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Fiction: Rokudaime Sama

suite de ce que j'ai fait avant
Spoil | Général | Mots: 32887 | Comments: 50 | Favs: 23
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Garok (Masculin), le 19/03/2007
même si vous trouvez que c'est de la merde, laissez des comms.

Voilà, second chapitre, j'espère que ça vous plaira...




Chapitre 2: entraînement et première épreuve



Les six mômes étaient ensemble dans la forêt.

-Yoko, tu peux effectuer un balayage ? demanda le garçon au yeux rouges et aux longs cheveux brun à sa coéquipière.

La gamine aux yeux blancs hocha la tête.

-byakugan, murmura t elle.

Les nerfs autours de ses yeux se gonflèrent.

-Ryuzuka, attention ! Cria t elle presque immédiatement.

Le garçon qui lui avait demandé le balayage s’écarta sans poser de question. Il eut raison, une demi-seconde plus tard et il mourrait carbonisé. Aussitôt, sa main glissa vers un rouleau qu’il portait à la ceinture. De la main gauche, il le déroula, tandis qu’il s’entaillait le pouce droit. Il y avait sept inscriptions entourée dans le rouleau : rubis, ébène, saphir, diamant, émeraude, argent et or. Il appuya son pouce ensanglanté sur la première inscription en disant :

-invocation.

Un nuage de fumée, et un wakizashi rouge transparent apparut. Il s’en saisit et aussitôt les trois griffes du sharingan apparurent dans ses yeux. Il lança un regard à droite, et mit son sabre en position de parade. Une seconde plus tard, Kusanagi venait le frapper. Sasuke était en lutte contre son élève. Ils sautèrent pour mettre un peu de distance entre eux.

-Katon, Karyu endan no jutsu, lança le maître.

Le disciple répondit par un jutsu de foudre :

-raiton, rai ryuudan no jutsu.

Les deux attaques se rencontrèrent dans un fracas apocalyptique. Le choc souleva un épais voile de poussière qui cacha leurs adversaires au six enfants. Néanmoins, ils entendirent arriver le deuxième senseï. Naruto ne tarda pas à jaillir tranchant le nuage à l’aide d’une énorme épée à double tranchant. Les deux petits Uchihas, ayant vu venir l’attaque grâce à leurs sharingans, avaient pu prévenir les autres, ce qui était heureux, sinon ils auraient été impitoyablement tranchés. Les six lancèrent chacun une attaque ninjutsu sur le grand blond… et cet enchaînement eu pour seul effet de le faire s’évaporer dans un « pouf » fumeux. Le vrai jaillissait de l’ombre et s’apprêtait à abattre son énorme lame de plus de deux cents centimètres de long et cinquante de large (une épée façon Guts, dans Berserk, si vous voyez ce que je veux dire). A ce moment, un réveil résonna dans la forêt, sonnant la fin de l’épreuve.

-Bon, annoncèrent les deux senseïs, c’est fini pour l’épreuve pratique, maintenant, passons un peu à la théorie.

Naruto commença :

-Alors, Okita et Gennosuke, dit t il en s’adressant au deux Uchihas, vous comptez trop sur votre sharingan, qui n’est pas encore assez développé pour faire la différence entre des clones et un original. Et puis, il faut compter un peu sur votre coéquipière aussi. Je comprends que vous vouliez la protéger, mais Kogan est quand même la fille de notre Kage. Et n’oubliez pas que son attribut démoniaque est plus puissant que vos pouvoirs héréditaires…

Sasuke continua :

-Ryuzuka, lança t il à l’adresse du fils de son parrain, je sais que tu es très fort, et que tu es très fier de tes sabres, qui sont sans aucun doute des armes fabuleuses. Néanmoins, tu n’es pas infaillible. Laisses un peu faire les autres ! Tu as tendance à trop vouloir te mettre en avant. Oh, et une dernière chose : Ne cherches pas à contrer une technique quand tu peux l’esquiver. Je sais que ça fait partie de ton côté m’as-tu-vu-avec-mes-techniques-surpuissantes, mais ça a la fâcheuse manie d’obscurcir le terrain, et, pour peu que ton adversaire aie un peu plus d’expérience que toi, tu signes ton arrêt de mort et celui de tes camarades. Yoko ne sera probablement pas gênée, mais pour ce qui est d’Aogan… Mais bon, à part ça, vous êtes une bonne équipe ! Je suis content de vous. Vous devriez bien vous en tirez à l’examen chuunin.

-Moi aussi, je vous crois assez doués pour faire un bon score, ajouta Naruto pour sa propre équipe.

-Bon, à part ça, les mômes, continua Sasuke, je vais pas pouvoir vous voir pendant l’examen, parce que la Brigade bouge, et donc moi avec. Par conséquent, à partir de demain, vous serez confiés au bon soin d’Anko. Et vous avez intérêt à être sage, compris ?

Les trois mômes le savaient. Tenter de faire tourner cette folle en bourrique signifiait signer son arrêt de mort. Ce n’était pas une nounou comme Sasuke…

-Sasuke, Ryugan sama t’appelles. Je crois que c’est pour un dernier briefing avant le départ.

La personne qui avait dit cela était arrivée dans la clairière sans que personne ne s’en aperçoive. Il était grand, vêtu en juunin, mais avec une veste noire au lieu d’être verte, et avait l’air aussi jeune que l’Uchiha ou Naruto. Ses cheveux étaient roux, en bataille, mais vaguement vers l’arrière. Il portait un bouc au menton. C’était, avec Itachi, l’homme de confiance du Rokudaime. Sasuke n’en savait pas beaucoup plus sur lui, si ce n’est son surnom de « corbeau arctique ».

-Très bien, Ryumaru, j’arrive.

Il disparurent tous les deux dans un tourbillon de feuilles.


La forêt de la mort.

L’endroit où sont jetés tout les criminels non-ninjas condamnés à mort. Deux individus y invectivaient violemment des absents, semblaient-t-ils.

-Galère, ils font chier à être tout le temps en retard…

-Putain, Shikamaru, arrêtes de dire « galère », je sens que je vais m’énerver !

-Je dis ce que je veux, Neji ! Galère, je vais pas me laisser dominer par toi !

-Shikamaru, je suis peut-être pas Hinata, mais je peux quand même être très violent, alors, STOP !

-Tiens, intervint une nouvelle voix, les divisions noire et blanche ne sont elles pas sensée agir de paire ? C’est difficile à croire quand on vous voit vous disputer pour un oui, un non ou un « galère »…

-C’est pas les capitaines des divisions rouge et bleue qui agirait comme ça !

-Sasuke, Hakuharu, je vous signale que la dispute a en partie éclatée à cause de votre retard qui nous énervait. Dit Neji

-Oh ! Le Byakko de Konoha aurait il dû abandonner précipitamment une de ses conquêtes durement séduite ? Fait attention, à trop vouloir imiter Ryugan san, ça va se passer comme pour lui, c'est-à-dire que tu vas avoir de plus en plus de mal. Et puis si tu n’as pas sa chance, tu vas semer des mômes partout…

-La question n’est pas là, coupa Shikamaru, Ryugan sama nous a ordonné d’être près ici deux jours après le briefing à quatre heures du matin. Il est sept heures, vous êtes donc en retard.

-Mais nous ne sommes pas les derniers. Il doit encore arriver Yuna san. Par conséquent, celle qui vous retarde, c’est elle, et pas nous.

-On ne critique pas sa supérieure, fit une petite voix à l’oreille de Hakuharu. Si moi, j’arrive en retard, c’est que je suis la seule à y avoir droit. Les autres ne peuvent se la permettre.

La dragonne dit avec sa voix normale.

-Bien, désolé pour le retard, Hokage sama avait un dernier briefing.

-Tu parles, murmura le capitaine noir à son homologue blanc, il voulait sans doute la revoir pour un adieu un peu long…

-Hum, Hum… fit la dragonne pendant que Shikamaru se redressait brusquement comme un écolier pris en faute, nous devrions y aller.

Tous les cinq disparurent, l’un dans un souffle de vent, l’autre dans son ombre, le troisième dans une explosion de flamme, la quatrième en flaque d’eau, et la cinquième, et la plus puissante, dans un éclair…


Ryugan et Itachi était face à face dans le bureau du Kage. Ils étaient assis à la table de bois de chêne massif. Tous deux avaient les yeux baissés.

-Tu penses que j’ai bien fait d’envoyer la Brigades à Iwa. Si ça se trouve, le Tsuchikage ne nous veut aucun mal, et si ils sont localisés, ça pourrait faire un grave incident diplomatique…

-Tu sais très bien que tu ne t’es pas trompé, Ryugan san, répondit Itachi sans lever les yeux. C’est juste que tu aimerais que ce soit le cas, car ça épargnerait des vies de shinobis. Tu as changé en onze ans. Pas physiquement, mais mentalement. Je suis celui qui a été le plus proche de toi. Avant ça ne te gênait pas d’envoyer des hommes au feu.

-C’était toujours sur ordre. Je pouvais engager n’importe qui dans n’importe quelle bataille sans avoir à porter le poids des morts. Maintenant, Je n’agis plus sur ordre, je donne les ordres.

-Et c’est pour ça que tu ne peux te permettre une erreur. Dans le cas présent, je dirais juste « mieux vaut prévenir que guérir ». Et puis, ceux de la Brigade sont des experts en camouflage, ils ne se feront pas repérer. Tu sais, tu ne peux pas les sauver tous, alors essayes d’en perdre le moins possible…

-Tu as raison… Au fait, reprit-il sur un ton soudain joyeux, échec et mat !

-‘chier ! Tu gagnes encore…

Oui, il avait raison. Il le fallait.


-Bon, les mômes, comment ça va ?

Les trois de l’équipe de Sasuke étaient effondrés de fatigue. Anko était décidément une vraie folle. Il fallait à tout prix l’interner… Elle devina à leur regard qu’ils étaient crevés, mais n’y fit pas attention.

-Allez, du nerf ! L’exam’ est demain, si vous voulez être rentrés à temps, je vous conseille de monter cette montagne avec les deux mains attachées dans le dos très vite !

Non, folle était encore un mot trop doux pour la qualifier. Démoniaque serait plus juste.


Gennosuke se réveilla dans la chambre qu’il partageait avec son cousin pendant la durée de la mission de ses parents. Il descendit les escaliers, entra dans la cuisine où il trouva son oncle et sa tante en train de boire un thé.

-Bonjour, Itachi san, Hanoko san. Ça va ?

-Et toi ? Lui répondit le chef de l’ambu. Bien dormi ? C’est important d’être en forme, c’est l’examen chuunin aujourd’hui.

-ça peut aller… Si on oublie les ronflements d’Okita !

-D’ailleurs, où est-il, celui-là ? demanda la mère du su nommé.

-Il dort encore.

-A cette heure ci ?! Il va avoir droit à un réveil violent ! Fit-elle en montant les escaliers.

Vingt minutes plus tard, ils se rendirent tout les deux au point de rencontre de leur équipe pour aller s’inscrire à l’examen avec celle de Sasuke (en espérant que ceux-ci seraient rentrés à temps de leur séance de tor… euh, d’entraînement).


Troisième étage de l’académie.

-S’il vous plaît, laissez nous passer… supplia un Genin

Son aîné restait inflexible.

-Tsss, tu veux crever ? C’est pas de la rigolade cet examen. Certains en sortent défigurés, d’autre fou, d’autre pas… Eh, vous les mômes, fit le garçon qui bloquait le passage au reste des aspirant, en remarquant six gamins, beaucoup plus jeunes que les autres, monter à l’étage supérieur, où est-ce que vous allez ?

-Au troisième. Pourquoi ?

Pas un des autres aspirants ne comprenaient.

-Parce que le troisième, c’est ici, petit con. Répondit la brute.

Un autre des enfants lui lança :

-Arrêtes de te foutre de notre gueule, tu veux ? Ton genjutsu est minable, et je ne comprends pas comment des gens qui prétendent passer l’examen peuvent s’y laisser prendre !

-Ho, ho ! Bravo… Comment l’avez-vous remarqué ?

En guise de réponse, les six enfants tournèrent les yeux vers lui. Il y avait deux paires de sharingans, une autre d’yeux typiquement Yuhi, c'est-à-dire de spécialiste du genjutsu, une de byakugans, une d’yeux bleus nuit, et enfin une dernière bleus saphir.

-Ha, je vois, vous êtes les fameux prodiges que Konoha met en lice.

-Ouais, ouais, si tu veux, dit l’un des porteurs de sharingan. Au fait, retire ton Henge, il est pas super efficace.

Cela dit, ils montèrent à l’étage.


La première épreuve avait commencée juste après que Morino en ait expliqué les modalités. Ryuzuka regardait autours de lui pour voir qui étaient les examinateurs. Au milieu d’eux, il vit Hanabi Hyuga, byakugans activés. Il jura intérieurement. Il aurait aimé avoir recours au pouvoir de son sabre « diamant » sous la table, mais comment y arriver avec cette sentinelle ultra performante. Il prépara mentalement divers plan, les élimina progressivement, et en retint finalement un seul : il allait devoir monter un genjutsu suffisamment puissant pour duper un porteur de byakugan. L’idée paraissait stupide, mais il était un Yuhi, et avait donc par essence de grands dons dans cette matière. Restait maintenant à déterminer ce que voyait le byakugan. Pour cela une simple lecture de l’esprit ferait l’affaire et… Attends, mais en voilà une idée, qu’elle est bonne ! Plutôt que d’échafauder un plan super compliqué comprenant une lecture de l’esprit, un genjutsu de très haut niveau et l’usage d’un de ses sabres, combinaison très complexe et épuisante, il lui suffisait de regarder dans l’esprit de l’examinatrice pour voir les copies des autres concurrents ! Il mit aussitôt son plan en application.

Okita et Gennosuke, par le hasard de l’attribution des places, s’étaient retrouvés côte à côte. Néanmoins, ils ne ressentaient nullement le besoin de s’aider. Ils restaient immobiles, exceptée la main, le regard fixé sur un type deux rangées devant. Ils ne jetaient pas un seul regard à leurs feuilles, et leurs stylos semblaient glisser d’eux même sur le papier.

Kogan, elle, regardait la copie du mec juste devant elle. A travers son dos. Ses pupilles s’étaient fendues, et étaient devenues d’un blanc laiteux. Elle remplissait sa copie au fur et à mesure que les phrases tombaient sur celle qu’elle recopiait.

Yoko avait activé son byakugan pour bâcler trois réponses histoire de ne pas avoir un zéro, et avait ensuite enfoui sa tête dans ses bras croisé. Elle dormait maintenant du sommeil paisible de la personne que rien ne peut troubler.

Aogan, lui, se tenait bien droit sur sa chaise. Les yeux fermés, il était attentif aux déplacements d’air générés par les mouvements de celui que les deux Uchihas était en train de copier. A chaque fin de réponse de son voisin, il prenait son stylo et reproduisait fidèlement ce qu’il avait senti.

Un peu plus loin, un jeune garçon portant les yeux verts émeraude et les cheveux rouges, en longs épis qui lui descendaient jusqu’aux épaules, ainsi qu’un kimono couleur de sable, planchait dur sur le sujet du test. Il était honnête, lui, il n’aurait même pas eu l’idée de tricher, et, en plus, il était parfaitement capable de résoudre toutes les questions sans avoir recours à l’espionnage. Il arborait au bras le bandeau de Suna.

Son cousin n’avait pas les mêmes scrupules. Il avait relié sa main et celle de son voisin de devant avec cinq fils de chakra, chacun partant d’un de ses doigts pour aller se fixer sur ceux de l’autre. Et maintenant, il faisait semblant d’écrire et de réfléchir en laissant sa « source d’inspiration » faire le boulot à sa place.

Enfin, un dernier gamin ne se souciait même pas du test et se contentait d’attendre la dernière question sans se soucier le moins du monde de sa difficulté potentielle. Il avait deux yeux jaunes d’or, et des cheveux blonds qu’il portait aux milieux du dos. Lui aussi était de Suna.


Un quart d’heure avant la fin de l’épreuve, le directeur de celle-ci réclama l’attention de tous les participants, choses qu’il n’obtint pas d’ailleurs, puisque l’enfant aux yeux jaunes refusait obstinément de tourner la tête vers lui, malgré les demandes répétées du balafré. A la fin, excédé par l’insistance de l’examinateur, il lui dit :

-Je ne vous regarderais que quand vous aurez une gueule correcte, et maintenant, parlez, vous retardez tout le monde !

L’insolence du môme coupa le souffle du maître tortionnaire, qui s’apprêta à répondre, mais un regard doré autoritaire l’en empêcha. Il parut un moment absent, puis commença d’une voix étrangement lointaine, mais qui reprenait consistance petit à petit tout au long de son discours, comme si il avait brusquement oublié l’insulte du Genin :

-Bien, maintenant, je vais vous révéler le contenu de la dixième question. Toutefois, je dois d’abord vous demander, y en a-t-il qui sont tenté par un abandon ?

Là-dessus, très poli, le gamin aux cheveux rouges dit à l’examinateur :

-Mais, pourquoi nous demander cela, s’il vous plaît ? Si nous sommes venus, pour beaucoup de très loin, ce n’est pas pour abandonner maintenant…

-Parce que ceux qui ne sauront pas répondre à la question seront impitoyablement interdits de repasser cet examen, et seront donc condamner à rester Genin pour le restant de leur jour.

-Oh, si ce n’est que cela, je ne crains rien, répondit l’enfant du désert.

Au bout de dix minutes, quand la terreur eut fini son ouvrage, il ne restait plus que dix-huit équipes.

-Bien, maintenant, il y a une dernière chose que vous devez savoir…

-Encore une de vos règles débile ? demanda l’insolent de Suna sans daigner tourner les yeux vers le juunin. Ce blabla ne finit donc jamais ?

Là encore, Ibiki allait répliquer, mais, l’histoire n’étant que répétitions, il fut une nouvelle fois interrompu par un regard d’or courroucé. Il reprit, toujours avec cet air absent, et cette voix lointaine, qui redevenait normale au fur et à mesure :

-Oui, donc… Je voulais vous dire que vous êtes reçu à la première épreuve de l’examen…

-Hein ? demanda le naïf et honnête Genin de Suna. Mais alors, pourquoi les neuf premières questions ?

-Pour que vous trichiez. C’était pour tester vos capacités d’espionnage.

Sur le coup, il fut dégoûté de la voie de malhonnêteté qu’il avait choisi. Mais un cri le tira de sa rêverie.

-YAHAAAAAA !!!!

Une boule noire jaillit dans la salle en brisant un carreau. Deux kunaïs en sortirent pour aller se planter dans le plafond, déployant une grande toile sur laquelle il était marqué « deuxième épreuve sous la direction d’Anko Mitarashi et Garumaru ». Une femme se tenait devant.

-Il est encore un peu tôt pour vous réjouir, mes petits !

La kunoichi avait les cheveux coiffés dans un chignon hérissé. Elle pouvait bien avoir quarante, quarante cinq ans.

-Je m’appelle Anko Mitarashi et je m’occupe de la deuxième épreuve avec… Rah ! Mais où est ce qu’il est ?

Une homme rentra calmement par la porte. Il était vêtu en juunin, avait de longs cheveux noirs, des yeux verts à pupilles fendues, et était extrêmement pâle, mais c’était apparemment son état naturel, puisque c’est avec une voix en pleine forme qu’il dit :

-Calme, Anko san, on est pas au pièce… Bon, je m’appelle Garumaru, et je suis, avec Anko san, chargé de la deuxième épreuve. Voilà pour les présentations, donc je pense que l’on peut y aller…




Bon, alors j'attends au détours du chemin tout ceux qui me diront : "eh, espèce de con ! Sharingan et byakugan, c'est des pouvoirs héréditaires !" A ceux là, je dis : "attendez la suite, il va y avoir une explication. je connaîs mieux que beaucoup de gens les pouvoirs héréditaires (notamment ceux qui pensent que n'importe qui peut utiliser le Mokuton ou le Hyoton)".
Et même si vous trouvez que c'est une hérésie de prêter le byakugan ou le sharingan à d'autres personnages que ceux des clans Hyuga et Uchiha, laissez des comms !! ^^




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