Fiction: Quand les yeux disent tout...

1ère fan fiction... : Mélange de mon dessin concours Profs et de ma femme sur une panthère le tout mélangé avec une histoire ça donne un truc que je voulais écrire depuis longtemps. L'histoire d'une femme qui peut se faire trahir à tout moment par ses yeux.
Classé: -12I | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 9385 | Comments: 40 | Favs: 34
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Cy. (Féminin), le 08/08/2007
Soyez indulgents ... ^^



Chapitre 2: Mystère



Après cela s’enchaîna de longs jours ponctués de va et viens d’infirmières.
L’ennui. Rester sur un lit à rien faire. Personne ne me parle, la solitude s’installe avec une envie de sortir à l’air libre de plus en plus prenante.
Je sombrais peu à peu dans une torpeur me faisant oublier l’univers aseptisé qui m’entourait, une voix retentit :
« Sors … je n’en peux plus de cet enfermement…
_ Qui est tu ?
~ L’esprit qui t’habite…
_ Un démon ?
~ En quelques sortes … Mais sors …
_ Ce n’est pas que je ne veux pas mais je ne peux pas : mes jambes.
~ Je m’en occupe … je te préviens ; ça ne sera pas sans douleurs …
Une douleur vive me sortit de ma torpeur ; Du chakra argenté tourbillonnait autour de mes jambes. La douleur allait crescendo ; je sentais chaque filament de mes muscles se raccrocher au tendon ; je me mordis l’avant bras pour ne pas hurler.
La douleur s’arrêta me laissant haletante, trempée de sueur.
« A quoi tu joues ? ... »
Sans prendre le temps de savoir qui s’était j’ouvris la fenêtre et me jeta dans le vide sans hésitation ; je fus surprise de voir à quel point mes sens s’étaient développés ; je voltigeais me rattrapant à des lampadaires ou atterrissant sur des toits d’immeubles avec une aisance stupéfiante.
Deux ombres me coursaient.
J’atterrissais au milieu de la foule continuant ma course évitant étalages, gens, bicyclettes, pingouins …Pingouins ?! … Bref... .
J’arrivais dans une partie du village ou il n’y avait pas d’habitation ; que des terrains.
Je vis peu à peu des gens s’entraînant à diverse jutsus :
« Faut pas que je traîne dans ce coin, si ces ninjas se ramène c’est la cata ! »
Trop tard … .
« Mais qu’est ce que … ENCORE CETTE TECHNIQUE ! Shikaku … LACHE MOI ! m’écriais je.
_ Ah non c’est pas Shikaku …c’est son fils.
_ HEIN ?!
_ Décidément la famille Nara m’aide beaucoup en ce moment ! ^^’
_ LACHEZ MOI !
_ Ah oui ? Et où comptes tu aller avec une tenue aussi légère ? (héhé)
Je réalisais que maintenant que je ne portais qu’une chemise boutonnée qui m’arrivait jusqu’à mi-cuisses ainsi qu’un shorty. Mes yeux passèrent au vert et mes joues ; au rouge.
_ Tiens j’en conclue que cette couleur exprime la honte ! s’exclama-t-il, fier de sa découverte.
_ Personne ne vous a demandé de me regarder ! Et toi LACHE MOI !
_Bon vas y lâche là Shikamaru.
_Vous êtes sur sensei ? Elle a l’air trop galère cette fille …
_ Comment ça je suis galère !!??
_ Vous voyez ? Bon ok je la lâche mais ne venez pas vous plaindre après …
Arf c’était vraiment la honte, je supporte pas le regard des hommes sur le corps des femmes ; il est toujours empreint à une perversité profonde.
Saleté d’yeux.
_ Bon tu retournes à l’hôpital, déclara kakashi d’une voix morne.
_ Non … non … j’veux pas … j’peux pas … il est bien là …
_ « il » ?
_ La chose qui me parle à l’intérieur de moi, qui m’a soigner … Je suis pas folle hein kakashi ? Je suis pas folle … .
Je tremblais de tout mon corps ; pour moi entendre des voix c’est jamais un bon signe.
Ce fut le comble quand je vis le regard étonné de l’épouvantail.
_ Ok tu ne retournes pas à l’hôpital mais on va voir Godaime. … Bah qu'est ce que tu attends ? Viens !
_ Tu … tu pourrais me donner quelque chose … pour me couvrir … ?
Ouais c’est vrai elle était peu couverte mais c’était pas la mort. Il se rendit tout de même compte qu’avec même un très léger coup de vent la chemise risquait de se soulever et de montrer un peu trop du corps de la jeune femme étant donné qu’elle n’avait sûrement rien en dessous.
« En remarque ça serait ptêt pas déplaisant … » Surpris d’avoir penser à de pareil chose il se remit les idées en place en se disant qu’elle n’avait que 17 ans ( pas très convainquant l’argument…).
_ Bon tiens voilà un pantalon.
_ Mais d’où tu le sors ?
_ Héhé …
* Kakashi c’est Marie Popins *
Je pus enfin prendre le temps pour détaillé la ville étant donné qu’à chaque fois je passais en coup de vent.
Elle a un certain cachet avec ces petits stands et son animation marchande. Tout ce brouhaha avait fais le même effet qu’un verre de saké ; j’étais sur mon petit nuage et se fut cette emplumé d’épouvantail (spécimen rarissime) qui me tira de cette douce rêverie.
_ Nëva ? ouhou ? Tu m’écoutes ?!!!
_ Hein ?
_ On - est - arrivé.
Joignant le geste à la parole il ouvrit la porte me laissant découvrir une Godaime faisant du crawl à plat ventre sur son bureau une bouteille de saké à la main en chantant « It’s raining a man Aléloooooooooouiaaaaaaa !!! » le tout dans un désordre monstrueux.
_ ...
_...
Celle-ci nous aperçut.
Gros silence.
Une mouche vole.
Finalement nous nous prîmes purement et simplement la porte que nous venions d’ouvrir dans la tronche.
_ Elle est tout le temps comme ça ?
Kakashi ne répondit pas sûrement en train de voir l’avenir de Konoha entre les mains de cette dépravée ; il avait … peur.
La porte se rouvrit et la stupeur ; c’était comme si rien ne c’était passé ! Tout était rangé !
_ Oui ? Que puis je pour vous ?
_ Oh ! Vous me donnez votre technique pour ranger et désaouler aussi rapidement !?
_ Ca ma chère ça s’appelle l’expérience. Alors ? Qu'est-ce qui vous amènent ? Asseyez vous.
_ Nëva semblerait avoir un démon en elle …
_ Dites moi … un démon c’est incontrôlable, méchant, monstrueux, dangereux, … ?
_ Tout à fait.
_ Alors la chose qui m’habite n’est pas un démon.
_ Expliques toi, me pria la Godaime un peu déconcertée.
_ Il ne m’a parlé qu’une fois et c’était pour m’aider et puis je sens que ce n’est pas une aura monstrueuse … juste une âme solitaire mais avec tout de même une force un peu effrayante ...
_ Tu as des marques ?
_ Des marques ?
_ Oui , des signes des seaux qui auraient pu enfermé ce bijuu ?
_ Euh non non rien … enfin j’ai juste des espèces de petites tâches noir dans dos mais rien de très important …
_ Montre moi quand même.
_ C’est que … .
Mes yeux tournèrent au vert et un regard furtif vers Kakashi fit comprendre à l’Hokage que je n’avais aucune envie de me dessaper devant lui.
_ Euh Kakashi … Pourrais tu attendre dehors s’il te plait ?
L’épouventail quitta la salle un peu à regret en se disant qu’il avait mieux : Le tome 8 du Paradis du Batifolage à finir maigre compensation tout de même.




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