Fiction: Aide pourvu qu'elle arrive à temps

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Disclamer : Naruto ne m'appartient pas ni plus que full Métal Alchimiste.

Note 1: dans se chapitre va apparaître quelqu'un que vous ne connaissez peut-être pas mais bon, un petit coup de google et ce n'est plus le cas ^ ^

Note 2 :Fans d'Itachi, ne me tuez pas!!! On dira que je ne suis pas très aimable avec lui. Mais dites-moi ce que vous en pensez quand même. Wise Guys 4ever!!!!!! (délire de musique pendant qu'on écrit.) …oui, je sais Itachi est un peu beaucoup modifier, mais on l'aime toujours, non? (enfin, pas moi^^)

Remerciments : toujours un grand merci à Kris, Takara, Chidori et mon deuxième moi à qui je fais pleins de misères. (mais non, mais non, je suis pas sado-maso, juste un peu)
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Chapitre 2 : Tuteur

Non, pas lui, je n'ai pas besoin de lui, c'est un pur cauchemar…L'alchimiste de flamme, Roy Mustang vient d'entrer dans notre planque. Il n'a pas l'air de s'attendre à ce qu'il voit et une fois la surprise passée, il est carrément hors de lui. Avant que je n'ais pu lui expliquer quoi que ce soit, il resserre le collier. Il me l'a déjà dit : il me considérera fautive de chacune de mes mauvaises passes. Une fois qu'il s'est bien défoulé, sur moi, pour changer, il me demande:
- Qu'est-ce que tu fais dans cette situation ?
- J'aimerais aussi le savoir…mais je peux faire une tentative d'explication. D'abord, quelques présentations : ce jeune homme ici présent, se nomme Itachi Uchiwa. Il fait parti d'une organisation de hors la loi depuis qu'il a assassiné toute sa famille, sauf son petit frère qu'il veut garder pour le dessert. Et…la fille qui était avec moi, bien que je ne la vois plus…à si, elle est là, mais on ne voit que sa tête.
Chidori a été victime de la technique Doton, de la décapitation. Roy ne comprend toujours pas pourquoi j'ai un kunaï planté dans l'épaule. Et Itachi est complètement perdu (décidément, c'est une habitude pour lui, maintenant …non, Itachi, attend, tu dois attendre que je finisse cette fanfic avant de me tuer!!). Encore une fois, il se retrouve au milieu d'une discussion incompréhensible. Quand à moi, je suis coincée entre deux sadiques et ne sachant pas trop quoi faire. Roy finit par poser la question qui lui trotte dans la tête depuis un moment :
- Et comment as-tu fait pour te mettre, encore, dans une telle situation avec une personne potentiellement dangereuse.
- (Itachi n’est pas potentiellement dangereux. Il est dangereux !)…j'ai bien peur que ce ne soit, encore, qu'un misérable concourt de circonstances.
- Et puis-je savoir lesquelles ?
- Mon sens de l'orientation, cette fois.
- Je vois, je vois….c'est donc de ta faute.
- Mais, je…
- Aucune discussion possible.
Il se tourne alors vers Itachi, pour la première fois, et lui dit :
- Monsieur Uchiwa, veuillez excuser ma subordonnée pour tout ce qu'elle a pu faire ou dire. Je sais par expérience qu'elle a la fâcheuse manie d'énerver les gens qui sont entre elle et son objectif.
- (il n'a pas bientôt fini de me faire des compliments ?! Je suis en train de me taper la honte sur un autre monde : une honte inter mondiale, c'est pas la gloire!) …Pourquoi êtes-vous venu ? (à part pour ruiner ma réputation)
- Pour savoir pourquoi tu avais enlevé ton collier. Tu sais bien que tu ne peux rien me cacher.
- Pour me dépêtrer de ses pattes.
Je fais un signe de la tête en direction d'Itachi qui est toujours accroupit devant moi. Roy me regarde avec un sourcil levé, l'air suspicieux. Il finit par dire sur le ton sarcastique dont il a le secret :
- Je vois que ta tentative a été très fructueuse.
- …J'avais réussi, jusqu'au moment ou j'ai du remettre le collier de mes rêves et perdre connaissance. Si vous étiez venu dix minutes avant, vous m'auriez trouvé dans les vapes.
- Je vois, tu as donc tout sacrifié pour rien, puisqu'il t'a retrouvé et qu'il est en train de te le faire payer encore plus cher que moi.
- (ça reste encore à voir. Vous préférez quoi, vous, avoir une fois un kunaï bien planter dans l'épaule ou rester une semaine entière attacher avec les yeux bander en subissant un interrogatoire où vous ne pouvez répondre aux questions sous peine d'une punition éternelle de la part d'un Dieu, cette fois?) …C'est mon problème. Vous n'avez pas à vous en mêler.
- Erreur. Je suis ton tuteur. Il est de mon devoir de me mêler de tes affaires et de tes problèmes.
- (vous avez oubliez d'énoncer que vous en rajoutez, aussi)…
- Uchiwa, j'aimerai savoir ce que vous lui voulez tellement.
- Elle m'a promis de rester avec moi afin de faire ce que je lui demande pendant trois jours.
- Est-ce vrai ?
- J'ai quand même un mot à dire à ce sujet….
- Bon, voilà qui est réglé. Cécile, je t'ordonne de lui obéir pendant trois jours complets à partir de maintenant.
- (il ne m'a même pas laissé finir ma phrase, alors que j'aurais pu essayer de m'en sortir ! Mais je ne peux plus discuter son ordre maintenant…encore pleins de problèmes à l'horizon!)…Oui, monsieur.
- Bien. Et ne t'avise pas à essayer de t'enfuir une fois que j'aurais le dos tourné, tu sais que je serais au courant immédiatement…et tu connais la punition que tu encours.
- Oui.
Roy finit par partir, après avoir eu pitié de Chidori et de l'avoir sorti de sa position délicate. Il lui dit de partir informer Takara de ce qui vient de se passer sans déformer la vérité. Chidori disparait, après un regard désolé vers moi. Je lui fais signe de partir tranquillement. Itachi se retourne vers moi, un regard plus sadique que jamais dans les yeux. Je ne suis pas une trouillarde; mais un frisson d'effroi me parcouru malgré tout. Il me dit sur un ton presque amusé, par ma situation :
- Alors comme ça, tu t'appelle Cécile ?
- …Non, pas possible!
- Je pense que ce n'est pas le moment pour toi de faire de l'ironie.
Il fait un mouvement du bras et, malencontreusement, fit bouger le kunaï dans ma plaie.
- Aïe, j'ai compris…
- Brave fille.
- (enfoiré!)
- Bon, on ne va pas rester ici.
Il prend le kunaï d'une main ferme et le sort, en une fois. J'étouffe un gémissement de douleur alors que mon sang se met à couler en abondance. Il me soulève par le collier puis sans prendre la peine de me porter, il me traine jusqu'à la sortie. Sirocco attend patiemment mon retour et parait presque étonné de me voir ressortir dans cette position, avec Itachi. Celui-ci me balance sans ménagement sur le dos de Sirocco, puis s'apprête à y monter à son tour. Mais avant qu'il n'ait le temps de finir son action, je pense à Sirocco avec son armure, étant consciente des questions qui vont fuser sur moi. Mais rien ne se passe. Je regarde l'intéressé avec un regard plein d'interrogations. Il hausse des épaules en réponse. Mais je vois bien qu'il ne comprend rien à ce qui vient de se passer et que je vais devoir fournir des explications plus tard. Il monte juste derrière moi, un kunaï à la main et me dit :
- Si tu tente quelque chose pour t'enfuir je t'embroche sans ménagement. Maintenant, fait-le s'envoler en direction du sud-ouest.
- …
Sirocco, comprenant notre langue, n'a nul besoin d'une traduction et suit docilement les différentes directives d'Itachi.
Une fois arrivés à destination, il descend et me reprend par le collier, me fait tomber par terre, puis me traine jusque dans une maison. Ma vision commence à se troubler. J'ai perdu pas mal de sang. Je lutte pour rester éveillée, contre la douleur dans mon épaule et autour de mon cou. Je finis par perdre mon combat pour rester consciente et Itachi s'en aperçoit en me lançant juste un regard qui aurai pu vouloir dire : "C'est ballo, elle est tombée dans les vapes."
Quand je reprends connaissance, je suis allongée sur un lit aussi confortable qu'une planche de faquir. Je tente de bouger. Mais mes jambes sont encore attachées et mon épaule a été bandée mais un peu trop serrée. Je m'assure que mon sang peut quand même atteindre mes doigts. Et une fois rassurée, je laisse mon regard parcourir la pièce dans laquelle je me trouve. Ce fut vite fait, il n'y avait rien, à part une chaise et Itachi assit dessus. Il me regarde et me dit:
- J'espère que tu es bien installée.
- Tu peux pas imaginer à quel point le lit est confortable. Un peu de Paradis en enfers.
- J'ai été un peu trop gentil, alors.
- …si tu le dis…
- Revenons sur un sujet qui m'intéresse.
- Parce que si je suis bien installée n'est pas un sujet qui t'intéresse ?
- D'où t'est venue ta grande quantité de pouvoir pendant notre combat ?
- …du fait que j'ai enlevé le collier. C'est mon pouvoir d'origine.
- Et qu'est-ce que c'est ce "cheval".
- C'est pas un cheval !
- Selon ta réponse, je verrai si je le tue ou pas.
- Si tu le tue, tu me tueras sur le coup, aussi. Il n'est que mon âme. Nous sommes liés.
- Ton âme ?
- As-tu vraiment besoin que je répète ?
Soudain, un kunaï passe très, très près de mon visage. Itachi reprend :
- Change le ton sur lequel tu me parle. Tu n'es pas dans une très bonne situation pour utiliser ce ton.
- … (il plaisante pas…)
- Tu as toujours une deuxième épaule valide, ce serait dommage qu'elle ne le soit plus avant la fin des trois jours.
- … (fait chier)
- Réfléchis à ta situation. J'espère qu'à mon retour, tu seras plus aimable et bavarde.
- (je suis déjà aimable et bavarde…non?)
Je l'entends sortir de la cellule. Et je me mets dans un état de contemplation du plafond, qui est gris terne comme tout le reste de la pièce. N'ayant pas vraiment d'autre sujet de réflexion intéressant, je me mets à faire un point rapide de ma situation : je me suis retrouvée dans les mains d'un assassin pour une durée de trois jours (un peu moins maintenant). Mais soudain, un problème apparu : comment savoir quand les trois jours seront finis. Dans cette pièce, je n'ai aucune notion du temps. Enfin, je pourrai toujours demander à Sirocco depuis combien de temps je suis ici. Je fais une première tentative pour lui parler qui fut infructueuse. Puis une deuxième qui réussi. Je lui demande :
- Pourquoi n'as-tu pas répondu à ma première tentative ?
- Itachi est là. Il veut m'enfermer dans un box. Je suis obligé d'accepter.
- Pourquoi??
- Car Roy a dit de lui obéir.
- Il ne parlait qu'à moi !
- Nous ne sommes qu'un.
- Ça n'a rien à voir, tu ne rentre pas dedans !
- Pourquoi tu t'énerve pour si peu ?
- Il se sert de toi.
- Je ne me sers de personne.
- (Itachi, qu'est-ce qu'il fout dans cette conversation privée !) Itachi, la ferme, on ne t'a pas sonné. C'est un problème entre Sirocco et moi.
Je l'expulse de la conversation, réalisant les problèmes que ça va m'attirer dans un instant. Je reprends, pour expliquer à Sirocco ce qui me fait dire qu'il se sert de nous :
- La pièce dans laquelle je suis est sans fenêtre, je n'ai aucune notion du temps. Et si toi, aussi vas dans un tel endroit, nous pourrions rester plus que trois jours ici. Et en étant très pessimiste, plus que les trois semaines qui nous ont été accordées par Roy !
- Tu es toujours pessimiste, Cécile, calme-toi.
- N'y va pas, Sirocco !
- Je suis assez grand pour savoir quoi faire dans cette situation.
- Nous allons le regretter.
- C'est pour ça que je pense que je vais rester dehors, tant que possible.
Nous coupons la conversation et je pousse un petit soupir de soulagement, enfin quelque chose qui fonctionne correctement. La porte s'ouvre laissant …surprise, Itachi entrer. Il dit d'un ton mauvais :
- Pourquoi es-tu soulagée ?
Il sort un autre kunaï et le lance. Cette fois, il érafle ma joue laissant un filet de sang couler. Je lui retourne sa question :
- Pourquoi es-tu agressif ?
- Je t'avais demandé d'être plus aimable.
- (on se demande qui est le plus aimable des deux, moi, je n'envoie pas de kunaï à tout va) Il fait parti de l'amabilité, je croix, qu'on n'entre pas dans une conversation privé, d'autant plus quand elle est mentale.
- … au faite, c'est quoi cette armure ?
- C'est pour empêcher les gens de le toucher.
- Explique.
- Personne, à part moi, ne peut le toucher. C'est pour ça que quand quelqu'un veut monter dessus, je suis obligée de lui mettre son armure.
- Comment fais-tu ?
- Je pense à lui avec. C’est plutôt simple.
- Vous êtes très liés, non?
- Oui.
- Je me demande jusqu'à quel point.
- Quand je souffre, il souffre aussi. Quand j'ai le cafard, il me remonte le moral, et vis versa.
- Très intéressant…
- Je vois pas pourquoi.
- Mais moi, si.
- (ça ne laisse rien présager de bon!)…
- Encore une question. Que se passe-t-il si quelqu'un le touche, alors qu'il n'a pas son armure ?
- C'est pas bon. (pourvu qu'il n'aille pas plus loin…)
- Comment…
Par bonheur, pour une fois, il ne peut pas finir sa question car quelqu'un entre dans la pièce pour dire que le chef le demande dans son bureau. Mon "sauveteur" ressort, suivi par Itachi.
Je recontacte Sirocco pour lui dire de se cacher le plus loin possible, que quelque chose de pas bon pour nous se trame. Mais il refuse de me laisser toute seule. Nous partons dans un débat sur le fait que de toute façon, dans cette pièce, je suis toute seule et que tant qu'il ne meurt pas, il sera toujours avec moi. Epuisée, je finis par m'endormir, pour une fois que je ne ferme pas les yeux à cause d'une perte de connaissance.
A mon réveille, j'ai une envie d'aller étancher un besoin naturel. Le genre de besoin naturel qui ne peut pas attendre. Je m'aperçois qu'Itachi est de retour et déjà sur sa chaise. Je lui fais part de mon envie présente. Il ne fait aucun commentaire, "m'aide" à me lever et me traine, comme à sa nouvelle habitude, dans un couloir. Il finit par ouvrir une porte me fait entrer dedans puis referme la porte.
Quand j'ai fini, j'ouvre la porte. Puis Itachi me reprends par le collier. Je lui dis :
- Tu ne peux pas trouver mieux que ça ?
- Je n'ai pas l'intention de te détacher les pieds, après la démonstration que tu m'as faite. Et c'est moins fatigant que de te porter entièrement.
- (feignasse)
Nous continuons notre trajet de retour quand nous croisons un autre membre de l'Akastuki : j'ai nommé, Deidara.
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Alors, vous avez trouvé ça comment ? Ce n'est pas extra, je sais, les prochains seront mieux, j'espère.
Une petite review ?

Je me suis apperçue que je n'ai écrit aucune description, alors si vous en voulez, faite moi signe et je ferai un petit chapitre dessus (mais il faut réclamer, avec moi^^)
il me suifit d'un seul commentaire et je le fais. Ok????

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