Fiction: toute l'histoire de sa mort...

Le sang coulait le long de sa poitrine, je retirais mon arme dont le sang goûtait. Sous mes yeux, par ma main, tout le mythe s'effondrait, par ma main, il mourait. Mais avant que cette ordure ne perde son dernier souffle de vie, je posa sur son front un baiser, sous mes lèvres bleu délavé, un symbole noir se formait, le symbole de la mort... je serait prés de moi mon kunaï et me levait, j'ouvrit avec lenteur mon oeil gauche, le droit étant caché par un bandeau, il faisait noir...
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anko24 (Féminin), le 11/07/2007
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Chapitre 1: Par une nuit sans lune



Le sang coulait le long de sa poitrine, je retirais mon arme dont le sang goûtait. Sous mes yeux, par ma main, tout le mythe s'effondrait, par ma main, il mourait. Mais avant que cette ordure ne perde son dernier souffle de vie, je posa sur son front un baiser, sous mes lèvres bleu délavé, un symbole noir se formait, le symbole de la mort... je serait prés de moi mon kunaï et me levait, j'ouvrit avec lenteur mon oeil gauche, le droit étant caché par un bandeau, il faisait noir...Mes yeux s'habituèrent peu à peu à l'obscurité habituelle des lieux, il faisait froid. Toujours ressassé, chaque nuits et chaque jours, chaque minutes, chaque secondes...ce rêve. Depuis le jour ou il m'avait montré toute l'étendue de son amour paternelle! Je me souviens plus de ce jour que tous les autres, un jour terrible, le drame...

Cette nuit là, j'avais fait un rêve étrange, il y avait un grand et long couloir, avec une sorte de fumée noire, du chakra? Je suis maintenant disposer à l'approuver. Je m’avançais vers la source de tout ce chakra, la source de toute cette puissance. C'est ainsi que je suis arrivée dans une grande salle, en face de moi, je n'en croyais pas mes yeux, il y avait des barreaux, comme une immense cage...Le chakra noir provenait de là. Je m'avançait d'un pas hésitant, et là, je vis un immense dragon, monstre dont la tête seule faisait au moins trois fois ma taille...Et là, je me suis réveillée, ou plutôt j'ai été réveillée. J'était en sueur, juste au dessus de ma tête, il y avait un kunaï et au dessus du kunaï...mon père.

Lorsque il allait enfoncer son kunaï dans mes entrailles, je roulait sur le côté et tombait de mon lit in extremis, la première chose qui me vint à l'esprit fut de fuir, je sauta par la fenêtre et courut dans la forêt, et courut encore jusqu'à ce que...je rencontra une créature hideuse, un monstre de cruauté et de lâcheté absolue: mon père. J’avais quatre ans à l'époque, et je suppose que je devais le "gêner" car il voulait se débarrasser de moi. J'allait oublier de vous dire que je suis la fille de Orochimaru et l'actuelle Hokage, lorsque j'ai eut trois ans, mon père qui ne m'avait jusque là encore jamais donné signe de vie m'avait "volée" à ma mère. Mais revenons en à notre combat, donc je me trouvait nez à nez avec mon père. Je recula juste à temps avant que celui-ci ne me plante un kunaï dans le coeur. Au début, je ne faisait qu'éviter ses coups, disons qu'à quatre ans, l'instinct meurtrier c'est pas encore ça et que pour vraiment capter toute la subtilité de la situations...c'était un peu juste. Je refusais donc catégoriquement de frapper et même carrément de blesser mon père, jusqu'à ce moment; en reculant pour éviter un coup mortel, je trébucha sur une racine et me retrouva à terre. Profitant de cette merveilleuse opportunité, il s'est jeté sur moi avec son arme, je parais le coup au dernier moment, et tentais de résister. Et là, je vis sa haine déformer son visage, ses yeux portaient toute la colère du monde pour la déverser sur moi. C'est à ce moment que je compris la vraie nature de mon père...

Je parais toujours son kunaï avec ma main droite, j'ouvrit instinctivement ma main gauche où une lueur noire apparut, elle formait une boule de chakra noir, je ne ressentait plus la fatigue, ni la peur, je lança mon attaque sur sa tête, il cria, s'époumona, cracha tous ses poumons puis s'envolât pour s'écraser sur un arbre. Ma main tremblait, elle était comme vidée. Tous mon corps tremblait. C'était comme si était compressé en moi, la puissance d'un démon. Ma force actuelle ne pouvait guerre le retenir longtemps, d'un coup, il sortit. Deux énormes ailes de chakra étaient sortit de mon dos et mon oeil fut soudainement très douloureux, j'en était presque au sol tellement la douleur était violente. Je...j'en pleurai, je sentait un liquide froid couler sur ma main, je la regarda et, ce que je vis à ce moment là n'avait rien de simples larmes, l'eau pourpre coulât le long de mon bras avant de venir tacher de sang le sol de la forêt. Je saignais. Je saignais de l'oeil. J’arrachai de ma main tremblante un morceau de bandage qui était sur mon bras suffisamment long pour couvrir toute la superficie de ma tête et l'attachais autour de ma tête pour couvrir mon oeil et serais fort. Ce fut à ce moment là que mon père, qui venait de se relever décida de m'attaquer avec un jutsu très puissant. J'eu à peine le temps de lever la tête, je ne pus parer l'attaque...

Lorsque j'ouvrit l'oeil, je m'aperçut que je n'avait rien et que...mon père était lui évanouit! Lorsqu'il m'avait attaqué, le chakra noir avait, semble t'il, créé un bouclier autour de moi pour me protéger.

Mon père était là, inerte, je m'approcha de son corps et lui prit son kunaï...Je le regardait gisant sur le sol, pointait mon kunaï sur sa tête. Ma main tremblait. Je rangea le kunaï dans ma poche et m'enfuit, je courrait sans regards en arrière et semblait entendre mon père derrière moi, je courrais encore plus vite, je le voyait maintenant partout, je fermi les yeux. Lorsqu' enfin je décidais de m'arrêter, j'étais à la limite de la forêt. En face de moi se tenait un petit village.

Je n’avais pas la moindre idée de l'endroit où je pouvait me trouver, je n'avait encore jamais quitter la forêt avant...en fait je n'étais encore jamais été plus loin qu’à 20-30 mètres de la maison (avec tout le monde qui affluait là bas, on peut pas vraiment appeler ça un repaire secret). J'étais en pyjama. J'avais encore quelques bandelettes accrochées à mon bras vu que je me l’étais ouvert. J'avais bien sûr une bande autour de ma tête, tête qui était maintenant complètement ensanglantée... J'osais quand même m'aventurer dans le village.

Les gens d'ici ne semblaient apparemment pas surpris de croiser une gamine de quatre ans, en pyjama avec la gueule ensanglantée dans la rue! Ou alors, ils ont remarqué que j'était la descendante d'Orochimaru et ils ont peur que je puisse être aussi cruelle et insensible que lui, ou enfin ils sont effrayés de croiser une gamine de quatre ans, en pyjama avec la gueule ensanglantée dans la rue...ou quelque chose du genre...Lorsque je posait mes yeux (ou plutôt mon oeil) sur les divers habitants du village ils détournaient les yeux et tentaient de s'éclipser le plus discrètement possible. (Faut dire que j'avais, à ce moment là, le "regard qui tue"). J’aperçus devant une pharmacie, j'y entra. La vendeuse fut aussitôt terrifiée, aussi elle balbutia:

« Bon...bonjours ... »

Je levai les yeux vers elle, elle faillit s'évanouir et poussa un cri.

« Des bandages, steuplai...

-...oh...uu..i, ou....ii, je.... »

Je lui jetai un regard impatienté, elle sauta au plafond et s'enfuit en courrant.

-....... »

Du coup je me suis servie et je suis repartie, j'ai vu un "love hôtel" et j'y suis rentrée (hum...disons que mon père n'avait pas encore eu l'occasion de me dire la subtilité qui le différenciait d'un hôtel classique....). Je suis montée par l'escalier et j'ai défoncé la porte de la première chambre venue, j'en ai expulsé les habitant et j'ai refermé la porte (non, mon père ne m'avait pas non plus appris la politesse). J'y passai la nuit. Le lendemain matin, j'ai enlevé mon pyjama et je me suis enroulée de bandes (c'est moins chère que des fringues!) puis j'ai glissé le kunaï entre deux bandelettes sur ma cuisse et je suis sortie.

En sortant je suis passé devant une boutique, j'y ai pris un short noir et je me suis cassée, comme toujours, les habitants semblaient terrorisés.

Je me mis en route vers un quelque part mieux qu'ici. Peu être chez ma mère si j'la trouve...
Je continuai mon chemin et arrivais dans une forêt, j'y entrais. Je marchais toujours, ne faisant plus attention aux changements de jours, sans me poser. J'aurai pu faire dix fois le tour du monde sans même être essoufflée, une étrange source d'un pouvoir sans limite semblait avoir élu domicile en moi...ça ne me gênait pas. Tant que ça pouvait m'aider. Je fermait les yeux, le silence de la forêt m'envahi mais, pourtant troublé par des voix humaines. Je m'arrêtait et ouvrit lentement les yeux, et là je vis...

Deux hommes en capes noir et rouge, il me fixait d'un regard terrible. Avait il encore peur de moi? Non, il étaient plutôt expérimentés...étaient ils surpris? Possible, pour en être sûre je leurs demandais:

« Bonjours »

Ils me fixaient toujours, peu être s'attendaient ils à ce que je m'enfuit en courrant...Ils me dévisagèrent puis l'un d'eux parlât, il était grand, brun avec des yeux rouges et avait d'énormes cernes sous les yeux (on aurai dit une sorte de zombi avec son teint pâle) :

« Tu ne semble pas savoir qui nous sommes »

Je leurs répondait au tac au tac:

« C'est vous qui ne semblaient pas me connaître... »

Le "zombi" m'attrapât par le col et me souleva dans les airs, je restais calme. Il reprit la parole :

« Qu'est-ce qu'une insignifiante gamine comme toi pourrait bien avoir de si extraordinaire pour que nous devrions la connaître?»

Je souris

« Je vous retourne la question »

Il me lançât un regard noir malgré que ses yeux soient rouges (ah ah ah quelle grande comique je suis!). Il me balançât au sol. Son compagnon était un mélange d'homme et de requin; grand, bleu, grande épée, gueule de thon (ah ah ah encore et toujours), il prit son énorme "cure-dent" et me menaçait avec:

« Tu dois vraiment être inconsciente pour oser t'opposer au grand et puissant Itachi Uchiwa!

-Tu dois vraiment être con pour raconter des conneries pareille, répondais-je en souriant »

Ont aurai dit qu'il allait exploser, il s'époumona tout en me détruisant les tympans:

« Comment ose tu critiquer le grand, le magnifique, le surpuissant Itachi qui possède le tout puissant managekyo sharigan, le plus puissant de tous les Uchiwa!!!!! »

Mes yeux s'écarquillèrent, je venais de comprendre. Je pointais mon doigt vers eux et dis:

« Vous....vous...vous êtes .... »

"Fish-man" explosa de rire, et Itachi me regarda d'un air supérieur, je tremblais:

« Vous êtes ... Gay! »

Itachi sera si fort son poing que son sang coulât, le requin le regardait, effrayé. Puis il rompu le silence:

« C'est vrai vous trouvez! Dit il avec enthousiasme, c'est merveilleux Ita... »

Mais Itachi ne le voyait pas sous cet angle, il jeta un regard étrange à "Fish-man" qui se figea puis me regarda les yeux vides. Que lui avait il bien fait? Puis, ensuite, son regard se posa sur moi...




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