Fiction: The Way Of Pain

C'est l'histoire de Toma un jeune homme , qui va se retrouver plonger dans un k.o urbain , des milices sèment la discorde dans tout le pays, Un jours il découvres que ses proches ont disparus , la familles de son meilleurs ami a étais éliminer , excepter un certain demi-frères qui porteras soutiens a Toma , tout comme un petit groupe se fessant appeler " les survivants"
Classé: -12D | Action/Aventure / Mystère / Tragédie | Mots: 1232 | Comments: 3
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nass77 (Masculin), le 15/10/2013
Alors j'essaierais une parution voir deux par semaines , l'inspiration me vient n'importe quand mais l'envie d'écrire elle vient plus difficilement.
Si j'écris c pour vous faire partager un atome de toutes les histoires qui défiles dans ma tête ^_^




Chapitre 1: Chap 1 ; Le commencement.



Chapitre 1 ; parties 1 : Découvertes


- Que fais-tu dans la maison de mon ancien frère, l’étranger ?
Le jeune homme braqua son Tech-9 sur Toma
- Moi, c’est Toma. Baisse ton arme, j’pense qu’on est dans la même galère...

- Mais bien sûr.
Le jeune homme balaya, de son regard assombri par une colère, une tristesse, une haine, le salon marqué par un ruisseau rougeâtre dégoulinant depuis l’escalier où ils se font faces

- Crois-moi, c’est bien pour ça que je suis là. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Il y a pas moins d’une heure j’ai retrouvé ma maison brûlée et je ne sais pas où sont passés les miens.
Je pensais trouver refuge, ici, chez mon meilleur ami, mais hélas tu sais.

- Ouais... ouais...
Les deux hommes se fixèrent un long instant.
- Aide-moi à retrouver qui a fait ça et je t’aiderais.


-Ok, j’allais te faire la même proposition.
- As-tu remarqué des choses étranges dans la ville ces temps -ci ? J’ai traversé tout le pays pour les prévenir d’un danger imminent qui se trame en secret dans l’est, de là où je viens. L’armée s’est rassemblée au niveau de la frontière, la police forme des barrages à chaque ville et bien sûr les medias n’en disent pas un mot. En arrivant dans les villes alentours, ce matin, je n’ai pas vu le moindre barrage, mais beaucoup d’ambulances et de polices criminelles. Je pense que cette menace fait des assassinats pour semer le trouble dans les villes ainsi pour pouvoir profiter du désordre pour lancer une offensive.

-Je vois. C’est pour ça que ces temps-ci, les gens sont froid, ils ne sortent plus souvent, ils se méfient. D’ailleurs, ce matin, j’ai aperçu sur le périphérique des hommes sur des Pick-up, ils me paraissaient étrangers.

Un air nerveux s’empara des deux hommes

- Partons, ils risquent …

Une explosion assourdissante coupa sa phrase.

- Ah! Partons maintenant, il faut fuir de là au plus vite. Prends ce qui est comestible dans ce sac. (Il lui tendit un sac de randonné) Je vais prendre de quoi nous défendre

En faisant son sac, Toma regarda par une fenêtre et vit des foules de gens.
Il regarde les gens et se précipite surement vers l’entrée de la ville.
- Si on passe par la forêt derrière le jardin on sera plus discret, mais on va mettre plus de temps à partir d’ici. Je pense partir dans la ville qui distribue l’électricité et l’eau. Si on arrive à temps, on pourra prévenir les autorités.

- Ok, on y va. Ne perdons plus de temps.

Les deux partenaires, armés d’un Tech-9 sans munitions, d’une vulgaire planche de bois cloutée et d’un sac de survie, s’enfoncèrent au cœur de la forêt.



Parties 2 : The Balade.


Deux heures après la fuite, les deux hommes se retrouvèrent sous une brume humide au beau milieu de nulle part dans une forêt.

- Ça fait deux heures qu’on marche, c’est encore loin ?

-En fait, je ne sais pas.

- Comment ça, tu ne sais pas ?!

- Enfin, je ne sais plus. On a dû se tromper de chemin avec une telle brume.

- Fais chier ! T'as de la chance d’être mon partenaire, sinon je t’aurais bien …

Toma lui coupa la parole et s’arrêta de marcher.

-Sinon tu peux. Vas-y, viens !

Le jeune homme s’arma de la planche de bois cloutée légèrement humidifiée par la pluie et il s’apprêta, avec une puissance inimaginable, de la fracasser contre l’épaule de Toma.
Mais Toma, juste avant, dégaina un sabre japonais, marqué de sang sur sa pointe, à la lame aussi fine qu’une feuille, de son étui caché entre son sac à dos et son bassin.
D’un revers très rapide, il trancha la planche clouté en deux morceaux juste avant son impact, puis esquiva les morceaux cloutés qui finirent plantés contre l’écorce d’un arbre.

-Tu auras beau frapper d’une force inimaginable, mais une lame entretenu infligera toujours plus de dégâts et parera tous les coups, même les plus puissants. Ma lame est aiguisée d’une finesse comparable à une feuille ainsi son tranchant est sans pareils. Cette phrase c’est ton « ancien frère », lui, mon meilleur ami, Kody qui me l’a enseigné. Retiens qu’un homme averti en vaut mieux que deux.

- Impossible ! Comment tu t'es procuré cette arme ?!

- Pff, si tu crois que toi, petit gamin de 17ans, n’ayant vu le jour trois ans après moi, tu vas me donner des leçons de vie, tu délires.

- Le savoir n’est pas une question d’âge et sache que ce sabre …

Le jeune homme lui coupa la parole.

- Ce sabre est le seul souvenir qu’a eu kody de moi !

-Ah. Je comprends mieux… C’est pour ça que depuis sa tendre enfance il en prenait soin, il m’avait dit que si un jour il serait amené à disparaitre, il voudrait laisser son sabre entre de bonnes mains.

- Il fallait laisser son sabre là où il était !

-Non ! On se souvient d’un homme pour ce qu’il a laissé derrière lui. C’est pour ça que je me suis permis de monter le cours du ruisseau rougeâtre lorsque tu étais occupé à chercher des armes. Tu sais, j’ai pu le revoir une dernière fois, il était à la source de ce ruisseau.

Une lueur scintilla sur ses joues prenant difficilement source de son regard noir. On aurait dit qu’il sanglotait.

- Tu sais, la dernières fois qu’il m'a vu, c’était à ses sept ans. Le destin a voulu que je me détache de mes proches pour des raisons que tu n’es pas encore en âge de comprendre … Aujourd'hui , dix ans après que je sois parti, je l’ai retrouvé dans un sinistre état peu avant ton arrivée, j’ai revu son regard reflétant mon opposé. En dix ans, un tel regard n’a pas changé, ce regard où aux profondeurs de ses pupilles, là où les sentiments se confrontent, j’ai pu reconnaitre le jeune au grand cœur que j’ai laissé. Le jour où je lui ai offert le sabre, ses pupilles étaient blanchâtres, aujourd’hui elles sont devenues rougeâtres. Ce sabre était pour lui mon côté protecteur qu’il voulait tant avoir, c’est pour ça qu’il en prenait soin.

Un court moment de silence s’efforça à détendre l’atmosphère.

- Tu sais, son sabre sera légendaire, l’histoire de son propriétaire est magnifique. Laisse-moi le prendre, il réconfortera mes convictions et me donnera le courage de me battre. Kody et Moi avions grandi ensemble. Je sais qu’il avait confiance en moi.

- Hum… c’est dur, mais je vois que je n’ai pas le choix, alors prends en soin.

- Merci. Regarde, la brume se lève, le crépuscule va prendre place.

- Ouais, faut se trouver un abri pour dormir.
-Comment tu t’appelles ?

- Appelle-moi Sam, dit-il en souriant. Les gens m'ont tellement donné des surnoms que Sam est celui que j’ai adopté.

-Oki, Sam !


Toma rangea le sabre dans son étui. Ils marchèrent à la recherche d’un abri. Au bout d’une dizaine de minutes, ils trouvèrent la paroi d’un rocher jonché de buissons et caché par de grands sapins qui retiennent la pluie pour laisser la paroi sèche. Avec des feuilles de sapins, ils se créèrent un petit abri d’infortune, camouflé par les arbres et les buissons dans un noir nocturne.





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