Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Yin Ryû (terminée)

La double équipe de Konoha part capturer Itachi pour ramener Sasuke. Parmi eux Yin Ryû. Son clan, le clan Ryû, est un clan maudit de Konoha, invocateur de dragons. Elle en est la seule survivante. Il était, pour elle aussi, son meilleur ami. Elle sort désormais de l'ombre pour le ramener.
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Sabaku no (Masculin), le 14/09/2008
Avant dernier chapitre de ma fiction, j'espère qu'il vous plaira ! (oui j'ai décidé de faire simple aujourd'hui^^)



Chapitre 16: La légende d'un clan



Deux jours plus tard, région du youkouro à plusieurs kilomètres à l’ouest de Konoha. Kiba reniflait l’air, à l’instar de son chien qui sautait devant lui. Il entendit une branche se briser sous le poids d’un pied ravageur qui n’était autre que celui de Sakura aux côtés de laquelle se tenait Saï. A la tête du groupe se trouvait Kakashi, assisté de Yamato.
Ces derniers jours avaient été durs pour le jeune Inuzuka qui désormais ne pensait plus qu’à cette mission. Quelque chose bougea dans sa veste. Il se souvint alors du petit cahier rouge qu’il avait mis dans sa poche le matin même. Ses pensées devinrent soudainement confuses. Il se mit à maudire intérieurement ce que tout le monde appelait autour de lui « le destin ».
« Pourquoi l’Histoire est elle ainsi écrite ? »
Ce qu’il avait lu dans ce cahier, c’était injuste, trop injuste pour lui.

« Cela fait deux jours que le combat contre Sasuke a eu lieu. 2 nuits peuplées d’atroces cauchemars auxquels se mêlent ceux d’Aija. J’ai retrouvé l’extrait du livre des anciens du clan Ryû. Il y a 10 ans, lorsque je l’ai lu pour la première fois, il n’avait aucun sens pour moi. Je suis désormais en âge de le comprendre.

CHAPITRE 1 : création et organisation du clan Ryû au sein du village caché de la feuille dit Konohakagure

Il est dit que le monde obéit à un équilibre entre ce que l’on appelle communément le mal et le bien. Il en est de même pour le village caché de Konoha. Celui-ci résulte de l’équilibre de forces qui s’opposent et se compensent. Ainsi au village caché de la feuille les forces des membres du clan Ryû s’opposent à celles du clan Uchiwa. Il s’agit là de deux clans maudits liés l’un à l’autre par une haine réciproque. Ces deux clans se sont vus accorder des tâches importantes au sein de Konoha, par le clan du Shodaime, les Senjus, qui dirigent le village. Les Uchiwas sont la police de Konoha et sont donc chargés de la sécurité intérieure du village. Au contraire les Ryû sont l’armée de Konoha, ceux désignés par avance pour être en première ligne des combats pouvant mettre en péril le village; ils sont donc chargés de la politique extérieure du village.
Si le pays du feu est l’un, si ce n’est le, des pays les plus puissants qu’il existe c’est qu’il habite des forces monstrueuses. Sa création et son maintien n’ont été rendus possibles que par compensation de ces forces. En effet les plus puissants Uchiwa sont capables de créer des fléaux tels que les Bijuus. Au contraire les plus puissants Ryu sont en mesure de sceller ces monstres, ce clan étant en effet le premier, et à ce jour le seul, à réussir à sceller des entités telles que des dragons dans les corps de nouveaux nés.
Konoha résulte donc de l’équilibre suivant : les Uchiwas créent des Bijuus que les Ryu sont capables de sceller et les Shenjus de diriger. Il s’agit là ni plus ni moins qu’une application de la théorie du Ying et du Yang. Le clan Ryu est le ying, le clan Uchiwa le yang et les Senjus la frontière qui les relie.

Chaque nouvelle génération du clan Ryu verra naître un enfant issu de deux individus, considérés comme les plus puissants de la génération précédente. Le dragon qui sera scellé en lui aura alors reçu les semences de ces deux géniteurs et donc la puissance de chacun d’entre eux. Ainsi les nouvelles générations surpasseront toujours les précédentes. Cet enfant recevra obligatoirement le nom de Yin puisqu’il représentera pour sa génération la force du Ying.
Il trouvera bien évidemment son yang dans le clan Uchiwa. La puissance de ceux-ci n’étant pas prédéfinie à la naissance il sera peu évident de le reconnaître au sein de toute une génération. Cependant il est dit que la relation qui les unit est unique au monde. Ils s’attirent et se repoussent selon les lois d’un amour passionnel et d’une haine profonde.
[….]

J’ai toujours cherché qui pouvait bien représenter mon « yang ». Avec le massacre du clan Uchiha, qui me semble être l’écho naturel de la disparition de mon clan, c’est devenu beaucoup plus facile.
Vu sa puissance j’ai cru au début qu’il s’agissait d’Itachi. Mais il n’en est rien. Il y a deux jours en voyant Sasuke j’ai ressenti un sentiment étrange. Je n’avais auparavant jamais ressenti de haine envers lui. Et pourtant, en le voyant, je l’ai tour à tour adoré et détesté. En y réfléchissant bien tout est devenu logique. Nous avons grandi ensemble mais différemment. Sasuke a grandi dans la haine, moi avec Aijaku (l’amour, l’attachement). »

Pourquoi était-ce lui ? Ce type avait toujours tout eu : meilleur élève à l’académie, respecté de tous, idole des kunoichis, et pourtant il avait tout foutu en l’air. Et malgré tout c’était lui. L’être spécial auquel Yin serait toujours intimement reliée. En lisant ces carnets, Kiba avait compris que malgré l’attachement qu’ils avaient l’un envers l’autre, il n’aurait jamais eu la place qu’il désirait auprès de Yin. Même si ce qu’avait écrit la jeune fille à son sujet disait le contraire. Mais le jeune Inuzuka savait que certaines lois ne peuvent être contournées.

« On y est ».
La colère du maître d’Akamaru tomba au son de la voix de Kakashi. Ils se trouvaient dans un village où quelques jours auparavant on avait vu passer un groupe de quatre ninjas errants parmi lesquels se trouvaient une sorte de géant et un jeune homme portant une épée aussi grande que lui.
- Kiba tu as besoin que je demande ce qu’ils ont touché ou ça ira ?
Le jeune Inuzuka secoua la tête :
- Non c’est bon. C’est presque trop facile vu la forte odeur que dégage le grand.
Cette odeur il ne s’en souvenait que trop bien. De plus le type à l’épée dégageait lui aussi une odeur très particulière, un mélange d’odeurs d’homme et de poisson, les deux conjuguées ne lui facilitaient que trop la tâche. Il avait connu beaucoup plus dur. Vu les particularités de son équipe, les insectes de Shino, le byakugan d’Hinata et son flair, depuis 3 ans 99% de leurs missions étaient des missions de filature ou de recherche de ninjas. Et il va sans dire qu’ils étaient devenus experts en la matière.

Il jeta un regard à Akamaru et ils hochèrent tout deux la tête en signe d’approbation.
- Ils sont partis par la sortie ouest du village.
- Heureusement que tu es là parce que je ne me sentais pas trop de demander aux villageois…
Et Sakura avait de quoi : à leur arrivée toutes les portes s’étaient fermées et les villageois, malgré le fait qu’ils soient des ninjas de Konoha, donc du pays du feu, ne les regardaient pas d’un très bon œil. Quelques jours auparavant les multiples dégâts que Suigetsu avaient causés rien qu’en traversant le village n’avaient faits qu’augmenter la rancœur des habitants du village envers les ninjas.
Ils n’étaient donc pas les bienvenus.

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Dans une grotte des moyennes montagnes du pays du feu :
- Sasuke un groupe de cinq ninjas se trouve dans notre secteur et je ne pense pas prendre de risques en disant qu’ils se dirigent vers nous.
Sasuke se leva, c’était décidément bien chiant d’être un nukenin, et demanda sur un ton cassant :
- Comment peux-tu en être sûre ?
- Y a le type de la dernière fois avec son chien.
Suigetsu souffla :
- On aurait dû le tuer la dernière fois.
- Tu aurais plutôt dû être discret l’autre jour au village, ajouta Juugo.
S’en suivit une dispute qui fut interrompue par Sasuke, qui en s’éloignant marmonna :
- Je m’en charge, ne m’accompagnez pas. Restez dans les environs au cas où.

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Kiba et Akamaru arrêtèrent leur course soudainement. Le petit groupe de ninjas se trouvait dans une clairière légendaire, jonchée d’imposants rochers qui, selon la légende, auraient été auparavant des hommes transformés en pierre par la seule volonté du Rokukage, cette région du pays du feu appartenant en effet à l’époque au pays de la roche.
Kiba sourit et dit simplement :
- Nous n’aurons pas besoin d’aller plus loin.
Une minute plus tard en effet Sasuke arriva et leur fit face.

Ils étaient bien cinq, Karin ne s’était pas trompée. Son ancien sensei n’avait pas changé, son regard était peut être plus morne, désinvolte. Sakura et ceux qu’il considérait comme des bouches trous, à savoir Yamato et Saï, l’observaient froidement. La personne qui lui sembla être la plus hostile vis-à-vis de lui même était bien sûr Kiba. Il se tourna vers celui-ci et lui dit simplement :
- C’est dommage que Yin ne soit pas là, elle ne pourra pas te sauver une seconde fois.
La réponse ne se fit pas attendre et fusa de la bouche de Kiba qui à la surprise de tous souriait :
- Ne sois pas jaloux qu’elle n’ait pas été là il y a trois ans pour te sauver toi, en t’empêchant de partir…
- Que crois-tu seulement savoir sur elle ou sur moi ? Ne t’attaches pas à cette fille, c’est un conseil, elle serait capable de tuer n’importe qui, même les gens qui lui semblent le plus proche, pour Konoha.
Il fit une courte pause puis reprit :
- En parlant de ça, ce cher village n’a-t-il que ça à faire que d’envoyer un groupe de cinq ninjas chercher un nukenin ?

L’atmosphère s’était nettement tendue et au bout de quelques minutes quelqu’un se décida enfin à parler et ce de façon cinglante :
- Elle est morte Sasuke.
Ce dernier se tourna vers son ancien sensei et répondit calmement :
- Quoi ?
Ce craquèlement en lui, comme une semaine auparavant, qu’était-ce ?
Ce fut Yamato qui se chargea des explications :
- Il y a environ une semaine, durant un combat contre un membre de l’Akatsuki elle s’est sacrifiée pour empêcher Naruto de mourir.
Il marqua un temps d’arrêt et pour être certain que Sasuke ne puisse réfuter la chose ajouta :
- Naruto est en vie mais à notre départ toujours dans un léger coma. Ce qui explique qu’il ne soit pas là lui non plus comme à l’accoutumée.

Il réalisa et descendit du rocher sur lequel il était jonché depuis son arrivée.
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- Sasuke ! Ouvre ! Je… Je ne veux pas que tu sois seul… Ce soir…
Elle tambourina contre la porte.
- Je m’en fiche je resterai là toute la nuit s’il le faut !
Pourquoi faisait-elle ça ? C’était stupide. Un long moment après il se décida à la faire rentrer.
- Rentre. Ca serait con que tu tombes malade avant une mission.
Cette nuit. Il s’était promis de ne rien oublier. Il était assis sur son lit, concentré sur ce qu’il faisait et il sentait dans son dos la chaleur du corps de Yin, blottie contre son tee-shirt noir. Il se retourna un court instant pour voir ce qu’elle faisait : elle contemplait la pluie avec un sourire serein, comme savourant l’instant présent.
Un moment incroyablement doux et froid, c’est ce qui lui avait plu.

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Leur terrain d’entraînement dans la forêt de Konoha.
« Ouch »
Ca avait été si bref, si simple en apparence. Elle venait de le jeter à terre par un monumental coup de pied dans le ventre qui semblait aussi facile pour elle que de lever un doigt. Elle n’avait même pas invoqué Aijaku. Pourquoi ? Il était après tout le meilleur aspirant ninja de l’académie, ils avaient le même âge, l’écart de force ne pouvait être aussi grand.
- Sasuke !
Couché à terre il la regarda. Le regard de reptile de Yin le fit à la fois frémir de peur et d’admiration. Elle avait près de 13ans et pourtant une silhouette et une assurance d’adulte. Pour la première fois il la trouva belle.
- Sasuke ! Ne sois pas si impatient ! Arrête de vouloir obtenir la puissance à tout prix et par n’importe quel moyen ! Tu ne te serais pas jeté sur moi aussi rapidement et en étant aussi impatient d’en finir le combat aurait sûrement duré et tu aurais au moins appris quelque chose ! C’est ça qui te rend faible !

Elle jeta le kunaï qu’elle tenait dans la main gauche et il atterrit à côté de l’épaule de Sasuke. Ce mince filament dans ses yeux, cette colère. Ce jour là, en la voyant, il comprit qu’il y avait de fortes possibilités qu’il en soit amoureux.

Et pourtant comment expliquer l’excitation qui le gagnait lors de leur dernier combat, à mesure qu’elle faiblissait et que la perspective de la vaincre grandissait ? Comment expliquer ce désir de l’anéantir et de la voir rendre son dernier souffle ? Jamais auparavant il n’avait eu autant envie au cours d’un combat de tuer quelqu’un (contre Naruto c’était surtout le désir de le vaincre qui était grand) et en même temps autant d’indulgence envers cette personne.
« La difficulté dans ce combat Sasuke c’est qu’on connaît chacun les points faibles de l’autre. Mais avec le temps on évolue forcément. Que crois tu que j’ai fait pendant toutes ces années avec Kentetsu, HEIN ? »
A partir de ce moment là il s’était souvenu de qui elle était, et le cri de douleur qu’elle avait poussé au moment où Karin l’avait clouée à l’arbre avait réveillé en lui une souffrance jamais connue auparavant.

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A quoi pensait Sasuke ? Cela faisait plusieurs minutes qu’il semblait absent. Finalement il les regarda et dit froidement :
- Ce n’est pas plus mal. Ca fera un boulet de moins sur mes traces.
Pendant quelques secondes il perdit connaissance. Il ne comprit ce qui c’était passé que lorsque son corps percuta violemment un rocher tant et si bien que celui-ci explosa. Le jeune Uchiwa venait de se prendre la gifle la plus violente de sa vie et il ne l’avait pas vue venir tout simplement parce que sans s’en apercevoir il s’était rapproché à quelques mètres de Sakura.

Cette dernière, le poing droit tourné vers le sol, releva la tête et Sasuke vit alors qu’elle pleurait.
- Comment peux tu Sasuke-kun ? J’étais là, j’ai vu des coulées de sang s’échapper de tout son corps, j’ai vu son visage terrassé par la douleur et j’ai croisé son regard empli malgré tout de détermination parce qu’elle était prête à finir en miettes pour te donner le rouleau.
Elle renifla et puis reprit, la voix tremblante :
- Et toi tu… Tu… C’est de ta faute tout ça Sasuke-kun. Tu aurais dû être là, tu aurais dû protéger Naruto et éviter qu’elle ne se suicide. Et au lieu de ça… Comment peux-tu ne pas te sentir un peu coupable ??
- Nous ne sommes pas venus nous battre, Sasuke.
L’intervention de Kakashi coupa cours à l’ouverture des hostilités entre les deux anciens coéquipiers.
- Avant de mourir Yin m’a donné un rouleau et une clé. La clé permettait d’ouvrir le chevet dans lequel se trouvaient tous les carnets contenants l’essentiel de sa vie, ses pensées, ses envies et des documents du clan Ryu. Ca m’a permis de comprendre que le rouleau qu’elle a laissé t’était destiné.
Il sortit le rouleau de sa veste et le lança à son ancien élève qui le rattrapa puis poursuivit :
- Prends en soin. Kiba !
Ce dernier hocha la tête, s’avança vers Sasuke et lui tendit le fameux cahier rouge.
- J’ai pensé que ça pourrait t’aider, dit froidement le ninja copieur.
Sasuke se releva et prit le carnet rouge sur lequel la main de Kiba était toujours posée :
- Il ne s’agit pas que de toi dans ce carnet…

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Konoha, une petite prairie au milieu de laquelle se trouve une stèle. Au dessus de celle-ci Naruto.

Le jinchuriki était sorti de son coma depuis peu et étonnamment presque en pleine forme. Quand il avait appris ce qui s’était passé il n’avait pas pleuré. La tristesse n’a parfois même pas besoin de larmes pour se faire ressentir pleinement.
Il se souvenait désormais de tout. La vision du démon renard touché au plus profond de lui-même par cette épée traversant les barreaux de la cage fermée par le sceau du Yondaime et dépérissant, entraînant la mort de Naruto avec la sienne. Et soudain cette sorte de souffle bienveillant qui avait traversé son corps, s’était glissé jusqu’à Kyubi et avait pansé ses blessures mortelles, l’empêchant de succomber. A partir de ce moment là Naruto avait goûté à la douce chaleur du corps du démon renard, qui malgré son piteux état avait veillé nuits et jours pour soigner son hôte. Naruto savait qu’il avait fait ceci par pur intérêt et le fait d’être grandement dépendant de cet être qu’on lui avait imposé au fond de lui-même le déprimait au plus au point.
D’autant plus qu’il ne supportait plus d’être celui à cause de qui tant de gens mourraient.

Ils avaient en effet été nombreux à se sacrifier pour lui, enfin pour eux. 12 ans auparavant beaucoup de ninjas de Konoha avaient péris pour protéger le village de Kyubi, le Yondaime pour le sceller en Naruto, puis Jiraiya et désormais Yin. C’est pourquoi il se fit la promesse de n’être plus jamais l’objet d’un sacrifice, de protéger pour toujours ses proches de lui-même.
Mais hélas il y a des promesses qu’on ne peut tenir. Le jeune Uzumaki le comprit quelques mois plus tard…




L'histoire se terminera dans le prochain chapitre (celui ci risque d'être long^^).
Que contient le rouleau ? Pourquoi est il destiné à Sasuke ?
Vous le saurez dans l'ultime chapitre ! (ah ah ça le fait ??? Non ? Bon... J'aurais essayé...^^)




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