Fiction: Anbus & Co.

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Rien.. Rien ne pourrais nous dire qu'elle est la,mais pourtant,dans une nuit noire une ombre se mouve sans bruits,comme si les feuilles s'écartaient a son passage,comme si l'air n'osait rentrer dans ses poumons ou le cas échéant n'oserait jamais en ressortir. L'ombre s'arrête brusquement sur une grosse branche, reprends son souffle et répare droit devant elle. Arriver a la lisière d'une clairière l'ombre s'arrête et plisse les yeux,des bruits de fêtes,des gens qui rigolent...dans cette maison l'éclat du bonheur –ou du faux bonheur- rayonne de milles feux et cela l'enrageait. Le bonheur… depuis longtemps elle avait perdu cette notion de la vie qui est pourtant si rare et convoité par tellement de personnes. Sa vie a été vouée a protéger un idéaux de paix, et le seule moyen qu'elle voyait qu'en elle s'engagea chez les anbus c'était de répandre la paix en répandant le sang,qu'elle erreur de sa part...elle ne le savait que trop bien .L'ombre était devenue son lieu de vie et le mystère son seul secret.

Elle serra le poings,enlevait son masque qui était devenue son seul visage et,grâce a la clarté de la lune l'on pouvait distinguer une longue chevelure noir,des yeux qui cillaient et quelques larmes perlées sur des joues moites. Les invités étaient plutôt des jeunes femmes d’une vingtaine d’années et elle n’eu pas de mal a trouver son homme. Kuzuki Mihao était un homme de petite tailles,dont le ventre était aussi protubérant que ceux des sumos d’entant,il avait des yeux de porcins qui brillaient de contentement. Visiblement sa chemise n’était pas a sa taille et il suffirai de gonfler le torse pour que celle-ci se craque et explose en petit morceaux de tissus blanc.Il distribuait a ses invitées des chopes de saké tous en balançant quelques petites histoires qui faisait rires –plutôt qui faisait forcer a rire-les jeunes femmes présentes. Ce genre de fêtes,pour les gens riches étaient extrêmement importantes car cela permettait d’être bien vue de la haute société.

Quand nous disons haute société cela veut dire patrons de mafias voleurs extrêmement riches ou encore, comme Mr Mihao vendeurs de fausses drogues qui,au lieu de donner la force tuait en un quart d’heure. Enfin des gens riches, donc peu aimables. Il va sans dire que, ses femmes là devaient être les filles de quelques mafieux qui en avaient asses de ses petite sauteries sans grandes importances mais ou l’importance était justement d’être présent…-n’essayez pas de comprendre cette petite phrase là…-Mais a la vu de ses rires forcés celles-ci auraient sûrement préférées être avec leur fiancé ou dans des soirées dansantes avec de beaux jeunes hommes fils de mafieux. Dans ses fêtes comme dans la vraie vie, l’hypocrisie était de mise. La jeune ninja, posée sur sa branche poussa un cri et se rua sur la maison,la fête serait gâchée,comme sa vie l'a été. Quelques secondes plus tard dans la maison une vitre explosa et des visages souriants ou encore des visages plongée dans une lassitude morne devinrent vite empreints de stupeur, une ombre passa dans la vitre cassée un scintillement fit cligné les yeux des invitées et un sabre fit régner la mort dans toute la maison. Après le dernier cadavre tombé a terre,l'anbu repéra Mr Mihao. Elle sourit et le corps de sa victime s'affala sur le sol taché de sang. La femme tourna la tête et repartit vers son village,sa mission était réussie,un homme dangereux venait d'être tué et elle n'en ressentait aucuns plaisirs.

De retour a konoha l'anbu -qui avait remit son masque non sans résignations- se rendit de suite dans la salle du département de la police pour faire son rapport a l' hokage. En arrivant devant la porte du bureau de Tsunade une extrême lassitude s'empara d'elle. Ce chemin,elle l'avait fait tellement de fois...tellement de rapports et dans ses rapports tellement de vies tuées tellement de sangs répandu. Enfin que du bonheur quoi...Elle toca et une voix endormi lui répondit. La kunoichi entra,et vit une Tsunade affalée sur son bureau avec un petit coulis de bave au coin de la bouche. Elle consulta l'horloge et vit qu'effectivement il était cinq heure du matin...Elle ne put s'empêcher de vouloir la réprimander:
_Godaime Sama! Debout voyons! Quesque sa veut dire sa! Je me crève toute la nuit et vous vous dormez?Vraiment incorrigible...

Tsunade leva les yeux ou des cernes béantes tombaient a n'en plus finir sur les joues. Aparrament elle non plus n'avait pas dormie de la nuit. Elle se leva tant bien que mal et toussota:
_Ah… c'est toi Mahiro…alors ta mission?

Mahiro fit un geste las
_Vous connaissez déjà la réponse...
_Bien,bien tu auras ta prime.

Mahiro se mordit les lèvres retint sa respiration et comme un jeune garçon qui demande a une fille de sortir avec lui demanda dans un souffle:
_esquejepeudemissionne?
_Hein?
Tsunade n'avait apparemment rien compris..

Mahiro reprit son souffle bomba le torse et dit d'une voix claire cette fois-ci
_Madame,je veux démissionnez
_HAHAHAHA quelle bonne blague dès le matin j'y crois presque!
_sa n'est pas une blague...
_C'est hors de question!
La réponse était de toute façon évidente. Tsunade reprit:
_Il nous manque de bons ninjas tu le sais et il est hors de questions que tu parte. D'ailleurs,tu va réintégrer une équipe.
Mahiro voulu répondre mais elle se fit couper
_Non ne dit rien. Je suis au courant de se qui c'est passé il y a trois ans mais…c'est le règlement et je dois te confier des missions extrèmements importantes que tu ne peut réussir qu'en équipe. Bien que je comprenne que sa ne t'enchante pas,c'est les risques du métier.

Mahiro baissa les yeux les larmes coulèrent sans qu'elles ne puissent les empêcher de venir. Elle voulait oublier cette histoire mais elle savait que c'était impossible,un jour sa la rattraperait et cela la rattrapée. Elle devait si faire même si,ses deux gens ne les remplacerons jamais...De missions en missions elle essayait d'oublier mais l'on ne peut oublier son passé,il nous rattrape un jour ou l'autre.
_Quand verrais-je mes coéquipiers Godaime-sama?
_Cet après-midi même a la stèle des ninjas disparus.
_J'aurais aimée autre part...
_Je le sais. Quand vous aurez fais les connaissances rejoignez moi dans mon bureau.
_Bien.

Mahiro quitta le bureau et se rendit chez elle. Elle se doucha et s'affala sur son lit et ne fit que pleurer. Elle pleurait en repensant a eux mais elle pleurais aussi parce que justement elle pleurait. L'être humain est difficile a comprendre...les filles aussi -cette phrase je l'ai écrite avec Shikamaru- .L'après-midi venue elle se rendit a la stèle des shinobis morts au combat. Il pleuvait ,le ciel était gris Et la stèle abîmée par les ans gisait la comme un souvenir,cette stèle n'était faite que de souvenir,ce n'est pas les pierres qui l'on forgé mais les noms inscrits dessus. Tel était l'impression de Mahiro. Les deux noms étaient inscrits en haut de la liste mais Mahiro ne pleurait plus,elle souriait en repensant a eux -trop trop bizarre les filles..- .Aux bons moments,c'était de sa qu'il fallait se souvenir. Derrière elle des bruits de pas et des gens qui chuchotaient. Elle tourna la tête.





Voila la fin..vous saurez le reste devinez comment?Allez quoi un effort! Eh oui pour les plus perspicaces qui ont trouvés c'est bien en lisant le 2ème chapitre mais j'ai peur qu' il arrive d'ici assez longtemp....
désolé pour mes fans!!!
*Je m'y crois trop la?*

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