLE est trop petite », quand un vieux pépé est arrivé à l’hôtel en me disant : Rends-moi ma caaanne ! Où je te donne à dévorer à Bichon ! Je ris intérieurement en pensant à cela. Mon calvaire était (presque) fini. Il me restait seulement à débarrasser, faire la vaisselle, demander un livre à Sasori et j’en passe... D’ailleurs, je croise l’homme-thon dans les couloirs, apparemment il venait de terminer sa petite baignade... Je ne lui dis pas un mot, lui me regarde et me fait un sourire avec ses énormes dents, on aurait dit Homer Simpson fusionné avec un Barbapapa. Je le fixe avec mes yeux couleur sang et il ne demanda pas son reste en courant dans les couloirs (et accessoirement en renversant mon bouillon de papier toilette que les gosses sirotaient avec des pailles). Deidara cria comme une poule enragée, non pas parce que la casserole lui était tombée sur la main, pas seulement. Tobi lui avait volé un de ses petits piafs en terre cuite. Je soupire... Oui moi le grand Itachi Uchiwa, JE fais le ménage, JE fais la cuisine et JE rate la Star Ac’ tous les vendredis... Je croise maintenant Serpent-Brushing avec son bonniche Kabuto avec des poils aux jambes. Kabuto ne songe même pas à me regarder, trop occupé à regarder sa Orochimachouette d’amour, d’ailleurs il lui donne une alliance... En route pour ma chambre pour immortaliser ce moment dans la pierre de « GRAND LIVRE DES SECRETS by ITACHI UCHIWA ». Ma chambre ressemblait à un placard à balais agrandi. Un lit, une armoire, des balais, des seaux, des mites... Bref, la chambre d’un quasi SDF. J’ouvris le tiroir qui se cassa la gueule par terre. Encore une de ces commodes « made in Sasori ». J’en sortis un livre rose avec des fleufleurs. Rassurez-vous, ce n’est pas mon grand et vénéré livre des secrets, c’est mon herbier où j’expose les strings de Serpent-Brushing. Je sortis maintenant un livre avec une couverture noire. Oui c’était cela mes secrets. Je l’ouvris à la dernière page, c'est-à-dire à la page 3. J’écris en tout petit l’annonce du siècle. Et ce fut à ce moment que ma vie s’arrêta. Ce salaud de Deidara... Avait mis de l’explosif dans mes tiroirs. Ma chambre, enfin mon placard à balais, explosa. Mon magnifique manteau noir à nuages rouges... Eh oui, c’est la vie trépidante d’Itachi Uchiwa.

Fin du journal (quasi) intime d’Itachi.

PS : Tobi a apprécié mon bouillon de papier toilette...



Huhuhuhu... Seconde première expérience de fic XD
Itachi: Prépare-toi à mourir...
Oneechan: Laisse-moi 5 secondes =) *va s'habiller*
Itachi:...
Oneechan: Voila! J'ai mis mon sac poubelle anti Sharingan! XD
....

FIC DEDICACEE A MON MAÎTRE, potatos! ^_^




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