Fiction: La vie n'a-t-elle de sens qu'avec la mort ?

On dit que vivre est indissociable avec mourir. Vivrions-nous donc pour mourir ? Pour répondre à cette question nous suivrons la vie d'un personnage extraordinaire en voyageant à travers le temps : de la troisième grande guerre ninja à la quatrième. Quel personnage ? C'est à vous de le découvrir.
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legendairekyo (Masculin), le 12/08/2014
Ceci est ma première fic seul donc soyez indulgent mais commentez. Un commentaire fais toujours plaisir.
La fic est classé tout public pour l'instant mais elle changera peut être. Voyez cette fiction comme un roman plutôt que comme une fan fiction de quelques chapitres (l'histoire va être longue et sans action pendant un moment).
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Chapitre 2: Les demandes d'Hiroki et début du voyage dans le pays du vent



La belle Tsuki avait du souci à se faire. La journée précédent le départ du conseiller, celui-ci lui avait rendu visite. « Bonjour Tsuki-chan, je ne te dérange pas ?
-Bonjour Hiroki-sama, non vous ne me dérangez pas. Que me vaut l'honneur de votre visite surtout chez moi ?
-Je tenais à te donner des instructions supplémentaires en privé.
-Bien sûr quelles sont-elles ?
-Je voudrais que tu commences les travaux dès le lendemain de mon départ.
-Mais Hiroki-sama nous n'avons pas encore l'autorisation du daimyo pour commencer les travaux et nous n'avons pas accès à ses caisses pour payer les travailleurs quels qu'ils soient.
-Justement de cette manière on va gagner du temps et soit en sur tu auras l'autorisation du daimyo dans la semaine ainsi que l'argent pour la construction. Les travailleurs seront payés grâce à un fond spécial prévu à cet effet. J'ai déjà eu l'occasion de m'entretenir avec le trésorier du village.
-Je vous fais confiance donc je vais faire ce que vous me demandez mais j'ai pas beaucoup de matériaux et de matériels à disposition.
-Fais du mieux que tu peux comme tu as l'habitude de le faire. Je ne suis pas ninja ni architecte mais je peux te donner un conseil. Utilise les ninjas qui maitrise le Doton pour accélérer le creusage et pour permettre la création du tunnel. Puis envoie des ninjas maitrisant le Katon pour rigidifier le sable et encore les utilisateurs de Doton pour encore solidifier. Enfin les ouvriers poseront la structure et cimenteront le tout. Après je ne m'y connais pas réellement en construction mais je pense que tu as compris ma façon de pensée.
-J'ai compris ce que vous vouliez dire et c'est très ingénieux comme toujours.
-Sur ce je te laisse, bon courage et bonne chance pour les travaux.
-Au revoir Hiroki-sama. Mais ces mots devraient vous être adressés... »

Trop tard pour elle, il était déjà parti. De plus elle avait prononcé sa phrase presque dans un murmure. Elle aurait voulu partir avec lui mais son choix était logique et ses décisions justes. Elle ne pouvait rien lui refuser. Sa voix, non son corps tout entier donnait l'impression qu'il possédait la science infuse. Toute personne de Suna qui connaissait de vue et personnellement Hiroki ne pouvait que l'admirer. Mais ce qui avait charmé Tsuki était sa simplicité. Il traitait tous le monde comme son égal et ne profitait jamais de son rang. Il avait su la motiver, elle qui était la risée des hommes de chantier de par sa condition de femme. Juste avec une phrase, il lui avait donné la force de leur faire face et de réussir sa carrière dans ce monde pierre et de poussière.
Son cœur se serra et elle sentie qu'elle était définitivement amoureuse de lui. Comme elle aurait aimé qu'il vienne la voir non pour le travail mais seulement par courtoisie ou amicalement. Elle n'aurait jamais imaginé plus. Mais elle savait aussi qu'elle n'était pas la première dans ce cas et qu'elle ne risquait pas d'être la dernière pour bon nombre d'années. Elle avait vraiment du souci à se faire.

Il y avait un homme dont Hiroki ne cessera d'étonner. Cet homme s'appelait Bakura. Il était depuis 8 ans maintenant le trésorier du village de Suna. De tout sa carrière il n'avait jamais vu ça. A de nombreuse reprise les hommes politiques de Suna (comme ceux partout ailleurs) avaient cherché à le corrompre pour s'enrichir. Il en avait l'habitude et contre toute ses attentes, Hiroki n'était jamais entré en contact avec lui pour cette raison. Il l'avait traité en égal, lui demandé de ses nouvelles ou demandé conseils pour un investissement personnel ou professionnel. Mais surtout deux jours avant le départ de ce dernier, Hiroki était venu le voir. Il était venu lui demander une faveur : « Mes respects Bakura-san.
-Mes salutations les plus sincères, Hiroki-sama.
-Bon mettons fin de suite à ce jeu sinon on ne s'en sortira pas.
-C'est quand même vous qui avez commencez.
-Je sais, c'était par automatisme. Pour en venir à la raison de ma venue. J'ai besoin de ton aide.
-Mais pas de problème Hiroki-sama vous savez que vous pouvez compter sur moi. De quoi avez-vous besoin ?
-J'aurais besoin de ta discrétion alors écoute moi attentivement. J'ai besoin d'argent pour le projet du tunnel, tu as dû en entendre parler ?
-Oui un projet tels que celui-ci ne m'étonne pas de vous mais pourquoi avoir besoin d'argent vu que le daimyo va vous le fournir ?
-Je faire démarrer les travaux le lendemain de mon départ et j'ai donc besoin que les ouvriers soient payés ainsi que les ninjas.
-Le village a de l'argent de côté pour les travaux inattendus mais cela ne suffira jamais.
-Je m'en doutais c'est pourquoi je veux que tu prélèves ce qui manque d'argent sur mon propre compte.
-Je veux bien le faire mais je ne pense pas que vous ayez assez d'argent ne serait-ce que pour un jour. Je vais vérifier dans les archives votre compte en banque. Attendez un instant. »
Bakura prit ses lunettes, les nettoya, les reposa sur son nez et relu la somme qui se trouvait sur le parchemin. Il n'avait pas rêvé. De toute sa vie, il n'avait jamais vu un compte en banque avec autant de zéros. Il y avait de quoi payer facilement un mois de construction et avec les finitions de maitres.

Il retourna voir Hiroki. « Vous avez facilement de quoi payer jusqu'au règlement par le daimyo. Si je puis me permettre comment avez-vous eu tout cet argent ?
-Tu te rappelles quand je t'avais demandé des conseils dans le placement d'argent et les investissements ? Et bien c'est grâce à eux que j'ai empoché tout ça.
-Je ne vous ai donné que des bases en économie, il semblerait que vous ayez un réel talent pour cela.
-Alors peux-tu payer avec mon compte sans que cela se sache ?
-Je le peux mais vous êtes sur de vouloir que j'utilise votre argent pour cela ?
-Oui j'en ai beaucoup mais ce n'est pas comme si j'avais besoin de tout cet argent. D'ailleurs après les versements du daimyo continues de payer avec une part de mon argent.
-Pourquoi ?
-Si on te prête 100 yens et que tu n'en utilises que 10...
-Tu peux être sur qu'on te prêtera 100 yens à nouveau. C'est le comble, c'est vous qui me dites ça, à moi le trésorier. J'ai compris la démarche, je ferais selon votre désir.
-Je voudrais que tu gères mon compte personnellement pour les mois à venir si ça ne te dérange pas. Et j'aurais besoin d'argent pour mon voyage.
-Aucun problème je m'en occupe tout de suite. »
Il ne cessera vraiment pas de l'étonner. Il n'avait jamais vu quelqu'un payer de sa poche pour un projet du village, surtout un de cette ampleur. Bakura ne pouvais que se dire qu'Hiroki était un être à part.

Ryugu attendait près du chariot. Il vit Hiroki arriver tenant une grosse malle qui semblait lourde. Il pensait cela en voyant la contraction des muscles du conseiller et de son visage quelque peu tendu par l'effort. Il remarqua qu'il était suivi de deux ninjas, surement leurs gardes du corps. Ils semblaient dérangés de la situation de leur conseiller. Ryugu s'imagina tout de suite la situation : Hiroki accompagné des gardes du corps étaient partis chercher la malle puis Hiroki avait du se mettre en tête de la portait seul. Les ninjas ont surement voulu l'aider mais il a du strictement refuser. Ryugu se mit à sourire. Une fois Hiroki près de lui, le conseiller posa la malle au sol. Alors Ryugu lui demanda : « Qu'y a-t-il à l'intérieur ?
-Les fonds pour notre voyage.
-Je suppose que ces deux jeunes hommes vont veiller sur nous. Vous les mettez dans l'embarra Hiroki-sama en voulant faire tout tout seul.
-Tu as raison et perspicace comme toujours mon cher. Il faut bien que je mette main à la pâte si je veux pas finir rouiller dans quelques années.
-HAHAHA !!! Hiroki-sama vous êtes vraiment drôle quand vous le voulez. Je vous comprend mais pensez à ses pauvres jeunes. Qu'est-ce qu'on va penser d'eux ? Ah vous me les présentez maintenant que j'y pense ?
-Bien sûr, voici Akioze l'ainé et Mikioze le cadet. Ils se ressemble beaucoup mais ont 2 ans de différence.
-On aurait dit des jumeaux !
-Oui je sais. D'ailleurs approchez vous. »
Les frères s'approchèrent et Ryugu vint à leur rencontre dans le même temps. Il leur tendit la main
et Mikioze fut le premier à la serrée. Main qu'il relâcha très vite après avoir fait une grimace de douleur. Il se dit que Ryugu avait une force de poigne monstrueuse. Son frère tandis la main opposée et ne broncha pas lors de la poignée. Ryugu sembla tiquer pendant une fraction de seconde mais garda son sourire. Puis le colosse rentra dans la carriole, à l'abri du soleil, laissant le conseiller seul. Ce dernier se tourna vers les kioze, reprenant un visage sérieux. Il leur dit : « J'ai besoin que vous scelliez la moitié de l'argent se trouvant dans la malle dans un parchemin.
-Pas de problème Hiroki-sama mais nous l'avons déjà fait auparavant, dit Akioze.
-Je sais mais nous en auront besoin si nous nous faisons détrousser ou si nous utilisons la moitié de notre fond.
-Avec nous vous ne risquez pas de vous faire voler votre argent.
-En temps normal oui mais cette mission requière la plus grande discrétion et si par malheur un ninja aux mauvaises attentions s'intéresse à nous, nous sommes perdu. C'est pourquoi vous ne montrerez pas votre vrai niveau surtout si un ninja nous attaque.
-C'est compris.
-Allons dans la carriole pour faire le point sur notre mission et voyage avec Ryugu-san. »

Ils montèrent dans le transport, Hiroki en tête avec la malle. Ryugu vit la différence d'effort d'Hiroki. Il lui prit la malle, lui adressa un clin d'oeil et la posa derrière le siège arrière. Les deux sièges étaient face à face et chacun avaient la place pour deux personnes. Les jeunes se placèrent face aux plus vieux. Hiroki prit la parole : « Durant notre mission nous devons faire preuve d'une très grande discrétion et pour cela nous nous ferons passez pour un marchand et sa garde rendant visite à son frère dans le pays de la rivière dès que nous quitteront le pays. Ryugu tu seras mon garde personnel, difficile de te faire passer pour autre chose avec ta carrure. Et Akioze et Mikioze seront des ninjas en gagés pour l'occasion. Quand à moi je serai le marchand. Vous m'appellerez Jiko dès que nous serons en présence d'autres personnes. Tant que nous sommes dans le pays du vent nous n'attirons pas l'attention. C'est pour ça que nous n'avons pas besoin de trouver un motif à nos déplacements. Mais nous ne devons pas ébruiter mon départ. Vous autres vous garderez votre prénom usuel car vous n'êtes pas connu en dehors du village. Notre voyage se découpera en trois parties. Tout d'abord nous nous rendrons au Sud-Est pour rencontrer le daimyo. Je vais négocier avec lui pour la réalisation du tunnel. Puis nous nous rendrons au pays de la rivière pour rencontre le daimyo de celui-ci. Après avoir convaincu ce dernier, Ryugu-san nous quittera pour s'occuper des travaux dans ce pays. Enfin nous nous rendrons à Konoha pour réaliser notre véritable mission. Et nous ferons demi-tour sans perdre de temps. Je tiens à m'excuser auprès de toi Ryugu-san car je ne peux te dire quelle est notre mission réelle.

-Mais il n'y a aucun problème, c'est tout à fait normal. Donc vous êtes sur d'obtenir les fonds de notre daimyo et l'accord de l'autre.
-Tout à fait, vu que j'aurai l'accord du premier, l'autre ne pourra que suivre. Je laisse Mikioze-dono nous décrire le voyage.
-Le voyage se fera le matin et de la fin d'après-midi en début de soirée. Le reste du temps nous nous reposerons et nous nous restaurerons. Les ninjas de niveau supérieur tels que nous disposent d'une technique pour se reposer dans le désert. Elle est apprise pour des voyages longs ou des escortes de personnes riches ou haut placées comme dans notre cas. Elle consiste à utiliser le sable pour créer un dôme hermétique, protégeant de la chaleur et du froid, des tempêtes du sable, etc... Cette technique est couteuse en chakra en fonction de la taille du dôme et de son épaisseur. C'est pourquoi nous nous relayerons pour la maintenir. D'ailleurs ce n'est pas du Doton ou de la maitrise du sable, c'est de la maitrise du chakra comme un ciment pour lier les grains de sables entre-eux. D'où sont coût en chakra plus ou moins élévé. Hors du désert nous essayerons de passer la nuit dans des auberges ou des hôtels. Ceci nous confortera dans notre rôle et nous protègera des attaques. Nous changerons de transport et de bête de trait lors du changement de pays. Ceci étant dit ne perdons pas plus de temps et allons-y. La route que nous allons emprunter pour rejoindre le daimyo n'est pas dangereuse donc vous pouvez apprécier le voyage en tout quiétude. »
Les ninjas sortirent pour se mettre sur la place des conducteurs tandis que les autres se mettaient à l'aise l'un en face de l'autre.

La carriole était typique de la région. De couleur sable pour le discrétion et l'exposition au soleil, elle avait des roues en bois fines mais larges. Les roues normales s'enfonçaient dans le sable. La cabine avait des fentes sur chaque paroi permettant la circulation de l'air. Un panneau coulissant servait de fenêtre de chaque côté des sièges. Un petit placard servait à entreposer différentes fournitures. La nourriture, quand à elle, se trouvait dans le plancher, maintenu au frais par le système de réfrigération à eau. A l'avant, la place des conducteurs était hors de la cabine et protégée uniquement du soleil par un toit. Les bêtes de trait étaient elles aussi typique du pays mais quand même rare. C'était des autruches. Les autruches vivait dans les zones de savane en bordure du pays du vent mais on trouvait des petits groupes au niveau des oasis. Les Hommes des sables les élevaient comme montures, bêtes de trait ou encore pondeuses. Avec leur poids et leur vitesse, les autruches ne s'enfonçaient pas dans le sable mais avec le poids supplémentaire, elles nécessitaient des raquettes tels les fers des chevaux. Généralement on utilisait des lézards géants du désert pour tirer les chariots. La mission actuelle demandait de la rapidité d'où l'utilisation d'autruches. La troupe se mit enfin en route. La chaleur était supportable, signal de départ. La route allait être longue, ils voyageraient pendant au minimum 4 heures sans s'arrêter. Et une ombre venu du ciel les suivait.

Le désert était beau à sa manière mais lassant. Même pour les quatres Suniens la vue était ennuyante. Ils allaient se reposer pour la nuit. Ils avait mal à cause de l'absence de mouvement durant ses longues heures. Avant de préparer le camp ils se délièrent les jambes. Les ninjas étaient quand même à l'affut. Après s'être concertés entre eux, les frères avaient décidé que Akioze commencerait le premier tour de garde et de maintient de la technique. Il fit plusieurs signes et un dôme de sable se créa entourant les hommes, les animaux ainsi que le chariot. Son frère vérifia qu'aucun animal dangereux ne se trouve à l'intérieur. Puis un feu fut allumé. Un repas simple constitué de viandes séchées et légumes crus fut ingurgité. A ce moment Mikioze lança à Ryugu avec moquerie : « Vous avez mangé à votre faim ?
-Bien sur que non ! Mais vous savez pendant longtemps cette quantité était un buffet pour moi. Cela fait quelques années que je peux manger la quantité nécessaire pour ma carrure. Vous savez beaucoup de civils ne peuvent pas manger à leur faim à Suna contrairement à vous les ninjas. Donc éviter ce genre de blague à l'avenir. Heureusement qu'Hiroki-sama était là pour moi sinon je serai dans un état lamentable à mon âge.
-Excusez-moi je ne voulais pas être méchant...
-Je le pense bien jeunot, réfléchit d'avantage à l'avenir.
-Et comment Hiroki-sama vous a aidé ?
-Il était encore un jeune homme à l'époque. Il avait quitté les travaux de chantier depuis plus de deux ans. Lors d'une des constructions sur laquelle je travaillais, nous nous sommes rencontrés. Il s'est mis à me regarder travailler pendant plusieurs jours et à un moment il est venu m'adresser la parole. Il m'a demandé si je n'aspirais pas à quelque chose de plus grand. Je lui ai répondu que la construction était mon domaine. Il est parti puis on me donna la chance d'être plus qu'un simple ouvrier au fil du temps. Et je suis monté en grade jusqu'au poste où je suis. J'ai appris plus tard qu'il avait rencontré mes supérieurs et leur avait demandé de me donner une chance. Il est le seul à avoir vu mon potentiel et je lui suis reconnaissant pour ça.
-Woaw, je n'aurais jamais pensé. On m'avait que le conseiller actuel était un civil mais de là à avoir travailler en tant qu'ouvrier, je n'aurais pas cru.
-Il ne faut pas sous-estimé les petites gens. »
Après ce court échange suivi par Hiroki avec un demi-sourire, ils se préparèrent à dormir. La question de l'oxygène fut posée, rapidement répondu par la présence de petit trou dans le dôme.

Ryugu allongé dans son lit de sable, fait de ses mains, en profita pour s'attarder sur le physique des presque jumeaux. Akioze était tout d'abord reconnaissable par le tatouage de scorpion noir en bas de sa joue gauche. Il était légèrement plus grand que son petit frère. Il devait faire 1m80 alors que son frère devait faire 1m77. Mikioze portait une plume d'oiseau à l'oreille droite. Ils étaient bruns aux yeux noirs tout les deux. Ils avait aussi tout les deux la même coupe de cheveux : plaqués en sorte de coupe au bol dont les cheveux serait des vagues successives de lame de scie circulaire. Ils portaient tous les deux l'uniforme ninja de Suna. Cependant Akioze portait un gant en cuir noir à la main droite, celle qu'il avait tendu pour serrer la main de Ryugu. Mikioze portait des sortes de cache avant-bras en tissus. Ryugu avait choisit d'avoir les cheveux très court de part son travail. Ils étaient de couleur brune tirant sur le roux. Pour l'occasion il avait acheté des vêtements neufs mais habituellement, il portait des loques usé par le temps, le travail, le soleil, la sueur et la chaleur car il passait le plus clair de son temps au travail. Et son accoutrement ne semblait déranger personne à Suna. Puis il tourna son regard sur le conseiller. Hiroki avait perdu en masse musculaire depuis sa jeunesse passée d'après lui mais il était dur de le savoir au vu de son habit. Hiroki portait une sorte de longue robe qui lui arrivait jusqu'au pied et aux manches longues lui couvrant l'intégralité des bras ne laissant visible que ses mains. Elle était d'un blanc cassé. Son cou était caché lui aussi par une sorte de col roulé. Mais d'après ses dire, le tissus était très léger et aéré. Pour l'occasion il ne portait pas son chapeau de conseiller. Ceci permettait de voir sa coupe de cheveux : il avait un frange qui cachait en partie son œil droit, le reste des cheveux de couleur brune presque noir plaqué sauf en haut du crâne. Il avait un épi assez long et haut penchant vers l'avant. Ceci lui donnait un air sympathique et naïf. De quoi s'attirer l'amitié des personnes rencontrées plus tard. De temps en temps le grand homme le voyait sortir un éventail qu'Hiroki utilisait pour s'éventer ou cacher le bas de son visage lorsqu'il réfléchissait. Ryugu lui adressa un sourire, fit un hochement de tête à Akioze et souhaita une bonne nuit à Mikioze qui le lui rendit avant de s'endormir d'un trait. Il assistait aux résultats d'entrainements et de nombreuses missions permettant une telle induction au sommeil. Il décida de faire de même, ils allaient se réveiller tôt le lendemain. Il fixa une dernière fois le toit en sable puis les songes l'emportèrent.



Hey ! Alors le chapitre vous a plu ? Pour toute question, ou quoi que se soit d'autre, n'hésitez pas, commentez. Je vous en supplie laissez moi aussi de quoi lire, je vous répondrai à chaque fois(ça fait un peu pitoyable mine de rien mais bon la fin justifie le moyen n'est-ce pas ?). Alors à la prochaine.



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