Fiction: On ne naît pas femme on le devient... Vont-elles survivre ?

Pas facile d'être une fille ninja. D'ailleurs ça se voit elles sont bien moins nombreuses que les garçons ! Hinata, Temari, Tenten, Ino et Sakura vont-elles regretter d'avoir choisi cette voie ? Chacune leur tour elles racontent leur journée, et elles en bavent entre autres à cause de leurs coéquipiers qui vraiment ne comprennent rien aux filles (mais sinon ce ne serait pas drôle). Bref venez profiter de leurs malheurs. ^^
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inesl (Féminin), le 20/08/2007
Pour le moment vous pouvez lire les témoignages des jeunes filles ninja en fonction de vos affinités car ils ne sont pas encore liés (c'est le début de la journée).

Elles ne parlent volontairement pas toutes de la même façon.

N'hésitez pas à me laisser vos impressions (et à m'encourager un peu) c'est ma première fiction.





Chapitre 2: règle de survie n°1 : garder son calme



Mardi matin 7h00 :

Ino :

Encore une heure et demi à rester couchée dans cette tente, serrée contre la toile humide et Choji. Il faut vraiment être dans l’équipe d’un vrai flemmard pour que l’on décide de se lever à 8h30 pendant mission. Et moi sur ce point j’ai gagné le gros lot, LE fainéant de Konoha, LE champion toutes catégories du « moins j’en fais mieux je me porte » celui dont la devise pourrait être : « je ne suis pas fais pour le travail, la preuve : ça me fatigue » ; j’ai nommé Shikamaru. Et comme Choji s’aligne, je suis seule contre eux. J’ai beau faire ma maligne devant les autres filles, mon autorité est assez limité dans mon équipe (et cela quoi qu’en disent mes coéquipiers).

Par paresse nous nous gâchons allégrement la vie. Par exemple hier soir au moment de planter la tente, Shikamaru suivit par Choji a décidé que nous la planterions dans une pente plutôt que de « perdre notre temps à chercher un terrain plat » du coup nous avons passé la nuit à glisser sur le tissu plastifié ce qui n’est pas vraiment agréable. Mais là-dessus j’ai encore eu de la chance car à l’origine il n’avait même pas le courage de la monter et voulait que l’on dorme à la belle étoile !!! J’allais monter seule la tente quand des nuages noirs se sont amoncelés au-dessus de nos têtes et je les ai menacé de ne pas les laisser entrer s’ils ne m’aidaient pas même en cas d’averse.

Il y a un galet qui me rentre dans les reins, cet endroit n’est vraiment pas fait pour dormir, je suis certaine qu’à quelques minutes de marche d’ici nous aurions trouvé une jolie clairière avec de l’herbe bien tendre pour nous reposer. En choisissant d’être ninja je savais que je renonçais au confort et au luxe, mais je n’avais pas envisagé que cela prenne de telles proportions. Quand je vois certaines de mes amies, qui ont décidés ou ont dû rester des civiles, vivre dans le calme, je les envie souvent.

Ca y est ça reprend, Choji ronfle… On ne peut pas imaginer le bruit qu’il est capable de produire si on ne l’a as préalablement entendu, je dirais même que d’une nuit sur l’autre on oublie à quel point c’est terrible. Je ne sais comment le d’écrire … Tout d’abord c’est irrégulier, il y a des montées fulgurantes du son et de courts moments d’accalmie. On dirait un peu un cochon en colère qui grognerait, c’est un bruit nasal total répugnant qui parfois s’accompagne d’un râle.

J’essais de le pousser mine de rien pour le réveiller, mais autant essayer de remettre une baleine à la mer seule ou de réveiller un comateux. Soudain il se retourne et m’envoie sa main en pleine figure. Paf ! Une énorme gifle que je n’avais pas vu venir, en plus son visage est désormais à la hauteur de mon oreille ce qui accentue encore le bruit. « Mais c’est pas possible de faire un pareil boucan ! » dans mon énervement j’ai dit ça à voix haute, mais ni l’un ni l’autre ne se réveille. Choji commence même à se pelotonner contre moi !

S’en est trop je me lève et sort de la tente. Le soleil est déjà bien levé, l’herbe est fraîche et apaisante. En réalité c’est la seule chose qui m’arrange dans ses levés tardifs, j’ai toujours un moment pour moi seule. Je m’étire comme un chat et fait quelques pas. La forêt sent bon, c’est agréable. Je profite de ce moment de calme car je sais que d’ici 1H environ Choji fera griller des saucisses pour son petit déj’ et Shikamaru se mettra à râler car il aura mal dormi dans « cet endroit pourri » qu’il a choisi lui-même.




Sakura :

Ca y est encore une fois je n’ai pas eu le temps de me laver les cheveux. Je ne sais pas si c’est moi qui me débrouille mal où si les autres filles ninjas ont-elles aussi des problèmes pour accéder à la salle d’eau le matin. Je n’ai jamais un instant pour prendre un peu soin de moi. Dans une vitrine j’entraperçois mon reflet, je ralentis, je ne suis vraiment pas au top. Mes cheveux mériteraient une bonne coupe, une petite touche de maquillage permettrait de cacher mes cernes et me donnerait meilleure mine, et j’aurais besoin d’aller m’acheter une nouvelle tunique car celle-ci commence à être aussi fatiguée que moi.

Je cours jusqu’au terrain d’entraînement pour ne pas être en retard. Voilà maintenant je vais sentir la sueur, mais ça je sais que toutes les filles ninjas en souffrent, les garçons aussi d’ailleurs mais je crois que cela les tourmentent moins. Surtout Naruto, ce n’est vraiment pas une de ses préoccupations. Heureusement je ne sue pas autant que Ino la truie ! Enfin si, mais bon chez elle ça se voit plus … Je raconte n’importe quoi, je suis certaine que chez moi aussi c’est abominable … Je suis désespérée…

Evidemment je suis la première arrivée. En réalité je m‘en doutais, depuis que Sasuke est parti je fais équipe avec Naruto et Kakashi alors je suis toujours la première aux rendez-vous. Cependant je refuse d’arriver en retard, ce qui pourtant me laisserait le temps de me préparer mieux, car Naruto risquerait d’arriver avant moi et ça je ne le supporterais pas. Rien que de l’imaginer dire : « tiens Sakura te voilà ! Tu as vu aujourd’hui j’étais là avant toi » j’ai envie de lui écraser la tête sur le sol. Je m’assois sur une souche… Beurk elle est toute humide ! C’est vrai il a plu cette nuit. Mes vêtements sont sales maintenant, c’est malin. Je n’ai pas le temps d’aller me changer sinon ce crétin de Naruto sera là avant moi… En même temps si je n’y vais pas il me demandera pourquoi j’ai cette tâche grisâtre sur les fesses et rien que d’y penser j’ai envie de l’éclater contre cette maudite souche.

Au loin Hinata passe pour aller rejoindre son équipe. Je suis certaine qu’elle n’a pas ce genre de problèmes elle. Si ça se trouve elle ne sue même pas ! Ce qu’elle peut m’énerver. Elle a sûrement une salle de bain de luxe privée chez elle, après tout son clan est riche. Pour la peine je ne lui dirais pas bonjour.

Cette sale petite teigne est passée sans même me voir ! Il y a vraiment des jours où le monde entier s’acharne, elle ne m’a même pas laissé la mépriser un coup. Quand je pense que pour elle c’est sûrement une bonne matinée comme toutes les autres, je me dis que nous n’avons vraiment rien en commun. C’est vrai … Elle n’a pas l’air d’avoir de gros soucis.

Naruto arrive au loin, avec cette histoire je n’ai pas pu régler ce problème de tâche (je parle de mes vêtements pas d’Hinata). En même temps je suis stupide, il s’agit de Naruto, pas de quelqu’un de raffiné comme Sasuke, il n’y verra rien pour lui c’est aussi insignifiant qu’un grain de sable.

- tu es déjà là Sakura !

J’admire sa capacité d’observation. J’ai bien envie de lui répondre que non je suis encore chez moi, mais il risquerait de ne pas saisir l’ironie. Allez comme je suis une fille gentille je lui sourit puis je me détourne car il ne faut pas abuser quand même. C’est là que j’entends :

- Hey, Sakura tu as une tâche grise sur les fesses, que t’es t-il arrivé ?





Hinata :


Je marche dans la rue dépitée, je manque vraiment de cran. Si seulement j’étais plus forte, je pourrais lui avouer mes sentiments. Ou au moins passer un peu de temps avec lui, avoir une vraie conversation sans que je me mette à bafouiller à voix basse en rougissant comme une pivoine. En combat j’ai beaucoup progressé, je commence même à avoir une véritable place dans mon clan. Mais avec Naruto … Oh je pense que c’est sans espoir. Mes jambes en tremblent encore et je sens que les pulsations de mon cœur commencent juste à se stabiliser. J’étais pourtant décidée à le faire, j’ai même réussi à frapper … Non … Je n’ai pas frappé, j’ai effleuré la porte du bouts de la main. Et pourtant pour moi c’était déjà trop. Je ressens encore le contact du bois peint sur mes doigts comme une brûlure.

C’est quand même mieux que d’habitude, je progresse chaque jour, il y a encore quelques mois je n’arrivais même pas à monter jusqu’à cette porte. Soudain je reçois comme un coup en pleine poitrine … « quelques mois » … Depuis « quelques mois » je répète tous les matins ce petit manège pitoyable sans succès. Sanako avait raison de rire, je suis vraiment minable. Je ne peux même pas aller au bout de ce que j’entreprends. Je ne vais pourtant pas lui faire une déclaration, je veux juste lui proposer de marcher ensemble jusqu’à son terrain d’entraînement.

Perdue dans mes pensées, j’ai bien marché, je suis face à ce fameux terrain. Sakura y est déjà, je ne veux pas lui parler, ce matin je préfère rester seule. Alors en bonne fille pitoyable je fais semblant de ne pas la voir. Je me dis qu’elle a sûrement remarqué que je faisais exprès de ne pas la remarquer, ça me met mal à l’aise. J’hésite à me retourner pour au moins lui dire bonjour. Mais je n’ai vraiment pas le courage, j’espère ne pas trop la vexer.

En plus je n’ai rien contre elle, c’est une fille très gentille qui fait très attention aux autres alors décider de mon plein grès de ne pas la saluer c’est vraiment minable. Cependant elle est dans l’équipe de celui que j’admire le plus. Ceci implique une grande proximité et ça me fait mal. J’aurais tant aimé être à sa place … Je les imagine partageant une tente durant les missions, s’entraînant ensemble, s’entraidant, ça me rends malade.

J’ai malgré tout des remords mais maintenant c’est fait, je lui dirais bonjour plus tard. Je me demande si Sanako aurait ce genre de regrets. En réalité non, elle n’en aurait aucun, elle assumait toujours tout et n’aurait probablement même pas fait semblant de ne pas voir Sakura et serait juste passée en montrant qu’elle ne voulait pas la saluer. Je ne sais pas pourquoi elle m’obsède tant ces derniers temps, dès que je fais quelques chose je pense à elle. J’ai toujours voulu lui ressembler depuis notre rencontre, mais depuis un certain temps c’est devenu une obsession et parfois j’ai l’impression de me surpasser pour elle, du moins pour lui prouver que je ne suis pas une petite chose insignifiante.

Kiba arrive en courant et me rattrape, il me prend par l’épaule et demande en souriant :

- Alors ? Tu as réussi ?

Je me contente de baisser la tête. Il soupire et appel Akamaru qui gambade devant. Shino est déjà sur place, c’est à se demander s’il ne dort pas là. Il jette un vague regard inquisiteur vers Kiba qui de la tête fait signe que non. Ca y est mes coéquipier sont au courant de mon échec matinal, l’entraînement peut débuter.




Temari :

Voilà donc 2 minutes que j’ai la salle d’eau et derrière la porte j’entends des ronchonements sur notre retard (si si ils osent). Tant pis je me lave quand même, pas question de sentir la sueur. Et m**de il n’y a plus d’eau chaude, je me dépêche de faire le minimum de toilette requise.

- Temari, c’était bien la peine de nous faire tout un discours sur l’importance d’être à l’heure !
- On t’attend depuis 3 minutes au moins !

Mieux vaut ne pas répondre. J’enfile mes vêtements et sort en essayant de ne pas frapper Kankuro quand il lance : « c’est pas trop tôt, on a faillit attendre ! »

Nous payons la chambre et nous partons sur le chemin. Je pense pouvoir ne pas leur adresser la parole pendant un moment ce qui me calme. En effet, Gaara marche quelques mètres devant, et Kankuro boude à l’arrière (non pas parce qu’il est vexé par quoique ce soit, mais parce que ça l’occupe). Je suis donc tranquille. Mais au bout de quelques minutes, Kankuro qui a vraiment décidé d’être lourd aujourd’hui, s’approche et chuchote :

- Tem’ (je hais ce surnom !) je crois que nous sommes en danger.

Là ça devient sérieux, en général il a de bonnes intuitions. Je ralentis et essais de sentir une présence ennemie, mais rien.

- Tu as vu ou entendu quelque chose ?
- Oui depuis ce matin ça chuchote pas mal.
- Chuchote ?
- Je crois que c’est un complot, je n’ai pas voulu en parler à Gaara pour qu’il reste calme.
- Bonne initiative, nous ne pouvons pas nous permettre de gérer une de ses crises, tu penses à quel genre de complot ?
- Une complot de marionnettes, c’est de plus en plus fréquent, elles tuent leur marionnettiste et s’en servent comme pantin ! Je pense que pour le moment vous êtes à l’abri. Mais moi … Je les entends dans mon dos.

Là je suis inquiète (pas pour la conspiration de marionnettes, mais pour la santé mentale de mon petit frère). Il lance un regard suspicieux par-dessus son épaule et rajoute sur le ton de la conspiration :

- Je voulais juste te prévenir, quand elles attaqueront nous devront agir vite, je les ai entraînées moi-même et elles sont féroces.
- …

Je ne pense sérieusement pas que ses marionnettes vont nous attaquer, mais vu le regard qu’il me lance je crains qu’il ne le fasse lui-même dans un délire schizophrène. Finalement je devrais peut-être mettre Gaara au courant.

Je m’avance vers lui. Il est entrain d’écraser un escargot avec rage.

- Il t’a fait quoi cet escargot ? (bonne introduction, je ne peux décemment pas d’entrée de jeu lui dire « je crois que Kankuro va essayer de nous tuer »)
- J’aime pas les colimaçons ! Je vais les écrabouiller tous !
- Ah … A propos d’écrabouiller, Kankuro …
- Tu veux écrabouiller Kankuro ?

Oh mon dieu, c’est mal partit. Quoique avec cette histoire de salle d’eau écrabouiller Kankuro est assez tentant…

- Non ! Personne ne veut écrabouiller Kankuro, mais disons, tu ne le trouves pas bizarre ?
- Si son maquillage est chelou.
- Non, enfin si … Mais je veux dire aujourd’hui …
- …
- Par exemple il a été longtemps dans la salle d’eau, non ? (oui ça m’est resté à travers de la gorge) et il n’arrête pas de regarder derrière lui comme si on allait lui coller un poisson d’avril dans le dos.
- On pourrait le faire… Enfin on est en juin … On pourrait lui coller un coquelicot ce serait joli mais ridicule.

Au secours quelqu’un a lavé le cerveau de mes frères ! Ils sont en plein délire. Kankuro s’approche discrètement :

- Je rêve ou Gaara cueille un coquelicot ?
- Je crois qu’il veut te le mettre dans le dos.
- En offrande à Karasu et Kuroari, ce n’est pas bête. Ça pourrait les calmer un moment.
- Euh … Certainement …

Je crois que je fais un mauvais rêve …




Tenten :

L’entraînement matinal est fini. Nous n’avons plus que 400 pompes, 600 flexions et 700 galipettes (pour la souplesse dixit Lee) à exécuter pou que Gaï soit content. Mais je laisse les garçons le faire sans moi. Je crois qu’ils ne me demanderont plus rien aujourd’hui.

D’accord, j’ai un peu crié, ce n’est pas la fin du monde. Puis ils n’avaient pas qu’à me questionner comme ça. On aurait dit un tribunal de l’inquisition. J’ai d’abord essayé de m’en sortir en bredouillant un truc inaudible, mais ils ne m’ont pas lâché. Alors j’ai un peu haussé la voix (et non hurlé comme l’affirme Neji), « je suis allé faire pipi ! Je ne savais pas que c’était un crime, désolé, la prochaine fois j’alerterai la presse comme ça vous serez au courant ! », J’avoue que ce n’était pas très classe. Ils ne vont pas en mourir tout de même !


Puis qu’ils arrêtent de me regarder comme ça, je ne suis pas un monstre, c’est juste que ce n’est pas le bon jour. Je suis passée à leurs yeux de la petite chose fragile qui était peut-être tombée dans un piège à une sale harpie qui fait pipi.

En plus demain soir je suis invitée chez Neji, s’il me fait la tête autant dire que je suis morte. Me retrouver sans soutien dans le clan le plus flippant de Konoha, je préfère encore dire que j’ai une angine. Bon allez je vais faire mon possible pour redevenir une fille parfaite à leurs yeux. Je pense que pour deux d’entre eux un câlin et quelques larmes devraient suffirent, mais pour Neji … Euh … Il doit bien y avoir quelque chose pour lui faire oublier ça.

Si ça se trouve je ne suis même plus invitée à cette réception. Ce n’est peut-être pas plus mal, ça m’angoissait beaucoup, mais en même temps …

Il a stoppé les exercices ! Lee et Gaï ne l’ont même pas remarqué car ils sont entrain de faire leurs pompes et il y a un rideau (que dis-je une muraille) de cheveux qui leur couvre la vue. Neji me regarde, je sens son mépris. Ca me glace le sang. Que faire ?

Je joue à quoi là ? C’est leur faute pas la mienne. S’ils avaient une once de galanterie ils ne me harcèleraient pas comme ça. Il se dirige vers moi. S’il m’en parle je vais lui dire ce que j’en pense. Il vient certainement me dire que je ne suis plus la bienvenue, d’accord mais moi je vais lui répondre comme il se doit. Je ne vais pas me laisser faire par une bande de machos décérébrés. Viens-là mon mignon je suis prête !

- Tenten, je suis vraiment désolé pour tout à l’heure. J’espère que tu ne nous en veux pas trop et que tu viens toujours demain.
-

Neji : 1
Tenten : KO






Prochainement :

Hinata restera t-elle va-t-elle se suicider en avalant la photo de Naruto ? (Oui ce serait triste…Mais vous ne le saurez qu’en lisant la suite)
Qui a le plus de puce Kiba ou Shino ?

Temari peut-elle faire interner ses frères ?
Les escargots sont-ils aussi dangereux que les marionnettes ?

Tenten rentre t-elle encore dans sa robe de soirée ?
Gaï et Lee vont-ils réussir la plus belle galipette de toute l’histoire ?

Ino va-t-elle manger les saucisses préparées par Choji et faire une entorse à son régime ?
Choji est-il prêt à partager lesdites saucisses ?




J'espère ne pas trop avoir malmenés les personnages ... Et que ça vous plait ...

N'hésitez pas à me direce qui ne va pas ou au contraire ce sur quoi je peux m'étendre ...




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