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Fiction: Me, my self and I

Shikamaru, raconte sa vie lassante d'adolescent entre amour, mort, rire et pleure. Un ennuie mortel l'entraîne tout comme moi en été de passer des nuits à taper sur son clavier en but de faire le point sur lui même.
Spoil | Général / Drame / Humour | Mots: 833 | Comments: 1
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El Kùn (Masculin), le 01/07/2013
Pourquoi j'ai écrit cette fic ? Une insomnie en entraîne une autre qui entraîne une inspiration.
Où je vais chercher toutes ces merdes ? C'est à mon cerveau qu'il faut demander ça, il vous répondra qu'il est off.
Est-ce que il y a une part de réalité ? Non.

Bonne ennuie lisez jusqu'à la fin.




Chapitre 1: 17 Octobre 2007



17 Octobre 2007.

On était libre fin des cours, plus de professeurs avec leurs cours aussi ennuyeux qu’une partie de golf à la télé. Aussitôt sortit, aussitôt une clope au bec, inhalation, expiration, libération. Je ne me souviens pas quand on a commencé à fumer cette merde, je crois que c’était à notre 2ème année de collège, on voulait paraître grand et draguer les filles de nôtre âge qui trouvaient ça « cool » un mec qui fume. Alors, pour être les 1ers de notre bande à ne plus être puceaux et pouvoir se vanter devant nos amis. On a donc testé ça tout d’abord en volant le paquet de mon père, un paquet de Gauloise Blondes, je m’en souviens bien. La 1ère bouffée était mythique, on ne savait même pas fumer alors on crapotait et on crachait nos poumons à chaque fois. Je me souviens aussi que quand je suis rentré chez moi j’avais ce sentiment de peur et de bien-être après avoir bravé une sorte d’interdit. Peur de me faire prendre par mes parents, je m’en foutais un peu qu’ils s’aperçoivent que je ne suis plus cet enfant innocent, intelligent et travailleur qu’ils ont toujours eu, qu’ils se rendent compte que j’avais trahis leur confiance. Ce dont j’avais réellement peur c’était de me prendre une paire de claque de mon père ou des coups de ceintures de ma mère. Non je n’étais pas un enfant battu loin de là mes parents étaient très aimants envers moi mais quand il m’arrivait de faire des bêtises c’était la correction qui m’attendait. Je dois dire que pour certaines conneries ça m’avait calmé malgré que je ne cautionnerais jamais cet acte là.

Je parle de on et de je depuis tout à l’heure mais je ne me suis même pas présenté. Qui je suis ? Bonne question je ne le sais pas moi-même, les gens m’appellent Shika simple adolescent de 18 ans. Shika est mon diminutif si vous ne l’aviez pas compris, le prénom que mes parents m’ont donné est Shikamaru. Pas très inventif quand on sait que mon père se nomme Shikaku. Je suis un simple garçon flemmard, doté d’Q.I. supérieur à la moyenne, mais cette intelligence comme le dit si bien ma mère je n’utilise pas celle-ci comme il se doit, j’en ai conscience et pour tout vous dire, je m’en fous. Oui je suis un « je m’en foutiste » qui excelle dans ce domaine. Pourquoi j’écris ce texte ? Je me le demande moi-même, peut-être qu’il me manque, peut-être que je suis juste fatigué de ses vacances et que il me fallait trouver une activité pour me divertir et oublier tout et surtout l’ennui. Et ce « il » c’est, enfin, c’était mon meilleur ami Choji tout mon contraire un élève travailleur qui ne cesse de participer en cours pendant que moi je dors, très sociable quand moi je préfère être seul. Même physiquement on est opposés, il est grand et assez musclé toujours très droit tandis que mon je suis qu’un nain de jardin frêle et nonchalant.

Revenons à cette journée d’Octobre. Sortie des cours. Grillage de clope. Metro avant de retourner à la maison, étant donné qu’on habite le même pâté de maisons on rentrait toujours ensemble. Jusque là rien d’inhabituelle même si Choji avait beaucoup fermé son visage tout le long du trajet il semblait distrait il pensait sûrement à comment il ferait pour aller à sa compétition de Boxe Mercredi, puis rendre son devoir maison de Mathématiques deux jours après et enchaîner avec un contrôle de Physique le jour d’après. Personnellement je comptais venir le voir à sa compétition, recopier le DM durant l’heure d’Histoire-Géographie qui précède celle de Mathématique sur ma petite amie puis réviser toute la soirée le contrôle de Physique tout en faisant des anti-sèches en cas de trous de mémoire. Parfait comme plan non ?
Choji prit subitement la parole pour me dire :
- Que fais-tu si je meurs demain ?
- Dépend si tu me mets ou pas dans ton testament et ce que tu me donnes. Dis-je avec ma dérision habituelle
- T’es vraiment con comme type. Il me lâcha ça avec un sourire qui semblait faux à mon goût, puis il continua. Mec je dois te dire, il est revenu.
- Qui ?
- MON CUL !
Je crois que c’est l’une des 1eres fois qu’il faisait des blagues aussi basses, d’habitude c’est moi qui sortais ces blagues-là. En bref chacun rentra chez soi sans rien se dire de plus hormis à demain. Je retrouvais le calme dans la soirée dans mon lit, après comme d’habitude une engueulade avec ma mère suite à un retard ou absence ou bien les deux et de mes mauvais résultats en cours. Un calme apparent en fait car à peine 30 minutes après m’être affalé sur mon lit, mon frigo qui me servait de téléphone sonna. C’était Choji :
- Allô, tu veux quoi là j’allais dormir.
- Il est revenu. Mon cancer.




Incipit court par flemme si vous en voulez plus vous allez être servi si vous en vous pas du tout bah tant pis je vous en donnerai.
Cya Nerds !




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