Fiction: Le petit frère

Ce que c’est chiant d’être inspecteur, surtout quand on est sur une enquête qui mène nulle part, qu’un mec sans foi ni loi du nom d’Uchiwa y est mêlé et qu’on découvre qu’il a un frère... Il y a des jours où on ferait mieux de rester couché…
Classé: -12D | Général | Mots: 6367 | Comments: 3 | Favs: 4
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lasurvolte (Féminin), le 24/10/2007




Chapitre 2: Le sauver



Titre : Le petit frère
Autatrice : lasurvolte (de pseudo) ou mari (mais vous pouvez m’appeler aussi Plectrude si ça vous dit ^^)
Disclaimer : Même si je fais n’importe quoi avec eux, ils continuent d’appartenir à kishi =(
Résumé : Pourquoi on protège un assassin contre un autre ? Pourquoi ne pas les laisser s’entretuer ? Mais pour certain c’est à la justice de décider.
Couple : vous me connaissez non ? (Allez lire mon profil si non)
Note : désolé pour les fautes et tout le reste.

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- Il faut le mettre sous protection !
- Et moi je vous dis que je ne vous laisserai pas emmener le malade chez vous
- Mais…
- Si vous voulez le protéger, faites venir quelques flics par ici
- Vous ne comprenez pas qui est Itachi Uchiwa, vous.
- Je me fiche de comprendre ou pas, le patient ne peux pas être transporté comme ça dans différents endroits juste parce que monsieur l’inspecteur le demande !
Ca fait bien une heure maintenant que nous avons cette discussion inutile et mon mal de crâne empire à chaque minute. C’est pas possible ça, se disputer au dessus d’un presque mort mais pas tout à fait juste pour lui sauver la vie alors que ce n’est qu’un assassin après tout. Bordel ! Et même si c’est le cas c’est à la justice de décider de son sort et pas à son frère, je ne lui laisserai pas ce plaisir. Bien sûr je pourrais faire venir quelques flics pour garder la chambre comme il dit, mais Uchiwa ça ne l’arrêterait pas, il les assommerait – enfin ça s’il est de bonne humeur - et pouf plus de Sasuke. Bien sûr l’emmener chez moi ce n’était pas non plus la meilleure solution, mais le fait de ne pas trouver son frère là où il devrait être pourrait le ralentir quelque temps. Le temps que ce mec se réveille et puisse être jugé. C’était le seul choix que j’avais, mais il fallait que ce médecin me le laisse.
- Si vous laissez ce gars à l’hôpital demain il est mort !
- C’est vous qui le dites
- Je ne sais pas ce que lui veut Itachi, mais je sais qu’il ne s’en sortira pas vivant !
- C’est encore vous qui le dites
- Ecoutez, j’en ai marre ! Ce n’est pas une demande que je vous fais, c’est un ordre que je vous donne ! Je veux que ce patient soit transporté chez moi avec toutes les machines qui le maintiennent en vie !
- Ca va vous coûter cher
Bien sûr je n’avais pas l’argent. Si j’étais assez riche pour me permettre ce genre de chose, ça ferait longtemps que je ne serais plus l’inspecteur Miller.
- Je me fiche du prix
- Très bien puisque vous insistez
Ici, tout est une question de pognon, si tu payes assez bien, t’obtiens tout ce que tu veux. Même chez les médecins. Mais au moins, j’ai gagné, pour l’argent je me débrouillerai plus tard, le plus important maintenant c’est de protéger Sasuke.

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Une fois que le médecin a donné son autorisation, tout c’est passé très vite, ils ont préparé une ambulance et ont emmené le petit frère Uchiwa jusque chez moi. Maintenant je me retrouvais seul devant le lit à me demander ce que j’étais entrain de foutre vraiment. Faire tout ça pour un assassin, je ne devais pas être dans mon état normal. Je n’étais même pas sûr que ce mec se réveille. Et puis ce mal de crâne incessant… Je pris une aspirine. Puis me rassis devant le lit.
- Qu’est ce que tu cherches à faire toi ? Pourquoi est-ce que tu suis les traces de ton frère ?
Voilà que je causais à ce mec maintenant, ça n’allait vraiment pas bien… Pourtant je continuai :
- Ce mec a fait souffrir tellement de gens sans jamais être punis, j’entends encore les cris et les pleurs des familles des victimes alors que lui riait à l’abri dans son château. Toi à qui il a fait vivre ça, pourquoi est-ce que tu fais pareil ? Pourquoi avoir tué ces deux femmes ?
Pourquoi j’avais choisis ce métier déjà ? Ah oui ! Je me souviens. Quand j’étais gosse, je criais haut et fort à qui voulait l’entendre que j’allais devenir un super héros, un inspecteur super génial qui saurait résoudre toutes les affaires du monde et qui punirait tous les méchants. Comme j’étais bête. Être inspecteur ça vous apportes que des emmerdes, et puis même si vous arrivez parfois à attraper le méchant, soit il vous échappe entre les doigts pour faute de preuves, soit il est bien placé et sort son pognon pour étouffer l’affaire.
- Je n’ai vraiment pas choisis le bon métier… Et toi tu voulais faire quoi ? Je ne pense pas que tu avais prévu d’être un assassin si ? T’as repris l’affaire familiale mais sûrement que tu rêvais d’autre chose…
Je regardai Sasuke, il semblait usé par la vie. Je disais ça à cause de la lassitude qui pouvait se lire sur son visage même lorsqu’il était endormi. À l’observer comme ça, à sentir sa fragilité, à regarder cet air las qui se peignait sur ses traits, à voir cette beauté qui se dégageait malgré tout de lui, je n’arrivais pas à comprendre que ce mec fût un assassin. Contrairement à son frère qui respirait la haine sur ses sourires ironiques, ce plaisir de vivre et cette confiance en soit, Sasuke, lui, semblait complètement perdu dans un monde pas fait pour lui.
- Mais qu’est ce que je fous, voilà que je commence à te plaindre alors que t’es qu’une espèce d’ordure qui a lâchement assassiné deux filles sans te salir les mains puisque tu laissais un innocent faire le sale boulot à ta place. T’as tué un pauvre mec dans la rue tout ça parce qu’il te félicitait pour tes sales coups. Les saloperies comme toi on les enferme et on les passe à la chaise électrique.
Est-ce que tu m’as entendu dans ton coma, est ce que c’est ça qui t’as fait réagir ? Toujours est-il qu’après ma phrase tu as ouvert les yeux. Tu les as tourné vers moi et tu m’as regardé. Mon cœur a réagi bizarrement, tombant dans mon estomac pour je ne sais quelle raison, juste parce que tu avais des putains de beaux yeux, tout le contraire de ceux cernés de ton frère qui les allongeais et lui donnait un regard méchant, toi ils semblaient tellement noirs, tristes et vides avec cette sorte de pureté dans le regard, c’était dingue, moi qui pensais que tous les assassins avaient des yeux mauvais. Mais qu’est-ce que je raconte moi, voilà que je m’emballe pour des yeux, faut que j’arrête. Tu me regardes l’air de demander où tu es et qui je suis.
- Je suis l’inspecteur Miller, et ici tu es chez moi…
- Pour…quoi….
- Pourquoi tu n’es pas à l’hôpital ? Parce que si je t’y avais laissé je suppose que tu ne serais plus en vie à l’heure qu’il est…
Regard d’incompréhension.
- Itachi Uchiwa semblait heureux de savoir que son petit frère était vivant, si tu vois ce que je veux dire
Ses yeux se rembrunirent, il tourna la tête de l’autre côté.
- Ne crois pas que je t’aide pour le plaisir, c’est juste que j’insupporte ce gars et que je ne le laisserai pas sortir vainqueur. Mais pour ce que tu as fais tu seras jugé et la prison t’attend sûrement.
Tu ne semblas pas troublé pour ça, continuant de regarder le plafond en silence. Au bout de quelques instants tu avais refermés les yeux. J’appelai au bureau histoire de leur dire que je ne viendrai pas travailler avant quelques temps, puis à l’hôpital juste pour prévenir que tu étais réveillé et je demandai si un Uchiwa était passé, mais apparemment non. Peut-être qu’avec un peu de chance il n’avait pas eu le journal. Je m’étirai un peu puis continuai de surveiller le petit frère…

¤¤¤

Itachi regardait le journal avec un sourire carnassier.
- Alors, il est bien vivant… Enfin, pour l’instant il se bat entre la vie et la mort. Bats-toi petit frère, ça serait trop bête de mourir aussi vite… Je n’aurais pas le plaisir de te faire souffrir encore un peu…
Une femme vint s’accrocher au coup de l’homme qui lisait.
- Itachi chéri, qu’est ce qu’il a donc de si amusant ce garçon ?
- PFOUAHAHAHAH, ses larmes, ses larmes sont tellement drôles… Je voudrais pouvoir le faire pleurer et pleurer encore tellement ça me fait rire.
- Tu es tellement méchant, Itachi chéri
- Je sais, je sais…
Et il continua de rire en regardant la photo sur le journal. Il n’irait pas à l’hôpital tout de suite, oh non, il allait le laisser encore un peu en vie histoire de s’amuser.

¤¤¤

On était vendredi matin, il me semblait que j’oubliais quelque chose mais je ne savais pas quoi. Le dormeur s’était réveillé plusieurs fois et je l’avais nourris avec de la vraie nourriture, si on pouvait dire que des ramen instantanées pouvait être considéré comme de la vraie nourriture. Mais moi j’adorais ça alors bon, et puis c’était sûrement mieux que d’être nourris au travers de tuyaux.
Il semblait aller mieux. Je n’avais jamais vu quelqu’un se remettre aussi rapidement d’une blessure aussi grave. D’ailleurs, ce matin là, j’entendis l’eau couler. Je courus dans ma chambre mais il n’était plus là, il s’était complètement débranché et était parti sous la douche comme s’il n’avait jamais été blessé.
Quand il sortit je voulus l’engueuler comme un gosse qui avait fait une connerie, mais les mots restèrent coincés dans ma gorge. Vêtu d’une simple serviette autour de la taille, les cheveux encore mouillés, debout le regard dans le vague, mince, qu’est-ce qu’il était bien foutu. Mais à quoi je pensais moi ? Je suis complètement malade.
- Tu ne devrais pas te lever comme ça, ta blessure est grave.
- Tu t’inquiètes pour moi ?
- Non, mais je voudrais pas que tu me claques entre les doigts avant que j’ai eu le plaisir de te mettre en pris… Attend qu’est-ce que tu fais là ?
- Je m’habille ça se voit pas ?
- Tu pourrais me prévenir que je me retourne avant d’enlever ta serviette
Ce que je fis immédiatement d’ailleurs.
- Oh c’est que monsieur Miller serait timide
- La ferme !
Le silence s’installa quelques secondes.
- Par contre…
- Quoi ?
- Est-ce que…
- Quoi ?
- …
- C’est toi qui fais ton timide maintenant Uchiwa
- Tu pourrais me prêter des fringues ?
Je me retournai à nouveau en me souvenant tout à coup qu’il était nu comme un vers et de fermer les yeux.
- Je t’apporte ça tout de suite.
Ouvrant les yeux mais regardant vers mon placard je me dirigeai vers celui-ci, puis sortis des affaires.
- Comme je suis plus petit que toi, ça risque d’être juste
- Je ferai avec
De toute façon il n’a pas trop le choix. Une fois qu’il fût habillé je pus le regarder à nouveau.
- Donc maintenant, tu te recouches
- Non maintenant je pars, merci pour les vêtements
- Hein ? Mais… Mais tu peux pas partir, tu es un assassin et je te ferai jugé et…
- Tu as des preuves de ce que tu avances ?
- J’ai un témoin
- Chouette alors...
- Je…
Il pose un doigt sur ma bouche pour me faire taire :
- Miller… Tu m’as sauvé et je te revaudrai ça… Mais là, je peux pas rester ici. Itachi sait que je suis en vie et crois-moi que s’il me trouve il ne fera pas que me tuer.
- Mais…
- Je dois y aller maintenant.
- Ton jugement…
- Tu sais bien autant que moi que ton témoin ne témoignera pas, et que tu n’as aucune autre preuve.
- Attend…
Mais il n’attendit pas, il ouvrit la fenêtre et avec une grande agilité il descendit les quatre étages entre mon appartement et le sol, pour finalement se retrouver en bas en un seul morceau. Il me fit un signe de la main comme pour me dire au revoir et disparu de l’autre côté de la rue. J’en suis resté bouche bée, l’air complètement stupide. Je n’ai même pas pu bouger ou même chercher à lui courir après. Je n’avais jamais vu un mec comme lui qui, blessé à mort et sortant à peine du coma, disparaissait aussi vite. En attendant, je venais de laisser s’échapper un assassin, quel abruti. Je tombai sur le lit en me passant la main sur le visage d’un geste exaspéré.
- Putain Uchiwa, tu fais chier !! Vous faites vraiment tous chier dans la famille !

¤¤¤

Il était reconnaissant envers Miller, grâce à ce mec il pouvait échapper à Itachi, du moins pour l’instant. Il n’ignorait pas que son frère ne tarderait à le retrouver maintenant qu’il le savait en vie. Il fallait qu’il se dépêche alors, il n’avait plus beaucoup de temps. Il lui restait encore trois assassinats… Le dernier étant celui de la personne qui avait détruit sa vie. Il savait qu’à la fin tout se jouerait sur un face à face, mais il tirerait le premier et pourrait enfin mettre à terme sa vengeance. Peu importe ce qui arriverait après ça, mais il devait au moins vivre jusque là et faire abstraction de la blessure près de son cœur
Il avait vraiment eu de chance sur ce coup là, peut-être parce que finalement son cœur lui avait été arraché. Bon maintenant le plus important était de trouver une cachette, il agirait la nuit, c’était plus facile…

¤¤¤

19 heures, et toujours ce sentiment d’avoir oublié un truc important. J’ai subis toute la journée les moqueries et autres railleries débiles, à commencer par l’hôpital. Ah ! Il avait l’air beau l’inspecteur, lui qui tenait tant à sauver son assassin, il l’avait laissé fuir alors qu’il n’était sûrement pas en état de se battre. Le médecin a bien rigolé quand je lui ai ramené le matériel avec quelques explications. En plus, j’ai même pas l’argent pour le payer, là il a rigolé un peu moins fort et m’a traité de tous les noms d’oiseaux. Puis, je suis rentré bredouille à mon bureau et j’ai entendu Vanessa et Payer qui disaient que j’étais plus aussi jeune, qu’il était sûrement tant de prendre ma retraite, ils avaient raison. Sasuke m’avait échappé alors que j’étais en meilleure forme que lui, quelle ironie. J’avais sauvé un assassin et il était parti sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire. Cette histoire allait faire le tour de Brooklyn et l’inspecteur Miller deviendrait la risée de tous. Pff ! Je veux changer de métier. Et puis qu’est ce que j’ai bien pu oublier ? Pas moyen de me souvenir. Pourtant j’entends encore les mots vendredi 17 heures résonnés dans mes oreilles… Et puis soudain j’ai un Flash
- Oh merde ! J’ai oublié Sakura
Je sortis à toute vitesse et pris ma voiture jusqu’à l’aéroport. Comment j’avais pût oublier ça ! Bon ok, j’avais des problèmes, mais ma fille c’était ma fille bordel. J’aurais du penser à elle en premier. J’arrivai à l’aéroport à 20 heures, oh, bon sang, trois heures de retard, j’allais me faire tuer par mon ex-femme si elle l’apprenait. Je la cherchai partout et puis finalement je vis une jeune fille teinte en rose, un tatouage sur l’épaule, qui s’approchait de moi l’air désespéré et en colère :
- Otô-san !!!
Me dit-elle dans un ton de reproche, je commençais à m’excuser en japonais quand d’un air impatient elle me coupa :
- C’est bon, je parle couramment l’anglais, t’embête pas à ressortir ton japonais, le vieux. Je suis très surpris que tu sois là avec seulement trois heures de retard, Oka-san m’avait dit que tu viendrais sûrement que le lendemain, voir pas du tout. Tu n’as pas changé, de ce que je me souviens tu n’as jamais réussis à être à l’heure nulle part.
Et voilà les reproches. Faudra que je remercie mon ex-femme de l’avoir si bien éduqué.
- Je suis désolé d’être arrivé en retard… Une tonne de boulot et…
- Tu m’avais oublié dit le
- …
- Bon, passons, porte mes bagages, on va pas resté planté là pendant trois autres heures.
Alors obéissant bêtement aux ordres de ma fille je pris ces deux grosses valises et son énorme sac en bandoulière, direction la voiture.
- T’as vraiment une caisse pourris, je comprends que Oka-san t’as quitté
Merci, ça fait toujours du bien de recevoir ce genre de compliment. Je posai les sacs dans le coffre et fit monter ma fille dans la caisse pourrie, puis je conduisis jusque chez moi. Et merde, j’avais rien rangé, c’était le bordel le plus infâme… Je ne pouvais pas montrer ça à ma fille quand même.
- Euh… Reste quelques minutes dans la voiture, je viens te rechercher
- C’ est ça
Je couru jusqu’à l’appartement, et commençai à foutre tous les habits en boule pour les jeter dans la corbeille de linges sales, puis essayai de nettoyer la vaisselle ou de la cacher, mais ma fille rentra à ce moment :
- Je t’avais dis de m’attendre…
- Te prends pas la tête, je savais que ça serait en bordel.
- …
- Bagnole pourrave, appartement pourrave… J’espère que le lycée où m’a inscris Oka-san est mieux
- …
- À moins que tout ce que tu approches deviennent pourrave ahahaha
Ce rire moqueur et méchant, oui on voyait bien l’influence de sa mère là.
- Moi aussi je suis très content de te revoir Sakura
Elle se mit à rire un peu plus fort.
- Bon trêve de plaisanterie va chercher mes affaires que je m’installe… Ah mais y a qu’une piaule, bon bah je vais squatter ton lit, le vieux. Tu dormiras dans le canapé.
Je soupirai, je ne voulais pas en entendre plus, et j’allai chercher ses bagages. Je me demande où était passé l’adorable petite Sakura que j’ai connu, celle qui venait me sauter dessus pour me faire mille câlins en souriant et en criant des « Oto-san » joyeux. Ma fille était ce qui m’avait le plus manqué dans mon divorce et aujourd’hui que je la retrouvais rebelle, comme sa mère. Y’a des jours où on se tirerait bien une balle dans la tête, et ce vendredi en faisait partie. Elle s’installa et puis je fis à manger et elle continua à me critiquer, quand enfin elle alla se coucher, je pus respirer. Je pris ma tête entre mes mains, oui je savais que j’avais rater ma vie, que j’étais qu’un pauvre mec qui n’arrivait même pas à dire non à son ex-femme et qui se faisait donner des ordres par sa fille, qui laissait un assassin blessé s’échapper et qui n’avait de toute façon rien fait pour l’arrêter. Et puis quoi ? Je n’allais pas me mettre à pleurer pour si peu. C’était un jour sans, juste ça… Comme tous les autres jours depuis un paquet d’année. Et puis ce mal de crâne qui ne voulait pas partir…

A suivre…

L’autatrice : et voilà le chapitre deux ! Vous adorez Sakura je suis sûre !!
Naruto : euh…
Sasuke : est-ce qu’elle va être amoureuse de moi ?
L’autatrice : désolé mon grand mais j’écris pas encore des fics pédophiles, elle a 15 ans (ou 16 ? trou de mémoire) et t’en a 35
Sasuke : tant mieux je vais être tranquille alors
L’autatrice : ça c’est ce que tu crois




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