Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: 2 ans deja, mais je ne l'oublie pas...

Voila maintenant 2ans que Naruto est partit de konoha avec Jiraya. Il ne reste que peu de personne qui pense à lui regulierement: notament un jeune fille qui l'aime depuis longtemps... Mais elle, qu'est-elle devenue depuis tout ce temps ? Fanfiction centré sur Hinata (et dans 10 chapitre un debut de Naruhina ^^)
Classé: -12D | Spoil | Général | Mots: 13396 | Comments: 88 | Favs: 90
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Melona (Masculin), le 07/02/2007
Alors voila il s'agit de ma premiere fafiction donc ne me jeter pas trop de pierre ^^

Mon histoire est centré sur le personnage d'hinata puis sur le couple NaruHina. Je pense que l'histoire sera assez longue donc ne vous attendez pas à les voir ensemble de suite (je pense faire 5 partie contenant 5 chapitre chacune :p )

Je suis ouvert à toutes crtitique constructive sur ce que j'ecris donc n'hesitez pas à commenter

C'est tout bonne lecture ^^

PS: Les combat n'apparaitront pas tout de suite non plus mais il y en aura ne vous inquietez pas




Chapitre 1: Un retour à la maison maussade...



La nuit était tombée sur le paisible village de Konoha, tous dormaient à point fermé et seul le murmure du vent venait troubler le calme de cette paisible nuit. La lune était pleine et chaque parcelles de ce village luisaient d’un éclat surnaturel. Une fois les yeux habitués à cette obscurité on aurait dit que la nuit ne faisait qu’un avec le jour. Les différents gardes de la ville n’avaient aucune peine à se mouvoir même sens se servir de lumière.

La porte Ouest du village était la plus haute et la plus grande. Une fois à son sommet on pouvait observer la route, qu’elle dominait, sur une longue distance. Si on suivait celle-ci on arrivait à la frontière du pays du Feu, et si on continuai notre voyage on entrait dans des territoires dangereux : en l’occurrence les pays voisins avec lesquels Konoha n’entretenait pas de très bonne relations.

Au loin on commençai à entrevoir des ombres qui avancer vers cette porte : trois ombres exactement. Elle avançait à un rythme assez soutenu malgré l’obscurité ambiante. Apres quelques minutes elles atteignirent le seuil du village. Des gardes se présentèrent à eux, demandèrent de décliner leurs identités, puis quand ils eurent ce qu’ils demandaient, ils disparurent. Les trois ombres quant à elles se saluèrent et partir dans des directions opposées.

Il était tard et une de ces trois personnes hâta ça progression, le sommeil commencé à engourdir ses membres. En longeant le mur d’enceinte du village elle arriva bientôt à une partie du village où il y avait un grand nombre de maisons avec de large cour intérieure : signe qu’il s’agissait du quartier noble de la cité.
L’ombre s’avança d’un des maisons les plus grandes et fit coulisser le panneau dans la plus grande discrétion, tel l’assassin qui veut surprendre sa proie. Elle se dirigea vers un des nombreux passages de la maison. Lorsqu’elle commença à marcher sur les planches de bois du sol aucun bruit ne se produisit comme si cette personne avait la légèreté d’une plume ou alors l’agilité d’un ange.
Elle arriva finalement à la destination qu’elle désirait. Une pièce plutôt petite avec une décoration assez sommaire : un lit, une armoire, des étagères contre un mur et pour finir un bureau de taille basse. Les murs étaient blancs mais la propriétaire des lieux aurait voulu qu’il en soit autrement.
Sans même se changer l’ombre s’avança puis se laissa tomber sur le lit, la fatigue envahie peu à peu sont corps puis elle s’assoupit.

La porte s’ouvrit quelques minutes plus tard, dans l’entrebâillement de celle-ci une forme sombre se dessina. Puis une voix avec un ton froid et sévère rompit le silence qui s’était jusqu’alors installé: « Hinata ? Tu es rentré ? »
La jeune fille se redressa encore à moitié endormit: « Hmmm oh, bonsoir père, dit-elle, je viens de revenir de mission il n’y a que quelques instants »
« Bien et l’as-tu réussi ? interrogea-t-il »
-Oui ce n’était pas une mission très importante mais nous l’avons mené à bien, répondit-elle.
-Ne prend aucune mission à la légère, accusa le père, tout doit être fait avec le plus grand sérieux sous peine d'être confronté à un échec.
A ces mots Hinata senti une pointe de colère enlacer son cœur. Elle ne comprenait pas pourquoi son père lui parlai ainsi alors que ça mission avait été une réussite : n’importe qu’elle parents aurait félicité son enfant, pourquoi elle n’y avait pas le droit à ces félicitations ? Malgré tout les progrès qu’elle avait fait sa famille ne voulait toujours pas reconnaître ses qualités mais pourquoi ?
Un peu attristé par le comportement de son père elle répondit sans entrain : « Je sais ne vous inquiétez pas je me donne toujours à mon maximum pour le bien de la mission. Maintenant pardonner moi mais j’aimerai me reposer le chemin de retour a été fatigant»
On pouvait discerner dans ses dernières paroles une touche de colère mêler à de la tristesse, mais elle commençait à avoir l’habitude maintenant de ce genre d’attitude envers elle…
-Bien, fini pas répondre son père.

Il ferma la porte et repartit dormir. Durant ça courte marche il se demanda si le ton qu’avait prit sa fille, à la fin de leur discussion, ne cachait rien. Il réfléchit un moment puis alla se couchait en pensant que ce devait juste être du à la fatigue.

Sur son lit, Hinata ne parvenait pas à trouver le sommeil même si ce fut son souhait le plus chère après son retour. Quelque chose obnubilé son esprit. Malgré les 2 ans qui s’étaient écoulé, depuis sa promotion au rang de guenin, et tout les efforts qu’elle avait accompli pour être enfin respecté par sa famille, rien n’avait changé.

Une larme perla le long de sa joue. Ce n’était une simple goutte d’eau : celle-ci symbolisait plus la blessure profond que son cœur subissait depuis tant d’année. Mais heureusement elle arrivait à trouver du réconfort auprès d’amis proche. Shino lui faisait confiance et ne remettait jamais en doute sa parole. Kiba, quant à lui, la considérait comme sa sœur et aussi comme son égal en terme de capacité martial. Et puis il y avait Kurenai-sensei qui l’entraîner avec l’espoir qu’elle puisse réaliser ses rêves tant sur le plan physique qu’affectif.
La larme d’Hinata ne représentait alors plus de la tristesse mais de la gratitude : « J’ai de la chance de ne pas être seule » se dit-elle intérieurement.

« Solitude » ce mot résonna dans ça tête.
Elle ne connaissait que peux ce mot mais savait l’influence qu’il avait sur les gens. La flamme jaune-orangé, pour laquelle son cœur s’attisait, avez souffert de ce mot. L’être qu’elle chérissait le plus avez eu une vie des plus difficile et elle s’en voulait de n’avoir pas eu le courage de lui parler, non pas par peur mais surtout par timidité. A chaque fois qu’elle en venait à le croiser ses pommettes s’empourprait et quand elle lui parlait ses mots s’entrechoquaient pour devenir bégayement.
Alors qu’elle repensait à ce jeune homme sa main se glissa dans la poche de sa veste, c’était comme si son corps bouger de lui-même, elle en sortit une photo. Hinata fut surpris de ce qu’elle venait de faire inconsciemment. Elle retourna doucement ce chétif bout de papier pour faire apparaître l’image.
C’etait une photo de classe de l’époque de l’académie, en d’autre terme pour n’importe qui ceci n’avait aucune importance. Mais pour Hinata il s’agissait de son bien le plus précieux. Sur l’image où l’on pouvait voir une multitude d’enfant deux étaient particulier et se distinguais du lot: au tout premier rang assis sur le sol il y avait un garçon aux cheveux blond et une fille aux yeux blancs.

Hinata se souvenait très bien de ce moment l’être qu’elle admirait le plus étais assis juste à coté d’elle. D’ailleurs ils avaient fait connaissances à cet instant : leurs petites tailles par rapport au reste de la classe les avaient pour ainsi dire rapproché…

Hinata regardait cette image intensément puis la rangea délicatement sous son oreiller. Elle se coucha et tout ses soucis s’évanouirent, même loin d’elle l’être qu’elle aimait garder une place dans son cœur.

***

Loin du paisible visage de Konoha un jeune homme regardé le ciel parsemé d’étoile dans cette nuit claire. Soudain une étoile filante passa au-dessus de lui. « Peut-être… Peut-être est un signe » pensa-t-il. Il espérait que malgré tout ce temps quelqu’un du moins une personne pense à lui. Et si on pensait à lui cela signifiait que l’on tenait à lui, il en fut ravit et s’endormit.



************************************************************



Le domaine Hyuga était calme et de fins rayons de soleil commençaient à apparaître sur les murs blancs de cette demeure traditionnelle. On put ainsi voir l’aube qui disparaissait au profit d’un ciel bleu radieux. Il fallait s’y attendre après une nuit sans nuage pour cacher la clarté de la lune. Peu à peu la chaleur apaisante du soleil pénétra dans le domaine, réveillant de la même manière ses occupants.

Hinata ouvrit lentement ses yeux couleur de nacre. Elle posa un regard vide sur le lieu où elle se trouvait, puis elle s’étira. Ses muscles se raidirent comme si eux aussi avaient besoin d’être réveiller. La mission éprouvante et la courte nuit qu’avait passé la jeune fille l’avaient empêché de récupérai pleinement. Néanmoins ce n’était pas très grave car aujourd’hui était un jour de repos pour son équipe. Hinata sourit à cette pensée: « une journée, pensa-t-elle, une journée complète à passer avec des amis »

Elle se leva de son lit et s’aperçue qu’elle portait encore ses habits de la veille. Elle retira ceux-ci rapidement: l’odeur qui commençait à se faire sentir n’était pas du tout agréable selon elle. Sa main se posa sur le panneau d’une des portes de sa chambre et le fit coulisser, laissant ainsi apparaître une sale de bain, plutôt sobre, réservé à la jeune fille. Elle mit délicatement ses vêtements près de la porte puis se précipita dans la douche : « Enfin ! » se réjouit-elle.
Quatre semaines en mission d’espionnage, dans un village sans tellement d’importance, sans pouvoir se laver, totalement, c’était dur pour une fille habituée aux raffinements de sa famille; même si à présent elle y attachait de moins en moins d’importance à cause de l’attitude austère de son père.

Apres ce moment de quiétude sous l’eau tiède elle se regarda dans le miroir en face d’elle. Ses cheveux étaient à présent long et effilés: c’était un conseil de ses amies sois disant que les garçons préféraient les filles aux cheveux longs. A cette pensée ses joues s’empourprèrent; peut être que ça ‘lui’ plairait à son retour ?
Il n’y avait pas que cela qui avait changé chez elle : son corps avait prit des formes assez avantageuses qui rendaient jalouse ses amies et faisaient se retourner des hommes. Mais pour elle s’était un problème, elle n’aimait pas du tout être au centre des attentions. Pour y remédier, elle s’emmitouflait dans divers vêtements épais qui cachaient un maximum son corps.

Elle s’habilla avec des vêtements propres qu’elle prit dans un des rares meuble de sa chambre puis se dirigeât vers la cuisine. Une domestique s’y trouvait déjà et commençait à préparer divers aliments. Lorsque la jeune fille entra la servante se releva et dit: « Bonjour Hinata-sama, votre mission s’est-elle bien passé ? »
« Oui, oui très bien je vous remercie, répondit-elle avec un sourire, mais je vous ai déjà dit de m’appeler simplement par mon nom »
« Je sais oui mais si votre père me voit vous parler ainsi il risquerait de me bannir d’ici, rétorqua la servante en baissant les yeux »

Hinata vint se placer proche de la femme et commença à l’aider à préparer le déjeuner. Aucune des deux personnes ne fut surprise par cette attitude, la jeune fille venant souvent aider le personnel par simple bonté d’ame.
La jeune fille chuchota alors : « Et bien dans ce cas appeler, Hinata, seulement quand nous sommes ensemble comme ça personne ne le saura, elle sourit derechef »
« Merci de me considérer ainsi, Hinata-sam… Hinata »

Quand elle eurent fini de faire le repas Hinata prit quelques vivres puis quitta le domaine précipitamment elle ne voulait pas croisai son père. La journée avait si bien commençait et elle ne voulait pas la gâcher…

***

De l’autre coté du village, une jeune femme arrivait au village. Elle avait les cheveux noirs de jais et des yeux étranges avec un éclat rouge. Elle avançait tranquillement dans le village encore assoupis. Ses pas semblaient la mener directement au bureau l’hokage.

Elle s’avança et pénétra dans le bâtiment qui surplombait Konoha. A sa surprise elle ne croisa personne mais bon c’était mieux ainsi : elle n’aura ainsi pas à raconter ce qu’elle avait fait durant sa dernière mission. Rapidement elle atteignit la porte du bureau. Elle frappa d’abord doucement mais apparemment il n’y avait personne. Elle commença à tourner les talent quand elle entendit un énorme ronflement provenant du bureau: « Pas de doute elle est la » se dit la jeune femme. Elle revint près de la porte et se mit à frapper violemment contre celle-ci en espérant réveiller l’occupant de la pièce sur laquelle la porte débouchait.

S’en suivit alors une formidable remue ménage derrière la porte, on put entendre des verres se briser ainsi que plusieurs jurons être proféraient.

Apres une minute une voix annonça clairement : « Entrez ! »
A l’intérieur de la pièce se trouvait une femme blonde à la poitrine sur proportionnée qui était affalait sur un grand siège derrière un bureau. Les rougeurs que l’on pouvait voir sur son visage ne semblaient pas être dut à de la honte ou de la timidité; mais plutôt à la bouteille d’alcool cachait derrière son dos et qu’elle tentait tant bien que mal à dissimuler à la nouvelle arrivante.
La jeune femme aux cheveux noirs s’avança puis dit : « Bonjour Hokage-sama »
« Tiens Kurenai on ne t’attendait pas si tôt » répondit l’autre femme.
-Oui les deux clans ennemis se sont réconciliés plus facilement que prévu, expliqua la jounin.
-Bien une affaire de classé, félicitation. Je te libère pour la journée.
-Merci Tsunade-sama

Elle se retourna et commença à quitter le bureau du Hokage, alors qu’elle allait franchir la porte sa supérieure l’appela : « Attend, je vais te confier ta mission de demain comme ça tu n’auras pas à revenir »
Kurenai souhaitant rentrer chez elle, fut un peu désappointé mais réussi à esquisser un sourire pour cacher sa lassitude.
Tsunade quant à elle sortie un document d’un tiroir et commença son explication de la mission: « Apparemment il y aurait eu quelques disparitions dans une petite bourgade près d’Iwa no Kuni. Ce message provient du chef de ce village qui est très inquiet car personne à part lui n’ose en parler : Il a d’ailleurs eu du mal à nous faire parvenir cette lettre discrètement. On peut donc supposer que des menaces pèsent sur lui et le village entier. »
Kurenai regarda attentivement le document en question puis dit : « On a une quelconque idée de ou des kidnappeurs ? »
-Absolument pas, rétorqua tristement le Hokage, c’est pour ça que je vais envoyer cinq personne enquêter.
-Cinq ? Je trouve que ça fait beaucoup non ? Interrogea la jounin.
-Non, il faut une équipe qui est des qualifications dans la recherche et détection, en l’occurrence la tienne. Et en plus il vous faut quelqu’un capable de soigner les éventuels blessés autant dans nos rangs que parmi les disparus : Sakura viendra avec vous.
-Et moi dans tout ça, je ne vais quand même pas avec eux seulement pour ‘’surveiller’’ ? S’inquiéta Kurenai.
-Non toi tu y va pour interroger les villageois car si ce que dit le chef est vrai personne ne voudra en parler. Tes capacités en genjustu et en interrogatoire seront alors très utiles.
-Très bien puis-je me retirer Tsunade-sama ?
-Bien sur prend du repos tu va en avoir besoin pour les prochaines semaines, rétorqua la blonde avec un sourire sérieux.

A ces mots Kurenai se volatilisa. L’hokage se retourna alors et se dit : « Je faisais quoi avant qu’elle arrive ? Ah oui ça me reviens… »
Elle prit un verre d’alcool avec la bouteille qu’elle avait dissimulé le but d’un coup, puis s’endormit rapidement, plus vite que son ombre, sur le bureau.



Alors ça vous a plus ?

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