Fiction: On ne naît pas femme on le devient... Vont-elles survivre ?

Pas facile d'être une fille ninja. D'ailleurs ça se voit elles sont bien moins nombreuses que les garçons ! Hinata, Temari, Tenten, Ino et Sakura vont-elles regretter d'avoir choisi cette voie ? Chacune leur tour elles racontent leur journée, et elles en bavent entre autres à cause de leurs coéquipiers qui vraiment ne comprennent rien aux filles (mais sinon ce ne serait pas drôle). Bref venez profiter de leurs malheurs. ^^
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inesl (Féminin), le 22/12/2007
Pour le moment vous pouvez lire les témoignages des jeunes filles ninja en fonction de vos affinités car ils ne sont pas encore liés (mais vous perdez quelques échos dans les récits et ce serait triste).

Elles ne parlent volontairement pas toutes de la même façon.

N'hésitez pas à me laisser vos impressions (et à m'encourager un peu) c'est ma première fiction.

Bonne lecture!




Chapitre 9: Le sommeil est le seul don gratuit qu'accordent les dieux



La nuit entre mardi et mercredi …



Sakura :


Je suis seule et il fait froid, un froid glacial qui me transperce les membres. Je respire mal, très mal… Au loin une forme se profile et avance vers moi, lentement mais sûrement. Le froid m’engourdit, je ne peux pas fuir. J’essaie d’appeler à l’aide mais alors que j’ouvre la bouche je bois la tasse. Je comprends enfin, je suis plongée dans de l’eau glaciale, je dois nager vers la surface. Je bats des pieds et des mains, mais mes gestes sont désordonnés et inefficaces. La silhouette est de plus en plus proche. Je plaque mes mains devant moi comme une ultime protection, et je vois enfin clairement mon agresseur… Un immense poisson en papier qui s’apprête à me gober comme un vulgaire moustique…


Je me réveille en sursaut. La sueur coule le long de mon dos. J’ai encore le souffle coupé par cette horrible vision. Maudits soient Naruto et Kiba, à cause d’eux je viens de passer un moment abominable. Heureusement qu’ils ne contrôlent pas les illusions car j’aurais pensé qu’ils étaient les auteurs de ce songe abominable. Je dois me calmer.


Je sors de mon lit et passe dans la salle d’eau. Je m’asperge le visage d’eau fraîche. Sur le rebord de la douche j’aperçois le dernier poisson qu’ils m’ont collé dans le dos, sûrement pendant le repas. Je l’ai arraché de ma tunique au moment où je me glissais sous l’eau brûlante de la douche. J’attrape l’objet conflictuel. Un bête morceau de tapisserie avec une vague forme de poisson et un œil et un petit sourire dessinés grossièrement. Vraiment pas de quoi faire des cauchemars. Ils sont probablement en train de me rendre folle et voici le premier symptôme. Avec rage je le déchire, ironie du sort seul son sourire me reste dans la main et semble me dire que je ne me débarrasserai pas de lui si facilement. Et peut-être aussi que je devrais davantage rire au lieu d’hurler. « Smile » semble me dire la bouche d’un poisson en tapisserie… Je deviens vraiment cinglée… Je vais me recoucher et oublier tout ça.


Je me glisse sous ma couette en serrant fort le petit sourire mal tracé dans mon poing.



Temari :


Il y a un bruit dans ma chambre. Un grincement étrange. Je pense qu’il ne s’agit que d’une manifestation de mon imagination, mais une angoisse me submerge. J’imagine soudain Karasu ou tout autre horrible pantin penché sur mon lit prêt à m’égorger. Je tiens à préciser que je ne crois nullement que des marionnettes puissent décider de me tuer, mais je crains plutôt le marionnettiste qui ces derniers temps ne me semble pas bien net. Un nouveau bruissement sur le parquet, un frisson me parcours, je n’ose pas allumer la lumière de peur de voir une de ses figures de bois grimaçantes penchée sur moi. Je dois rester rationnelle, Kankuro n’essayerait jamais de me tuer … Bizarrement je n’arrive pas à m’en convaincre.


Dans le noir je tends prudemment la main pour attraper mon éventail. Je palpe le mur à sa recherche en essayant de faire le moins de bruit possible pour éviter tout passage à l’attaque des marionnettes. Rien à faire je ne le trouve pas. J’ai le ventre serré, et la panique me gagne, je suis pourtant certaine de l’avoir posé ici en me couchant. Tant pis je dois tenter le tout pour le tout. D’un geste rapide j’allume la lampe et me jette instantanément au sol pour éviter les armes puissantes des « jouets » de Kankuro.


Et là c’est un vent total, pour moi. Je suis seule dans ma chambre affalée par terre en position défensive sans aucune poupée cauchemardesque à l’horizon, ni même de marionnettiste schizophrène. Un peu honteuse je me redresse heureuse que personne n’ait pu voir cette scène ridicule. Je me tourne vers le mur… Et là… Il y a quand même un truc qui ne va pas, car mon éventail a réellement disparu. Quelqu’un est donc bien entré dans ma chambre pendant que je dormais. Je jette un regard vers les placards mais n’ose pas les ouvrir de peur de voir jaillir réellement les dites marionnettes. Comme quoi il a réellement fini par me faire peur avec son histoire débile.


Je me dirige vers la chambre de mes frères. Je frappe discrètement pour ne pas les réveiller s’ils dorment profondément, mais suffisamment fort pour les prévenir de mon arrivée s’ils sont éveillés. J’aimerais qu’ils dorment je pourrais alors rester près d’eux et repartir avant qu’ils ne se réveillent. C’est vraiment étrange, ils sont à la fois une source d’angoisse pour moi et en même temps je me sentirais bien plus en sécurité près d’eux. Ca m’énerve un peu, je suis une bonne ninja, je n’ai pas besoin d’eux pour me protéger. Je vais juste vérifier que Kankuro (et donc ses pantins) dort profondément, puis je retournerai dans ma chambre comme une grande fille.


J’entrouvre la porte et là je vois Kankuro en tailleur sur son lit, vêtu d’un simple caleçon assorti à sa tenue habituelle, en train de s’éventer avec… mon éventail. Il me fait un signe de la main et dit :


- Tu ne trouves pas qu’il fait chaud ?

- Je cherchais mon éventail.

- Ah ? Toi aussi tu as chaud alors.

- Non ! Ce n’est pas le problème ! Je le cherchais car c’est mon arme.

- Egoïste tu veux t’en servir pour toi toute seule !

- Je ne viens pas te prendre tes marionnettes en pleine nuit sous prétexte que j’ai envie de jouer à la poupée !


Là j’ai visiblement été un peu fort vu la tête qu’il fait. Je sens que si je ne rétablis pas rapidement la situation une de ces dites « poupée » m’aura égorgée avant quelques minutes. Je suis un peu troublée, Kankuro a beau être mon frère, je ne l’avais jamais vu si peu vêtu de toute ma vie (ce qui apparemment ne le dérange absolument pas lui). J’ai un peu de mal à lui parler sérieusement alors qu’il a le ventre et les cuisses à l’air. Mais je dois calmer le jeu :


- Ce que je voulais dire …

- J’ai compris ce que tu voulais dire … Je ne suis pas demeuré.

- Mes paroles ont dépassé ma pensée, tu m’as fait peur en venant chercher l’éventail.

- Tu dormais !

- Tu m’as réveillée !

- Je ne vois pas le rapport !

- C’est bon laisse tomber et rends-moi mon éventail !

- Non.


Sur ce il a continué de s’éventer comme un pacha en sous-vêtements. Je jette un regard désespéré autour de moi pour essayer de trouver un argument. Mais là aussi il manque quelque chose :


- Où est Gaara ?

- Je ne sais pas, il n’était plus là quand je me suis relevé pour venir te demander ton éventail.

- A quel moment me l’as tu demandé ? Puis ton frère disparaît sans que ça t’inquiètes ?

- Il ne dort jamais … Il a dû aller faire un tour. Puis il sait se défendre.


Le pire c’est qu'encore une fois il a raison. Par contre je dois vraiment récupérer mon arme. Je la lui demande encore une fois, mais il m’ignore clairement. Alors je lui saute dessus et me mets à tirer de toutes mes forces sur mon éventail en lui donnant des coups de genoux dans le ventre. Lui il me pince les bras pour que je lâche prise. Alors je le griffe au visage et lui me mord l’épaule (oh mon dieu : qu’est-ce que je suis en train de faire ?). Je lui chatouille les côtes et d’un geste brusque arrache mon éventail de son emprise et le frappe un bon coup sur la tête.


Il s’affale sur son oreiller inanimé. J’espère ne pas l’avoir trop sonné, j’ai déjà des remords :


- Kanki ? Ca va ?


Aucune réponse. Je m’approche de lui et remarque… Qu’il ronfle ! Il s’est juste rendormi comme un bienheureux ! Je le déteste ! J’ai bien envie de lui redonner un coup (en plus il m’a fait mal en me mordant). Mais comme je suis une gentille sœur je m’apprête à lui remettre sa couverture, puis je me souviens qu’il avait trop chaud et donc qu’il vaut mieux le laisser ainsi … Je remarque alors qu’il a un nombre incalculable de cicatrices sur le ventre, or je n’ai aucun souvenirs de blessures à ce niveau aux cours de nos missions. J’ai bien envie de le réveiller pour lui demander d’où elles proviennent. Après tout lui il le ferait bien s’il avait une question à me poser, mais je me rappelle qu’il est bien plus agréable quand il dort que quand il est éveillé. Alors je le laisse et ressors sur la pointe des pieds.


J’espère que Gaara ne va pas faire de bêtises.



Hinata :


Je pousse la porte de la salle des fêtes de Konoha, celle-là même où Naruto et Sakura ont œuvré tout l’après-midi. Ca sent la colle et le papier mouillé. Je ne sais vraiment pas ce que je suis venue faire ici. Peut-être seulement revoir le lieu où celui qui fait battre mon cœur a travaillé, je suis vraiment une idiote, je pourrais aussi collectionner ses mouchoirs usagés pendant que j’y suis. Une légère musique commence à résonner dans la pièce, je pensais pourtant être seule. La mélodie se précise. Elle est saccadée et entrecoupée par des onomatopées, une musique de théâtre Nô. Il y a comme une représentation sur scène. Une fois ma stupeur dépassée je comprends qu’une troupe est en pleine répétition. J’ignore si je dois ou non sortir, en restant je pourrais les gêner, mais je suis subjuguée par ce qui se passe. La scène est couverte d’étoffes blanches et une neige artificielle semble tomber de nulle part sur des silhouettes sombres d’arbres tortueux. Au centre de la scène une tache soyeuse rouge comme le sang ondule. Pas une autre teinte, que du blanc, du noir et du rouge. La tache se met à se mouvoir plus rapidement, ce n’est qu’un kimono duquel émerge une jeune fille aux joues couvertes de poudre riz et aux lèvres carminées. Ses cheveux sont aussi noirs que le maquillage qui cercle ses yeux. Je n’ai aucun doute, elle me jauge de son regard glacial. Sanako. Là devant moi. Sur cette scène en plein milieu de la nuit. Toujours aussi froide, aussi impériale, aussi sûre d’elle. A la fois belle et terrifiante. Elle détourne la tête, et entreprend une danse langoureuse avec un éventail aussi rouge que le reste de sa tenue. Puis derrière elle les premières marionnettes entrent et se mettent à l’accompagner sur la musique de plus en plus stressante.


Je remarque alors qu’il ne s’agit pas de marionnettes de nô mais qu’elles sont couvertes d’armes. Des lames étincelantes sortent de leurs membres et leurs visages cauchemardesques semblent dévisager la danseuse. Je veux la prévenir mais déjà une lame lui transperce le ventre. Une nouvelle tache rouge macule le sol. Sanako continu son ballet solitaire en se faisant blesser peu à peu par les poupées. Une mise à mort lente, elle ne peut presque plus bouger quand le coup fatal est porté. Alors elle tombe à genoux le sang au bord des lèvres puis elle me fixe une dernière fois alors que les pantins reculent sur le rythme des percussions, seul le bleu de ses yeux contraste avec les trois couleurs de la scène. Alors comme dans un dernier souffle elle me dit : « Si tu dois chuter, fais-le au moins comme une reine. »


Ce n’était qu’un rêve. Je suis chez moi au fond de mon lit couverte de sueur et le souffle saccadé. J’ai encore l’impression d’entendre la mélodie angoissante de cette mise à mort. Comment ai-je pu faire un cauchemar pareil ? Mon inconscient est vraiment tordu. Je me demande si c’est la venue du marionnettiste de Suna qui m’a donné de telles angoisses. Si c’est le cas je dois les vaincre et aller dès demain le voir pour lui parler de ce rêve. Il se moquera probablement de moi, mais me permettra sûrement d’exorciser ma peur en m’expliquant que les marionnettistes contrôlent parfaitement leurs pantins qui ne sont d’ailleurs que des objets inanimés.


Je me lève pour aller aux toilettes avant de me rendormir. La chambre de Neji est ouverte, et il n’est pas dedans (non je n’ai pas regardé … J’ai vu c’est tout). Sur son lit il y a un truc étrange. J’utilise mon byakugan pour voir où est mon cousin. C’est bon il est suffisamment loin pour que je puisse entrer voir. Je trouve alors en boule sur son lit, un justaucorps vert, le même truc immonde que Lee et leur prof. J’ignorais qu’il en avait un. Je me demande s’il le porte parfois. J’imagine Neji en train de s’entraîner avec ça. J’ai vraiment envie de pouffer de rire. Je le vois revenir. Je me dépêche de quitter sa chambre et vais me cacher plus loin. Nous avons établis comme règle de ne jamais nous observer quand nous sommes dans nos chambres pour préserver notre intimité, mais j’ai bien envie de transgresser les règles des Hyûgas pour savoir si oui au non il le met sous ses vêtements pour aller à son entraînement. Mais ma conscience m’en empêche. Je crois que ça va m’empêcher de dormir bien plus que ce cauchemar idiot.



Ino :


Je n’arrive pas à dormir, j’ai vraiment mauvaise conscience. Choji et Shikamaru sont peut-être très inquiets, j’aurais au moins dû laisser un mot avant de fuir. Mais évidemment j’ai agi sur un coup de tête. Culpabilité stupide ! Ils l’ont pourtant mérité ! Je m’enfonce la tête dans l’oreiller pour tenter de dormir un peu. Puis je renonce et regarde mon plafond. Il n’y a rien d’intéressant à voir, juste mon ampoule qui pour une raison quelconque semble clignoter. Ah ça m’énerve, je replonge la tête dans mon oreiller quand j’entends un bruit. Le claquement d’un gravier sur ma vitre.


Je me lève alors qu’un deuxième projectile heurte ma fenêtre. C’est sûrement mes équipiers qui sont rentrés et qui ont voulu vérifier que j’étais là. J’ouvre la fenêtre et me retrouve nez à nez avec Gaara. Je bafouille :


- Euh tu veux quoi ?

- Tu as de la salade ?

- Pas dans ma chambre…

- Alors où ?

- Euh…

- Je me disais que Schlurp pourrait aller se promener dans le magasin de fleurs de tes parents.

- Demain alors… Là je dors.


Apparemment demain ça ne lui convient pas. Le problème c’est que je me vois moyennement seule avec lui, en pleine nuit, au milieu de fleurs, à regarder un escargot. Il m’attrape par le bras et me voici donc devant la vitrine de mes parents en nuisette avec à mes côtés ce type flippant et son « Schlurp ». Je murmure :


- Ce n’est pas une bonne idée. Nous devrions d’abord vérifier qu’aucune de ces plantes n’est toxique pour les escargots.


Là j’ai visé juste. Il me regarde inquiet. Je lui propose la liste des fleurs que nous possédons et lui dit d’aller voir demain à la bibliothèque si elles ne sont pas dangereuses. Il a l’air convaincu et me laisse. Je gagne donc un peu de temps. J’ai jusqu’à demain pour trouver un moyen pour m’en débarrasser. Je pense que je vais aller parler à sa sœur.


Cependant il me reste un problème, je suis presque nue dans la rue. Evidemment quelqu’un arrive. J’essaie de fuir mais je suis retenue… par mon ombre qui s’est formée dans le halo d’un réverbère. Shika et Choji… L’air furieux… C’est vraiment pas ma nuit.



Tenten :


Je vais exploser le réveil. J’essaie de jeter mon oreiller dessus mais en tombant il se met à sonner encore plus fort. Je me lève donc pour l’éteindre et m’habille sans grande conviction. Je me sens comme une machine qui va exécuter des actions quotidiennes sans réfléchir.


C’est étrange, quand quelqu’un nous rejette on ne peut pas arrêter d’y penser. Par exemple je pourrais me dire que la plante du salon n’est qu’une plante. Mais non, sa couleur me rappelle LE justaucorps et me replonge dans la mélancolie. Et pareil pour tous les objets, comme s’ils avaient tous un lien avec Neji.


Je sors de chez moi rageuse. J’entends alors :


- Bonjours Tenten. Je peux t’accompagner ?


Je me retrouve face à Shino. Mais que fait-il dehors à cette heure-ci ? Il me surveille ou quoi ?

C’est alors que Neji apparaît (lui aussi me surveille ?) et lui répond à ma place :


- C’est une grande fille, elle peut se débrouiller sans toi.


J’ai alors envie de lui faire mal, très mal et je m’entends dire :


- Oui c’est gentil Shino, allons-y.


Bizarrement l’héritier des Hyûgas semble avoir perdu toute sa prestance. Bien fait. En même temps je suis maintenant obligée de marcher avec Shino. Un silence de plomb nous accompagne, mais ça n’a pas l’air de le déranger. J’essais d’engager une conversation :


- Belle matinée …

- Tout à l’heure j’ai vu Ino en nuisette entrain de s’engueuler avec Shikamaru et Choji.


Ah enfin un truc intéressant. Ca sent le bon potin. Mais non il ne dit plus rien. Il n’a même pas écouté la dispute ! Ce mec manque d’initiative. Il ne dit de nouveau plus rien. Nous arrivons au terrain d’entraînement qui comme toujours est boueux à souhait. Neji arrive peu après nous en boudant. Heureusement Lee détend l’atmosphère en nous montrant son nouveau coup de pied (qui ressemble à s’y méprendre à l’ancien) et nous éclabousse au passage. Neji fait remarquer à Shino qu’il est de trop et qu’il n’est pas dans notre équipe.


Quelques minutes après le départ de Shino, Gaï sensei arrive et nous dit qu’il nous a préparé un super parcours (youpiiii). Il ne dort donc jamais ?



Prochainement :


Ne loupez le prochain chapitre de « On ne naît pas femme on le devient » où vous saurez si les filles ont survécu a leur première journée. Vous retrouverez en vedette de ce show toute l’équipe habituelle avec en guest star Schlurp l’escargot, sur une musique que vous ne pourrez pas entendre car c’est un texte écrit, des images d’amour passionnel et des combats de surhommes sont à prévoir. Les fleurs du plateau ont été offertes par le magasin Yamanaka, desserts et boissons à votre disposition au stand « Choji et Naruto », confection des costumes Gaï & Lee… Alors venez tous nombreux à ce grand show digne des plus grandes représentations américaines (et même carrément mieux). Alors n’hésitez pas et venez tous prendre part au « Kankuro’s puppets show » et devenez vous-même une marionn… Euh… Pardon je craque (c’est les aléas du direct)…

Pour participer à l'émission rien de plus simple : envoyez un commentaire pour me dire que vous le souhaitez et essayez de trouver les réponses de fin de chapitre... Le meilleur d'entre vous participera à ce sublime show en compagnie de ceux qui tirent les ficelles de cette fiction...


Vous aurez peut-être aussi dans ce prochain chapitre les réponses à toutes ces énigmes:


Est-ce une bonne idée de demander à Kankuro si les marionnettes sont inoffensives sans leur marionnettiste quand on souhaite être rassurée ?

La curiosité est-elle un vilain défaut quand elle concerne un justeaucorps vert abominable ?



Ino va-t-elle devenir la baby-sitter de Schlurp ?

Choji et Shikamaru ont-ils réellement de bonnes raisons d’être en colère ?



Est-ce Karasu qui a blessé Kankuro au ventre ?

Temari aurait-elle dû profiter de son sommeil pour l’achever ?



Sakura va-t-elle suivre les conseils du gentil poisson et se mettre à sourire davantage ?

Naruto reviendra t-il avec de nouvelles blagues toujours plus amusantes ?



Etait-ce une bonne idée de donner à Shino des espoirs dans le but de rendre Neji jaloux?

Tenten va-t-elle être la seule de son équipe à ne pas porter la tenue la plus sexy de Konoha ?



Tout cela vous le saurez en lisant la suite … Prochainement sur vos écrans d’ordinateurs !!!!



PS : n’hésitez pas à donner vos réponses pour le chapitre « surprise » vous gagnerez peut-être un super éloge de Kankuro (Je sais je l’ai déjà dit … Mais je le répète).



Une nuit avec Inèsl :



Rien de tendancieux dans cet énoncé c’est juste qu’il est 3H du matin. Alors j’espère ne pas avoir trop abusé dans ce chapitre. Je ne suis pas certaine qu’il soit très bon, mais c’est pour faire la liaison avec le prochain qui lui va être… Spécial (j’ai pas intérêt à faire un truc nul vu toute la pub que je vous fais subir depuis le dernier chapitre). Bon sinon je viens de passer une journée abominable moi aussi (c’est par sympathie pour mes personnages), mais je garde le sourire donc tout va bien. Je n’ai pas d’épisode de Cendrillon à commenter aujourd’hui donc je crois que je vais aller dormir sous mon ampoule clignotante. A bientôt fidèles et moins fidèles lecteurs et lectrices. Dans les commentaires vous pouvez mettre que ce chapitre c’est de la m**de, je ne vous contredirai pas, mais laissez vos impressions sinon je mets 3 mois à écrire la suite (caprice d’auteur lol).



Mais ne loupez pas le prochain épisode !



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