Fiction: 4 Bonnes Raisons...

Une dans le poumon, une dans l'épaule, une dans le coeur et une dans la tête. Quatre bonnes raisons de mourrir, mais il semblerait qu'une partie de moi ne semble pas rester dans un caveau jusqu'à la fin de ma mort. Je suis passé à travers du sol de ce trou. A force de creuser après avoir touché le fond, on arrive à l'envers de la terre. Cà aurait pu être si bien...
Classé: -12D | Général | Mots: 45119 | Comments: 38 | Favs: 39
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ohne Seele (Masculin), le 05/08/2007
Petit chapitre, vous avez vu ? Après avoir fait des trucs de 5000 mots, le petit trucs que je vous sert ? C'est ça, plaignez vous...

Et en plus, encore Oomph!... J'vous entend déjà dire "Ouuuuhhh ! Remboursé !"
Et ben J'AI PAS D'IDEES. Le plus dur dans cet fic, c'est de trouver une musique qui correspond au chapitre et là j'ai pas franchement trouvé ce que j'esperais... Pourtant j'écoute varié...

*Ooooouuuuhhhh ! Auteur de merde ! On veut notre pognon ! Remboursé !*

Bonne lecture quand même, bande d'ingrats.

Oh, et j'allais oublier... Ich will deine Seele = Je veux ton âme. Vous verrez pourquoi plus tard.




Chapitre 10: Oomph! - Ich Will Deine Seele



Je me demande combien de personne sont en train de le chercher... Mais ça n'a pas d'importance puisque c'est moi qui l'ai trouvé ! Il faut dire que j'avais une certaine avance surtout les autres puisque moi, je savais ce qu'il était capable de faire et quand j'ai entendu parler d'un accident de glace dans une region semi-aride, j'était un des seuls à savoir qui ça pouvait impliquait. Et j'ai eu raison. Et j'suis trop fort.



Quand je l'ai trouvé dans cette chambre remplie de trus et autres bidules offerts par les villageois parce qu'il aurait à priori protégé la ville de je-ne-sais-pas-qui-et-je-m'en-tape, il avait pas l'air particulièrement heureux. Il ne m'a même rien dit quand je suis entré... Bon, en même temps, il dormait mais c'est qu'un détail... D'ailleurs le temps qu'il se reveille, j'me suis enfilé la moitié des trucs à bouffer qu'il avait reçu. Les petits gateaux roses étaient vachement bons ! Par contre, y'avait aussi un petit truc bleu qui avait l'air apétissant, mais il avait seulement l'air. En fait, c'était vraiment dégeulasse. A gerber même. C'est à cause de ce machin que Leo s'est reveillé.



J'ai été suffisament surpris par le goût, ou plutot par le dégout, de ce truc bleu que j'ai avalé de travers. Le bordel que j'ai fait ce moment là l'a reveillé et il m'a explosé le dos pour me faire cracher. Bordel, y m'a fait vachement mal cet enfoiré ! C'est pour ça que j'ai crié "aïe", suite à quoi j'ai découvert que les occupants de la chambre d'à coté aussi été reveillés puisque qu'un type de cette chambre nous a gueulé de faire moin de bruit, il y a aussi un chien qui a aboyé à ce moment.



-Putain, mais t'es con ! Ca fait super mal !

-Moi, je ne suis pas assez con pour bouffer une figurine en pate à modeler qu'un gosse a fait.

-C'était de la pate à modeler ? Mais ça avait l'air vachement bon !

-Le gamin qui a fait ça m'a dit :"C'est toi ! Cadeau !"

En regardant le morceau de pate à modeler par terre, machouillé, trempé par ma bave, je me suis dit que la ressemblance n'était pas flagrante.

-Hmmm... Soit il était sous LSD quand il a fait ça, soit il est miro.

-Ferme ta gueule.



Ouuuhhhh... Alors il ne vaut mieux pas dire du mal des gosses avec lui, on dirait. Va falloir y aller avec des pincettes, je sais pas pourquoi mais il a pas l'air particulièrement joyeux. P'têt qu'il avait un petit frère en France, en plus de son grand frère ? Un chiard qui lui manque ? Bon, en attendant il serait temps de prendre la parole, parce que le silence pesant et assez indigeste me les brises. Mais allons-y mollo.



-J'ai entendu dire que tu t'es battu contre l'akatsuki par les villageois... C'est vrai ?

Pas de réponse, il m'aide vraiment pas... Ce type est plus froid qu'un cadavre.

-Si c'est vrai, tu es un jinchuriki, n'est ce pas ?

Bordel, j'essaye de creer un dialogue mais cet enflure ne répond même pas !

-Et si tu es le jinchuriki auxquel je pense, tu t'appelles Leo, hein ?

Bonn... C'est pas qu'il m'ennuie mais il m'emmerde... Pardon seigneur, mais il me pietine les couilles !

-MAIS TU VAS DIRE QUELQUE CHOSE, MERDE !



De l'autre coté du mur :

-VOUS ALLEZ FERMEZ VOS GUEULES, IL EST TARD !

-Ouaf !



Ooouuupppssss... Bah, tant qu'il ne vient pas se plaindre directement ici, je suis tranquille.



-Pourquoi je devrais dire la moindre chose ?

-Pour que je ne parle pas tout seul...

-Alors va voir un psy, je suis sur qu'il fera semblant de t'écouter suffisament bien pour que tu t'en rendes pas compte. Sur ce, bonne nuit.

Aaarrrfgghhh... J'aurai dû m'en douter, c'est vraiment un enfoiré de première...



-BON. Je crois que si on veut avoir une converstion correcte, il faut que je me présente, na ?

-Pas la peine, je sais qui tu es. Je veux juste savoir ce que tu me veux.

-Ah ? Tu sais qui j'suis ? Comment ça ?

-Joseph, je ne suis pas un abruti profond comme tu sembles l'être. J'sais pas ce qu'est l'akatsuki, mais je suis bien un junchiriki, comme toi, avec les mêmes souvenir et les même possibilitées.

Alors c'est vraiment lui !

-Alors c'est vraiment toi !

-C'est vraiment moi ! Noonnn, serieux ! Bon, maintenant que tu sais que je suis vraiment moi, tu peux peut-être me dire ce que tu me veux ?



Joseph se jette au cou de Leo et l'enlace.



-Aaaahhh, enfin quelqu'un quelqu'un qui ne prendra pas pour un débile profond quand je lui dirais d'où je viens...

-Lâche-moi !

-Oh non, laisse moi autour de toi encore un peu, grand fou !



Leo le repousse vers le mur, suite à quoi le voisin hurle :

-MOIN DE BRUIT, MERDE !

-Wouaf !



-Je suis hétéro, lâche-moi maintenant !

-Et alors ? C'est juste un petit défaut, je t'accepte comme tu es !

Pas de réponse... Mais je ne peux pas dire que j'en attendais une cette fois... Plus qu'à le convaincre de me suivre et l'affaire en sera à un quart dans le sac... Reprenons donc notre serieux et parlons de chose que tu ne connaitras pas, dommage pour toi, Leo... C'est navrant, ta famille cause ta perte.



-Tu m'avais demandé ce que je te voulais, je crois ? Je vais te répondre : du bien.

-Ah ?

-En très résumé, oui. J't'explique : ...

Hop, on s'assoit à l'envers sur la chaise et on baratine. Facile.

-... Je suis mort il y a un ans et demi à peu près. Accident de voiture. Et je me suis retrouvé ici, seul, sans rien, sans avenir, sans amis ni famille, j'avais plus rien et j'étais complètement paumé dans un monde que je ne comprenais pas suffisament bien pour m'adapter rapidement. T'as vécu tout ça, je suppose ?

Il hoche affirmativement la tête. Bien, déjà j'ai toute son attention et il n'a plus l'air aussi hostile que tout à l'heure. J'ai déjà commencé à lui mentir, mais je ne peux plus m'arrêter maintenant, tu es trop precieux pour que je te laisse passer à coté de moi, mon cher Leo.

-... Enfin, j'ai tout de même eu un bienfaiteur. Par le plus grand des hasards, c'est un scientifique talentueux. Il m'a aidé, il était le seul qui m'a cru quand j'ai eu la bêtise de raconter d'où je venais. C'est grâce à lui que je ne suis plus un jinchuriki et...

-Attends-attends-attends-attends... Coupa Leo. T'es plus un jinchuriki ?

-Non. Normalement, le jinchuriki meurt lorsque le bijuu est hoté de l'hote. Mais vu que nous ne portons qu'une partie de ce bijuu, c'est plus une operation mortelle. Mais j'ai jamais rien subit d'aussi douloureux ! Et j'y ai perdu quelque plumes, c'est pour ça que tu pourras parfois me voir faire des trucs bizzares...

-Mais qu'est devenu le bijuu ?

-Stocké ! Inutilisé ! On ne pouvait se permettre de laisser ça à n'importe qui. Bon, j'en étais où moi ? Ah ouai, donc abblation du bijuu, opération réussie, et c'est le probléme. Le scientifique qui m'a recueilli a trouvé un moyen de me renvoyer chez moi, en France, quelques semaines après l'abblation. Me demande pas comment il a fait pour trouver, il a bien essayer de m'éduquer un peu deux-trois trucs de temps en temps, mais ça c'est rentré par une oreille, c'est sorti par le nez. Bon, bref, il a trouvé comment faire... Mais il faut la puissance du bijuu. Et là, j'ai l'air con. C'est pour ça que je suis encore là, coincé dans ce monde comme le plus pafait des cons. Jusqu'à ce que, il y presque un an, j'entende parler d'un Uchiwa apparu de nulle part ! Je précise que c'est toi...

-Merci, j'avais compris...

-Ouai, bon, en tout cas j'ai tout de suite compris que ça ne pouvait être que quelqu'un comme moi. Et vu que tu as encore la puissasnce du bijuu en toi, tu peux m'aider à me casser d'ici ! C'est pour ça que je t'ai cherché. Bien sur, tu partiras en même temps que moi, tu veux sûrement revoir ta famille, comme moi.

-Ouais... Fit Leo, sans grand enthousiasme.

-Alors, l'affaire est reglée, tu me suivras ?

Après avoir soufflé un moment et attendu quelques secondes dans le silence, la réponse tant attendue sortie :

-... Si ça peux te faire plaisir.

-WOUHOU ! MEC, JE T'ADORE !



Tandis que Joseph sautait encore au cou de Leo, dans la pièce d'à coté, ça se preparait à entrer en guerre et ça allait chier grave, à priori.

-Bien, bien, bien, fôôôrmidable, ils sont content... MAIS BORDEL, ils pourraient pas avoir plus de respect pour les bléssés ? Fulmina un garçon, pas dans le meilleure état possible mais suffisament en colère pour appuyer sur son bouton rouge interne.

-Du calme, Kiba... Tenta inutilement une ado au cheveux rose.

-NON, je me calme pas ! On s'est déjà pris une grosse branlée par un membre de l'akatsuki, qui ne nous à même pas jugé "amusant", et faut EN PLUS qu'on se tape bordel que font les voisins ? Alors là, plutot crever ! J'ai pas la force de les supporter, mais j'ai assez de force pour leur foutre une paire de baffes ! Suis-moi Akamaru !

-Wouaf !

Il sorti en furie de sa chambre, laissant en plan Sakura qui essayait de le dissuader de faire cette bêtise en vain, pour entrer de la même façon dans la chambre voisine. Un spectacle plutot inhabituel s'offrit à ces yeux : Un garçon s'accrochait desesperement au cou d'un autre, qui essayer de s'en débarasser. Soudain, il reconnut quelqu'un. Complètement abasourdi par celui qu'il voyait, il pointa du doigt Joseph et bégaiya :

-T... Toi... Mais... Qu'est ce que c'est que ce bordel !

-Ouuupppsss, merdeuh, dit l'interressé en se plaquant la main sur le visage. Il s'est reveillé.

-AAH ! Fit Kiba en pointant cette fois Leo du doigt, TOI AUSSI

-Euuuuhh, fit Leo, là je comprend plus rien...

-J'T'EXPLIQUERAI PLUS TARD, ON S'CASSE !

Joseph entraina Leo à travers le fenêtre dans la confusion la plus totale, mais Leo eu tout de même le reflexe d'attraper ses chaussures. Kiba ne les poursuivit pas, complètement confus.



Lorsqu'il entra à nouveau dans sa chambre, Sakura lui demanda ce qui s'était passé, elle fut un peu surprise de sa réponse :

-J'ai dû rever, j'ai vu Leo ("Qui c'est ?") avoir des relations homosexuelles avec Joseph ("Joseph ? LE Joseph ? Pas de doutes, t'as rêvé !") avant qu'il ne se jette par la fenêtre.

Sakura se demanda si il n'avait pas été victime d'un genjutsu ou si il avait abusé des médicaments.



Ich will deine Seele
drück dich an mich
Ich will deine Seele
lass mich in dich
Ich will dein herz
PS : Oomph!, c'est bon, mangez-en.




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