Fiction: On ne naît pas femme on le devient... Vont-elles survivre ?

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Konoha, toujours le même jour, autour de quatorze heures.

Attention, âmes sensibles : l’auteur prévient ses lecteurs de la violence extrême de ce chapitre. En effet, un escargot va être réduit en bouillie, alors si vous ne vous sentez pas capable de supporter ce passage, allez directement lire les questions en bas de page.

Hinata :

Ça fait maintenant plusieurs heures que je suis à la recherche de Naruto pour essayer de savoir ce qui s’est passé cette nuit. Mais impossible de mettre la main dessus. J’ai pourtant essayé tous les endroits où on le voit habituellement. J’ai passé l’heure de midi à guetter devant chez Ichikaru, mais le vendeur de ramens lui-même s’est étonné de l’absence de son client le plus fidèle. Je suis alors allée chez l’Hokage pour vérifier qu’il n’était pas en train de réclamer le droit d’aller chercher Sasuke (sans avoir la moindre idée de l’endroit où ce dernier se trouve), mais encore une fois, il brillait par son absence et Tsunade-sama m’a assurée qu’il n’était pas en mission, et donc qu’il se trouvait au village. J’ai ensuite fait tous les terrains d’entraînement du village, son appartement, tous les vendeurs de pâtisseries et je suis même allée vérifier le dos de Sakura pour voir s’il y avait une trace de son passage, mais rien. Personne ne l’a vu, et j’ai eu beau utiliser mon Byakûgan, courir dans toutes les rues, il n’y a rien à faire !

C’est à se demander s’il ne se cache pas ! Agacée, je vais à la rencontre de mon équipe. Heureusement, Shino et Kiba ne cherchent pas à se soustraire de ma vigilance et c’est sans peine que je les ai rejoints. Cependant, l’ambiance n’est pas au beau fixe. Kiba semble être en proie à un questionnement existentiel, quant à Shino, il est visible qu’il boude dans son coin. Il m’a d’ailleurs snobée en beauté quand je les ai salués. Kiba, lui, m’a quasiment sautée dessus, comme si je pouvais enfin éclairer sa lanterne et répondre à ses questions.

- Hinata ! Il se passe des choses étranges, ici !
- Ah ? C’est en rapport avec Shino ?
- Non ! Pourquoi ? Il est normal, Shino.
- Ben pas vraiment… Enfin il n’est pas comme d’habitude…
- Bof, il a dû écraser une mouche sans le faire exprès, ça lui passera. Bon, Hinata, il faut que je te dise un truc !
- Vas-y, Kiba…
- Hier soir, alors que je promenais Akamaru, j’ai vu Neji embrasser Tenten !

Voici déjà une partie du mystère de la soirée résolue, je sais maintenant où était passé mon cousin. Encore une fois, je trouve qu’il a vraiment joué un sale coup à Sakura. Il l’a invitée, l’a abandonnée et maintenant je sais que c’était pour rejoindre une autre. Mais Neji est le genre de garçon qui se moque de ce que ressentent les autres du moment que lui est content. Je me demande tout de même pourquoi Tenten l’a pardonné alors qu’il l’avait laissée tomber hier. Ce n’est pourtant pas le genre de fille à laisser passer ce genre de chose (je veux dire pas comme moi qui pardonne toujours tout), il a dû avoir des arguments très convaincants. Il y a autre chose que je ne comprends pas, pourquoi ceci trouble tant Kiba. Sa question vient enfin.

- Hinata, pourquoi ont-ils fait ça ?
- S’embrasser ? Ben, ils doivent bien s’aimer, j’imagine…
- Attends, tu ne comprends pas ! Ils ne s’embrassaient pas sur la joue, mais sur la bouche ! Collés l’un à l’autre !
- Oui, ils sortent ensemble, c’est tout.
- Hinata, quand nous sortons ensemble, pour aller manger, par exemple, on ne s’embrasse pas comme ça ! Réfléchis un peu !
- Dieu merci, nous ne le faisons pas ! On ne fait ça que si on s’aime !
- Et tu ne m’aimes pas ?
- Kiba ! Je t’aime mais comme un ami… On n’embrasse pas ses amis comme ça !
- Mais Tenten et Neji sont amis !
- Dans ce cas ils sont plus qu’amis, c’est tout !
- Beurk, c’est dégueulasse ! C’est ce qu’on se disait avec Naruto tout à l’heure, embrasser, ça ne sert à rien et c’est crade.

J’aimerais qu’il n’ait pas prononcé cette phrase. Je n’ai pas rêvé, hier, Naruto a essayé de m’embrasser. Ou alors j’ai encore une fois tout compris de travers. Il doit bien savoir ce que c’est que de sortir avec quelqu’un, lui ! En même temps, je ne pensais pas qu’une telle notion soit étrangère à Kiba. J’écoute alors mon équipier m’expliquer la conversation qu’il a eue avec l’élu de mon cœur, et leur certitude commune que s’embrasser sur la bouche c’est à vomir et qu’avoir une petite amie ça ne sert à rien.

Sakura :

Il y a des choses que j’ai du mal à expliquer, par exemple cette info que Choji m’a donné, selon laquelle Ino sortirait avec Kankuro. J’ai vraiment du mal à savoir ce qui est passé par la tête de mon amie pour faire une chose aussi stupide. Il est vrai que physiquement, Kankuro n’est pas repoussant, mais il suffit de le regarder pour voir que tout ne tourne pas rond chez lui ! Ça se remarque rien qu’à ses vêtements et à son maquillage, puis en lui parlant trente secondes, on voit qu’il ne s’agit pas que d’une impression (et même que c’est pire que ce que l’on avait imaginé).

- Pssssst, Sakura…

Je rêve ou un bac de fleur vient de m’appeler ?

- Sakura, derrière les fleurs ! Vite !

Je saute derrière l’immense bac à fleur qui longe la route et j’y trouve Ino, l’air paniqué, à plat ventre contre le sol.

- Ino ? Un problème ?
- Un énorme problème, oui ! Tu as vu Kankuro dans les environs ?

Je me souviens alors de la menace de Gaara envers quiconque s’approcherait de son frère adoré (et si fragile). J’imagine que si Ino sort avec Kankuro, elle doit avoir des ennuis avec lui, et que sa seule chance est d’être en compagnie du « grand frère adoré » pour que Gaara ne l’attaque pas. Il faut que je l’aide, avec un psychopathe pareil à ses trousses, les conséquences risquent d’être sanglantes :

- Tu veux que j’aille le chercher ?
- Non mais tu es malade ! Ça fait des heures que j’essaie de lui échapper !
- Ah bon ? Je croyais que tu sortais avec lui…
- Avec Kankuro ? Non mais pour qui tu me prends ? Où es-tu allée chercher une idiotie pareille ?
- Ben, Gaara l’a sous-entendu et Choji me l’a affirmé.
- Eh bien Gaara est mythomane, et Choji ne comprend jamais rien et tire des conclusions trop rapidement. Tout ça c’est la faute de cet abruti de Shika !

Ainsi Ino m’a expliqué comment elle avait passé une matinée cauchemardesque et m’a dit que cela faisait plus d’une heure qu’elle était cachée ici sans oser sortir de peur que Kankuro lui retombe dessus. Personnellement, je trouve que nous sommes bien ici, il n’y a pas un garçon en vue et enfin nous sommes au calme. Je crois que je vais rester un peu avec elle derrière le pot de fleur et nous allons faire le point sur la folie des hommes qui nous entourent.

Tenten :

Que l’on ne me parle plus de Neji ou de Shino, qu’ils aillent au diable, tous les deux ! D’ailleurs, que l’on ne me parle plus d’amour, de garçons et de niaiseries de ce genre ! De toutes façons, je ne suis pas faite pour ça, moi, ce que j’aime, c’est le combat et les armes, pas les poèmes et les ballades au bord de l’eau.

Alors que je tourne au coin d’une rue, j’aperçois Gaara en plein monologue. Je reste cachée derrière le mur car je n’ai aucune envie qu’il se remette à me coller comme hier. De là, je l’observe, il est accroupi et regarde deux escargots glisser le long d’une pierre, et en fait, c’est à eux qu’il parle (je ne sais pas s’il vaut mieux parler seul, ou parler comme ça à des escargots) :

« Tu vois, Schlurp, c’est ta maman, il faut obéir à sa maman, elle est la seule chose que l’on a dans la vie. »

Disant cela, il caresse la coquille du petit escargot jaune qui semble être le dénommé Schlurp (en fait, je pense que je suis en train de faire un rêve étrange et que je ne vais pas tarder à me réveiller). Tout à coup, il lève son poing et écrase violemment le second escargot. Il n’en reste qu’une petite bouillie gluante avec des morceaux de coquille brisée. Il déclare alors :

« Tu vois, Schlurp, je l’ai tuée. Et ça ne sert à rien de pleurer, maintenant tu n’as plus que moi. Tu ne peux plus vivre sans moi car tu n’as plus de maman ! Et tu n’aimeras que moi jusqu’à la fin du monde ! Car c’est ça, l’amour ».

Ce mec à une définition de l’amour vraiment terrifiante. Je préfère fuir. Je me retourne pour tenter une échappée, mais je n’ai pas remarqué, dans ma hâte, une brindille sèche juste derrière moi. En me tournant, mon pied l’écrase et un craquement sonore se fait entendre. En un instant, Gaara est face à moi. Je tente un sourire (après tout, rien ne prouve qu’il veut m’attaquer), j’ai cependant un très mauvais pressentiment… Il fait une grimace et dit :

- Ah, c’est toi !
- Oui, bonjour, Gaara …
- Tu veux vivre avec moi ?

Je ne m’attendais pas à celle-là… Vivre avec lui ? Non mais il déraille totalement. En plus, même si les relations avec ma mère sont tendues, je n’ai pas envie qu’il la tue pour que je n’aime que lui. Je recule d’un pas, il avance de deux. Il a ce regard de cinglé qu’il avait le jour où il a mis Lee en miettes.

- Non, Gaara, je ne peux pas…
- Pourquoi ? Tu ne m’aimes pas ?
- Si, si… Mais…

Il devient de plus en plus menaçant et s’avance vers moi. L’air semble s’épaissir et je vois derrière lui du sable commencer à se lever. Je suis pétrifiée et je n’ose plus bouger, ma voix semble coincée au fond de ma gorge. Que pourrais-je faire, de toute façon ? Je ne pense pas que lui lancer des shurikens changera quoi que ce soit. Je crois que c’est la fin, je vais aller rejoindre la maman escargot et il ne restera de moi qu’une petite marre de sang sablonneuse.

C’est alors que retentit un hurlement :

- personne ne touche à MA Tenten !
- Elle est à moi, maintenant ! Tu ne peux plus rien faire !
- Je la défendrai jusqu’à la mort !

Et dire que des milliers de filles aimeraient que l’on se batte pour elle. Le problème, c’est qu’ici, ma vie est en jeu. Gaara hurle :

- Alors meurs !
- Tant pis pour ton escargot, alors…
- Quoi ?
- Je l’ai ici !

Neji – que je vois enfin, car cette réplique ayant désarçonné Gaara, il a laissé retomber le mur de sable qui me séparait de la scène de combat – Neji donc, montre à son adversaire qu’il tient le précieux Schlurp entre son pouce et son index. Il reprend alors :

- Si tu me tues, j’aurai le temps de l’écraser ! (il a un air bien sadique, presque aussi effrayant que Gaara.)
- Noooooooon, pas Schlurp ! Il est innocent !
- Rends-moi Tenten et je te rends Schlurp ! (je vous jure que c’est étrange de savoir que votre vie est échangée contre celle d’un escargot.)

L’échange s’est fait en quelques secondes, Gaara m’a jetée dans les bras de Neji, qui lui a lancé son escargot. À peine le gastéropode réceptionné Gaara s’est calmé, et nous a totalement ignorés. Il est parti en embrassant Schlurp et en lui demandant s’il avait eu peur.

En attendant, je m’accroche aux bras de Neji, complètement sous le choc. Je crois qu’il vient de me sauver la vie. J’en tremble encore. Il me serre alors doucement contre lui et m’embrasse sur le front. Je l’entends me murmurer qu’il a eu peur pour moi, et qu’il ne laissera plus jamais personne me faire de mal. Je me sens bien, mais malgré moi, un doute m’envahit : pourvu que ce soit bien Neji ! Mais je suis aussitôt rassurée : j’ignore pourquoi, mais je sais que c’est lui. Au loin, Naruto passe et fait une grimace de dégoût en nous voyant. Je me sens bien dans les bras de mon équipier. Il m’embrasse tendrement. Finalement, j’ai changé d’avis, j’aime l’amour.

Temari :

On peut mettre ça sur le compte de l’instinct féminin, ou juste de l’expérience, mais j’ai le sentiment que Gaara est en train de faire une grosse bêtise. Je ne devrais pas le quitter des yeux, il semble être retombé en pleine psychose. Je vais aller regarder dans ses affaires pour savoir ce qu’il en est. Je frappe à la porte de la chambre de mes frères (il vaut mieux le faire car Kankuro a une tendance assez prononcée pour le naturisme). Pas de réponse. J’entrouvre la porte avec précaution. Il n’y a personne. Je n’ai aucun mal à distinguer comment mes frères se sont partagés la chambre.

D’un côté tout est organisé avec une rigueur militaire, les vêtements sont pliés au carré, le lit semble ne jamais avoir servi tant il est impeccable et rien ne traîne. De l’autre côté règne un désordre monstrueux, il y a des vêtements en boule partout, des paquets de gâteaux entamés jonchent le sol (entourés par les miettes qui vont avec) et des tas d’objets hétéroclites. Je dirais que Kankuro a un don pour le désordre et souvent, je me demande comment il peut, en aussi peu de temps, en mettre autant. Je pense qu’il est la réincarnation d’une tornade (et à côté de ça, il faut que ses marionnettes soient impeccables, sinon il refuse de se battre avec).

Je me dirige vers les affaires de Gaara, il y a en plein milieu la boîte de Schlurp… Euh… De son escargot (hors de question que j’appelle Schlurp cette bestiole ! Je ne tomberai pas si bas). Je l’ouvre, mais le gastéropode n’est pas là, j’imagine qu’il doit trôner sur l’épaule de son maître (et par la même occasion le couvrir de bave et de ridicule). Je ne vois rien d’anormal, mais en même temps je ne sais pas trop à quoi je m’attendais. J’entre dans leur salle d’eau et là, je trouve Kankuro dans la douche.

Je précise qu’il n’est pas en train de prendre une douche, mais qu’il est en train d’y dormir. C’est vrai que lorsque que l’on a le choix entre un lit et une douche, on préfère en général s’assoupir dans la douche ! Ce mec me tue à petit feu, je le jure. Je m’approche et murmure (à voix à peine audible, je le confesse) : « Kankuro... ». Il est clair que ce n’est pas suffisant pour le réveiller. Je vais plutôt essayer de lui donner un bon coup de pied (non, je ne suis pas sadique, c’est lui qui a commencé). Je prends mon élan et je shoote ! Je ne dirais pas à quel point cela m’a fait du bien, un vrai bonheur.

Malheureusement, le problème c’est qu’une fois réveillé, Kankuro redevient un mec horripilant. J’aurais mieux fait de le laisser dormir, il était mignon, là, dans sa douche, sans parler, on aurait dit un petit chaton assoupi. Alors que là… Voilà, je regrette déjà ce coup de pied. Il grogne :

- Pourquoi m’as-tu réveillé ?
- Il est quatorze heures, tu n’avais qu’à dormir cette nuit au lieu de disparaître on ne sait où.
- J’étais ici toute la nuit.
- C’est faux ! Gaara était même coincé car il n’avait pas la clef de la chambre.
- Oui, évidemment, tu sais mieux que moi où j’étais cette nuit.
- Okay, laissons tomber. Sinon, pourquoi dors-tu dans la douche ?
- Je ne vois pas le problème, si tu veux en prendre une, tu en as une dans ta chambre.
- Kankuro, ce n’était pas la question !
- C’était quoi alors ?
- Je vais le tuer. Pourquoi dors-tu dans la douche ?
- Ben, où veux-tu que je dorme.
- Dans ton lit, par exemple, à moins que pour toi ce soit trop excentrique de se coucher dans son lit, mais c’est en général ce que font les gens biens.
- Non, Karasu était malade, alors je le lui ai prêté.

Karasu malade ? Ce mec est vraiment dérangé. Je ne sais pas à quel moment il a déraillé mais il est vraiment temps que quelqu’un lui dise que les marionnettes ne sont pas des êtres vivants. Je me lance :

- Tu sais, Kankuro, les marionnettes ne peuvent pas être malade.
- … regard de chien battu de mon frère.
- Elles ne sont pas vivantes. Ce n’est que du bois, du cuir, du tissu, de la ferraille ou je ne sais quoi d’autre, mais il s’agit d’objet.
- Pourquoi tu me dis ça… Tu es méchante !

Voilà mon frère qui sanglote sous la douche. Je ne sais plus quoi faire avec lui. Alors je le prends dans mes bras et lui caresse les cheveux en attendant qu’il se calme.




Prochainement :

Tout d’abord, je rassure ceux qui n’auraient pas lu : Schlurp a survécu à ce chapitre (ben oui, ce n’est pas le seul escargot de Konoha !)

La liaison de Neji et Tenten durera-t-elle jusqu’au prochain chapitre ?
Neji était-il suffisamment cruel pour tuer le pauvre Schlurp ?

Kankuro serait-il réellement un pauvre petit être fragile (l’auteure s’esclaffe en écrivant ça) ?
Qui sera la prochaine victime de la folie maniaque de Gaara ?

Naruto cherche-t-il à fuir Hinata de peur qu’elle lui fasse ce truc ultra méga dégoûtant que Neji et Tenten ont fait sous ses pauvres petits yeux horrifiés ?
Sakura va-t-elle organiser sa vie derrière le bac de fleur, loin des poissons en papier ?

Shikamaru va-t-il aider son équipière à se sortir de cette situation de crise où il l’a plongée, ou trouvera-t-il cela trop barbant ?
Choji va-t-il défier Kankuro en duel pour qu’il retire ses sales pattes de marionnettiste de son équipière ?

Shino va-t-il contre-attaquer et se changer en abeille pour aller butiner le cœur de Tenten ?
En additionnant la maturité de Kiba et celle de Naruto qu’obtient-on ?

L’auteure va-t-elle trouver une fin plausible à cette énorme situation de crise ?
Allez-vous lire la suite ?

Pourquoi Léonardo DiCaprio meurt-il toujours à la fin de Titanic ?
Pourquoi dans les fast-foods pour accompagner une grande frite et un hamburger on prend un coca light?
Si Superman est si intelligent pourquoi met-il son slip par-dessus ses vêtements ? (même question pour le couvre chef de Choji)

Enfin bref, des centaines de questions, qui je l’espère trouveront des réponses dans cette fiction.



Un petit mot avant de partir :

A propos des escargots (vous avez tous pensé que nous allions perdre Schlurp en route non ?) il y en a un qui a mangé mon agenda. En effet, en ouvrant mon agenda j’ai trouvé qu’il était un peu épais et j’y ai trouvé un petit escargot … Et là j’ai vu qu’il avait grignoté ma page (il y avait un trou d’au moins 8cm !!!) Mais ne vous inquiétez pas la bestiole a été reconduite au jardin sans que des sanctions ne soient prises. Je me demande si je ne pourrais pas me resservir de cette histoire …

Sinon j’ai une super tendinite du bras droit qui m’empêche de taper à l’ordi (j’ai presque tout fait de la main gauche) et c’est vraiment l’enfer (ça fait vraiment mal). Du coup pour me consoler (de ça, de la fin de mes partiels, de mon anniversaire le jour de l’épreuve de psychiatrie …) je me suis acheté pour 70 euros de maroquinerie. Enfin bref comme toujours à la fin des examens je dépense l’argent que j’ai économisé toute l’année (je crois que je vais aller faire du shopping d’ailleurs)

Merci à tous ceux qui me laissent des commentaires.

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