Fiction: Wake Me Up Inside, Version française

Traduction de la fiction anglaise écrite par RayneXHatake. Si vous détenez la chance de changer le futur, la saisiriez-vous? Même si cela suppose maquiller une nouvelle vie pour vous-même et détenir la globalité d'un secret? "Sensei?" Je promets Naru, cette fois sera bien différente. Éventuel Kakashi-FemNaruto, voyage temporel.
Classé: -12D | Général / Action/Aventure | Mots: 33122 | Comments: 2 | Favs: 4
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Mugu (Masculin), le 30/07/2012
Je ne publierai plus ma propre fiction Kit and Fox pour certaines raisons sur ce site. Cette traduction en revanche est beaucoup plus facile pour moi à intégrer.

Certains passages seront enjolivés par ma propre écriture.

Je remercierai les modérateurs de ne pas toucher à mon texte pour l'écriture des dialogues que je fais à l'anglaise.





Chapitre 1: Prologue



Mot du traducteur:
Lorsque je relis cette fiction qui m'empoigne le cœur, je m'épanche devant elle, mes pulsations battent leur folle chamade au rythme des lignes s'ajoutant une à une à cette œuvre incroyable. Mon encre se teinte, le papier de ma vie se déroule, et je ne puis rester de marbre face à un tel cadeau que nous offre cet auteur. Rester muer face à cette offrande est comme se taire face à l'abominable, mes doigts crient de s'emballer dans une danse effrénée, et ma pensée octroie leur mouvement vivace et étroit marquant sur ma froide et chaude machine des mots et des syllabes qui en se touchant, forment la plus belle histoire m'ayant été donné l'occasion de contempler au fil de ces longs et mornes mois d'isolation. Ma fougue ne peut être décrite en si peu de vers, et je m'égare encore alors que je devrais vous révéler sur ce à quoi je tarie tant d'éloges, car en effet, rien n'est plus condescendant qu'une vide et vaste énumération des beautés fictives d'une œuvre. Comme on dit, tout dépend de l'éclairage sous lequel on regarde la flamme d'une bougie, celle-ci est chatoyante, grave, étincelante, et c'est elle que je vais vous convier. Louons hommage à l'homme (ou femme) incroyable nous ayant conféré la possibilité d'admirer ce paysage.

Ceci est la traduction de la fiction anglaise: Wake Me Up Inside. Je tiendrai à être le plus fidèle et le plus exacte possible aux expressions employées par l'auteur originel de cette histoire que je traduirai de A à Z. L'aide est bien entendue bien venue à quiconque voulant m'assister dans cette noble tâche. Ma note en traduction en prépa était de 2/20, j'espère que je ne vous décevrai pas.

Bref, trêve de bavardage, et en avant la musique!

PdV: Point de vue

Je resterai fidèle au schéma narratif de l'auteur que je vénère et auquel je me prosterne. Je rajouterai quelques descriptions, ou quelques tournures emphatiques pour que cela sonne mieux à l'oreille française.

Disclaimer: I have no right on this story (only the author whose acount is RayneXHatake holds the rights), as for the manga of Naruto though the author allows me to publish this translation in this site


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Prologue



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(Kakashi PdV)

Avez-vous déjà regardé la mort en face en se riant d'elle, ou même scruter par delà le parapet d'une falaise et réaliser que vos ennemis vous encerclent tout en sachant qu'il n'existe aucune issue?

Eh bien je me tiens justement sur cette rocheuse colline où je contemple en ce moment même la destruction de la naguère, mais au combien merveilleuse Konoha. Les édifices de cette cité étaient en ruine, et les majestueux arbres n'étaient rien d'autre que des troncs décapités et creux. Ce qui subsistait de la prestigieuse montagne des Hokage n'était rien d'autre que des décombres, les faces des Hokages détruits par la chiquenaude d'une queue de l'une des invocations de serpents de Sasuke. Le village dans lequel j'étais né, élevé, et combattu pour était à jamais disparu, et ce par mon ancien élève lui-même. J'aurais pleuré si j'avais des larmes à verser, ou si seulement j'avais de l'énergie pour en épargner.

Nos ennemis sur nous, les flammes léchant nos visages, je ne crains cependant pas la mort. Je sais que ce soir, je mourrai en défendant ce qui reste de ma patrie pour le symbole tracé sur mon serre-tête et le tatouage à mon bras.

Je regarde ma partenaire qui est ma seule élève restante; Naru. Je n'ai jamais été aussi fier d'elle qu'à ce moment précis. Elle n'était plus la naïve petite fille qui fut la première dans l'équipe 7 à crier haut et fort qu'elle allait devenir Hokage. Elle a grandi en une ninja qualifiée qui était respectée au sien des nations des shinobis. Je la fixe maintenant, et je vois sa fatigue, l'effet de sa trahison sur elle et sa résiliation.

Elle sait qu'elle ne portera jamais le titre de Hokage, mais elle est en train de plonger dans la bataille telle une vraie guerrière de Konoha. Les signes des combats sont incrustés sur chacun de nos corps. Sa peau jonchée d'égratignures de kunai et ployant du sang de ses blessures, sa chevelure d'or est désormais envenimée d'une écœurante teinture marron de tuile par les effusions de sang que nous avons enduré cette nuit. Sa face ne montre pas le doux sourire qu'elle manifeste habituellement, de pales lèvres livides remplacent celui-ci, tendues par un rictus bestial. Je pouvais entendre ses rugissements lorsque les bruits des adversaires s'approchant deviennent plus assourdissants. Ses usuels yeux bleus étaient rouges sang, et elle était dos au mur comme un animal pris au piège. Je sens sa soif dévorante.

Je ne suis pas surpris qu'elle s'appariait avec la mienne; nous demandons toutes deux rétributions pour ce qui est arrivé à notre village.

Une fois encore, je parachève mon regard, au loin du côté de la falaise, qui se noie dans les champs de bataille où j'avais la nostalgie d'appeler maison mère. Nous n'avons eu aucun avertissement de l'attaque et plusieurs civils avaient été abattus avant que quiconque sache ce qui se déroulait. Le combat avait été long et difficile. Nous avions perdu tant d'amis et de camarades en si peu de temps.

Sakura fut la première à tomber; elle décéda en emportant Karin avec elle. Asuma la suivit après qu'il mourut en tentant de protéger Kurenai et leur enfant n'ayant encore point vu le jour. Une fois qu'ils partirent, les autres ne furent pas très loin derrière de les suivre. Je ferme mes yeux quand je pense à eux et leur sacrifice. Je jurais alors que leur dévouement envers les leurs n'auraient été vains.

Je descendis mes yeux à mes tremblantes mains que je tente de calmer. Il me restait une réserve de Chidori que je destinais à Sasuke. Le vacillement de mes mains s'aggrava à la toux accumulée dans mon corps. Je crachai le sang inondant ma bouche. Que cela soit le pied dans mes côtes ayant atteint mes poumons ou quelque chose de pire, je n'avais été un ninja que bien trop longtemps pour ne méconnaître les signes d'une hémorragie interne.

Je nettoyais ma bouche avec le dos de ma main. Mon masque avait été perdu au début de la bataille, je trouvai ça comique que cette chose qu'on utilisait pour m'identifier soit maintenant déchiquetée quelque part dans le bazar chaos de nos affrontements. Tout ce qu'il me restait est l'œil de Obito, qui me rongeait dûment dans ma paupière. Je pouvais ressentir l'humidité s'en échappant en dehors, Obito pleurait. Seul le larmoyant Obito aurait pu trouver l'énergie de pleurer parmi mes dernières minutes. Obito pleurait-il pour le village que son parent avait écrasé sous sa botte? Où était-ce ce futur que voulait voir son ancien ami. Je décidai que cela n'avait d'importance à cet instant, j'aurais voulu tous les voir en quelque minute. J'aurais juste voulu que nous ayons été en de meilleurs termes.

J'enlevai la plaque de ANBU de ma poitrine et fis signe à Naru de faire de même. Elle aurait été seulement une gêne pendant qu'on attaquait. On se tenait l'un à côté de l'autre sur la falaise dans nos rapiécés, ensanglantés vêtements et nous tenions face à nos futurs ennemis.

Je courrais une main au travers du raide enchevêtrement de mes cheveux et étreignis fermement de bandeau protecteur sur ma tête. Naru miroitait mes actions. Nous lui tiendrons tête comme des soldats de Konoha que notre symbole flamboyait fièrement par delà l'obscurité.

Tout est tranquille alors que j'écoute ses pas signalant son approche en me focalisant au bruit du cœur de Naru se figeant d'avantage au fil de ses respirations. Je peux entendre le mien, battre résolument et irrégulièrement à mon oreille. Je n'avais besoin d'être un médecin-nin pour savoir que j'étais en train de dépérir.

J'écoute le laborieux souffle de Naru devenir rigide comme je sens les pas légers de notre cible se profilant. Les yeux de Naru brûlèrent vivement et les marques à ses joues s'affichaient sur sa peau tannée. Je lève une main pour lui en signaler, et je lance un dernier regard au précipice de la barrière rocheuse.

Sasuke a transformé une si belle place en une lande dévastée, et morte vallée.

J'entends le mugissement de Naru au fur et à mesure que Sasuke arrive avec l'éclair de son Chidori, et je me retourne pour toiser mon ex-disciple. L'assaut lui a été facile; il a juste attendu que son armée détruise la majorité du village pour apparaître sur le champ de bataille. Je regarde dans ses yeux et voit son Sharigan rouge et étincelant de sang ruisselant de sa face telles des larmes, un lâche jusqu'à la fin. Je détourne mes yeux vers Naruto et remarque son désir pour son sang.

Sasuke a détruit ses rêves ainsi que ses rêves concernant ses proches. Je rassemble les dernières parcelles de mon chakra que j'ai, et contemple l'électricité réveillé dans un feu follet autour de ma main, je peux sentir mes poumons s'engourdir. Naru n'enleva jamais ses yeux de Sasuke comme elle et son clone tissent son chakra restant pour réaliser un Rasengan. Naru et moi s'élançons au combat, mon Chidori et son Rasengan brillant vigoureusement dans les ténèbres. Nous sommes proches de lui et Sasuke se rie de nous. Il ne peut croire que nous pourrons l'atteindre et peut-être qu'il a juste.

Je sens le chakra de Naruto flageolait telle une flamme sous le vent, et je regarde son chakra rouge de combat subsister. Je me laisse moi-même distraire et ne ressens Sasuke transpercer l'air de sa lame. Je regarde au ralenti ce qui s'abat sur moi.

Je maugrée et tente de bouger, mais tout ce que je peux voir est la nuit noire ainsi que la voix âpre de Naruto conjurer un ancien et puissant jutsu.

"Hitotoki Dasshutsu no jutsu!"


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(Naru PdV)

Sasuke était si proche que je pouvais le sentir.

Je regarde Kakashi-sensei tousser du sang et je savais qu'il était en mauvaise état. Sa chevelure d'argent était maintenant teintée de rose, et raide en haut de sa tête. Ses muscles se bombaient sous le stress et n'étaient que des crampes douloureuses. Il avait combattu ardemment aujourd'hui. Je l'observais vaincre shinobi après shinobi dans l'espoir de protéger ce qui tenaient lieux de vestiges du village. Ses vêtements avaient vu de meilleurs jours et sa peau remuglait ses effluves à la sueur de son sang et de sa fatigue. Je voulais tant voir la face qui avait hanté l'équipe sept à nos premières introductions, mais je ne le désirais point en vérité. C'était une victoire fantôme maintenant, car l'équipe sept était morte. Nos mémoires, nos achèvements, nos soucis, nos rires, et nos larmes avaient disparu en seulement quelques minutes, comme la fumée légère s'envolant et se volatilisant dans l'azur nuageux de la voûte céleste. Une certaine vanité à laquelle on se raccroche autant que possible tout en sachant que j'allais bientôt mourir... Au damne ces sentiments, car jamais je ne laisserai Sasuke savourer sa victoire.

En clignant mes yeux qui se posaient sur le fier village qui fut mien, des larmes noires émergèrent de mes pupilles, des larmes noircies, qui reluisaient les ténèbres de ma légitime rage. Comment avait-il pu oser faire ça à notre maison? COMMENT! Et Je me sentais si piégée, tentant d'ignorer les voix du Kyuubi à l'intérieur de ma tête que je savais mesquin et machiavélique.

" Renardeau, relâche moi et je pourrai t'offrir la vengeance que tu aspires tant."

Son offre était tentante, mais je n'allais surement pas libérer le démon Renard dans le monde car je savais qu'il ne s'arrêterait pas juste à Sasuke.

" Renardeau, tu es mourante, ne le sens-tu point? Ton cœur battant avec tant de rigueur se ralentissant petit à petit au fil des minutes qui s'écoulent inexorablement vers ta fin prochaine. Daigne au moins ce dernier plaisir à ta personne..."

Je hochais la tête et lui rétorquais. "Je ne t'accorderai pas la liberté, je préfère mourir en protégeant mon Village et les miens."

"Quel village? Celui que l'autre garçon a détruit? Celui qui n'est plus que ruines car ton tant aimé Sasuke a assassiné ta chère Hokage et tes tendres amis? Oh oui, sens le, ce fluide de leur vie s'échappant entre tes impuissantes mains... Tu le sais, je le sais, que tu le désires, avec tant de langueur Naruto..." Me souffla-t-il d'une voix lascive à laquelle je restais insensible, déterminée

Kyuubi était furieux, puis il m'exhorta alors. "Qu'essayes-tu donc d'accomplir avec ces actes n'ayant autant de sens que ceux des larves rampantes humaines tentant de s'élever de la multitude? Ou ne tenterais-tu pas plutôt de protéger les miettes de ton orgueil..."

Je ne pouvais alors retenir mes larmes; Tsunade avait saisi ma mort pour la faire sienne, mes amis m'avaient sauvé par leur sacrifice, et ce démon renard ternissait la mémoire que je détenais d'eux, rendant mes actes futiles et dérisoires ainsi que les leurs. Toutefois, je lui étais à la fois reconnaissant qu'il demeurait silencieux après cette tirade, comme s'il respectait mon choix en réalité, comme s'il voulait confirmer et affermir ma détermination en me poussant à réagir éhonté face à ses provocations. Je prenais son mutisme comme une affirmation de mes hypothèses, et j'ignorais le tremblement de mes jambes comme mon sensei me disait d'enlever mon armure. L'ultime affrontement allait bientôt se réaliser. En reniflant l'air froid, je me figeai alors, car je sentais le serpent. Je me retournais vers le traître et lui crachais ma haine au visage.

Le chakra du Kyuubi que je réunissais au plus profond de moi résonnait, vibrait en chœur avec mes sentiments actuels, me permettant de fabriquer une orbe tourbillonnante de feu et de sang, cramoisie, étrange, langoureuse, la plus belle de toutes celle que j'ai formée avec tant de ferveur, comme si ma résiliation allumait le feu de ma vie sur sa fin, bougie lançant ses dernières étincelles dans un dernier feu d'artifice, à l'inverse de mon sensei qui réalisait un Chidori mourant, s'éloignant silencieusement, comme la fin d'un voyage, lent, aride, et illusoire. Toutefois, une chose nous unissait tout deux, c'est nos réciproques émotions entremêlées dans une symbiose, divine cohésion qui représentait l'ultime espoir et défense à la fois de nos existences et de nos mémoires. Nos mains se marièrent dans une dernière étreinte et union, mixant nos chakra tels les racines de deux arbres s'échangeant leurs duveteuses feuilles, leurs pulsantes graines, et leur solide foi, et créant ainsi notre meilleur assaut vers Sasuke dans une vaine tentative de l'abattre. Sentant mon chakra recéder, j'entendais au loin le hurlement du renard, "Que fais-tu? Nous allons tous mourir!"

Le Kyuubi brilla d'un rouge échelonné à l'intérieur de sa cage, et emplit mon esprit de lumière et d'éclat. A mon interrogation muette, il me répondit dédaigné. "Que fais-je? Je te sauve toi et ton sensei. Vous me remercierez plus tard pour cela."

Je contemplais alors notre assaut échoué lamentablement, et je ne pouvais même pas sauver Kakashi-sensei se faisant trancher par Sasuke. De mon angoisse et de mon cœur battant une folle chamade à ce funeste spectacle, j'entendis inconsciemment et consciemment voix surgir de ma gorge sèche appeler un jutsu que je n'avais naguère entendu parler.

"Hitotoki Dasshutsu no jutsu!"


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(Kakashi PdV)

Je cligne des yeux, et rive mon regard au ciel bleu et aux nuages blancs éparses et vagabondant. Où est donc partie toute cette obscurité? Étourdi, je lève ma tête et regarde autour de moi ne relevant que de grands arbres et de la rase broussaille. Pas un seul indice du précédent chaos dans lequel j'étais présent. Nulle part, nulle trace, pas même un soupçon de noir. Rien, je ne trouve rien d'autre qu'une sereine paix tant intérieure qu'extérieur, comme si tout cela n'avait été qu'un fugace rêve.

Je m'assoie et gémis, en me massant la tête de mes mains puis en détournant mes yeux sur Naru. Si elle était là, alors cela ne pouvait être un rêve. Elle est roulée en boule à côté de moi sur la pelouse, mais elle semblait si petite.

Je me lève et réalise rapidement que mon corps ne réagit pas correctement. Je ne ressens guère mon même laborieux souffle, ni ma blessure interne de tout à l'heure. Quel était au juste le jutsu qu'elle avait utilisé? Je trébuche sur une branche au sol, et tombe dans un petit lac à proximité de nous. En me relevant de l'eau boueuse, je regarde mon reflet dans l'eau.

Mes cheveux avaient leur même couleur d'argent d'origine et mon masque était revenu, seulement, une chose d'indéniable manquait. Alors je réalisais que mon bandeau protecteur était parti et un sentiment m'enveloppa tel un choc électrique, ou une multitude d'aiguilles s'enfonçant en moi, car je remarquais que je n'avais plus de sharigan. Je pris d'ailleurs un peu de temps pour relever que je n'étais couvert de blessures du combat. J'étais sain et sauf, soigné, blanchi, mais un autre élément me perturbait sur mon apparence étrange. Je tendais la main vers le miroir bleuté de l'onde plate, une petite main attrapant entre ses phalanges ce doux fluide, mouvement que j'avais tant répété, et qui pourtant désormais était complètement différent désormais, car quand j'ouvrais grand les yeux, et regardais attentivement mon reflet qui n'était qu'une version rajeunie de moi-même, je relevais sur mon faciès d'autres informations bien plus dérangeantes...

J'avais six ans encore.




A défaut de traduire ma fiction vers l'anglais, je traduis celle-ci vers le français. J'ai eu énormément de mal à m'habituer au récit conté au présent, c'est un chamboulement dans mes habitudes assez conséquent. La plus grande difficulté dans ce prologue est que l'auteur jouxte entre le passé, le présent et le futur, qui est peut être plaisant à lire pour le lecteur mais qui est une plaie à écrire. J'ai rajouté quelques descriptions..
D'ailleurs, je constate en lisant et relisant cette fiction




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