Fiction: Son plus grand rêve (terminée)

Nara Shikamaru, amoureux des nuages. Seulement des nuages ?
Romance | Mots: 1159 | Comments: 4 | Favs: 1
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Kasuga_Sudo (Féminin), le 16/08/2013
Bonjour, bonsoir !
Voilà, c'est un petit one shot, sur le couple Shikamaru/Temari, que j'aime beaucoup.
Une envie d'écrire à 23h, avec un pot de nutella devant sois, eh bah sa donne... ça ! [GUIMAUVE A VOLONTER]
J'aimerai avoir des commentaires constructifs, bien que j'accepte la critique. On est là pour s’amélioré après tout !
Je stress. Ouiiii, je stress. Où est cet anti-stress ? :(






Chapitre 1: Son plus grand rêve.



L’automne s’était installé à Konoha. Les feuilles des arbres se teintaient d‘or, et commençaient à tomber, les unes après les autres. L’une d’elle, fut arrachée par un coup de vent brutal. Elle virevolta un instant, et tomba sur le torse de Shikamaru Nara. Le jeune homme était allongé dans l’herbe, et observais les nuages dans le ciel. Il s’interrogeait sur son plus grand rêve. Il se souvenait que plus jeune, ses camarades voulaient déjà devenir Hokage ou les meilleurs ninja de Konoha. D’autres voulaient devenir des ninja médecin ou des mercenaires. Dans le dernier cas, évidement, ils étaient renvoyés de l’académie. Shikamaru soupira fortement. Il venait de se rendre compte que son plus grand rêve était de toucher les nuages.

Un coup de vent fit virevolter encore plus fort les feuilles. Le vent. Immédiatement, son esprit divagua vers Temari. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avais pas vu son amie. Il se souvenait de son sourire provocateur, de ses petits défis qu’elle lui lançait tout le temps. Il se souvenait…Souvenir. Ce n’étaient que des souvenirs, des moments joyeux qui restent en mémoire. Temari.
Elle lui manquait tellement, que c’était devenu une douleur constante. Il n’y faisait même plus attention maintenant. Le vent souffla encore, et il entendit comme un murmure qui disait son nom avec la voix de la belle blonde aux quatre couettes. Elle murmurait son prénom inlassablement.

_ J’entends sa voix maintenant. Mon pauvre Shikamaru, cette fille te rend dingue.

_ Quelle fille ? Demanda une voix, qu’il ne connaissait que trop bien.

Le Nara se redressa, pour faire face à la plus belle vision qu’il sois. Une Temari en chair, en os, et en regard provocateur. Shikamaru sentit son cœur s’emballer. Elle ici ?

_ Salut l’ananas.

_ Salut femme galère. Qu’est-ce-que tu fou ici ?

Temari s’assis devant lui, posant son éventail à ses côtés. Elle le fixa un instant.

_ Je passais c’est tout.

Shikamaru ne répondit pas. Le silence s’installa entre eux, et Shikamaru eu peur que les battements de son cœur ne s’entendent.
Heureusement pour son ego, la princesse de Suna pris la parole.

_ Alors, qu’elle fille te rend dingue ? Demanda-t-elle avec un demi-sourire.

Shikamaru se figea. Il se reprit une demi-seconde après, mais rien n’échappe à Temari…

_ Ma mère, qui me répète tout le temps d’aller me laver.

C’était bien gros à avaler. N’importe qu’elle imbécile l’aurait remarqué. Mais malheureusement pour notre petit stratège, lorsqu’il était en présence de Temari, son cerveau s’arrêtait systématiquement.

_ Oh je vois, dit Temari visiblement déçue.

Shikamaru se gratta derrière la tête, évitant de regarder la Sabaku dans les yeux. Il savais que si il plongeait dans son regard, toutes ses barrières allaient s’effondrer d’un coup. Et il ne voulait pas, il ne devait pas. Il était un homme, et elle une femme galère.

D’un coup, Temari se leva.

_ Je doit y aller. Au revoir pleurnichard, ravie de t’avoir revu.

Sur ce, elle partit en lui faisant un dernier signe de la main. Shikamaru suivis sa silhouette du regard. Pas une baffe, ni commentaire désagréable, rien de tout ça. Pas de moquerie, pas de défis, pas de sourire. Pas de Temari.

Il la voyait encore, les feuilles virevoltant autour d’elle. Et Shikamaru eu une illumination. Il était un putain de baka. Il se leva tellement vite, que dans sa hâte il faillit tomber. Et il courut vers celle qu’il était maintenant sur d’aimer.

_ Temari ! Cria-t-il.

La kunoichis se retourna, et lorsqu’elle le vit, un sourire apparu sur son visage.

Il courait toujours, et il s’arrêta devant elle, essoufflé.

_ Eh bah, l’ananas, on est fati…

Temari n’eut pas le loisir de finir sa phrase. Shikamaru l’avait attrapé par la taille, avant de la coller contre lui, et de l’embrasser avec fougue. La belle blonde, bien que surprise, lui rendit son baiser avec autant d’ardeur. Lorsqu’ils rompirent le contact, ils avaient tout deux le rose au joue. Temari plongea son regard dans les orbes sombre de son amant. Ciel, depuis combien de temps attendait-elle ça ?

_ Temari, je…

La Sabaku posa un doigt sur les - terriblement attirantes - lèvre du Nara.

_ Je t’aime aussi, pleurnichard.

Elle posa encore une fois ses lèvres sur celles du Nara, l’emportant dans un baiser passionné.

Une feuille tomba. Elle virevolta un instant, et tomba dans les cheveux de Temari. Les deux amoureux étaient allongés enlacés, et regardaient les nuages qui passaient au dessus d’eux.

_ Shikamaru ?

_ Oui femme galère ? Répondit le Nara tout en continuant de caresser les cheveux de la blonde.

_ Quel est ton plus grand rêve ?

Shikamaru sourit.

_ Mon plus grand rêve, c’est de toucher les nuages.

Temari se redressa d’un coup, le fixant d’un air étonné.

_ C’est vraiment ce que tu souhaites ?

_ Non, je veux un baiser de toi avant, femme fatale !

La kunoichis s’exécuta en riant doucement. Puis elle prit la main de Shikamaru pour l’aider à se relever. Elle l’enlaça d’une main, avant de prendre son éventail de l’autre. Elle donna un grand coup dans l’air et les deux amants furent propulsés dans le ciel.

_ Bordel, Temari, tu fais quoi là ? S’écria le Nara très inquiet.

_ Fais-moi confiance, trouillard !

Effectivement, ils volaient tout les deux, virevoltants comme les feuilles d’automne.

Shikamaru, cramponné à Temari n’en revenait pas. Il volait !

_ Comment fais-tu ça ?

_ C’est ça de maitriser l’élément du vent. Aller, plus haut ! Dit-elle en recommençant à donner un coup dans le vide avec son éventail.

Shikamaru se sentait bien, en sécurité avec Temari. Il voyait Konoha d’une vue aérienne, et il trouvait son village tellement magnifique. Là, sa maison, puis celle d’Ino. Shikamaru était émerveillé, et voyait le monde avec un œil neuf. Un œil d’enfant. En le voyant ainsi, Temari sourit tendrement.
Ils finirent pas atteindre les nuages, et Shikamaru pu enfin réaliser son rêve.
Il passa sa main dans la masse cotonneuse et blanche, sentant des gouttelettes d’eau passer sur sa peau. Lorsqu’il retira sa main, elle était mouillée. Le Nara affichait une expression béate qu’on ne lui avait jamais vu, lui qui affichait cet air toujours blasé. Il cria. Un cri, un vrai, un cri de joie. Puis il se mit a rire à gorge déployé, complètement transporté.
Peu après, Temari les fit redescendre. Lorsqu’il toucha enfin le sol, Shikamaru avait encore la tête dans les nuages. Il regarda la belle blonde, celle qu’il aimait, celle qui venait de lui offrir le plus beau cadeau du monde, replier son éventail. Il s’approcha d’elle, posa son front contre le sien.

_ Merci.

Temari savais qu’il n’en fallait pas plus. Le silence vaut tout les mots du monde.

Shikamaru posa ses lèvres tendrement sur celles de la Sabaku.

_ Je t’aime, murmura-t-elle.

_ Je t’aime.

Ce jour là resta pour toujours dans la mémoire du Nara.
Ce jour là fut le plus magnifique de tout sa vie.




Voilà. Si vous lisez ça, c'est que vous avez lu mon chapitre.
J'espère que vous avez apprécier.
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