Fiction: Quand les yeux disent tout...

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Pinaise, vite trouver un coin tranquille où se poser pour remettre toutes mes idées en place.
J’arpentais à vive allure les petites rues de Konoha à la recherche d’un endroit calme.
Une ombre passa devant moi.
L’enchaînement de mésaventures m’avait fait devenir complètement amorphe.
On me poussa contre le mur derrière moi ;
« Alors ma tigresse … on se laisse faire ?
_ Ki … Kiba … non lâches moi c’est pas le moment !
_ Que tu crois …
Sur ces mots, il se rapprocha jusqu’à plaqué son corps contre le miens : Je sentais son désir dans les deux sens du terme.
Il glissa ses mains sur mes hanches tout en fixant mon regard effrayé un petit sourire aux lèvres.
« Il ne va tout de même pas oser ! Pourquoi je ne réagis pas cette fois ?!... »
Sa main droite passa sous mon t-shirt, au moment où il allait atteindre les premières rondeurs de ma poitrine :
_ Kiba, s’il te plait fait pas ça !
_ Laisse toi faire … je ne te ferais aucun mal je peux te l’assurer …
_ Non, je peux pas ... dis je en le repoussant
_ Et pourquoi ?
_ Je ne t’aime pas …
_ Ah …
Sans prévenir, il m’attrapa le visage entre ses mains et m’embrassa avec un mélange de brutalité et de douceur.
Il s’arracha ensuite et parti en murmurant un « Dommage … » me laissant là avec un bordel monstre de pensées de sentiments de questions.
Je restais là, sans bouger, comme si j’avais peur que le sol se dérobe au moindre pas.
« Pourquoi je n’ai pas réagi ? Pourquoi a-t-il fait ça ? Pourquoi je n’avais pas détesté ce « contact » ?? Et POURQUOI je me posais tout ces « pourquoi » ??!! »
J’en perdais mon latin … et tout homme empreint de misogynie aurait répondu exaspéré
« MAIS c’est PARCE QUE tu es une FILLE !! » (véridique)
Seul endroit : mon appart.
…
Au faite il est où cette appart ? … hé merde.
Bin oui avec toutes les conneries qui se sont affilés je n’y suis jamais allé.
Bon tout d’abord il me faut les clés : allez on met en marche la caboche !
Pour avoir les clés, faut aller voir Shizune et elle se trouve …
Tic tac tic tac cling !
... au palais de l’autre folle ...
Ah nan ! Je retourne pas dans ce truc de chtarbé !
_ Tu parles encore toute seule Nëva ?
_ Arg !!
Sous le choc mon cœur partit se cacher dans ma fesse droite.
On se caaaalme, l’épouvantail de service peut nous aider.
_ Ahh c’est toi Kakashi !! L’air doucereux et faussement désinvolte aurait pu passé pour vrai si mes yeux n’avaient pas tourner aux jaunes instantanément.
_ Dit moi, oh mon Kakashinounet …
_ M’appelle pas comme ça, quest ce tu veux l’hypocrite de service ?
_ Les clés de mon appart et, accessoirement, me dire où il est.
_ Mouais …y me faudra un truc en échange
Sur ces mots il se volatilisa dans un nuage de fumé.
Après 5 longues minutes, il revint en faisant tinter les clés qu’il fourra aussitôt dans une de ses poches.
_ Bon on y va ?
_ Je te suit !
Sous mon apparence décontractée je continuais tout de même à cogiter.
Mes yeux passaient du noir, au rouge, au bleu ; Kakashi n’eut pas besoins de recourir à son génie pour comprendre qu’il y avait un problème.
Il me posa plusieurs fois la question mais je m’obstinais à nier l’évidence.
_ Nëva ARRETE ! Qu'est ce que tu as A LA FIN !
_ Mais rien ! J’ai rien ! … bon tu me passes les clés parce qu’on est un peu devant la porte …
_ Ah euh oui …
Il commença à fouiller dans ses poches : kunais, mouchoirs, ordres de missions, 3 tomes du « Paradis du Batifolage », boxer à fleur, nounours, menottes à fourrure rose ( d’ailleurs Kakashi devint rouge à la vu de cet objet bredouillant un « désolé …pas moi … Anko… ») ; moult objets aussi bizarres les uns que les autres virent s’ajouter à la liste.
« Supercalifragilisticexpialidocious !! » avais je hurler entament une danse des plus grotesques.
_ Euh … Tu es vraiment sur que ça va ? … Ahh enfin j’ai trouvé les clés ( et perdu ma fierté …)
Il ouvrit le petit appart me laissant entré la première ; Petit mais pas moche déjà aménagé.
_ Bon vu que tu m’as accompagné j’vais t’offrir un verre !
_ Euh …
_Bah quoi ? Quest ce qu’y a ?
_ Ouvre le frigo, tu verras.
Sitôt dit sitôt fait … est ce que vous voyez le cerveau d’un fashion ? bah pareil : Niet nada rien quoi.
_ Merdeuh …




Petiiiit je sais mais j'ai très peu de temps pour tout et vu que la fanfiction est secondaire bah c'est celle qui avance le moins vite ^^

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