Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: The flow of Time

Suite à l'histoire de Naruto. Alors qu'un danger démesuré et inconnu s'apprête à éradiquer toute forme de vie de la surface de la planète, les enfants de Naruto et d'Hinata déclenchent accidentellement l'ouverture d'une faille dans l'espace-temps. Ils se retrouvent projetés vingt-cinq ans en arrière, à l'époque où leurs parents étaient enfants, avec une vie à sauver pour empêcher la destruction de l'humanité. C'est sans compter sur l'aide de leur oncle Neji, alors tout jeune et bien vivant...
Classé: -12D | Spoil | Action/Aventure / Mystère / Romance | Mots: 55756 | Comments: 27 | Favs: 14
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Shion Zaitess (Féminin), le 30/11/2015
Je signale aux lecteurs que je suis toujours vivant, au grand dam de certains. éwé
Je m'excuse pour la "courtitude" de ce chapitre. ;_;
Mais il y a deux bonnes raisons.
1: Je suis en plein partiels, j'ai un lot de travail et de révisions colossal.
2: En fait ce chapitre est initialement le début du chapitre que j'écris. J'ai coupé parce qu'il est trop long et que d'un point de vue mise en scène, c'est mieux de couper là je trouve x)

Je continue d'écrire. C'est dur et j'ai moins de dix commentaires sur 500 lectures (les français sont radins! Faut que j'écrive du Sasunaru ou bien? è_é Je déconne 8D ), mais je continue quand même... Comme toujours n'hésitez pas à me signaler s'il y a des buggs, je corrigerais. Bonne lecture!




Chapitre 4: Konohagakure... Vingt-cinq ans plus tôt!...



-Hima?
-Hum?
-Je crois que je vais dégobiller.
-Heu... Evite. C'est normal que je vois rien, Boruto?
-C'est pareil pou moi. T'es où?
-Je ne sais pas...

Les deux enfants recouvrèrent la vue progressivement. Les sifflements de leurs oreilles cessèrent, leurs têtes arrêtèrent de leur tourner.

-Tu vas bien?
-Oui, ne t'en fais pas.

Ils regardèrent autour d'eux et poussèrent une exclamation.

-Hé, c'est Konoha!
-J'avais remarqué, figure-toi.

En effet, ils se trouvaient dans une rue. Les passants ne faisaient étrangement pas très attention à eux... Heureusement car ils avaient l'air ridicules, assis comme ça au milieu du passage.

-Qu' est-ce qu'il s'est passé?
-Allons voir à la maison si tout le monde va bien.

Ils se mirent à courir.

-C'est bizarre, fit Himawari au bout de quelques secondes.
-Toi non plus, tu ne reconnais rien?
-...Pas vraiment, non.
-On a utilisé un jutsu, non? Je me rappelle même plus ce qu'on faisait avant de se réveiller là... Hum. On n'a qu'à prendre de la hauteur, de là, on retrouvera notre chemin.
-Bonne idée...

Boruto se baissa et sa sœur s'accrocha à son dos. Puis, en quelques bonds, il monta en haut d'une citerne sur le toit d'un bâtiment. Le vent leur fouetta le visage. Ils restèrent béats quelques secondes, le temps que l'image face à eux leur monte au cerveau. L'impact de ladite image et dudit cerveau provoqua un délicat "Sa mère" de la part du blond. Himawari resta sans voix.

-M-m... Mais... Mais! Les tours! Les apparts, les centres commerciaux! L-les maisons! Où est passé Konoha?

Il sentit sa petite sœur lui toucher l'épaule. Elle avait les yeux grands ouverts. Boruto suivit son regard vers le mont Hokage. Quatre visages.

Quatre visages.

-Il... Il manque celui de la vieille Tsunade, de Kakashi et de... Papa.

Un silence se fit. Ils se souvinrent.

-Aah. Ca me revient. Le monde allait se faire détruire. On a vu le vieux Hoshi et....
-On est à Konoha, vingt-cinq ans en arrière.
-...
-...
-Ouah! Ca déchire!
-Moi ça me fait peur...
-Hey dis donc, ne me dis pas que c'est le manoir du Hokage, le vieux taudis rouge délavé, là bas!
-Il y a le symbole du feu dessus, donc si.
-Roh, mais il fait plus neuf à notre époque, ce n’est pas logique. On s'comprend.
-Non.
-Pff.
-...
-Hima, pourquoi es tu si méchante?
-Je ne suis pas une méchante. J'ai peur, c'est tout.

Le garçon avisa sa petite sœur un instant. Himawari était facilement influençable par les ondes. Lorsque l'atmosphère avait commencé à devenir bizarre, la petite fille l'avait ressentit. Elle était moins rieuse, elle ne mangeait bas beaucoup. Elle prononçait des paroles trop matures pour son âge. C'était l'une des choses qui avaient alarmé Boruto depuis quelque temps, déjà. Les deux enfants restèrent en silence un moment. L'astre du jour descendait lentement vers l'horizon. Vu la douce chaleur de la fin d'après midi, et à en juger les cerisiers en fleurs et les arbres bien verts, c'était le Printemps. Cela leur faisait beaucoup de bien après le froid glacial de leur époque.

-C'est beau, murmura Himawari.
-Dommage qu'Akatsuki va tout détruire...
-On pourrait empêcher ça, non?
-Surtout pas! Sinon ça empêchera maman de déclarer sa flamme à papa. Il vaut mieux ne pas changer le cours des choses. Laissons nos parents s'occuper de tout ça, ce n’est pas encore des vieux croulants à cette époque.
-Pourtant faudra le faire quand même. La moindre des choses qu'on puisse faire pour le vieux monsieur, c'est sauver sa fille.
-Ouais. Et le monde au passage, si possible....

Un nouveau silence.

-Hima, lança le garçon après un moment, monte sur mon dos. On descend.
-D'accord....

Les deux descendirent de leur perchoir, et atterrirent au milieu de la rue. Les lampions rouges, les enseignes de boutiques et de restaurants s'allumaient progressivement, inondant la rue et les passants affairés de couleurs festives.

-Boruto?
-Oui?
-J'ai faim...

Le blond laissa sa cadette descendre de son dos, fouilla dans sa poche et en sortit un porte monnaie.

-Tranquille... J'ai quarante Ryôs. Hum, le petit resto, là bas, ça te convient?

La petite hocha la tête en souriant, et ils se dirigèrent vers ledit restaurant. Ils s'installèrent au comptoir.

-Bonsoir les enfants, lança la voix enjouée de la gérante. Qu'est ce que je sers à vos estomacs affamés?
-Tu veux quoi, Hima?
-Heu, je veux bien des Yakisoba. Touts seuls. Avec un verre d'eau.
-Ouais... Ce sera la même chose pour moi, s'il vous plaît.
-Pas de problème.
-Oh, et, heu... Mademoiselle.
-Oui?
-Quel jour et quel mois sommes nous?

La jeune femme les regarda d'un air interrogatif.

-Mais... Nous sommes le Mardi 3 Juin. Vous n'êtes pas bien réveillés, mes bichons?

Boruto fronça les sourcils, tandis que la tenancière alla s'affairer.

"Le vieux a dit que sa fille a fermé son parapluie le six Novembre... S'il n'y a pas eu de pépins dans le jutsu, ca nous laisse cinq mois pour trouver la fille... Et un moyen de rentrer chez nous."

Les Uzumaki mangeaient en silence, dans leurs pensées. Le repas terminé, Boruto vit sa petite sœur bâiller et se frotter les yeux.

"Il faut trouver un coin où dormir", songea le blond. Il fut soudainement interrompu par une voix vociférant de jeune garçon. Il se retourna. Ca venait de la rue.

-Ho hé, dites donc, y'a pas le feu!
-Ben voyons, riposta une voix d'homme adulte. Ca, c'est la meilleure! Pendant des mois tu as tourné en rond en attendant que je revienne, et tu n'as pas lâché une seconde les basques de Tsunade. Et maintenant que je viens te chercher, tu lambines!

Boruto et Himawari se demandaient de qui pouvait bien provenir cette agitation, et sortirent discrètement pour voir. Un homme âgé de la cinquantaine, aux longs cheveux blancs et hirsutes comme un hérisson, venait de passer. Il était accompagné d'un jeune garçon à peine plus jeune que Boruto, blond, tout d'orange vêtu. Lequel continuait de s'exciter comme une puce.

-...Et puis de toute façon, je vous ai toujours pas pardonné pour le coup du parchemin hyper long et vide que vous m'aviez laissé comme diversion pour partir travailler à la rédaction de vos magazines cochons. J'en reviens toujours pas que vous avez fait passer ça en prio devant mon entraînement.
-Mais le parchemin était un entraînement, gamin. J'espérais que tu apprendrais la patience durant mon absence, mais tout est à refaire, visiblement.
-Ah non, hein! Moi je veux apprendre des techniques hyper puissantes mortelles de la mort pour ramener Sasuke au village par la peau du cul, Dattebayo!
-Tss, ce que tu peux être empoté...
-C'est vous l'empoté, l'ermite pas net!

Cela mit la puce à l'oreille de Boruto. "Ramener Sasuke"? "Dattebayo"? "L'ermite pas net"? Naaan... Il se baissa pour chuchoter à l'oreille de sa cadette.

-Hima, viens! ...Mais on ne fait pas de bruit!
-D'accord.
Pendant que le vieux et le jeune se disputaient bêtement, les deux enfants les prirent en filature. Après avoir parcouru plusieurs rues, ils arrivèrent à la grande porte de la sortie Ouest du village. Au loin, le soleil rouge sang se couchait, et les ombres s'allongeaient à vue d'œil. Le blond s'arrêta, et se retourna. Il regardait le visage du quatrième Hokage, sur la falaise, et leva le poing, un air déterminé au visage. Silencieusement, il semblait dire "Regarde-moi." Boruto avait les yeux grands ouverts. Il n'y avait plus aucun doute. L'homme interpella son élève.

-Qu'est-ce que tu fais? On y va, Naruto!
-J'arrive, j'arrive!
-C'est papa... murmura Himawari.
-Et le vieux c'est Jiraya!

Déjà loin, sans se retourner, l'enfant Naruto marchait aux côtés de son mentor. Puis, ils disparurent à l'orée de la forêt. Le voilà partit pour deux ans... Si seulement il s'était douté de ce qu'il allait se passer pendant son entraînement. La petite brune allait sortir de leur cachette quand Boruto la retint, entendant des pas et des voix.

-Ah... On dirait bien qu'on arrive trop tard, soupira une voix ennuyée. Il est partit.

Une assemblée d'adolescents émergea de l'ombre, chaque regard tourné vers la forêt où le futur septième Hokage s'est éclipsé.

- Au pire, je n’aime pas les longs adieux. Ca me saoule, continua la voix.
-De toute manière, on était même pas au complet, ajouta une autre. Où est Hinata, déjà?
-Elle n'a pas osé venir, dit un garçon à capuche à fourrure. Elle est gênée parce qu'elle est tombée dans les pommes quand elle l'a vu couvert de sparadraps à l'hôpital.

Les deux Uzumaki se retinrent de rire. Quand leur mère leur disait qu'elle était d'une timidité maladive et anxieuse adolescente, elle ne mentait pas. En tout cas, ils réalisèrent qu'il s'agissait de la bande de genin dont leurs parents faisaient partie, les légendaires Onze de Konoha. La bande ne fut plus après la mort de l'un d'entre eux à l'âge de dix huit ans. Les deux enfants en reconnurent certains. Comme Ino, la mère d'Inojin, avec sa queue de cheval blonde. Shikamaru, l'intendant de leur père, avec sa coupe ananas. Chôji, avec ses rondeurs et le craquement de ses chips dans sa bouche, Sakura, Lee, Tenten. Cependant, ils avaient du mal à identifier les derniers, car le groupe avait le dos tourné, comme ces deux à manteaux blancs et gris, ou encore ce garçon aux cheveux longs.

-J'ai du mal à croire qu'on le verra pas pendant deux ans... Ca va être hyper silencieux, sans lui à brailler tout le temps.
-Ah non, moi ça ne me manquera pas! Il a même osé dire qu'on se mariera quand il reviendra, ce débile!
-Allons, Sakura, qui se ressemble s'assemble.
-Inutile de t'exciter, Ino, ma chère truie, moi je me marie avec Sasuke!
-Dans tes rêves...
-Oui ben le Sasuke là, excusez nous mais il nous a bien troué le cul dernièrement. Donc Sasuke par ci Sasuke par là, ça va deux secondes, hein.
-Moi c'était pas l'arrière train, intervint le brun aux cheveux longs, mais la côte droite et l'épaule gauche... Littéralement.
-Ben moi c'est mon estomac, il n’a pas réussi à le trouer mais il a causé un creux.
-La ferme, Chôji.
-Salaud d'Uchiwa. J'ai toujours su que ce type était glauque.
-Mais le maître Jiraya, là, ce n’est pas un roi de la drague? Vu comment Naruto s'est encore foiré avec Sakura, il va devoir lui faire l'éducation des gentlemen en plus de l'entrainement, parce que là question charisme, c'est le vide sidéral...
-Arrête de fantasmer, Ino, je te dis que Sasuke est pour moi.
-Grand-f...
-Vous êtes chiantes.
-Ouais, arrêtez ça.
-Ho hé, ça va, là, la ramenez pas, vous deux!
-Galère...
-Vos gueules!

Boruto et Himawari se roulaient par terre silencieusement. Jamais ils n'auraient imaginés les adultes puissants de leur village ados, dans une conversation idiote. Quoique...

-Bon, ce fut bref, mais je vais me rentrer, ou ma mère va me déchiqueter...
-Pareil.

Un silence.

-J'espère que Maître Jiraya va pas trop nous abîmer Naruto.
-Ou qu’il ne va pas s'abîmer tout seul. Doué comme il est...
-Houlà. Vu qu'il est en équipe avec Sakura, y'a pas de risque zéro.
-Hé ho!
-Bon, toi, au lieu de faire des "ho hé", des "hé ho", passe devant, on prend le même chemin.
-Ino, tu... Pff, d'accord. A plus tout le monde!
-Yosh!
-*Baille*
-Bonne nuit, bande de moches.
-Ouais, toi aussi Blanche-Neige. Hé, depuis quand tu fais de l'humour?
-Hmph, répondit le brun avec du sarcasme dans la voix. C'était pas de l'humour.
-Je vais le...
-Du calme, Kiba.

Le groupe d'adolescents regardaient silencieusement le chemin où se trouvait leur ami un peu plus tôt, puis, alors que le soleil disparut à l'horizon, et que l'obscurité s'étendait en mangeant les derniers reflets rougeoyants du soir au somment des bâtiments, se dispersa. Chacun rentra chez lui. Les deux frères et sœurs cogitèrent quelques instants sur ce qui leur a été donné de voir. Ils furent ramenés à la réalité par un nouveau bâillement d'Himawari, suivit d'un de son aîné.

-Ouh là là, c'est contagieux.
-Dodo...
-Tu veux que je te porte?
-Si ça ne te dérange pas.
-Mais non. Allez, monte, sœurette.

La petite se frotta les yeux une énième fois, puis s'exécuta. Sa cadette sur son dos, Boruto alla trouver un passant, lui demandant où était l'auberge la plus proche, le Konoha de cette époque lui étant presque totalement inconnu. Il y en avait bien une sur la route qui va de l'endroit où ils étaient jusqu'au manoir du Hokage. Après avoir remercié le passant, redressant sa sœur qui s'endormait sur son dos, Boruto se mit en route. Un croissant de lune montait à l'horizon. L'animation des rues ne s'atténuait pas, malgré qu'il soit aux alentours de vingt-trois heures. Tout en marchant, en observant autour de lui, le fils de Naruto ressentit une étrange nostalgie. Ce Konoha, si petit, avec ces vieux tuyaux rouillés et lampadaires contrastant avec ces maisons traditionnelles, ces enseignes en bois, ces sanctuaires, ces lampions multicolores, avait quelque chose de chaleureux. Il passa devant un immense chêne millénaire, entouré d'amulettes en papier accrochées à une corde, au milieu de la grande place.

"Quand je naîtrais d'ici une dizaine d'années, tout cela aura déjà été rasé par l'attaque d'Akatsuki... A la place, il y aura des immeubles, des publicités sur grand écran et tout... Deux trois arbres, mais rien de comparable à ce qu'il y a maintenant..."

Il soupira. Il nota dans un coin de sa tête de parler de tout ça à son père, ou même à Shikamaru à son retour. Il demandera si c'est possible de rendre la ville un peu moins "froide". Car l'air qui soufflait sur cet "ancien village" était différent. Il entendait les grillons chanter et les oiseaux de nuit hululer... Ce n'était pas le cas à son époque. Il n'entendait rien de tout ça. En passant dans une ruelle plus obscure, le garçon fut sortit d'un coup de ses pensées. Quelque chose l'avait alerté. Il fut en moins de deux sur le qui-vive. Son doute se confirma.

On le suivait.

Depuis un moment, déjà. Il était trop absorbé dans l'admiration du village pour le sentir. Mais qui? Qui voudrait le suivre? Konoha n'était pas un village mal famé, personne n'en voudrait à deux enfants. Du moins... Pas à son époque. Il tâcha de faire encore quelques pas comme si de rien était, puis posa sa sœur afin de s'étirer et faire tourner ses articulations. Au moment où il faisait mine de masser son épaule, il mit discrètement sa main dans sa sacoche.
Et il lança d'un coup trois shurikens en direction de son poursuivant. Mais celui ci avait déjà bougé. Boruto sentit un courant d'air. Il n'eut pas le temps de réagir que son assaillant l'avait plaqué au sol et immobilisé.

-Tss tss. Eh bien, Naruto, dit l'ombre. Qu'est ce que tu manigances, encore? N'es-tu pas censé être parti avec Maître Jiraya?
-Je... Je suis pas Naruto.
-Mmh?
-Grand-frère!

L'ombre se retourna à temps pour voir Himawari, réveillée, qui s'apprêtait à lui donner un coup de Jyuuken. L'agresseur esquiva d'un saut périlleux arrière, et atterrit accroupis cinq mètres plus loin.

-Comment? Le Byakugan? S'enquit l'ombre. Qu'est ce que cela signifie?

En effet, la petite fille avait à présent les iris blancs, et les veines de ses tempes étaient apparues autour de ses yeux, démontrant ainsi de quel sang elle est issue. Les deux Uzumaki étaient à présent en position de garde. Leur adversaire les avisa un instant.

-...Qui êtes-vous?
-Toi, qui es-tu! Répondit impudemment Boruto en le désignant du doigt.
-Navré, mais c'est toi qui va devoir me répondre. Cette fillette possède le Bykugan, l'Œil blanc des Hyûga. C'est l'attribut génétique de mon clan, hors, c'est la première fois que je la vois. Expliquez-vous!
-...

Les enfants ne savaient pas quoi répondre. Ils devaient éviter le plus possible d'interagir avec les gens du passé, surtout concernant leur identité, et là c'était plutôt mal partit. Ce type voulait des réponses, et il ne les laissera pas partir avant de les avoir obtenues. Alors qu'ils réfléchissaient, un nuage s'écarta de la lune, laissant les rayons de l'astre nocturne révéler le visage de leur interlocuteur.
C'était un garçon pâle, pas loin de la quinzaine, dont le visage était rendu légèrement androgyne par sa longue chevelure d'encre attachée par le bas. Il était vêtu d'une veste beige, d'un short noir et de spartiates shinobi. Son bras et sa jambe droite étaient couverts de bandages. Deux sangles pendaient à sont bandeau frontal, arborant le symbole de Konohagakure.

Et il avait les yeux blancs.




Désolé encore, ce fut bref. U_U
Eh bien messieurs, medames, vos commentaires sont mon carburant. Je peux pas continuer sans ^^ Merci d'avance.

Et à bientôt pour la suite qui va se corser....




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