Fiction: Aide pourvu qu'elle arrive à temps

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Chapitre 6 : Arrivée à Konoha !

Trouvant le nord grâce au soleil qui commence à se coucher, je me mets en marche en direction du village caché du pays du feu. Une dizaine de minute plus tard, Konoha fut en vue. Itachi ne m'avait pas menti. Je détruis le message qu'il m'a laissé afin d'éviter des problèmes inutiles.
Une fois devant la porte, le garde commence à m'arrêter, alors que je tente de passer en l'ignorant. Je me retourne soudain vers lui, il me dit une phrase dont je n'arrive pas à comprendre le sens, peut-être était-ce une question. Je le regarde, comme on regarde un enfant qui vous embête et lui dis:
"- Je suis une amie de Takara du clan Tooken. J'ai rendez-vous avec elle."
Je suis à bout mentalement et physiquement, coincée à quelques mètres de mon objectif par un garde qui fait son travail… je n'ai même pas la force d'essayer de le combattre. Essayant de lui explique ma situation calmement, mais n'ayant jamais été douée avec les mots… je ne fais qu'empirer la situation.
Soudain, un groupe de Ninja, revenant probablement d'une mission, s'arrête à nos côtés, alerté par nos voix. Parmi eux, le tuteur de Takara à la tête endormit, j'ai nommé Kakashi. Avec lui, un blondinet aux yeux bleus (Naruto) et une adolescente aux cheveux roses, je ne peux pas me tromper, il s'agit de Sakura.
Etant donné que j'ai récupéré tous mes biens et remis mes habits d'origines, qui sont propres mais pas réparés, Kakashi me reconnaît au premier coup d'œil, remarquant:
"- Tu es en retard.
- (ça lui va bien de dire ça!)J'ai eu, disons… quelque contre temps et comme vous, j'ai une réputation pour ma ponctualité. De combien de temps? Suis-je en retard, j'entends.
- Un jour et demi, me répond-t-il.
- Ça va encore. Où est Takara?
- Là ou tu lui as demandé de se rentre, afin d'aider Sirocco.
- Et m…tu peux m'y emmener, s'il te plaît?
- Suis-moi."
Nous repartons en nous éloignant du village, laissant derrière nous un Naruto énervé, une Sakura exaspérée et un garde complètement perdu.
Une vingtaine de minutes plus tard, nous arrivons dans une clairière (ou plutôt ce qui en reste). C'est-à-dire quelques bouts d'herbe qui ont réussi survivre au combat et quelques arbres. Au milieu ce trouve un cratère encore un peu fumant (vive l'ambiance!). Takara est là en pleine forme ainsi que Sirocco. Je ne peux pas en dire autant de la part du membre (sous-fifre) que l'Akatsuki a envoyé. Je m'avance, vérifie si le messager de l'organisation terroriste est vivant. A ma grande surprise, c'est le cas (malgré son état, il est solide le bougre). Takara me dit d'un ton ironique, avec une pointe de reproche:
"- Déjà là?!
- Ouais. j'ai fait aussi vite que possible. Après un Magekyuo, on n'est jamais très frais pour faire une mission.
- Je me demande toujours: COMMENT TU PEUX TE PERDRE ICI ?!!!!
- J'ai l'habitude de la ville avec Central, répondis-je d'un ton égal.
- Et Rizenboul, tu vas me faire croire que c'est une ville, peut-être!
- C'est différent, c'est le monde dont je suis chargée… il était aussi fort, ce type (changer de sujets rapidement avant de s'attirer ses foudres) ?
- Non, mais j'avais besoin de me défouler. J'avais les nerfs en boule.
- (gloups…)Bon, et bien, nous avons perdu suffisamment de temps.
- La faute à qui?
- Commençons la mission maintenant.
- Oui, avant qu'il ne t'arrive quelque chose d'autre.
- Oui, oui."
Nous repartons tous ensemble en direction du village. En chemin, nous croisons Chidori qui revient d'une mission de repérage. Elle nous dit:
"- Des Ninjas de troisième zone sont en train de nous courser.
- Qui se porte volontaire pour s'en occuper?
- Moi(ça me permettra de me défouler).
- OK, mais ne tarde pas.
- J'en aurais pour une dizaine de minutes. Combiens sont-ils?
- Trois. Je viens avec toi.
- Moi aussi, je n'ai pas confiance en ton état, Cécile, dis Takara.
- OK."
Chidori, Takara, Sirocco et moi arrêtons notre course et faisons face à l'ennemi. Ils sont effectivement trois de force plus que douteuses. Mais bon, c'est eux qui l'on cherché.
L'un d'eux se lance sur Chidori qui dégaine son katana en un clin d'œil et donne un coup en diagonale à son assaillant dans un même geste. Ce dernier s'écroule sur lui-même. Les deux autres commencent à douter, mais leurs rage reprend le dessus et se lancent sur nous. Je dégaine mon propre katana et transperce le ninja dans un coin non-mortel. Mais je suis certaine qu'il ne pourra pas se relever. Takara a, elle aussi, fini le dernier attaquant. Mais quelque chose me laisse un mauvais pressentiment. Est-ce parce que c'est trop facile? Non, la facilité du combat était prévue. Haussant les épaules afin de chasser cette pensée, reprenant le chemin du retour, tranquillement.
Une fois dans l'enceinte du village, malgré un accrochage avec le garde, qui me voyant revenir croit que j'ai de mauvaises intentions. Mais après avoir aperçu Chidori, il se calme et nous laisse passer.
Quelqu'un a louer une chambre d'hôtel pour moi. Profitant enfin du confort d'une vraie chambre. Je prends une douche, troque mes vieux habits de militaire, pour d'autres neufs. Je regarde dans le miroir mes traits qui sont tirés par la fatigue et mes lunettes demi-cerclées sont tellement sale que je me demande comment j'ai pu y voir quelque chose pendant mon combat. J'entreprends alors de les décrasser (mission quasiment impossible). Une fois à peu près satisfaite du résultat, je mets mon katana dans mon dos, vérifie mes trousses de secours, l'installant dans une sacoche accrochée à ma ceinture. À la fin de mes préparatifs, je sors du bâtiment prenant la direction du restaurant d'Ichiraku ramenes, où nous nous étions donné rendez-vous. Je suis la première sur les lieux. Je commende un bol de ramènes extra-large avec double portion (ben oui, j'ai trop faim). Peu de temps après, la jeune Tooken (qui est plus vieille que moi), suivie de Chidori, arrive. La réunion commence sans attendre alors que nous sommes toutes en train de manger. Takara commence :
"- J'ai de mauvaises nouvelles.
- Je m'en doutais.
- Chôji s'est fait enlever par une organisation encore inconnue.
- Une autre forme d'Akatsuki ?
- Je ne pense pas.
- Pourquoi Chôji ?
- Nous ne sommes pas sensée le savoir. Pas encore.
- Ok. On sait où il est ? questionne Chidori.
- Officiellement non. Et doit être retrouvé mort normalement.
- C'est là que je dois intervenir, dis-je en gardant mon calme.
- Tout à fait.
- J'ai combien de temps ?
- Deux jours, le troisième, il sera trop tard.
- D'accord, et en attendant, on fait quoi ?
- Toi, Cécile, tu te repose. Il te faudra toute ta santé pour combattre.
- Oui, oui, dis-je de mauvaise humeur.
- Quand à Chidori et moi, nous nous relaierons enttre les inverstigations et ta surveillance.
- MA SURVEILLANCE ?!!!
- Oui ta surveillance car je n'ai pas envie de te courir derrière, à nouveau.
- Okay. Mais la nuit, j'aimerai rester seule.
- De quoi as-tu peur ?
- Je te le demande en temps qu'amie.
- D'accord, mais tu n'aura pas le droit de quitter ta chambre.
- Merci je te le revaudrai.
- Bon, et bien, je crois que tout est dit. Sur ce bonne nuit tout le monde et reoposez-vous bien.
- Oui !
- A demain. "
C'est ainsi que nous nous séparons chacune de notre côté. Je repars vers l'hôtel, monte les deux étages qui me séparent de ma chambre puis me jette sur le lit, complètement exténuée je m'endors comme une souche.
Le lendemain, Je me lève, m'habille puis quitte l'hôtel en direction d'un endroit calme où je pourrai me ressourcer et m'entrainer. En bas de l'immeuble, je retrouve Chidori qui me dit, passablemeblement énnervée :
"- Heureusement que nous t'avions demander de ne pas quitter ta chambre seule.
- Oui, mais tu es là.
- Qu'aurais-tu fais si cela n'avait pas été le cas.
- Rien, puisque nous ne sommes pas dans cette situation.
- Tu es incorrigible, dit-elle résignée"
Elle m'emmena dans les sources thermales du centre ville pour que je puisse évacuer tous les restes de ma fatigue. Une heure plus tard, nous paritpons à la reherche d'un terrain d'entrainement libre. Une demie-heure plus tard, nous commençons des enchainements de techniques et de combats au coprs à corps sous l'oeil attentif de Takara qui nous a rejoint.
Le soir, la jeune Tooken nous explique son plan et conclut :
"- Des questions?
- Leurs forces ? demande Chidori.
- Puissant. On y va toutes les trois. Cécile, tu reste en retrait, et au milieu de la formation. Chidori l'ouvrira, elle a de bons yeux et je vous couvrirais avec mon arc en cas d'attaque trop puissante ou venant de l'arrière. Cécile, j'espère que tu as suffisamment de craie et tes gans.
- T'inquiète, j'ai tout ce qu'il faut. (la voilà qui se prend pour Shikamaru ^^)
- Bien, nous partirons demain à la première heure parce que Cécile a besoin de repos après tout ces efforts.
- Ok à demain. (il ne manque plus que les "galère")
- A demain. "
Je repars en direction de l'hôtel puis m'endors. À mon réveil, mon regard parcourt la salle autour de moi; pas psychopathe à l'horizon, pas d'entrave, pas de douleurs; rien. Je me lève bien qu'il soit encore très tôt, puis m'habille après une bonne douche. GRâce à la veille, j'ai récupérer presque toutes mes forces. Je fini mes préparatifs en prenant une boite de craie et mes gants, avec sur chacun un cercle de transmutation sur la paume (comme d'Alphonse Elric dans le film). Je les enfile, mets ma boite de médicaments personnel dans la poche frontale de ma vêtes et les autres,comme les bandes ou les désinfectants, dans la sacoche accrochée à la ceinture de mon pantalon. Takara a mis un étui à shurikens dans la chambre à mon intention. Je le prends et l'attache à ma cuisse droite (on ne sait jamais, ça peut toujours être utile). Je jette un dernier regard à mon reflet dans le miroir et resserre ma queue de cheval haute d'un air satisfait.
Je sors dans la rue à la recherche d'une boulangerie ou quelque chose du genre. Quand enfin, je me retrouve avec l'objet de mes convoitises, je m'installe dans un arbre où je peux observer les visages des Hokage gravés dans la roche (je ne peux quand même pas venir à Konoha sans les voir).
On me fait sortir de ma rêverie avec le contacte froid et menaçant kunaï sur ma gorge. Allons bon, qu'est-ce que c'est cette fois ? Ne me laissant pas démontée pour autant, je prends une autre bouchée de mon croissant tout chaud. Mon agresseur, un peu perplexe devant ma réaction, plutôt inhabituelle dirons-nous, prend la parole:
"- Déclinez votre identité et les raisons de votre présence ici. N'essayez pas de mentir en disant que vous êtes d'ici, avec vos habits, vous ne passez inaperçu.
- Bonjour quand même."
Je me retourne vers l'homme au kunaï pour voir un type avec des habits verts moulants et bandeau des shinobi de Konoha (rouge au passage) autour de sa taille. Lee, le vrai, l'unique est en face de moi. Je reprends :
"- Et puis question tenue, tu m'excuseras, mais tu peux repasser avant de critiquer les miens.
- Je ne te permets pas de critiquer mes habits.
- Alors ne le fais pas pour moi.
- Réponds simplement.
- Oui, oui, …j suis une amie de Takara et je suis là pour l'aider.
- Takara ? Takara Tooken ? La fille avec le grand arc dans son dos et tous pleins d'autres armes ? celle qui s'énerve assez rapidement et même très rapidement ?
- Je n'en connais qu'une, mais oui, c'est elle. Tu n'as pas l'air de l'apprécier.
- Si, elle est sympas, mais elle fait froid dans le dos, des fois.
- Oui…dis, tu peux retirez ton kunaï de là, maintenant ?
- Désolé…"
Il range son kunaï et je reprends mon activité première, à savoir, manger. J'en tends un bout à Lee qui l'accepte sans se faire prier.
Le soleil commence à se lever, nous offrant un spectacle splendide, des visages baignés dans la lumière ambre du matin. Au bout d'un moment, je du me séparer de Lee avec une petite pointe de regret. Une fois à la porte du village, je m'aperçois que Chidori attend déjà. Je lui fais un signe de la main et elle me répond un "salut". Elle finit par prendre la parole, afin de briser le silence :
"- Takara n'est pas encore là ?
- Kakashi n'est pas son tuteur pour rien.
- J'espère qu'elle prendra moins de temps que lui pour venir.
- Oui, moi aussi. "
Quand elle arrive (enfin) nous n'avions attendu (que) une demi-heure. Je lui dis :
"- Tu tiens de Kakashi pour ça.
- Tu peux parler, c'est pas qui ait un jour et demi de retard.
- Oui, c'est bon.
- C'est toi qui te lance sur ce sujet. Et puis je n'ai pas chômée pendant cette heure. J'ai repéré l'endroit exact d'où se trouve Chôji.
- Ok, j'ai rien dis.
- Allons-y."




J'espère que ça vous à plut. Sinon, je suis sincèrement désolée de vous avoir fait subir cela. Et si vous avez une idée, pour que je m'améliore, je suis prenante^^

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