Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: La prophétie des Fûma (changement de titre)

Lisez les trois premiers chapitres d'un trait. En effet, les deux premiers chapitres relatent la partie qui se passe dans notre monde et après celle qui se passe dans le monde Naruto. ^_^ Des soldats ordinaires se retrouvent dans un autre monde. Leur arrivée va faire remonter d'antiques prédictions... Attention, le langage est très "imagé" et les scènes parfois violentes ou "hot". SUPER SPOIL !!
Classé: -16I | Spoil | Général | Mots: 115016 | Comments: 73 | Favs: 50
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Eiji Hyuga (Masculin), le 01/06/2007
Disclaimer: le lieutenant Vassili Tchaïkovski, le sergent Alexandre Andropov, le caporal Sergei Nieviski et les soldats Ivan Oulianov et Iouri Kytysov sont à moua muahahaha !! Je joue avec leur destinée !! Le reste est pas à moi T_T



Chapitre 3: Chapitre 2 Assaut et déconvenue: la surprise du chef.



Petits renseignements: les paroles en italiques sont en japonais, car n'oubliez pas que nos camarades parlent russes !

Enjoy it !

Lorsque les hommes virent l’immense structure de béton camouflé couleur forêt, il y eu comme un électrochoc perceptible par chacun d’entre eux. Ils y étaient. Leur objectif. Ce pourquoi ils avaient marché pendant une semaine dans la forêt, trempés de sueur et de pluie, avec vingt kilos de matériel sur le dos. Fatigués par la marche et par la tension du dernier accrochage, ils n’étaient pas vraiment en grande forme pour prendre d’assaut un bunker, surtout celui là.

« Mais qu’est ce que c’est que ce bordel… laissa échapper Vassili. »

Il sortit frénétiquement la carte et la boussole et demanda nerveusement à Alex de vérifier leur position par satellite. C’est impossible, il ne pouvait pas être au bon endroit. La mission était sensée être très difficile, mais là, c’était carrément impossible ! Prendre d’assaut un tel monstre, à cinq ! Et pourquoi envahir Tokyo à la nage tant qu’ils y sont !

« Ils se foutent de notre gueule ou quoi ?! S’exclama Sergei. C’est quoi ce merdier ?! Et on doit faire quoi avec ça ?
- On doit le prendre d’assaut et dégager le terrain pour l’arrivée de nos troupes par parachute dans une heure, répondit le plus calmement possible le lieutenant.
- Mais enfin mon lieutenant c’est pas bunker ça ! C’est une forteresse ! Il y a même des miradors autour ! Normalement un bunker ça fait quarante mètres carré au maximum, et celui là il fait au moins cent mètres carré et pratiquement vingt mètres de haut !
- C’est sûr, nos amis japonais savent faire plein de choses avec un râteau et une pelle. Mais les ordres sont les ordres, et par conséquent on va se démerder pour leur prendre ce bunker et y rester accrochés comme des morpions à une paire de couilles. Est-ce que c’est clair caporal ?
- Oui mon lieutenant, bougonna ce dernier. »

Vassili laissa échapper un soupir et commença à préparer un plan d’attaque. Sergei n’avait pas tord, autant attaquer un char avec des boulettes de papier. Mais comme il l’avait lui-même dit au caporal, les ordres sont les ordres. Et en tant que chef, il se devait de montrer l’exemple et d’insuffler à ses hommes la volonté de réussir la mission. Il prit ses jumelles et inspecta minutieusement chaque recoin du bunker et les proches alentours. Réfléchissant à toute vitesse, il finit par mettre au point une ébauche de plan. Il se retourna vers ses hommes qui avaient profité de sa réflexion pour boire et se restaurer un peu pour récupérer des forces avant l’assaut.

« Bon, voilà comment on va procéder. Je ne vous fais de dessin, on est comme une fourmi attaquant un éléphant. Alors le but ça va être de faire croire à l’éléphant que la fourmi est venue avec toute ses potes et profiter de la confusion pour balancer autant de grenades qu’on pourra dans leurs meurtrières voir même d’en détruire certaines. Alors pour ça, le sergent Andropov et moi allons tout d’abord nous débarrasser des sentinelles sur les miradors. Après, procédure d’assaut et de diversion standard : on fait un bordel d’enfer pour leur faire croire qu’on attaque en masse l’avant de leur bunker et on fait le tour par l’arrière ok ? »

Les hommes acquiescèrent de la tête.

« Bon alors, Ivan et Iouri commencez par enlever vos silencieux. C’est vous qui allez servir d’armée entière face à l’envahisseur japonais. Dès que je vous le dis, vous balancer deux grenades et vous arrosez comme des cinglés les meurtrières à tour de rôle pour qu’ils soient sous un feu constant. Ça renforcera l’idée qu’on est nombreux. Pendant ce temps là, Alex, Sergei et moi on passe par l’arrière et on nettoie un peu la merde. Dès que c’est fait, on vous appelle. A ce moment là, vous balancez des grenades fumigènes sur les meurtrières, voire même dedans si possible, et vous en profitez pour nous rejoindre. A partir de là, on entre dans le bunker et on entre dans la phase d’assaut standard. Tout le monde a compris ? »

Ils se regardèrent, histoire de voir que tous avaient bien compris la même chose. Ivan et Iouri se jetèrent des regards du genre « bon courage » ou « ça va aller », car ils allaient essuyer les
tirs des mitrailleuses dans le bunker. Sergei était très concentré et Alex ne laissait rien paraître comme toujours.

« Alors c’est parti. On se retrouve au bunker les gars, dit Vassili à l’intention de son « armée » ».

Ils se murent alors sans bruit tandis qu’Ivan et Iouri préparaient les grenades et les chargeurs de rechange. Vassili et le sergent Alex prirent position assez profondément dans le bois tout en gardant une ligne de mire sur chacun des deux miradors qui étaient de chaque côté de la route longeant le bunker. Il y avait aussi des barbelés, mais cela ne devrait pas poser trop de problèmes pour des soldats aussi entrainés qu’eux. Deux soldats étaient dans chaque mirador, et deux autres faisaient des allers et retours entre chaque bord de la route. Apparemment, il s’agissait aussi d’un check point. Ca s’annonçait plus ardu que prévu. Et il ne fallait pas trainer, car on ne pouvait pas savoir si un convoi ou autre était attendu sous peu. Alex et Vassili enlevèrent leurs lunettes thermiques et mirent des lunettes à visée électronique. Sergei avait seulement sa hausse pour tirer, mais il n’aurait pas à se servir de son arme tout de suite car les deux snipers auraient abattu les sentinelles avant qu’il ait pu ajuster son tir. Une fois bien positionnés, Vassili s’adressa à nouveau à son faucon.

« Distance…
- Cinquante mètres.
A nouveau ce bruit de molette que l’on tourne.
- Vitesse du vent…
- Quatre nœuds sud est. »

Une fois le bruit de la molette dissipé dans l’air, deux tirs étouffés retentirent et les deux sentinelles du premier mirador s’écroulèrent. Les deux tireurs se tournèrent immédiatement vers le deuxième mirador avant qu’il ne se rende compte de quoi que soit. Ajustant plus au jugé qu’avec leurs lunettes pour ne pas perdre de temps, ils abattirent sans difficultés les deux autres sentinelles. Puis rangeant leur fusil, ils sortirent leur pistolet pour se lancer le plus discrètement possible à l’assaut.

« Ivan ! Iouri ! A vous de jouer ! dit Vassili dans sa radio. »

Deux explosions retentirent et une rafale continue cribla les meurtrières du bunker qui ne ripostait pas, les servants des mitrailleuses devant se cacher derrière les fortifications pour ne pas prendre une balle perdue. Profitant de la confusion et de l’effet de surprise, Sergei, Alex et Vassili surgirent sur la route et fondirent sur les deux soldats qui étaient restés paralysés par la surprise. Sans s’arrêter pour viser, ils tirèrent au jugé et les deux hommes s’effondrèrent sous les balles du fusil d’assaut de Sergei. De l’autre côté de la route, ils virent qu’il n’y avait personne et Vassili dit à ses hommes restés en retraite de les rejoindre. Deux fumigènes jaillirent de la forêt et l’une d’entre elles atterrit dans le bunker. Au moment où Ivan et Iouri arrivèrent au niveau des trois autres, des soldats japonais toussant et pleurant à cause des fumigènes sortirent du bunker. Ce fut un massacre : ils se firent allumer comme au tir au pigeon. Mais Vassili reprit vite la situation en main et dit à ses hommes de viser les jambes, pour faire des prisonniers à échanger contre des prisonniers russes. Puis, plus aucun homme ne sortit. Restant sur leurs gardes, les hommes de Vassili mirent les morts de côté et attachèrent les prisonniers. Ivan, en tant que doc de l’équipe, soigna rapidement leurs blessures selon la Convention des droits de l’Homme. Puis ils pénétrèrent dans le bunker une fois la fumée évacuée pour y jeter un œil, tandis que Vassili et Ivan gardaient les prisonniers.
Le lieutenant s’approcha d’un homme qui portait le grade de capitaine.

« Bonjour mon capitaine. Je suis le lieutenant Vassili Tchaïkovski de l’armée russe. Vous êtes désormais des prisonniers de guerre. Et en tant que tels, vous serez conduits dans des camps de prisonniers quand nos troupes arriveront. Avez-vous quelque chose à déclarer ? »

L’homme, environ une trentaine d’année, lui lança un regard mauvais et lui dit avec un sourire narquois.

« Oui. Vous allez mourir. »

Vassili ne releva pas la pique et se retourna pour jeter un regard interrogateur à ses hommes qui sortaient du bunker.

« Alors ?
- RAS mon lieutenant, lui répondit Sergei. Il n’y avait personne d’autre. Leur bunker est blindé de munition et de matos élec. Et j’ai trouvé ça, jetez un œil. »

Sergei tendit à son supérieur un papier sur lequel était dessinée une carte avec de nombreuses flèches et annotations. Alors que l’officier tentait de déchiffrer la carte, un bruit strident très facilement identifiable se mis à monter, emplissant l’air d’une odeur d’huile et d’essence.

« Vous entendez mon lieutenant ? demanda Iouri dont la voix laissait transparaitre la peur. »

La question était bien évidement rhétorique, car Vassili avait très bien entendu ce bruit caractéristique. Mais le soldat Iouri espérait tout de même qu’il avait des hallucinations. Malheureusement le lieutenant l’ancra dans la réalité la plus réelle qui soit.

« Oui j’ai entendu. Sergei ! Ivan ! Faites rentrer les prisonniers, on a les cavaliers d’Attila qui débarquent ! Sergent Andropov, avec moi ! Iouri, vois ce qu’il y dans cette boite de conserve qui puisse nous servir contre des chars ! Si je meurs, Alexandre prendra le commandement et demandera une évacuation d’urgence. Prévenez les troupes qui arrivent qu’elles seront pas toutes seules à vouloir profiter de la villa. »

Sergei et ses deux camarades s’exécutèrent frénétiquement, Ivan et lui essayant tant bien que mal de faire bouger les cinq prisonniers blessés tandis que Iouri se ruait dans le bunker à la recherche de bazooka anti char ou d’explosifs utiles ou propices à ce genre d’affrontement. Vassili et Alex s’enfoncèrent un peu dans la forêt et prirent leurs jumelles. Le bruit des chenilles se fit de plus en plus présent et l’air était saturé d’huile. Les deux hommes étaient nerveux, et leurs nerfs se tendaient d’autant plus à chaque seconde qui passait. La route menant au port descendait un peu sur cent mètres, puis remontait sur deux cents mètres avant de disparaître derrière la descente menant à la mer deux kilomètres plus loin. Il faisait chaud par cette fin de matinée de juillet, la pluie s’était arrêtée il y a deux heures et l’air se distordait sous l’effet de la chaleur, rendant la route et le paysage flous. Soudain, surgissants de la colline, se détachant dans l’air brulant, non pas un, ni deux, mais trois chars japonais de classe Heian, de gigantesques monstres d’acier armés de deux 88mm sur tourelle, de missiles anti char et de plusieurs mitrailleuses, jaillirent de l’horizon et descendirent la route boueuse. Même s’ils ne le montrèrent pas, grade oblige, le lieutenant Tchaïkovski et le sergent Andropov sentirent la peur leur nouer les entrailles. Jamais ils n’avaient affronté pareille menace et Vassili commençait à regretter les chars de l’armée Albanaise. « Au moins, on avait l’impression qu’on pouvait se battre » pensa t il, « alors que là autant leur tirer la langue, ce sera plus efficace… ». Il fit signe à son collatéral de revenir au bunker et ce dernier ne se fit pas prier. Ils coururent comme s’ils avaient la mort aux trousses, ce qui, nota Vassili, était en fait le cas.
Lorsqu’ils entrèrent dans le bunker, les prisonniers étaient entassés dans un réduit et les trois hommes restés là faisaient l’inventaire de ce qu’ils avaient trouvé d’intéressant dans le bunker. Lorsqu’ils virent arriver Vassili et Alex en courant, tous comprirent qu’ils étaient mal barrés.

« Combien ? demanda nerveusement Sergei.
- Trois. Et des classes Heian, lui répondit son supérieur tout aussi nerveusement. Alors on a quoi ?
- Une demi douzaine de lance roquettes anti char et autant de roquettes en plus qui vont avec, annonça Ivan. Mais bon, face aux Heian, autant leur jeter des cailloux ce sera pareil…
- Nous ne sommes pas forcés de les détruire, faire péter leurs chenilles suffira largement pour l’instant. On verra ensuite. »

Alex avait parlé avec un ton neutre mais fort, autoritaire. Et les hommes sentirent un peu de leur courage leur revenir. Ils se saisirent chacun d’un bazooka et sortirent se mettre en position de l’autre côté de la route.

« Oubliez pas ! Visez les chenilles ! Et ne vous ratez pas, on aura qu’une seule chance ! Je prends celui de tête, Sergei et Ivan le suivant et ceux qui restent le dernier ! A mon commandement… »

Tous se tendirent. Ils savaient que s’ils rataient leur tir, c’en était finit d’eux, les chars les réduiraient en bouillie. Là, c’était le tir de leur vie, et ils ne devaient le manquer sous aucun prétexte faute de quoi ce serait aussi leur dernier tir.

« Feu ! »

Cinq missiles sortirent de leur tube, comme autant de diables jaillissant de leur boite pour aller faucher l’âme des mortels. Ils transpercèrent l’air à une vitesse hallucinante, laissant des trainées de fumées très dangereuses pour les tireurs car révélatrices de leur position. Un horrible bruit de tôle froissée déchira l’air et les chars s’arrêtèrent net. Les missiles avaient atteint leur cible. Mais les chars n’étaient pas pour autant rendus inoffensifs. La terreur se répandit parmi le commando lorsque les tourelles des chars se mirent à bouger.

« On change de position ! Magnez-vous !! »

Sans demander leur reste, ils prirent leur bazooka et coururent comme des dératés de l’autre côté de la route. Au même moment un sinistre sifflement se fit entendre, suivit de trois gigantesques explosions. La puissance des déflagrations fit trembler le sol et cloua les hommes au sol. Etourdis, ils eurent un peu de mal à se remettre debout mais la peur de mourir les y aida fortement et ils plongèrent dans le bunker.

« Tant pis pour les prisonniers, descendez tous ! Hurla le lieutenant en désignant un escalier en fer qui s’enfonçait sous terre. »

Tous obéirent immédiatement et arrivèrent dans une sorte d’intersection qui menait à plusieurs portes. Sans prendre le temps de réfléchir, Vassili ouvrit une porte au hasard et emmena ses hommes à l’intérieur. Après avoir refermé la porte, il se rendit compte qu’ils étaient dans une salle remplie de caisses. L’entrepôt de munitions, judicieux comme choix… Ils se mirent tous à terre, attendant le deuxième tir qui vint aussitôt. Toute la structure trembla, des lézardes apparaissant au plafond tandis que des bouts de celui-ci et des murs tombaient, créant un nuage de poussière très dense. Après avoir attendu quelques secondes qui leur parurent une éternité, ils se relevèrent. Leurs cœurs battaient la chamade et ils suaient de peur, tellement le fait d’être bombardé par une telle puissance était terrifiant. Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils virent une fois debout un signe japonais apparaître sur le sol où ils se trouvaient.

« Qu’est ce que ?! S’étonna Sergei.
- C’est un kanji… remarqua Alex.
- Affirmatif, confirma Vassili, ça se lit torii, la porte vers un autre monde.
- Mais qu’est ce que ça fout là ? Ca y était pas y a cinq minutes ça ! s’écria Sergei pris de panique. Si ça se trouve, ça va nous péter à la gueule ! On devrait se barrer d’ici en vitesse moi je dis !
- Ce serait pas une mauvaise idée en effet, dit Vassili de plus en plus nerveux. »

Mais ils n’eurent pas le temps de sortir qu’un autre sifflement retentit. Ils se jetèrent tous à terre, se tassant le plus possible contre les murs, comme s’ils voulaient s’y encastrer. Les murs se mirent à nouveau à trembler et à tomber. Une lumière se mit à rayonner dans la pièce qui était secouée comme un fétu de paille tandis que l’ampoule du plafond grésillait sous l’impact des secousses. Et Vassili remarqua que la lumière venait du kanji sur le sol. Pressentant quelque chose de pas bon voire de très mauvais, il se leva tant bien que mal et se dirigea vers la porte de l’entrepôt.

« Venez, on se tire d’ici !! Hurla-t-il pour couvrir le vacarme infernal du tremblement. »

Au moment où il saisit la poignée de la porte, un autre obus tomba et le projeta au centre de la pièce. Le kanji se mit à briller de façon aveuglante, et la lumière qu’il dégageait emplit toute la pièce qui n’en finissait plus de vibrer. Et soudain, plus rien. Le silence total dans une lumière aveuglante. Vassili avait une sensation étrange, il était seul, baigné de lumière et se sentait étrangement léger, comme s’il était en apesanteur. Réfléchissant rapidement, l’évidence lui sauta aux yeux : « je suis mort ! ». Il pensa alors aux hommes qu’il avait laissés derrière lui, espérant de tout cœur qu’ils s’en sortiraient. « Sergei est un peu bougon et têtu parfois, mais c’est un bon chef, il est intelligent et sait prendre soin de ses hommes. Et de toute façon, c’est Alex qui prendra le commandement pour le moment et il est loin d’être nul. Ca devrait bien se passer pour eux, ce sont de bons soldats. » Une étrange sensation le sortit de ses « pensées » : il avait l’impression de tomber. De plus en plus vite. Il sentit la panique envahir son cœur comme un raz de marée, et ses muscles se crispèrent en attente du choc. Il sentit soudain une violente douleur se répandre dans tout son corps, comme si chacun de ses os se brisait, comme si chaque pore de sa peau était percé de milliers d’aiguilles. Il se sentait brûler de l’intérieur et ses entrailles semblaient se déchirer. Il voulait hurler mais il ne pouvait pas, car la douleur paralysait ses cordes vocales. Sa vue se brouilla et son cœur se serra violement, comme s’il faisait un arrêt cardiaque, et il fut incapable de respirer. Il sombra alors dans les ténèbres...




Au chapitre prochain, on va enfin entrer dans le vif du sujet !! Accrochez vos ceinturons ça va chier dans les kékés !!! XD

Küsse !!




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