Fiction: La découverte d'un monde pas si fictif, ou la vie d'un jeune homme d

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Dans un petit village de l'Aube, des cris se faisaient entendre. Ils provenaient d'un jeune ados qui était poursuivi par un groupe de 5 personnes, tous munis d'un couteau. Alors qu'il commença à les semer, il trébucha et tomba au sol. Pendant ce temps, ses poursuivants l'avait retrouvé et lui assenait des coups de couteaux à chaque emplacement du corps où ils pouvaient frapper. Cela dura une demi-heure, et ils s'en allèrent après avoir arraché ses vêtements et les avoir mis en pièces.

Ce jeune homme, c'est moi. Maxime Fudesakka. J'ai 15 ans, les cheveux châtains un peu blonds et les yeux bleus-gris. Pourquoi ces types m'en voulaient ? C'est simple : je les ai surpris en train de faire leur trafic de drogue et ils ne veulent pas que je prévienne les autorités. Dans tous les cas, j'ai beaucoup de chances d'avoir survécu, ils n'ont pas touché aux points vitaux, mais j'étais quand même dans un sale état. Alors, je décidai de me relever, mais ils m'entendirent et ils se retournèrent et ce qu'ils virent effaça leur sourire : j'étais debout après tous les coups que j'avais reçu. Je courus du mieux que je pus vers la forêt où je m'enfonçai et me cacha le plus possible. Mais ils me retrouvèrent et me plaquèrent contre l'arbre avec lequel je m'étais caché. Ils levèrent leurs armes et l'abattirent dans le tronc. Je m'étais baissé au dernier moment et je m'échappai à travers leurs jambes. Pendant que je partais, ils essayaient de retirer leurs couteaux, mais en vain. Je ne les entendais plus, je ne savais pas où je me situais dans la forêt mais je continuais à courir.
Mais je trébuchai encore une fois, sauf que cette fois, je pus me rattraper à un énorme rocher, plus grand qu'une porte. Je remarquai une fissure dans la roche, une fissure assez large pour que je puisse m'y faufiler. Et c'est ce que je fis, entrant le dos face à la fissure. Je continuai à m'enfoncer, mais je remarque rapidement que je reculais beaucoup plus que je n'aurais dû. Je continuais à reculer quand mon pied rencontra le vide. Je pris peur et tomba en arrière. Je rencontrai un sol un peu mou. Je me relevai et vit que j'étais dans une forêt que je ne connaissais pas. J'entendis alors des gens parler, et des bruits de pas sur une route. Je marchai alors vers le bruit et j'atteignis une petite route et je faisais maintenant face à une énorme porte en chêne où des gens passaient pour entrer ou sortir de cet endroit. Je m'avançai alors et les gens s'écrièrent en me voyant, les vêtements déchirés, le corps couverts de blessures. Je continuai mon chemin jusqu'à la grande porte, où ma vue commença à baisser et je sentis mon corps ne plus réagir. Je m'effondrai alors, tandis que des gens vinrent me voir. Je ne vis plus rien et n'entendis plus rien, je ne sentais même pas le bras qui me souleva et m'emmena vers un plus profond dans le village. Je sombrai alors dans l'inconscience, et je me dis que j'étais peut-être mort.

Lorsque je rouvris les yeux, je me trouvais dans une salle aux murs bleus, plus précisément dans un lit blanc. Je me relevais rapidement et je sentis une douleur fulgurante au ventre. Je me pliai en deux, et poussa un cri que j'essayai d'atténuer. Une jeune femme arriva en ouvrant une porte coulissante. Elle me vit, se retourna et s'en alla. Qu'est-ce qu'il lui a pris ? Je ne comprends pas. Après cette réflexion, une dame assez jeune, bien que je ressentais quelque chose d'étrange quant à son apparence, entra et vint me voir.

« Bonjour, jeune homme. Tu nous as fait une belle frayeur en t'écroulant aux portes du village. Mais puis-je savoir qui est-tu et d'où viens-tu ? Nous n'avons pas trouvés de bandeau frontal avec toi. Alors, je me suis dis que tu étais peut-être un nukenin mais je ne pense pas.
- Excusez-moi, mais qui êtes-vous ?
- Moi, je m'appelle Tsunade, je suis la Godaime Hokage. Qui est-tu ?
- Et bien, je suis ... je suis ... je suis ...
- Tu es ?
- Je ... Je ne sais plus.
- Comment ça, tu ne sais plus ?
- Je n'arrive pas à me souvenir, je n'y arrive pas, fis-je en me tenant la tête.
- Ok, calme-toi, je vais voir quelque chose, ça ne te fera pas mal, d'accord ?
- Si vous voulez.
- Je vais juste chercher quelqu'un, je reviens. »

Et elle s'en alla. Je me retrouvai seul, avec une grosse migraine qui était apparu quand j'essayai de me souvenir. J'attendis quelques minutes et elle revint avec un homme qui portait des lunettes étranges, on ne pouvait voir ses yeux.

« Aoba, fit Tsunade, j'aimerais que tu entres dans son esprit pour voir comment il s'appelle et d'où vient-il, d'accord ?
- Ok, Hokage-sama. Bien, dit-il en se tournant vers moi, ne bouges pas. »
Et il posa sa main sur ma tête. Je sentis alors un fourmillement au cerveau, puis plus rien. Il se retira et se retourna vers Tsunade.
« Il y a un problème, je n'arrive pas a accéder à ses souvenirs.
- Comment ça, Aoba ?
- Ses souvenirs sont emmêlés, ils sont en désordres. Vous a-t-il dit qu'il ne pouvait pas se souvenir ?
- Oui, Aoba, mais tu voudrais me dire qu'il a perdu sa mémoire ?
- Non, Hokage-sama. Je dirais plutôt que ses souvenirs sont défragmentés et qu'il a besoin de temps pour que sa mémoire soit comme avant.
- Donc, tu me dis qu'il a une sorte d'amnésie ?
- On peut dire ça comme ça, oui.
- Euh ... Pouvez-vous me dire ce qu'il se passe ? leur demandais-je
- Tu es amnésique, si tu veux. »
Je réfléchissais à toute vitesse. Qu'allais-je faire, maintenant ? Je n'entendis même pas la femme me parler. Puis, je la regardai et je me rendis compte que j'avais fais une erreur en ne l'écoutant pas.
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Bon, bonne nouvelle, j'ai pu sortir de l'hôpital à la recherche d'un appartement où vivre.
Mauvaise nouvelle, je n'ai pas d'argent et je viens de bousculer un groupe de jeunes de 16 ans environ.
Je me releva, étant tombé à terre en les bousculant, et je les vis tous me regarder bizarrement, comme si j'étais un extra-terrestre. Ce sentiment s'accentua lorsque je croisa le regard d'un jeune homme aux yeux blanc, dont j'avais l'impression qu'il me scindait l'esprit. Il me regarda alors avec étonnement, et se retourna vers le groupe en leur chuchotant quelque chose. Je ne compris que quelques mots : « chakra », « bizarre », « bandeau » et « jamais vu ». Je m'en alla aussi vite que je pus, mais ma migraine revint. Je ne vis pas où j'alla et je m'encastra dans un mur, les autres me suivant. Je me retourna et les vit à quelques mètres de moi, avec leur énorme yeux globuleux dans ma direction. Je pris peur et hurla à l'aide. On me regarda avec étonnement, puis une fille sorti du groupe et vint dans ma direction. Je tremblais de tout part, tandis qu'elle se rapprochait de plus en plus de moi .



Voici l'intro de la fiction ! J'espère que ça vous donne envie de voir la suite :)

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