Fiction: La flamme Uchiwa

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J’aime bien conseiller des musiques pour les moments important de l’histoire ou juste par ce qu’elles m’ont inspirés. Pour cette courte introduction c’est une musique d’Apocalyptiqua qui m’a grandement aidé dans l’écriture de ce chapitre. Son nom est « Epilogue ». (Bon je sais c’est bizarre l’épilogue c’est censé être à la fin mais la on s’en fou un peu vu que c’est juste un morceau instrumental ; et puis parfois la fin peut entrainer le renouveau, la naissance). Bref voila le premier chapitre, bonne lecture.

Un enfant courait dans l’obscurité croissante de la nuit, il avait les cheveux courts noirs, et était habillé d’un maillot bleu foncé avec le symbole des Uchiwa dans le dos, il traversait les rues de ce qui semblait être, une petite ville. L’ambiance était sombre et les ténèbres omniprésents malgré la pleine lune. Ce garçon avait un mauvais pressentiment, quelque chose n’était pas normal, tout était trop calme, les rues étaient vides et le seul bruit que l’on pouvait distinguer était celui des corbeaux qui hurlaient à la mort.

Cet environnement l’inquiétait, il n’avait pas peur, mais l’air était malsain. Il accéléra donc la cadence en se déplaçant de toit en toit vers sa demeure. Il était pressé de revoir sa famille, il voulait s’entrainer un peu avec son frère et se vanter à ses parents des exploits qu’il avait accomplit la journée à l’académie. Il les aimait beaucoup, à ses yeux ils étaient parfaits. Après le repas il irait peut être voir sa meilleure amie, ils adoraient se rejoindre la nuit pour s’entrainer et préparer des blagues destinées aux adultes. Il l’aimait, quant il la voyait son cœur se serrait, il était vraiment bien auprès d’elle, il la considérait comme sa sœur.

Ses pensés s’assombrirent quand il arriva devant la grande demeure qu’était celle des Uchiwa. La porte d’entrée habituellement surveillée par des ninjas était maintenant grande ouverte et…
.
Et il n’y avait personne. C’est donc la boule au ventre qu’il pénétra dans la demeure sous le croassement incessant des corbeaux. Un sentiment de profond mal-être l’avait envahit, le quartier était sombre et les reflets rouge de la lune rendait les rues terrifiantes.

Il avança quelques minutes et laissa échapper un hurlement lorsque il aperçu une scène d’horreur face à lui : des combats avaient eu lieu, et des armes trainaient partout, du sang recouvrait les murs et formaient des flaques mais le plus affreux c’était les cadavres des hommes de son clan transpercés par des armes de toutes sortes et reposant en un tas lugubre au milieu de la rue... Il ne pouvait pas y croire, le clan Uchiha était le plus puissant de Konoha, qui aurait pu oser le défier ? Des larmes coulaient maintenant le long de ses joues et il se précipita en direction de sa maison, il fallait qu’il rejoigne ses parents qui devaient défendre la demeure face aux assaillants.

Sur le chemin menant à sa maison, il remarqua avec effroi que l’adversaire était sans pitié, les femmes et les enfants n’avaient pas été épargnés. Comment des êtres pouvaient ils être si cruels ? Il ferma les yeux et continua d’avancer la rage au ventre. Ses pensées s’égarèrent alors pour son amie Setsuna, il espérait de tout son cœur qu’elle ait réussi à s’enfuir.

Sa tête tournait dangereusement, tout l’environnement n’était qu’un terrible cauchemar, tous les gens qu’il avait connu venaient de mourir sans qu’il ne puisse rien y faire, son monde s’écroulait, son cœur était sur le point de se briser. Seul l’espoir que ses parents, que son amie puissent être encore en vie lui permirent d’avancer un peu plus dans l’horreur.

Il finit par arriver devant chez lui, c’était une grande demeure, les fondations étaient en pierre tandis que le reste était composé de bois blanc gravés. Elle ne semblait pas avoir subit les ravages des combats, mais le silence qui y régnait ne lui laissait présager rien de bon.
Il se précipita alors vers la porte d’entrée mais son regard s’arrêta sur un petit corps assit contre l’un des piliers extérieur, du sang coulait abondamment sur le sol et formait une large flaque. Il lui sembla pourtant entendre une légère respiration.

Le jeune garçon craignait le pire. Ces formes, ce corps lui était familier… ca ne pouvait pas être elle ! Son cœur s’arrêta de battre pendant plusieurs secondes lorsqu’il la reconnue, elle avait de long cheveux rouge, son teint habituellement coloré avait laissé place à une pâleur extrême. Ses yeux noirs étaient maintenant rouges comme du sang, elle avait éveillé son dodjutsu héréditaire: le Sharingan. Elle était terrifiante, pourtant son état ne lui laissait aucun doute, elle allait bientôt mourir. Le regard de la fille était orienté vers le jeune Uchiwa, mais celui-ci observait le shuriken planté dans le ventre de son amie. Il se jeta alors à son niveau et cria :
«Nonnn, Setsuna, Setsuna* !! »

« … je suis désolée » souffla t-elle. Il savait qu’il écoutait ses derniers mots, elle avait perdu tellement de sang… elle ne devait pas mourir ainsi, pas elle, pas maintenant, il ne pouvait se résoudre à la perdre.

« S’il te plait…. Reste avec moi, ne m’abandonne pas ! »Supplia t-il pendant que ses larmes coulaient abondamment. Son cœur était pris en étau, son corps était sur le point de l’abandonner.

Il lui prit la main et continua :
« Je t’en pris tient bon, je vais…je vais t’amener chez quelqu’un qui pourra te soigner, je crois que Tsunade et chez elle, je peux te porter et…. »

«….je… Je suis désolé je n’ai pas pu protéger ta famille » l’interrompit-elle en fermant les yeux.

Cette déclaration fut comme une décharge électrique pour le jeune garçon. Durant un cour instant, il avait oublié sa famille ; son père, sa mère, son frère étaient ils mort ? Impossible, ils étaient l’élite du village, ils ne pouvaient pas mourir. Si ils étaient en danger, il devait les aider, c’était impossible qu’il soit trop tard. Il essuya les larmes qui coulaient sur ses joues et embrassa le front de sa sœur d’âme en lui caressant le visage:

« Je te vengerai ».

La promesse qu’il venait de faire changera son destin à jamais.

Il se jura de trouver
Ceux qui l’avaient tué,
Bonheur inaccessible,
Amour impossible
Il les ferait payer,
Sa sœur sera vengée.
Il les fera souffrir,
Il les verra mourir,
Ou il se perdra.

La haine ; cercle d’immondice infini, qui entraine la rage, la rancœur, la vengeance, la violence, la mort, et… la haine. C’est un mal profondément ancrée dans nos cœurs qui brise les vies. C’est l’arme du shinobi, c’est la nouvelle arme de l’Uchiwa.

Il couru et pénétra dans la demeure afin de retrouver ses parents. Il n’entendit pas le dernier souffle de son amie :

"Je……… je t’aime »

Deux être se sont aimés,
Deux être se sont quittés.
Frère, sœur ?
La vie les a séparés.
Si proches,
Main dans la main sur le même chemin.
Elle, est partie avec des regrets,
Elle ne lui a pas dit ce qu’elle ressentait.
Lui, n’était pas là pour la protéger,
Il ne connaitra jamais la paix.
Mort, solitude.
Finalement, leur chemin n’était pas le même,
Mais seulement parallèle.

La maison était vide, c’était une grande demeure. Habituellement, les murs étaient décorés de somptueuse gravure représentant l’histoire des Uchiwa et du village. Aujourd’hui l’ambiance était suffocante, les rayons rouge de la lune traversés les grandes fenêtres et rendait la pièce principal terriblement inquiétante.
Le sang était partout.

Comme un incendie qui se prépare, comme l’enfer qui l’attendait.
Un bruit l’attira vers la cuisine et il poussa la porte coulissante, son regard fut alors attiré par un objet brillant qui se dirigeait rapidement vers lui, lorsque il le reconnu, ce fut trop tard, il hurla de douleur, le Kunai lui avait entaillé profondément la cuisse. La douleur qui suivit lui fit perdre l’équilibre et il s’écroula au sol.

Un bruit, un sabre dégainé, une vague de sang ; il assista avec horreur à l’exécution de ses parents. Ils venaient d’être décapités sous ses yeux, leurs têtes s’écrasant lourdement sur le sol en bois. Il n’avait rien put faire, sa jambe l’avait empêché de bouger. Une ombre sortit de la pénombre avec un sabre ensanglanté dans les mains. Il avait maintenant touché le fond, c’était finit, toutes les personnes qu’il aimait été mort. A quoi bon lutter, il était trop faible, tous son clan venait de mourir, il allait les rejoindre. Il baissa la tête, les larmes coulaient de nouveau et tombaient au sol, il ne pourrait pas lutter face à cet être, il renonçait à la vie, il renonçait à sa vengeance.
A quoi bon vivre dans les souvenirs, à quoi bon vivre dans la solitude.

Lutter contre les ténèbres demande de la force, de la volonté et du courage. Lui ne demandait qu’à se perdre dans l’obscurité, pour ne plus jamais penser, pour pouvoir oublier ce qui venait de le briser.

Il attendit quelque seconde mais rien ne vient, alors il releva la tête, ses yeux s’écarquillèrent, la peur, la haine, la résignation avait maintenant laissé place à de l’incompréhension. Il se sentait vide, il devait faire un mauvais rêve ou alors il était devenu fou, devant lui se tenait son frère.

Comment pouvait-il être tombé si bas ?

« Je ne comprends pas » sanglota t-il perdu face à son frère

Un homme se tenait devant lui, il était grand et habillée d’une tenu sombre, il avait les cheveux noir plutôt long, son visage semblait vide d’expression. Son sharingan était activé mais l’enfant ne reconnaissait pas le symbole que représentait ces pupilles, les 3 Tomoe habituels était remplacé par une forme d’étoile noire à trois branches. Il portait également la veste verte des Junins, mais elle était maculée de sang. Il semblait être l’ombre de lui-même, il émanait de lui une froideur terrifiante, pourtant il devait être faible, il avait abandonné sa droiture habituelle, et de grande cerne assombrissait son visage.

D’un ton dédaigneux il répondit à son jeune frère:
« Tu as toujours été un faible »

« Toi ? Pourquoi ? Pourquoi ? » Hurlait presque le gamin.

« La famille, l’amour rien ne compte…. Ce qui importe c’est le pouvoir, la puissance. »

Le gamin regarda ses parents décapités, et repensa ensuite à sa sœur : sa famille était morte devant ses yeux et son frère était leurs assassin. Il se releva avec ses dernières forces et recracha son repas devant lui. Il attendit quelque instant avant de répliquer difficilement les larmes aux yeux :

« Je t’aimais, tous le monde t’aimais, tu avais tout !! Tout !! Et tu nous a trahie »

« Je n’ai jamais rien eu, si ce n’est ce que j’ai acquis par moi-même. Une famille faible pour un clan faible tu crois que ça compte ?» Dit-il froidement.

L’enfant n’eut pas le temps de répondre que son frère continua :

« J’ai tué Shisui, cela ma rendu beaucoup plus fort, il fallait que je test mes nouvelles capacités, je me suis donc mesuré au clan… hélas ils n’ont pas été à la hauteur de mes espérances. »

Le jeune Uchiwa était estomaqué, toutes ces personnes, toute sa famille était morte simplement pour satisfaire le besoin de puissance d’un seul homme, son frère ; il était profondément dégouté et cela du se lire sur son visage car le meurtrier lâcha un petit rire sadique avant de constater :

« Mon pauvre petit frère, tu es donc si surpris ? Pourtant tu aurais du le sentir, nous sommes du même sang, tu es comme moi à la rechercher du pouvoir. »

« Je ne serais jamais comme toi !!!! Je ne suis pas un monstre!!!»

Il observa maintenant le visage du meurtrier qu’était devenu son frère ; ce n’était pas celui qu’il avait cru connaitre, lui n’aurait jamais pu faire toutes ces choses, provoquer toutes cette horreur, tuer ses parents, tuer sa sœur, lui n’aurait jamais eu ce sourire sadique sur le visage.

«T’es un raté frérot, si tu veux me tuer, il va falloir me haïr bien plus que ca ! » Répliqua t-il sur un ton étrange. Une larme coulait sur son visage, dans l’obscurité elle était presque invisible."

Que lui restait-il comme possibilité ? Il savait qu’il n’avait pas le niveau, son frère avait toujours était son dieu, son héros, son idole. Il était l’un des meilleurs guerrier du village et…… et il avait réussi tout seul à exterminer un clan entier, alors que lui n’était qu’un étudiant. Pourtant une nouvelle flamme s’embrassa en lui, la flamme des Uchiwa, il ne fuirait pas.

Le soleil ne brille plus,
La lune cache sa lueur,
Tout espoir est perdu.
Mais il continue encore,
Jusqu’à la mort.

L’enfant lança un regard meurtrier à son frère, une promesse, un adieu avant de chercher rapidement dans son sac un Kunai pour le lancer sur son opposant. Ce dernier évita l’arme d’un mouvement d’épaule en déclarant :

« Tu es vraiment faible »

L’enfant ne se découragea pas et chargea son frère, il allait mettre en pratique ses nouvelles capacités. Dans sa course il lança plusieurs shuriken que son adversaire évita sans le moindre problème, pire il ne semblait même pas avoir bougé. Une fois qu’il fut à porté il projeta son pied vers le visage de son adversaire dans un saut spectaculaire. Celui-ci l’arrêta avec une seule main, il ne s’était même pas placé en position de combat. Sans retoucher le sol, l’enfant balança son autre jambe en direction du ventre de l’homme. L’enfant fut surpris ; alors que le coup allait toucher sa cible, il fut contré par le bras libre de son frère. Il fut ensuite projeté au fond de la salle par un puissant coup de poing.

Il se releva avec peine en s’aidant de ses bras et effectua une série de mudra :
« Katon Goukakyuu no jut…… »

Il fut interrompu, son frère ne lui avait pas laissez le temps de finir son ninjutsu, il était maintenant face à lui et l’avait soulevé à quelque centimètre du sol. Le jeune Uchiwa étouffait, son frère avait une tel poigne qu’il lui était impossible de se dégager. Il reçut ensuite un coup de genou puis un coup de poing qui le fit s’écrouler.

« Je perds mon temps, dommage pour toi, ta souffrance aurait pu être de courte durée… peut être qu’un jour tu seras un adversaire potable, aujourd’hui je n’ai pas de temps à perdre avec un gamin …Tsukuyomi sharingan » Ses mains avaient effectués les Mudras à une vitesse presque imperceptible.

Le garçon vécut alors pendant 72 heure la mort de ses parents, de son amie, de son clan. Il était attaché a un poteau et des corbeaux le dévorait vif, la douleur était terrible et la mort lui semblait inaccessible.
Dans cet enfer une voix répétait sans cesse « Si tu veux me vaincre, hais moi, déteste moi, fuis et survis par tous les moyens. »
Le visage sadique, les paroles de son frère il ne les oubliera jamais, il l’avait promis, il se vengerait.

Alors l’enfant hurla, il cracha sa douleur, son désespoir, sa haine, son impuissance. En ce jour noir, bien des vies furent enlevés, bien des destins furent tracés, dont deux d’entre eux liés par le sang.
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Dans un appartement de Lille Suzaku* Uchiwa Hurla, avant de s’apercevoir que les cadavres et les corbeaux avaient laissés place à sa banale chambre universitaire. Il était plein de sueur et des larmes s’échappait de ses yeux.
« Merde foutu cauchemar ».
*Le prénom de Setsuna signifie éphémère… .




Voila premier chapitre terminé ;) j’espère que vous avez apprécie.
Sakura : c’est trop triste, pauvre chérie…sniff.
Sasuke : … (Ce gamin me rappelle quelqu’un)
Auteur : t’inquiète pas Sakura la suite sera plus joyeuse………. Ou pas !!!!
Sakura : Ta pas intérêt à faire du mal à ce pauvre chou sinon….
Sasuke : … (Galère pas moyen de me souvenir c’est énervant)
Auteur : Sinon ?
Sakura : je te tue!!!!!
Sasuke : …. (Bon je laisse tombé, ca fait trop mal de réfléchir)
Auteur : Tu ne peux pas c’est moi qui écrit l’histoire !!!Mouaaaaa *rire diabolique*
Sakura : … il est nul ton rire.
Auteur : hum, je crois que toi, tu vas sortir avec Ino si tu continu.
Sakura : Aaaaaaaah non pas la grosse truite.
Ino : C’est qui que tu traite de grosse truite, le grand front !!!!
*Ino et Sakura ce jette des éclairs par les yeux mais des vrais hein*
Sasuke :… (Bon Sakura et Ino s’énervent, moi je ne reste pas dans le coin)
Ino et Sakura : Sasu-chou, nonnnn ne part pas !!!!
Naruto : Salut les gens, le héros arrive enfin….. Ah tient Sakura ca va ?
Sakura : Baka !!!!*hurlement strident* Ta fait fuir mon Sasuke.
* Naruto repart d’où il est venu mais cette fois par la voie des airs*
Ino : Depuis quand c’est ton Sasuke ? C’est autant le mien que le tient d’abord !!!!
Auteur, Naruto, Sasuke :….. Les filles…
Les filles : On vous a entendus !!!!
Auteur : Bon bah moi je vous laisse les mecs je vais écrire la suite, Gomen…
Les mecs : Lâcheur.

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