Fiction: Quand les yeux disent tout...

1ère fan fiction... : Mélange de mon dessin concours Profs et de ma femme sur une panthère le tout mélangé avec une histoire ça donne un truc que je voulais écrire depuis longtemps. L'histoire d'une femme qui peut se faire trahir à tout moment par ses yeux.
Classé: -12I | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 9385 | Comments: 40 | Favs: 34
Version imprimable
Aller au
Cy. (Féminin), le 14/03/2007




Chapitre 1: l'arrivée



Courir … vite … encore plus vite … ne pas se retourner … fuir …. .
Pourquoi elle courait ? Elle n’en savais rien c’était son instinct ultra développé qui la poussait à fuir , fuir ces gens vêtus de noirs tous plus effrayant les uns que les autres.
Elle ne savait plus pourquoi on la poursuivait, ni pourquoi elle était dans cette forêt les auras qui la poursuivait étaient effrayante de monstruosité.

« Vite il faut que je trouve un moyen de me planquer … Rhhhaaaa mais qui sont ils !!! Lâchez moi ! … »
Enfin elle sortait de la forêt ! Devant elle, les portes d’un village, non d’une ville, étaient ouvertes : plus le choix ; c’est le sprint en espérant que ces bonnes vieilles jambes ne me lâchent pas à la dernière minute !
Je franchis enfin ces portes en trombe ; c’est à CE moment que mes jambes ont choisit de ne plus suivre me faisant faire plusieurs roulés-boulés dans un véritable nuages de poussières ; Bravo ! Quelle arrivée … .
« Qui es-tu ? M’interrogea une voix menaçante.
Oula , mon cerveau a dû faire 3 tours sur lui-même « Pa … pardon … je … où ? » bafouillais je complètement perdue.
_ QUI est tu ?! La voix était de plus en plus menaçante. Quelque chose de tranchant vint se plaquer juste sous ma gorge. Entre temps le nuage se dissipa et je me rendis compte que l’homme était loin d’être seul : 3 hommes « m’immobilisaient » !
_ REPOND ! L’homme appuya brusquement sur le kunai qui commençait à rentrer peu à peu dans la peau.
« Mais il va finir par m’égorger ce con ! »
D’un geste souple je me dégageai, grosse erreur ; mon acte étant jugé sûrement comme un acte d’attaque je me retrouvais attaqué de par et d’autre :
« Alors la c’est la merde ! »
Bien qu’hargneux leurs niveaux étaient assez faible ; les éviter étaient un jeu d’enfant.
Au moment où j’évitais une attaque balourde de l’homme qui m’avait écorché la gorge, je ressentis une secousse qui me projeta à terre.
Une voix d’endormi s’éleva : « Bon t’es qui ? Pourquoi tu es là ? »
Un épouvantail à masque m’apparut.
La voix était peut être calme mais mon instinct me criait de me méfier ; ce n’était pas un de ces gardes de pacotilles ; loin de là !
_ Je m’appelle Nëva et j’en sais rien … répondis je
_ Comment ça « t’en sais rien » ?
_ Je me rappelle plus de rien ! Des types en noir me poursuivaient et …
_ Des types en noir ?
_ Ouais avec des nuages rouges super kitch.
Sur ces mots il me dévisagea de la tête au pied ; il avait devant lui une ado de 17 ans à tout péter, les cheveux ébouriffés, vêtue d’un T shirt large et d’un pantalon en lambeaux, en gros ; habillée comme un sac.
Son regard changea, il devint dur. Son aura décupla. Prise de panique, mon instinct me criait de m’écarter même si je sentais qu’il n’était pas méchant.
Enfin … m’écarter … en gros je pris mes jambes à mon cou ! ( Quel courage ^^’)
RE Grosse erreur.
Je me retrouvais ENCORE pourchassée ! Y ME LACHERONS JAMAIS DANS CE PAYS !!!!
Je pris la première rue perpendiculaire et je ne pus me retenir de lâcher un " OoOooh merde" …) : devant moi, un groupe de 10 personnes ayant tous une aura équivalente à l’épouvantail.
_ Deeeeeeeeeemiiiiii touuuuurr !!
_ Non on ne bouge plus … déclara une voix calme.
Je ne pouvais plus bouger d’un pouce ! Mon corps ne répondait plus ! C’est quoi ce bordel !?
_ Tiens Shikaku ! Merci, tu m’as facilité la tache !
_ Hooo tiens l’épouvantail …dis je tout bas
_ Pardon ? Tu as dit qu’elle que chose Nëva ? Dis t il sur un ton ironique.
_ …
_ Bon ; C’est qui cette fille ? demanda le dénommé Shikaku
_ Oh une fille qui se fait pourchasser pas L’Akatsuki …
_ Ah ouais ?
C’est à ce moment là que je choisis d’exploser :
_ NAN MAIS C EST PAS VRAI ! JE ME FAIS POURSUIVRE PAR DES DINGUES ET C’EST MOI QU’ON POURCHASSE !!
_ Si une organisation tel que l’Akatsuki te cherche ce n’est pas pour rien !
_ Mais c’est QUOI l’Akatsuki ??!! Et viens me parler en face car pour ta gouverne ; JE PEUX PAS BOUGER !
_ L’Akatsuki c’est une méchante organisation qui va te faire très bobo si tu commences ; soit à l’entraver soit à l’intéresser, capiche ?
_ Rrrwww ….
D’un coup je ressentis une vive douleur au niveau du cœur, mon instinct qui me sauva si souvent me chuchotait qu’une personne commençait à mourir. Elle n’était pas loin ,là, et réclamait de l’aide. J’étouffais.
_ Vite relâcher moi ! vite !!!!
_ Bah voyonnnnns !
« ils ne m’écouteront jamais ! »
Plus qu’une solution échapper à cette chose qu’il m’immobilisait : alors commença une véritable lutte avec mon organisme cloué au sol ; je forçais. Shikaku s’en rendit compte et essaya de me retenir.
Il étais hors de question de laisser quelqu’un mourir ; mon corps souffrait je luttais pour me décoller de cette emprise. Peu à peu j’y arrivais sous les regards stupéfaits.
Shikaku ne pouvant plus me maintenir relâchât son chakra.
Je m’affalait par terre pour tout de suite me relever, courant vers le magasin où quelqu’un appelait à l’aide.
J’entrais en trombe tombant sur un homme évanouit, s’en perdre de temps je commençais le massage cardiaque préférant la méthode « artisanale » au chakra.
L’épouvantail entra et se précipita sur moi croyant que je l’agressais, il eut un geste de recul quand il vit mes yeux passer au blanc.
« Laisse moi faire. » dis je d’une voix qui n’était pas la mienne.
Quelques secondes plus tard l’homme reprenait connaissance. Entre temps les autres hommes comme l’épouvantail étaient rentré.
Ils aidèrent l’homme à ce remettre debout afin de le transporter à l’hôpital.
Nous sortîmes du magasin quand des douleurs affreuses se mirent à m’irradier les jambes.
Je m’écroulais à la verticale.
_ Quest ce qu’il t’arrive ?
_ Mes… mes jambes … dis je les larmes aux yeux.
Un homme le poussa légèrement :
_ Attends.
Il pris mon pantalon qu’il déchira de toute sa hauteur.
« Wow ! Il nous fait quoi le coco !? »
Et commença me palper la cuisse sous le regard intéresser des autres gars.
Là s’en était trop ! Pas touche à ça bande de pervers !
Le Shikaku se mangea mon pied in this Face, là ENCORE grosse erreur ; rien que le faite de bouger la jambe ne fit qu’empirer la douleur, arg.
_ Calme toi Nëva il ne fait rien de mal !
_ Oh toi l’épouvantail ! dis je entre deux atroces douleurs.
_ Euh ouais … mon nom c’est aussi Kakashi, dit il un peu perturbé.
Le Shikaku finit par reprendre la parole en se massant la joue :
_ Bon en gros en essayant de s’extirper de mon emprise son organisme à mal survécu ; ses muscles de cuisses et mollets ont lâché, étonnant qu’elle est pu marcher et même courir après ça ! Il faut l’emmener de suite à l’hôpital.
_ C’est bon l’épouvantail s’en charge … ! Déclara Kakashi d’un ton narquois.
Il me pris délicatement dans ces bras et m’emmena à l’hôpital.
Sur le chemin, j’eus tout le temps de l’examiner certes les douleurs étaient atroces mais on m’a souvent dit qu’il fallait penser à autre chose.
Il avait les cheveux en bataille, un bandeau qui lui cachait l’œil gauche et un masque qui lui cachait le bas du visage. Je sentais à travers ses vêtements une musculature fine d’un homme qui s’entraînait beaucoup. Je sombrais peu à peu dans un état comateux lorsqu’une véritable envie de s’avoir ce qu’il y avait sous ce masque me prit ; je levais une main molle vers le masque :
_ Non non, personne n’a le droit, me dit il en repoussant doucement ma main.
Cette fois je perdis connaissance pour de bon.

« Hooo ma tête … oula c’est blanc … c’est flou aussi … blanc ? Flou ? Y m’aurais pas m’y à l’asile ?? »
Peu à peu la vue me revint
« aïe aïe AÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏEEEE !!!! Mes jambes !!! »
La porte s’ouvrit à la volée.
« Quest ce qui t’arrive ?! On t’entend dans tout l’hôpital ! Déclara une femme aux cheveux bleus en tenue d’infirmière.
_ J’ai mal aux jambes …
_ Ah ok je vois, je vais te chercher de la morphine, je reviens. Dit elle en claquant la porte.
Bon voyons le décor : c’est blanc, c’est aseptisé, c’est dépriment … c’est un hôpital … .
« Ouahou … je te redécorais ça avec des couleurs et pleins de grosses fleurs … .
_ Si tu veux.
_ Hein ? Quoi ? * se tourne * AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH UN EPOUVANTAIL QUI PARLE !!! O_O
_ Je .stop. M’appelle .stop. KAKASHI !
_ Vous pourriez prévenir quand vous arrivez … j’ai eu une de ces trouilles …
_ Trop sympa … Bon passons ; Pourquoi l’Akatsuki te cherche ?
_ Je sais pas.
_ D’où tu viens ?
_ Je sais pas.
_ Pourquoi tu as les yeux qui changent de couleurs ?
_ Je sais pas !
_ Comment a tu sus que l’homme était en danger ?!
_ JE SAIS PAS !!!
_ ...
Je reviendrais plus tard … essaye de trouver des réponses.
En un instant il avait disparu.





Chapitres: [ 1 ] 2 3 4 5 6 7 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: