Fiction: La poisse du siècle (ou peut-être pas)

Bon voilà c'est une fic écrite à la première personne ce que je fais pas trop souvent donc... Ca parle d'une fille qui tombe dans NARUTO et qui croise en premier Orochimaru-le-serpent.J'ai mis romance parce qu'elle vas sortir avec quelqu'un de NARUTO. Mystère sur ce personnage ^^
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nejia555 (Féminin), le 06/06/2008
Voilà le chapitre 6



Chapitre 6: Comment réussir l'exploit de se faire capturer.



[b]Chapitre 6 : comment réussir l'exploit de se faire capturer
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Soudain, un détail me frappe : les manteaux des inconnus sont brodés de nuages rouges. Mais oui ! Ça me revient ! Ce sont des membres d’Akatsuki ! Ils continuent leur petite conversation :

« Regarde ce qu’il y a dans le sac, on ne sait jamais.
- Ok. Hm ! Eh, regarde ça ! On dirait le Jinchuuriki de Kyûbi sur ce machin-là... Hm ! »

Zut, ils ont vu mes précieux mangas. Oh non !

« Eh, regarde ! Là, on voit ton combat contre la gamine aux cheveux roses. Elle a vraiment cru que t’étais mort, hm...
- C’est bizarre... Ça relate tout ce qui se passe ces temps-ci... Avec ça, on pourrait avoir des infos sur Orochimaru et Konoha ; il faut qu’on montre ça au boss.
- Il faut aussi qu’on retrouve le propriétaire de ce sac pour qu’il nous en dise plus. Hm !
- Pour une fois que tu dis quelque chose de sensé, Deidara... »

Alors c’est Deidara et Sasori... Mais je suis dans la mouise, là... Ils risquent d’anéantir Konoha et les autres villages... Oh ! Là ! Là ! Et s’ils me voient...

J’ai tellement peur que je glisse sur un caillou et tombe en me cognant contre le mur. Je me relève, mais trop tard : Deidara apparaît devant moi. Il est très effrayant en vrai, avec son sourire sadique, surtout qu’il me dépasse d’une bonne tête.

« Regarde ce que j’ai trouvé, Sasori... Hm ! Une jolie petite civile, dit-il en se penchant au-dessus de moi.
- Dis-moi, petite, demande le déserteur de Suna, est-ce que ce sac est à toi ?
- Non... ? Tentai-je d’une voix mal assurée.
- Ah ? Dans ce cas, je le brûle...
- NON ! FAITES-PAS ÇA ! Y’A MES DESSINS, DEDANS !
- Alors tu vas pouvoir nous renseigner, n’est-ce pas ? »

Je suis tombée dans leur piège. Quelle idiote !

J’essaie de m’enfuir discrètos, mais Deidara me retient le bras d’une poigne ferme.

« Où tu vas comme ça ? Demande-t-il.
- Nulle part...
- Deidara, on laisse tomber les civils. On ramène la fille et le sac avec.
- Non ! Lâchez-moi, criai-je en tirant comme une malade sur mon bras. Laissez-moi tranquille !
- Ferme-là, lâche le blondinet en m’assénant une gifle retentissante. »

Je n’ose plus rien dire. Deidara me charge sur son dos comme un vulgaire sac à patate. Ils se mettent en route et je vois défiler les rues de Konoha à toute vitesse. Soudain, des jounins nous barrent le passage. Je suis folle de joie en reconnaissant mon amie.

« Tenten ! Au secours ! Aide-moi !
- Aya ?! Mais... Écoutez, dit-elle en se ressaisissant, on va stopper ces deux criminels ! Sakura, Naruto, vous les avez déjà affrontés, non ?
- Mais, souffle-t-elle, interloquée. J’avais tué Sasori avec l’aide de Chiyo, pourtant... C’est impossible...
- C’est ce que tu as cru, répond Sasori. Pourquoi crois-tu que j’ai laissé l’attaque de Chiyo m’atteindre ? Vous, les ninjas de Konoha, êtes vraiment stupides... Et maintenant, bye ! »

Deidara et lui sautent dans les arbres sans que les jounins puissent faire un geste. Je sais qu’ils vont se mettre à notre poursuite, mais ça m’étonnerait qu’ils réussissent à nous rattraper.
Mais c’est que ça secoue ces balades dans les arbres, c’est pire que les montagnes russes ! Je suis sur le point de vomir quand on s’arrête devant d’énormes roches noires, acérées et pointues. Soudain, l’image se brouille, devient floue et une gigantesque entrée de grotte nous fait face. C’était un Genjutsu. Deidara me pose au sol, appuie la pointe d’un kunaï sur mon dos et me force à avancer dans la grotte.
On avance d’abord dans le noir complet, puis, au fur et à mesure qu’on avance, ça s’éclaire de plus en plus. On finit par arriver dans une gigantesque « pièce » éclairée comme en plein jour, et, dans le mur de pierres, sont percées des alcôves. Dans l’immense salle étaient posés, au centre, une gigantesque bibliothèque remplie d’ouvrages, des poufs colorés et des petites tables de chevets ; à gauche, une grande table en bois verni avec des chaises du même matériau ; à droite, trois grands canapés disposés en trois quarts de rectangle autour d’un table basse – je sais, ce n’est pas très clair comme explication, mais je ne peux pas mieux expliquer –.
Et sur les canapés, y’avait quoi ? Akatsuki...
Youpi ! Non, sérieusement, j’aime bien certains membres, comme Dei, par exemple, mais quand j’ai 99 % de chance de mourir, si on peut appeler ça « chances », j’ai plutôt envie d’me barrer en courant.

En m’apercevant, les occupants des canapés relèvent la tête et nous dévisagent.

« Deidara, qu’est-ce que tu nous apportes encore, soupire Hidan.
- Surtout que ça coûte cher à nourrir, continue Kakuzu.
- Désolée de vous déranger, dis-je, mais ça vous embêterait de parler de moi d’une autre façon qu’un objet ?
- Et en plus ça bavarde, lâche Itachi.
- Ça te dérange, répliquai-je, parce que je peux encore bavasser pendant des heures, et...
- BREF ! Coupe Deidara. On doit la conduire chez le boss. »

Ceci dit, il me pousse et on entre dans ce que je suppose être la plus grande alcôve. On n’y voit rien dedans, quand soudain deux yeux surgissent du néant. Je suis tellement surprise que je crie :

« KYAAA !
- Tais-toi un peu, dit Deidara, excédé.
- T’as peut-être l’habitude, mais pas moi, alors fais pas de commentaire !
- Deidara, lâche soudain le propriétaire des yeux. J’espère que tu as une bonne raison de me déranger...
- Oui, boss. Cette fille détient des informations stupéfiantes.
- Tu en es sûr ?
- Oui.
- Suis-moi, alors. »

Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à parler comme si je n'étais pas là ? Ça m’agace ! Pein – oui, c’est Pein – et nous entrons dans une autre pièce, très petite, où il y a juste une table et deux chaises face à face. Il y règne une atmosphère suffocante. C’est la salle des interrogatoires.
Pein étale le contenu sur la table et inspecte les mangas. Il me demande :

« Comment tout ceci est en ta possession ?
- Ah ça, je ne sais pas.
- Peut-être qu’un ou deux doigts en moins te feront mieux réfléchir, continue-t-il en prenant ma main droite et saisissant un kunaï.
- NON !
- Eh bien, on t’écoute...
- D’accord, soupirai-je, mais lâchez ma main et ce kunaï d’abord. »

Il me lâcha et s’assit juste en face de moi.

« Vas-y.
- Eh bien, en vérité, je viens d’un autre monde.
- Hmpf ! Commence Dei, tu crois qu’on va avaler ça ?
- Tais-toi, réplique le chef. Il y a déjà eu des voyages entres deux mondes, il y a très longtemps. Mais ceci n’explique pas les informations que tu détiens.
- Eh bien... Comme je vous l’ai dit, je viens d’un autre monde et chez moi, vous êtes un manga.
- Un... Quoi ?
- Un manga ! Un manga, c’est ça, ajoutais-je en pointant mes BDs. Tous les deux mois sort un nouveau tome. Le héros, c’est Naruto.
- Ça veut dire que tu connais tout sur l’Akatsuki, Orochimaru et Konoha...
- Pas tout sur tout, mais une grande partie.
- Et qu’est-ce que tu sais exactement sur l’Akatsuki ?
- Et bien... Plein de choses !
- ..., fait-il en me regardant méchamment.
- D’accord. Ce serait trop long de dire tout ce que je sais, alors je vais dire tout ce que je ne sais pas.
- Si tu veux...
- Je ne connais pas le vrai visage de Tobi, je ne sais pas qui est VRAIMENT le chef de l’Akatsuki, je ne connais pas toutes les capacités et techniques des membres et... C’est tout, je crois...
- Bien. Tu vas maintenant me dire tout ce que tu sais sur Konoha, ses ninjas et Orochimaru, qu’on puisse monter une contre-attaque.
- Sur Orochimaru, je veux bien, mais... Vous ne croyez quand même pas que je vais tout dire sur Konoha pour qu’ensuite vous massacriez les civils et mes ninjas préférés ?!
- Tu as deux jours pour réfléchir... Et si tu refuses, c’est simple : on te torture. Deidara, amène-là dans sa chambre. »

Et il nous plante là. Deidara me prend le bras et m’emmène dans une autre alcôve. Il y a dedans un petit lit, une minuscule table de chevet, un miroir, et le tout éclairé par une simple ampoule... Génial. J’avais deux jours pour réfléchir dans ce taudis.



Alors ?



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