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Fiction: Sous haute trahison

La trahison est l'un des plus grands mots reconnut dans le monde des ninjas, pour avoir été la cause de nombreuses souffrances. Naruto fut l'une des victimes de ce mot. Trahi par son propre village, il décide de retrouver les traitres qui lui ont fait subir un tel châtiment, et de les faire périr dans les flammes les plus sombres de l'enfer.
Classé: -16I | Spoil | Action/Aventure / Horreur / Mystère | Mots: 21031 | Comments: 5 | Favs: 7
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Kyusay (Masculin), le 11/05/2013
La suite comme prévu ! :D
Bonne lecture à vous !




Chapitre 6: Invité surprise !



Un ninja apparut dans une salle plongeait dans les ténèbres, où siégeait un trône. Mais il vit que ce dernier était vide.

- Que me veux-tu, Lyu ?

Surpris, il se retourna et aperçut la personne qu'il recherchait, sur un balcon.

- Maitre, j'ai d'importantes informations à vous confier !
- Continue !
- Le conseil des cinq Kages aura lieu dans cinq jours.
- Comment ? En es-tu sûr de ce que tu dis ?
- Oui maitre ! Un de nos espions a pu surprendre une conversation entre la Mizukage et un Anbu. Il semblerait que la réunion aura bien lieu aux pays du printemps, mais qu’elle se passera dans un nouvel endroit, pour plus de sécurité.

Un rire à vous glacer le sang se fit entendre dans la nuit.

- Ce que tu me dis là, ce sont d'excellentes nouvelles. Ha ha ha !! Ricana-t-il. Ils organisent une petite fête et ne m'invite pas, moi, qui suis au cœur de toutes les discussions en ce moment.

Il se retourna vers son sous-fifre et déclara :

- Grâce à ça, je vais pouvoir faire d'une pierre deux coups ! Moi qui croyais que les choses n’avançaient guère, elles ne font qu’accélérer ! Ha ha ha ! Bientôt, ils connaitront mes intentions les plus folles ! Ha ha ha ha !!

Le ninja regarda son maitre s'emporter dans un immense fou rire pendant plus d'une minute.

- Lyu, tu m'accompagneras à ce petit comité en compagnie de ton cher ami, Izo, annonça-t-il, ironiquement. Et tu lui diras de ne pas oublier les feux d'artifices qu'on lui a offerts, il y a quelques jours de cela. Sur ce, tu peux rentrer dans ton humble demeure, mon ami. Bonne nuit !

Sur cette phrase, il s'abaissa et montra la sortie, comme dans une pièce de théâtre. Jouant le jeu, il s'inclina et se dirigea vers l'issue pour descendre les marches d'escalier.


Le soleil se leva sans qu’aucun nuage ne le gène. Cinq jours s'étaient écoulés depuis cette froide nuit à Oto. Cela faisait déjà plus de quatre heures que Kakashi était parti en mission. À ses côtés, il y avait l’Hokage et Sasuke Uchiwa. Celui-ci avait remplacé Yamato à la dernière minute, parce que le maitre du Mokuton avait eu un léger souci avec son équipe sur le chemin du retour. Jiraya, Shizune et Shikamaru occuperaient le poste d’Hokage durant l’absence de ce dernier. Même si cela était vraiment "galère" comme le disait le Nara.

Les ninjas étaient partis très tôt pour pouvoir arriver rapidement jusqu’au point de rendez-vous. L’avantage était qu’ils n’étaient pas loin du pays du fer. Ce dernier était neutre, donc c’était le point de rendez-vous parfait… Et puis, à la vitesse où ils se déplaçaient, il n’aurait besoin que de trois ou quatre heures de plus pour atteindre cette fameuse grotte secrète…
Avant la frontière, les ninjas firent une petite halte de rafraîchissement avant de reprendre la route.

Juste après l’heure du déjeuner, le trio de ninjas de Konoha arriva à la frontière du pays du fer. Les gardes du pays s’inclinèrent à leur passage. Le visage de la Godaime Hokage était mondialement connu. Ils furent donc escortés par une équipe de garde, possédant d'épais katanas sur le dos. Ceux-ci étaient recouverts d’une armure métallisée qui couvrait tout leur corps. C'étaient des Samouraïs, ils avaient un niveau équivalent à celui des shinobis. Lorsqu’ils entrèrent dans le bâtiment, un silence prit place immédiatement. Il y avait déjà du monde dans la salle de réunion.

Gaara no Sabaku était installé près d’une table et était entouré de ses deux gardes habituels : Temari et Kankurô. Le Raikage était là lui aussi. À ses côtés, il y avait Rayzou et Killer-bee.

Après quelques instants, Sasuke reconnut le Tsuchikage, Oonoki. C’était un homme d’une soixantaine d’année, avec des cheveux et une barbe blancs. Il devait faire environ 1 m 50. Son visage était calme et recouvert d’un sourire sans joie. Le vieil homme était accompagné par sa petite-fille Kurotsuchi, une kunoichi au sang bouillonnant. Le fils de croc blanc reconnut le chef de mission lors de l'évasion de Naruto, Ryuu.

Tout autour des Kage, il y avait une bonne cinquantaine de samouraïs. Ceux-ci étaient postés à chaque ouverture de la grotte. Un homme d’une quarantaine d’année s’approcha de l’Hokage. C'était Mifune, le général du pays du fer.

- Bienvenue à vous, Hokage-sama ! Il ne nous reste plus qu’à attendre le Mizukage, et nous pourrons commencer la réunion…

La Godaime acquiesça et s’avança vers sa place. Tout le monde la regardait… En même temps, elle était parfaitement reconnue grâce à son titre de sannin, mais aussi pour être la ninja-médecin la plus puissante.

Le brun eut un sourire en voyant que le Raikage le fixait. Le colosse de la foudre soutint son regard jusqu'à la dernière seconde.

Gaara eut un sourire. Sur ce coup, il avait remarqué les regards des autres hommes sur la poitrine de l'éternel perdante. Le Raikage tourna même la tête vers Tsunade, après avoir soutenu l'Uchiwa, pour contempler cette dernière. La blonde sentant les regards, foudroya ces derniers avec ses pupilles couleur noisette. A détourna ses yeux et se contenta de regarder devant lui, rouge pivoine. Les gardes du corps, eux, ne se gênaient pas pour inspecter tous les endroits et par la même occasion de voir ces... (vous savez quoi !)

La porte s’ouvrit. Deux samouraïs entrèrent, et furent suivis d’une femme portant le chapeau de Mizukage. Mei Terumi, une femme magnifique, était venue avec Aô, un membre des forces spéciales de Kiri no kuni, qui entrèrent à leur tour. Le deuxième ninja avait un cache sur l’œil gauche. La jeune femme fit un sourire à tous les hommes présents.

- Bonjour à vous, Messieurs dames les Kages ! Je suis heureuse de faire votre connaissance, annonça-t-elle.

D’un même mouvement de têtes, presque toutes les personnes saluèrent la jeune femme. Seul Gaara ne fit que la regarder. La femme d’une trentaine d’année s’installa à un bureau.

- Maintenant que les dirigeants des cinq grands villages sont là, moi, Mifune, général du pays du fer, déclare cette réunion ouverte.

Les cinq Kages étaient installés sur une table en forme d’hexagone. Chaque Kage était sur un côté, et le représentant du pays du fer était sur le dernier côté. L’homme d’une quarantaine d’année s’installa et débuta :

- Raikage- sama, je vous laisse l’honneur de commencer vu que c’est vous qui avez demandé cette réunion au plus vite…

Celui-ci acquiesça et commença :

- Eh bien, je vais être direct… Je suis ici pour que les cinq grands villages s’allient pour affronter Oto no kuni, et ce nouveau chef encore inconnu pour le moment… Celui-ci est en train de préparer une guerre, et selon mes sources, ils ont déjà beaucoup de marchandises illégales en leur possession…

Le silence s’installa. Le Tsuchikage tourna sa tête vers A, un sourire mince aux lèvres. Le Kazekage acquiesça, étant en accord avec le Raikage. La Godaime Hokage eut un léger sourire alors que la Mizukage baissa les yeux. Elle aussi avait un sourire.

- Pourrait-on savoir combien de marchandises ont-ils en ce moment ? Demanda Oonoki.
- Nous sommes pas encore aussi sûrs mais elle s'élèverait à une centaine de convois.

Tous furent surpris par une telle quantité. On voyait maintenant bien pourquoi il demandait à conclure une alliance entre eux. Cette guerre n'allait pas être prise à la légère. Il eut à nouveau un silence, et c'est la Mizukage qui relança le débat.

- À Kiri, le trafic maritime a connu une hausse exorbitante ce mois-ci. Et une escouade d'Anbu a été retrouvée morte dans une forêt souvent empruntée par des déserteurs en fuite. Se pourrait-il qu'il y ait un lien avec ce nouveau chef ?
- Il se pourrait bien en effet ! Affirma A. Mais nous savons tous que ce scélérat de Gâto est mort depuis plus de six ans. Alors qui serait le nouveau fournisseur d'Oto no kuni.
- Telle est la question qu'on se pose tous, Raikage-sama ! S'exclama Gaara. Si nous avons la chance de découvrir l'identité de ce fournisseur, nous aurons un avantage sur Oto no kuni.

Tous approuvèrent les phrases citées par l'ex-jinchûriki.

- Mais, avons-nous des idées sur l'identité sur ce nouveau chef d'Oto ? Intervint le Tsuchikage.
- Pour ma part, je penserais plutôt à Kabuto, annonça Tsunade, incertaine. Il semblerait que la mort d'Orochimaru l'ait attristé et il pourrait se venger en lançant une guerre.
- Vraiment ? Fit le vieil homme, pensif. Qui ne vous dit pas que ce serait le jinchûriki de Kyûbi, Uzumaki Naruto. Lors de son évasion, il avait bien annoncé qu'il allait se venger aussi de Konoha, non ?

La tension monta d'un cran à l'intérieur de la salle. Les ninjas de Konoha froncèrent les sourcils et mirent toute leur attention dans cette discussion.

- Il est vrai qu'il s'est enfui pour se venger, mais il ne ferait pas une chose comme ça, à commencer par devenir le chef du village d'Oto ! Répliqua Tsunade.
Il est le possesseur du démon Kyûbi, rien n'est impossible, vu qu'il a une dent contre les villageois depuis son enfance, envoya le sexagénaire.
- J'ai une entière confiance en lui, et s'il s'est enfui, c'est qu'il avait ses raisons !
- Comme déclarer une nouvelle guerre !
- Ça suffit Tsuchikage-sama, on est ici pour conclure une alliance, pas pour des broutilles de ce genre ! Lâcha le colosse de Kumo.
- Vous avez raison Raikage-sama ! Mais oubliez pas que votre fille a été dans cette affaire en étant la complice de ce jeune homme.
- Ne mêlez pas ma fille dans cette histoire ! S’exclama le Raikage en fracassant la table de son poing.

Au même moment, des explosions et des cris de paniques se firent entendre. Deux samouraïs entrèrent dans la salle en courant. L’un était recouvert de sang.

- Général ! Nous sommes attaqu…

Il ne put finir sa phrase qu'une autre explosion venait de se produire près d'eux. La moitié des soldats se retrouvèrent sur le sol tellement le souffle fut assez violent. Des débris de roche et de neige jonchaient le sol. Un grand trou remplaçait désormais l'entrée par lequel ils s'étaient tous introduits.

- Deux personnes... portant des capes noires et des dizaines de ninjas d’ Oto déciment nos troupes… Cracha le samouraï en se remettant debout difficilement.

La tension monta immédiatement d’un cran. Ils se mirent tous debout. D’un geste de la main, le général du pays du fer envoya tous ses hommes à l’extérieur. A eut un léger sourire…

- L’alliance peut débuter dès maintenant ?

Un sourire naquit sur les lèvres des ninjas de Kumo. L'Hokage accepta, suivi du Mizukage.

- Le village de Konoha vous suivra pour éliminer ces fichus malfaiteurs ! Déclara d’un ton ferme l'Hokage.

La deuxième femme parmi les dirigeants acquiesça elle aussi.

- Pour protéger mon village de cette guerre, Kiri sera aussi avec vous ! Déclara la Mizukage.
- De même pour Suna ! Lâcha Gaara.

D’un même mouvement, les quatre Kages membres de la nouvelle alliance se tournèrent vers le Tsuchikage. Ce dernier n'avait toujours pas esquissé un mouvement.

- Le village de la terre n’a pas d'autres choix que de vous suivre… Nous sommes près du village d'Oto no kuni aussi !

Le Raikage tapa sur la table et continua :

- L’heure n’est plus aux discours… Nous devons aider les samouraïs. Si ce nouveau chef est là, c’est pour nous faire les présentations, je suppose !

L’Hokage acquiesça. Il tourna la tête vers Kakashi et Sasuke. D’un mouvement de tête, il leur fit signe d’aller aider. Les deux s’élancèrent à l’extérieur. Les autres Kages firent de même. En dehors des Kages, tous les ninjas de l’alliance venaient de partir au combat. À l’extérieur, le combat faisait rage. Le samouraï qui avait déclenché l’alerte ne s’était pas trompé. Il y avait plus de cinquante ninjas d’Oto… Et les samouraïs tentaient comme ils pouvaient de retenir l’attaque. Cependant, ils étaient submergés par le nombre. Kakashi et Sasuke se regardèrent. D’un simple mouvement de tête, ils se comprirent. À grande vitesse, les deux s’élancèrent vers les ninjas d’Oto. Ils allaient éclaircir les rangs ennemis.

Le brun laissa passer son sensei devant lui. Ce dernier, avec le sharingan, pourrait éviter les attaques plus facilement. D’un coup de sabre, Sasuke élimina un adversaire. Le fils de croc blanc fit de même avec deux Kunai. Les samouraïs semblaient surpris, mais contents d’être aidés. Un peu plus loin, les autres shinobis forçaient le passage sans trop de difficultés. Les escortes des Kages n’étaient formées que de ninjas de haut niveau. Ceux d’Oto n’avaient donc clairement pas le niveau.

Un peu plus loin, les Kages virent le chef de ces déserteurs. Il avait une cape blanche et un masque bleu ciel. Les samouraïs lui barrèrent le chemin pour qu'il n'aille pas plus loin.

Qui êtes-vous ? Lança un des hommes en armure.
Moi ? Dit le ninja, ironiquement. Vous pouvez m'appeler Kei, mais cela ne vous servira plus à rien, puisque vous êtes déjà morts.

À peine eut-il dit cette phrase, qu'il disparut et brisa net le bras du samouraï qu'il l’avait interrogé. Le combat fut aussitôt lancé. Le dénommé Kei esquiva avec une facilité déconcertante chacune des attaques désordonnées de ses adversaires. Une fois évité, il se mit à les attaquer enchaînant à une vitesse incroyable les coups de poings, les coups de pieds, touchant à chacun de ses mouvements l'un des samouraïs. Au bout de cinq courtes minutes le combat était déjà terminé, les hommes jonchaient le sol, inconscients. Tout avait été fait proprement, car aucune goutte de sang avait coulé.

- Alors c'est toi la cause de toutes ces choses ? Envoya le Raikage.
- Exact ! S'écria une voix glaciale et lointaine. Cela vous surprend ?

Le colosse de Kumo était recouvert entièrement d'éclairs et se déplaçait à une vitesse folle. Il apparut près du jeune homme et envoya un coup de poing. Celui ci ne rencontra que le sol qui se fissura sous le choc avant d'exploser. Un énorme nuage de poussière se forma. Des sifflements aigus se firent entendre puis plus rien. Soudain, Kei apparut au dessus de A et envoya une boule de chakra sur celui-ci. Une explosion se produisit suivie d'une déflagration sur une zone de cinquante mètres de diamètre.

Le souffle avait atteint les Kages qui étaient en amont. Trente secondes s'écoula avant que l'on puisse voir le jeune homme au milieu d'un cratère. Pendant ce laps de temps, les gardes du corps de chaque Kage vinrent immédiatement près de ces derniers après leur combat. Les Kages fixèrent le mystérieux chef d'Oto et ils virent que le Raikage n'était plus présent.

- Que veux-tu ? Demanda une voix grave derrière les autres Kages.

En se retournant, ils virent A parmi eux, toujours avec son armure de Raiton.

- Ce que je veux... Commença-t-il, avant d'exploser en nuage de fumée.

Tous le cherchèrent des yeux avant de le voir, en haut dans les airs, face à eux.

- C'est vous ! Murmura-t-il derrière son masque.

Il fit quelques signes et une pierre couleur émeraude, qu'il avait comme pendentif autour du cou, se mit à briller. Un flash lumineux, vert fluo, attirèrent leur attention. Ce qu’ils ne virent absolument pas, c'était qu'un petit sceau étoilé vert s'était affiché dans leurs prunelles, pendant cette action.

Quand ils revinrent à eux, ils cherchèrent leur adversaire partout, mais il s'était déjà enfui.

Qu'a-t-il fait ? S'interrogea Gaara.
Je l'ignore Kazekage-sama, répondit la Mizukage.
Avez-vous eu tous ces ninjas d'Oto ? Questionna le Raikage.
Non, deux.
Non ! Deux déserteurs ont pu prendre la fuite.

Comprenant qu'il devait absolument se préparer pour cette imminente guerre. Les chefs des différents villages se saluèrent et rentrèrent à leur village rapidement.


Le chef d'Oto, maintenant connu sous le nom de Kei, apparut sur le rebord d'un balcon qui était recouvert de neige. Il descendit de celui-ci avec délicatesse et entra par une porte-vitrée. La salle où il s'y tenait, avait une décoration assez sobre, reflétant le caractère du propriétaire. Ce dernier se trouvait assis dans un luxurieux fauteuil, à l'arrière d'un large bureau. L'homme fumait une pipe pour se détendre, les pieds en l'air.

- Je vous attends depuis plus d'une heure ! S'exclama-t-il.
- Veuillez m'excuser, mais j'ai eu un petit contretemps en chemin, répondit le jeune homme.
- Vous aviez ce que vous me devez ? Demanda l'homme d'une trentaine d'années.
- ...

Il ne répondit point à la question, seuls les gestes qu'il fit, parlaient pour lui. Il sortit une petite mallette toute noire d’en dessous de sa cape et la posa sur le bureau. Il le retourna et l'ouvrit, montrant des tas de billets bien classés. Le receveur de cette immense somme d'argent se rapprocha, et commença le compte.

- Tout y est ! Intervint le chef. Encore désolé pour les dégâts causés, mais il fallait rendre la mise en scène un peu plus réaliste.

Un sourire naquit sur le visage du sénior.

- Ne vous en faites pas sur ce point là, c'était conclut dans notre contrat, répliqua-t-il, en refermant la petite malle.

Il tira une bouffée sur sa pipe et continua :

- Faire des affaires avec vous n'est pas une si mauvaise idée après tout.
- Hum... Justement, j'ai réfléchi sur ce petit détail moi-même et il se pourrait que j'en aie quelques-unes à vous proposer, annonça-t-il avec un sourire sur les lèvres.

L'homme relâcha un nuage de fumée blanc et naquit un sourire.

- Il me tarde de les entendre !
- Dans ce cas, je vous recontacterai d'ici peu. Sur ce, je pense que d'autres vous attendent.

Il disparut des yeux de son interlocuteur en sortant par dessus du balcon. Au même moment, une femme entra par la porte et s'avança.

- Mifune-sama ! Votre réunion va bien commencer !
- Bien, dites-leur de m'attendre, j'en ai pour trente secondes.

La jeune secrétaire acquiesça et s'en alla. Le quarantenaire se leva de son siège et prit la mallette dans sa main droite. Il jeta un dernier regarda à travers une vitre où on put distinguer une petite lueur dans ses pupilles.


- Pourquoi avez vous fait cela ?
- Tu le comprendras très bientôt, Lyu. Et tu n'en croirsa pas tes "yeux" !! Ha ha ha ha !! Ricana-t-il.




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A la prochaine !




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