Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Un amour d'étudiante

Alors qu'elle entre dans sa première année de fac, la jeune Témari se sent exclue, mais voilà qu'elle tombe éperdument amoureuse de la mauvaise personne. Cela fait, sa vie alors paisible se transforme en enfer, entre amie d'enfance jalouse et frangins insupportables autant vous dire qu'elle est gâtée... Le tout écrit à la première personne et comptant avec une petite dose d'humour et de réalisme cette jolie histoire... *nota: faire gaffe aux chevilles*
Classé: -12I | Spoil | Humour / Romance | Mots: 8701 | Comments: 11 | Favs: 20
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Saladeverte (Féminin), le 19/01/2008
Euh... bah euh... les personnages ne sont pas a moi... ouais enfin ça on le savait déjà, enfin quoi qu'il en soit, j'ai déjà publié le première chapitre de cette fiction sur fan fic alors qu'on m'accuse pas de plagiat parce que c'est moi qui l'ai écrite!!!
Nya, euh bref, voila quoi, bonne lecture a ceux que ça intéressera!




Chapitre 2: Chapitre 2



Chapitre 2

Et voila que je me retrouvais avec mon sac sur le dos, et ma valise a la main sur le seuil de ma porte d'entrée en train d'essayer de dissuader mon sauveur alias Iruka de me laisser en paix, mais il n'avait pas l'air de vouloir me laisser chez moi. Selon lui il avait donné sa parole d'honneur de s'occuper de moi sans aucune compensation et c'était ce qu'il ferait... et voila j'étais réellement tombé sur un magnifique altruiste pot de colle, je devais vraiment être maudite.
J'avais tenté toutes les excuses inimaginables mais rien ne fonctionnait absolument rien. Je tentais l'excuse de mes petits frères , je le vu alors tiqué. Je sentais que finalement ma chance allait peut être tourner.

"Je ne peux pas te laisser seule ici, jeune fille!

Bien sur que si, et de toute façon je ne te demande pas ton avis!

Et bien moi non je ne te demande pas ton avis! Et de toute façon si tu ne viens pas avec moi et bien je resterais un point c'est tout!"

J'hurlais de rage tout en tapant du pied dans la porte ce qui la fit vibrer et qui fit par la même reculer Iruka qui tenait la poignée dans sa main droite pour m'empêcher de le jeter dehors. Mais bien évidemment ce fut a ce moment là que mes petits frères rentrèrent a la maison. Bien évidemment ils n'arrivèrent pas a ouvrir la porte et les cris que je poussais les alertèrent. Ils poussèrent la porte violemment, réussissant a pousser la porte et tombant nez a nez avec Iruka.
Bien évidemment, j'arrêtais ce qui aurait pue dégénéré en bagarre générale entre mes frères et celui qui m'avait sauvé plutôt dans la journée. Gaara avait déjà attrapé Iruka par son tee-shirt et le menaçait avec son point sans que ce cher sauveur n'esquisse un seul mouvement de défense. Je poussais un soupire de découragement, c'était fou comme mes frères étaient tout de suite un peu trop protecteur et se fiant plus a ce qu'ils voyaient qu'a ce qu'il c'était passé...
Et ce fut bel et bien a ce moment là, que je remarquais ou du moins dans un éclair de lucidité que je comprenais que mes frères n'arriveraient au grand jamais a partager leur soeur sous leur propre toit ... j'étais bel et bien résignée, il faudrait que j'aille chez lui... ou bien il faudrait qu'il lâche prise et ça étrangement je sentais bel et bien que ce ne serait pas facile.

"Et ho! Z'allez vous calmé vous deux?"

Kankuro et Gaara me lancèrent tous les deux un regard surpris toujours voilé par une once de colère. Mon cher petit frère au magnifique cheveux roux qu’il avait hérité de mon grand-père relâcha son étreinte sans pour autant perdre cette expression qui avaient appris a ses camarades a le craindre, quant a mon cher autre petit frère lui, et bien il avait déjà disparu...
Connaissant Kankuro comme je le connaissais, il devait déjà être affalé sur le canapé défoncé du salon, en train de zapper avec sa chère compagne de toujours alias la télécommande...
Mais pour l’instant je ne me souciais pas de Kankuro de mes deux frères c’était sûrement le moins calme mais aussi le moins dangereux. Après tout ne dit on pas qu’il faut ce méfier de l’eau qui dort ou du calme avant la tempête... et bien ces deux magnifiques citations prenaient tout leur sens au contact du rouquin de la famille.
Alors que je m’apprêtais a parler la porte s’ouvrit a la volée laissant passer un éclair blond tout ce qu’il y a plus de surexcité entraînant une petite brunette qui avait l’air tout ce qu’il y a de plus paumée...
Voix haut perchée, il eut le don de me faire exploser les tympans... mais qui pouvait bien être cet espèce de clown et la poupée en porcelaine qu’il harponnait... Et surtout depuis quand on entrait chez moi comme dans un moulin... je bouillonnais et si l’espèce de guignol continuait a hurlait dans mes oreilles tout ce que je contenais n’allait pas tarder a être expulser sous forme de hurlement et de coup de griffe.

«  Gaara!!!!!!  J’ai pas mon livre de math!!!! »

Comment ce faisait il que mon cher petit frère si calme et parfait mis a part son coté psychopathe pouvait il avoir des connaissance aussi insupportable... je ne comprenais décidément pas les goûts de mon cher petit frère... Je passais une main sur mon front, cela n'annonçait rien de bon, j'espérais franchement que quelque chose ferait taire cette énergumène blonde hyperactive.
Puis silence, mes voeux s'étaient ils exaucés?? Franchement je me demandais, je rouvrais les yeux pour découvrir que le blond était loin d'avoir disparu mais qu'il pointait du doigt mon cher sauveur horriblement buté.

"Mais qu'est ce que tu fous là toi?"

Iruka que Gaara avait lâché juste après que la tornade blonde était rentré ou du moins s'était imposé a l'intérieur de notre charmante demeure qui avait tendance a être calme, haussa un sourcil réprobateur a l'encontre de son accusateur.
Il passa une mains dans ses cheveux attachés dont quelque mèche échappé a présent a la queue de cheval lâche qui lui servait de coiffure. Il tourna le regard vers moi, non pas pour chercher un peu d'aide ce qui me parut pas étrange, il n'avait pas l'air d'avoir besoin de l'aide de qui que ce soit pour réussir a régler ses problèmes.

"Je pensais t'avoir mieux élever... A croire franchement que tu n'as aucunes manières..."

Comment ça le blond surexcité était le fils de cet homme si calme, enfin façon de dire... Mais c'est chose n'était pas possible et il était trop jeune pour avoir un enfant d'une quinzaine d'années. A moins qu'il l'est eut... voila que je me mettais à compter dans ma tête tout ce qui pouvait être plausible mais franchement rien ne semblait l'être. Je refermais les yeux trente secondes, le silence régné enfin... enfin pas pour longtemps, car a peine j'eux rouvert les yeux, que j'eu la surprise de voir Iruka en train d'essayer d'attraper la pile sur patte.

"Assez! Arrêtez votre bordel immédiatement, j'exige du calme dans ma propre maison!

C'est pas ta baraque soeurette c'est celle des parents!"

Il venait de manqué une raison de se taire l'autre sur son canapé... Je poussais un soupir d'agacement, tournant un regard mauvais vers le blond qui n'avait pas lâché sa poupée en porcelaine vivante, et qui était lui même retenu par un pan de sa chemise par une main ferme, main ferme n'appartenant qu'au sauveur dont la veine de la tempe devait avoir la même taille et la même fréquence de palpitation que la mienne au même moment.
Bref, le blond c'était calmé, je jetais un coup d'oeil sur la jeune fille qui avait perdu son teint pale au profit d'un teint pivoine sous mon inspection, Gaara avait rejoint Kankuro sur le canapé, me laissant seul avec l'énergumène, son "père" et sa poupée... bref pas de chance pour moi je devais être maudite...

"Et vieux explique moi ce que tu fous là chez mon pote en train de draguer sa frangine!"

A voila que s'en était trop, depuis quand on pouvait me draguer, ça ne c'était encore jamais vu ça, enfin du moins je ne m'en souvenais pas moi... Et....

"Non mais ho, je t'en pose des questions moi, et d'ailleurs depuis quand tu entre les gens comme ça sans frapper attend que je le dise a ton père ça va chauffer pour ton matricule mon petit gars!"

Ha bah voila qui était déjà bien, même si je n'avais pas encore pue en placer une, j'était heureuse de voir sans réellement savoir pourquoi le dit Iruka n'était pas le père du super excité horripilant qui envahissait le hall d'entrée de mon appartement, ou plutôt comme l'avait fait si bien remarqué mon bien cher frère un peu plutôt dans l'appartement de mes parents toujours absents. Je ne comprenais toujours pas d'ou il se connaissait, mais bon cela ne me regardait pas, même si ma curiosité un peu trop maladive avait pris une trop grande part sur ma vie et qu'a présent je sentais le bout de ma langue me démanger par cette envie irrépréhensible de demander plus de détails... bien sur j'arrivais sans aucun problème a ravaler ce petit problème de curiosité... enfin presque...

"Hé ho moi je pige que dalle... d'abord comme vous vous connaissez et toi le nain qu'est ce que tu fous là à rentrer chez moi sans permission!?"

Pas de réponse, mais le regard de mon sauveur et du fou furieux a la crinière blonde étaient tourné vers moi comme si j'avais crucifié le christ moi même, croire qu'une jeune fille à notre époque ne pouvait parler d'une façon aussi masculine et un peu bourrine.
J'aurais presque pu entendre les battements d'ailes des libellules qui volait au dessus de la marre qui se trouvait dans la cour de l'immeuble. Cet horrible silence d'ailleurs aurait sûrement put durer belle lurette, si Gaara, traînant ses pieds chaussés de ses magnifique pantoufle en forme de chat n'avait pas décidé d'aller se préparer un casse croûte pour le manger devant Kankuro.

"Vous avez l'air choqué de l'entendre parler comme un mec...."

Les regards des deux ahuris passèrent de moi a mon cher petit frère qui ne s'était pas arrêté pour prononcé ses quelques mots, et était déjà en train de fouiller dans le frigo a la recherche d'une tranche de jambon ou de la moindre petite parcelle de viande a grailler. Bien sur autant vous dire que ce ne fut pas bien long a trouver, il mit quelque seconde a le mettre entre deux tartines et toujours dans un silence religieux, les deux empaffés le suivirent des yeux...
Mais ce silence si apaisant qui commençait a franchement être lourd fut brisé par mes frères qui se battaient a présent pour la télécommande, chose qui se traduisait alors par des cri de protestation de la part de Kankuro et de jurons étouffé par le pain de la part de Gaara.
Finalement si ils continuaient comme ça, c'est a dire a ce montrer aussi irresponsables mon charmant et buté sauveur me laisserait sûrement ici décrétant que mes chers frères n'étaient pas aptes a s'occuper tout seul de la maison. Bien sur, je savais que c'était pertinemment faux, tous les trois, nous savions très bien nous occupé de nous depuis bien longtemps, même si en ma qualité d'aînée je me retrouver a la tête d'un trio du tonnerre.
Mais bien sur c'était sans compter sur l'esprit buté, pire qu'une tête de mule du brin. Il avait reprit de la contenance, ce qui d'ailleurs n'était pas trop tôt, il avait jeté un regard mauvais a la pile électrique qui n'avait toujours pas lâché le poigné de sa poupée en porcelaine vivante, ce même regard menaçant avait en quelque sorte poussé le garçon a sortir de l'appartement sans l'objet de sa requête.
Puis il avait tourné ses grands yeux noirs vers moi, et la je pouvais voir a quel point ses yeux étaient différents des yeux. Je secouais mes méninges pour éviter de retomber dans cette bande d'idée saugrenues qui commençaient a un peu trop chambouler mon univers intérieur a mon goût.

"Bon jeune demoiselle, c'est parti!"

Donc comme je le disais j'avais mal calculé mon coup, et mes frères plongeaient dans leur bagarre ne semblait pas avoir la moindre envie de m'aider. Je poussais un soupir de résignation, il semblait que quoi que je dise le tout me retomberait un jour ou l'autre sur la tête et que je n'aurais jamais le dessus. Au fond de moi, devoir abandonner aussi rapidement me laisser quelques séquelles douloureuses dans mon ego, après tout n'étais je pas l'indomptable Témari!!! Non effectivement je ne l'étais absolument pas, mais j'aurais aimé l'être, moi je n'étais que la tête brûlée de Témari si différente des autres avec une famille incroyablement ... comment dire... une famille aussi inexplicable, voila parlait.

"Quoi? Cette espèce de tarée blonde va vivre avec nous? Mais il a quoi dans le citron Iruka!?"

Bien sur l'aide que j'attendais tant ne vint pas des personne a qui je m'attendais, le blond surexcité qui devait écouter à la porte, cria si fort dans le hall qui sa voix perçante avait traversé la porte d'entrée. Bien sur j'aurais pu ouvrir la porte et lui flanquer une bonne raclée, mais bon, je lui donnais raison même si je n'étais pas une tarée...
Bref mon regard qui avait le temps d'une dizaine de seconde dévié vers la porte d'entrée revint sur Iruka, qui avait posé sa main droite sur sa tête et secoué la tête négativement, il devait au moins être tout aussi exaspéré que moi. Et encore lui vivait avec se hérisson blond.... Je réalisais d'un coup que si je devais vivre sous la surveillance d'Iruka je devrais alors vivre avec cette horrible chose blonde surexcité et ça il n'en était pas question, je n'aurais alors plus aucune possibilité de trouver une once de calme.
Je croisais les bras sur ma poitrine, et tourné mon visage déterminer sur mon sauveur, ce qui n'eut pas l'air de lui plaire.

"Jamais vu une fille qui me donnait autant de mal..."

Il poussa un soupir, et passa sa tête dans le salon pour interpeller mes chers frères qui avaient enfin arrêté de se battre, mais Kankuro était en train de manger le sandwich que Gaara avait préparé et celui ci était en train de jouer de la zapette. Autant dire en cour un véritable changement de situation.

« Ho les gars, votre soeur est vraiment chiante n’est ce pas? »

Les deux autres tournèrent une tête un peu surprise mais leur expression s’effaça rapidement pour laisser place a une petite mine déterminer, qui se transforma elle même en un signe d’approbation. Les traîtres..., et lui il osait tout simplement demander une chose pareille a mes frères, non mais il se foutait réellement de moi, à croire que tous les coups étaient permis.

« Et ça ne vous direz pas, par hasard de vous en débarrasser pour une semaine entière? »

Je vis s’étirer sur son visage un petit sourire, j’aimais vraiment pas ce sourire et j’aurais bien aimé a ce moment la le lui arracher et le lui faire manger. Je jetais un coup d’oeil a mes frères qui se regardaient, ils semblaient communiquer sans bruit, juste en se regardant dans le blanc des yeux... Puis Gaara se leva sous le regard de Kankuro, se rapprochant d’Iruka.
A ce moment là, j’avais encore plus d’espoir qu’avant, mes frères n’avaient donc pas l’intention de me laisser perdue. Je continuais a regarder la scène, avec un petit sourire... enfin ça c’est bien ce que je croyais, car la réalité était tout autre. Gaara était a présent en face d’Iruka qui n’avait pas bougé et qui souriait toujours.

« Attends là, on va préparer son sac! »

Une véritable trahison de la part de mon propre sang, le véritable choc. Je ne savais vraiment plus quoi dire, je ne m’en remettrais sûrement pas, et puis si mes parents venaient a l’apprendre ils allaient me trucider. Je poussais un soupir de résignation et prenais ma tête entre mes mains, je n’avais vraiment pas de chance ce jour là...
L’excité du bocal dans le hall qui avait gêné tous les voisins étaient en train de se faire tout ce qu’il y a le plus naturellement engueulé par la voisine, j’entendais toutes l’étendue du désastre, peut être fallait il que je calme le jeu.
J’ouvris la porte avec toujours se désespoir marqué sur la visage comme un défaut du moule, la voisine leva la tête. C’était la voisine d’en face, une vieille refaite de partout qui devait avoir la cinquantaine bien avancé mais qui semblait tout au plus en avoir une vingtaine avec des obus a la place des seins. Bref une bonne femme riche qui passait son temps sur le billard ou a perdre sa fortune a des tables de jeu. Enfin restait il que même si elle n’était pas vraiment naturelle physiquement, elle restait une femme tout ce qu’il y a de plus sympathique atteinte d’une phobie du temps, une femme de caractère qui ne se laissait absolument pas marcher sur les pieds.

« Bonjour Madame Tsunade!

Bonjour Témari, il est avec toi se gugus?

Qui c’est que tu appel gugus la vieille?! »

S’il était bien une chose qu’il n’aurait pas fallu dire c’était bien ça, elle allait le tuer sur place. Elle leva la main comme pour lui donner une gifle, mais son geste fut stopper. Mon regard passa de la main levé a un autre corps , un vieil homme grand et trapu au cheveux longs blancs. Celui ci avait attrapé le poigné de Tsunade et souriait bêtement a celle ci. Elle n’avait pas vraiment l’air contente de le voir sortir de son appartement et surtout de l’avoir arrêté dans son geste de vengeance.

« On ne frappe pas les enfants qui ne savent pas encore ce qu’ils disent, princesse! »

Bien sur tout aurait put finir la, tous les deux ils seraient rentré dans l’appartement et j’aurais tué le blond, mais bien sur la malchance joua encore avec moi. Quelqu’un avait due me maudire et je soupçonnait fortement Ino Yamanaka de se forfait, elle avait du cacher d’étrange chose qui attire le malheur autour de moi. Bref quoi qu’il en soit, le gugus blond, pointait d’un index accusateur l’homme qui l’avait sauvé de la gifle magistrale qu’il aurait pu se prendre.
« Ha mais vous êtes de prof de littérature pervers! »

Le vieil homme s'arrêta dans sa course, pour se précipiter vers le blondinet et le bâillonner avec sa main tout en affichant une sourire tout ce qu'il y a de plus idiot devant la voisine. Je pensais bien évidemment que sa réputation de pervers qui c'était répandu dans un lycée n'était peut être pas vrai, mais sa réaction signifiait tout le contraire. Désespérant, courir après de jeunes lycéennes on avait déjà vu pire, au moins celles là approchaient déjà plus de la majorité, mais ce n'était pas une raison.
Une simple envie de le frapper me démanger mais je fus doublée par madame Tsunade qui aplatie un baffe magistrale sur le crâne du vieux pépère, qui continua toujours a sourire a la belle vieille dame tout en frottant la bosse qui lui poussait sur le crâne.
Peut être étais je au moins sur la même longueur d'onde que la voisine, ce n'était déjà pas si mal que ça, au moins quelqu'un semblait partager la même vision des choses que moi. J'affichais un sourire de satisfaction devant la scène.

"Toujours en train de fureter a la recherche de beau petit cul a mater pour tes bouquins, espèce d'andouille quand est ce que tu vas comprendre que ce n'est plus de ton age!"

Ils disparurent derrière la porte sous les cris de madame Tsunade et des cris du vieux pervers. Alors que j'allais rentré chez moi en claquant la porte au nez d'Iruka, j'eus une désagréable vision, mon frère était sur le pas de porte, en train de sourire a pleine dent une valise posée a ses pieds, mon sac de cour juste a coté.
Je me sentais deffinitevement vaincue, jetée a la porte par mon propre frères et ce sourire, j’avais bien envie de le lui arracher, je n’avais vraiment pas de chance... aucune chance. Je regardais contrarié Iruka qui avait attrapé mes affaires.

« Bien alors dites leurs a la semaine prochaine et nous partons! »

Pas la peine de dire au revoir, Gaara avait déjà fermé la porte. Franchement je me demandais bien a quoi pouvait servir nos liens de sang... sûrement à rien!
Résignée, j’attrapais mon sac qui se trouvait au sol contre la porte, mon visage bien que je ne pouvais le voir ne pouvait que refléter ma colère, mais je n’étais pas toute seule dans ce cas là. En effet la pile semblait s’être déchargé et a présent elle ne affichait tout autant que moi une mine complètement déconfite pourtant il n’avait toujours pas lâchée cette jolie fille toute blanche qui regardait ses pieds constamment.
Je partais chez un homme que je ne connaissais que très peu, trop peu... mais bon je n’avais pas vraiment de soucis a me faire vu qu’il s’occupait d’enfant, mais bon j’aurais préféré le très un peu mieux.

« Au fait, tu fais quoi dans la vie? Et puis comment ça se fait que tu t’occupe du nain blond? »

Il tourna vers moi son visage barré d’une longue cicatrice, il souriait, mais pas de la même façon, son sourire n’était pas moqueur, non il était gentil. Il fallait que j’arrête de laisser mon esprit divaguer, c’était vraiment trop fatigant. Pourquoi n’arrivais je donc pas a contenir plus correctement le reste de mes sentiments sur le monde qui m’entourait; c’était difficile a comprendre surtout quand je pensais qu’auparavant j’étais douée de cette capacité a voir le monde d’un oeil critique sans me laisser porter vers un amour constant de ce qui m’entoure... Fatigant, trop fatigant.

« Et bien on ne boude plus? »

Finalement j’allais peut être le tuer pendant son sommeil...

« Je suis maître d’école et quant a Naruto, et bien je suis son parrain, comme ses parents sont toujours en train de voyager il vit avec moi! 

Et la...

La fille? Et bien c’est sa petite amie, Hinata, elle est extrêmement timide, mais soit dit en passant, c’est une vrai pipelette une fois qu’elle connait mieux. »

Je ne comprenais pas vraiment comment une fille aussi calme avait pue tombé amoureuse d’un garçon aussi survolter et puis pourquoi étais je toujours en relation avec des membres de l’éducation nationale... c’est coïncidence ne pouvait être que due a la malchance qui me pourchasser ou l’oeuvre d’une instance supérieur qui magnait les ficelles du grand rouleau.
Je n’ajoutais rien par la suite, je me contentais de regarder tout en réfléchissant et ça n‘avait l‘air de déranger personne ce qui n‘était de toute façon pas plus mal.

Fin du chapitre.








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