Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Creation d'un Doujutsu : mode d'emploi

Fiction se déroulant dans le village de Konoha a propos de la découverte ou de la creation d'un doujutsu, le Sharingan. Située à une epoque assez reculée elle met en scene des personnes qui ne sont ni dans les manga sortie en france, ni dans ceux sortie au japon excepté peut-etre les Hokage... Mode d'emploie ou avatar de la section 513 du département de recherches...
Classé: -12I | Spoil | Action/Aventure / Drame / Mystère | Mots: 1477 | Comments: 7 | Favs: 3
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Seth (Masculin), le 21/07/2006
C'est assez etonnant de voir que quelque soit ce que l'on fait, inconsciement la pensée peut travailler sur un sujet totalement différent de celui sur lequel on devrait normalement porter toute notre attention. Bref cette fiction prétend être contée de façon un peu plus noire que la manière dont est racontée l'histoire de naruto originale. Pour mettre en scène le sujet, mes inspirations se sont tournées vers mes lectures sur les sujets assez mystérieux encore concernant les services secrets pendant l'epoque de la guerre froide, entre 1947, année du commencement jusqu'aux années 1980, avec la chute de l'urss. Peut-etre quelques références viendront-elles se glisser parmis les lignes que je vais écrire ici. Pour conclure je ne pense pas être assez compétent pour juger mes ecrits, je vous laisse donc seuls juges, vraiment objectifs, considérant la subjectivité de chacun et melangeant un peu le tout pour me construire une autre idée que la mienne à son propos.



Chapitre 1: prologue



D’une journée bien calme cette histoire a débuté, un léger souffle de vent caressait la cime des arbres de la forêt qui entourait Konoha no kuni, tandis que les enfants jouaient dehors, sous la surveillance d’adultes… Un village caché, d’où le seigneur ou le Kage dirigeait le pays du Feu. Cette histoire est sans doute vrai, qui pourra le savoir maintenant que les preuves ont été détruites. Ce dont je vais vous parler la, n’est pas référencé dans les annales, ni dans les souvenirs. Comment dit-on déjà ? Un mythe, non ? N’est-ce pas le mot à employer ? Je crois que oui.

L’intégralité des personnes dont je vais vous conter l’histoire est morte ou alors elles ont disparue, s’évanouissant avec leurs secrets, leurs peurs. Mais de quoi avaient-ils peurs ? De qui ? C’est ce que nous allons voir dans ce charmant petit conte, où ce qui est charmant est relatif a la personne qui prononce ce mot, où les limites sont dépassées a chaque instant et où l’invention est Reine dans leur « monde »… Ils ne voient plus que ça, paranoïaques notoires lorsqu’ils sortent de leurs labos sacrifiant tout pour ce qu’ils font, ils en sont heureux… C’est ce qui est effrayant. Mais à présent, rentrons dans le vif de l’histoire.

La présentation est terminée, ou alors relativement comme vous voulez. Si vous choisissez la première alors jetez-vous dans l’histoire en ne perdant plus de votre temps précieux que vous consacrez à me lire, dévorez pages après pages, voracement, l’histoire que je jette sur papier, que mes yeux et mon esprit ont vu, la transcription subjective au plus profond sens du terme, des plus viles horreurs qui ont données les plus grandes pupilles du monde. Si c’est la seconde que vous choisissez alors les détails que je prétends cacher dans cette chronique vous plairont j’en suis persuadé, peut-être fouineur ? Ou tout simplement aimant lire avec la précision de coupe d’un kunai lorsqu’il entaille la chair, étrange non ?
Faisons ensemble le plongeon vers ce qui ne devrait exister que dans l’imagination des hommes et non leur sortir de la tête…



De multiples bruits venaient susurrer l’oreille lorsqu’on s’aventurait dans la forêt entourant le village… Les oiseaux semblaient s’allier pour offrir au voyageur impromptu une symphonie des plus belles, dans les tons aigus, lointains comme proches… le bruit du vent entre les feuillages des arbres passait pour nous rassurer de sa présence, comme s’il pouvait manquer, nous manquer dans la marche d’un homme solitaire, s’abandonnant dans sa divagation a des pensées, des rêveries, destinées à lui seul, plaisir commun et solitaire a la fois… mais on se demandait si dans le cas présent le fait était avéré. Pourquoi pas, quoiqu’on puisse penser a propos de lui, de sa démarche, de son regard, il semblait assez perdu, c’est le mot en effet, perdu, même plus que ça si on tentait un tant soit peu de lui prêter attention. La seconde remarque qu’on aurait pu formuler à son sujet serait la recherche.

Mais que recherchait-il ? Apparemment méfiant de tout ou presque, de lui-même, sûrement, ou alors pas du tout car il avait maintenant trouvé… Son regard changea totalement d’expression quand il se fixa, sur un bel arbre qu’on nommait couramment Chêne, d’une espèce bien connue du nom de Quercus ilex encore appelé yeuse, Eousé ou même Chêne faux houx. Un arbre de plus de 400 ans, dont le feuillage est persistant, de plus de 20 mètres de hauteur, majestueux car il occupait pas mal d’espace de part son feuillage qui exprimait la profusion. C’était bien la, Naguinata jeta un rapide coup d’œil sur son papier qui indiquait encore l’horaire et le lieu écrites avec du sang d’on ne sait qui, mais ce n’était pas sa préoccupation. Même ayant trouvé le lieudit, le sujet de sa venue lui était encore inconnu, et c’est pourquoi son regard changea d’une façon encore plus brutale à chaque bruit qu’il pouvait percevoir, ou même qu’il imaginait avoir perçu. Fermant ses paupières doucement il entreprit de s’asseoir quand un kunai, pas plus gros qu’un style vint se planter sur le tronc de l’arbre sous lequel était le jeune homme.

D’un reflex de ninja, il sauta dans un buisson proche pour se cacher d’éventuels agresseurs, peut-être un peu paranoïaque ? A vrai dire non je ne crois pas mais qui ne l’est pas quand il devient Ninja. Quelle conditions pour ces hommes et femmes qui risquent leur vie a chaque instant, ils donnent leur vie, que dis-je il la laisse de côté si l’on peut dire, ce n’est pas qu’ils s’en fichent, non au contraire, mais qu’est-ce qui les pousse alors a faire ce genre de métier, pourquoi vouloir a tout pris apprendre des techniques pour s’entretuer, même quand cela n’est pas nécessaire, éprouvent-ils un plaisir quelconque ? Connaissent-ils une ivresse que nous ne pouvons qu’effleurer pauvres ignorants de la nature de leurs combats, de leurs moindres pensée, quelques soient d’ailleurs ce qu’ils pensent. Mais ils ont choisi, choisi en connaissance de cause, en connaissance des manières, des choses qui leurs seront demandés, et même on pourrait se le demander… étrangement d’ailleurs dans notre cas actuel de notre homme qui caché dans les buissons attend un ennemi qui n’existe que dans son imagination la plus profonde, ou alors dans sa paranoïa la plus aiguë, mais ça on verra plus tard.

Prudemment, en regardant plusieurs fois de tous les côtés, scrutant le moindre petit soubresaut qui lui serait donné de voir, et dont il conclurait qu’il doit se recacher, comme un instinct presque animal il sorti de sa « tanière ». Les cheveux un peu ébouriffé sur l’arrière de la tête, quelques feuilles accrochés à ses vêtements et avec quelques égratignures sur les bras, Naguinata s’aventura a revenir près de l’arbre pour examiner un peu le kunai qu’on lui avait lancé, enfin qu’il avait cru qu’on lui avait lancé, ainsi qu’il l’avait déduit, d’après son sens aiguisé du syllogisme dont il avait par de multiples fois montré la preuve dans ses cours sur la philosophie qu’il avait reçu étant plus jeune. Cependant on sait aussi que les fous ont un sens syllogistique, qui est bon, seulement leur erreur vient du fait que leur énoncé est incorrect. Naguinata serait fou alors ? La c’est moi qui commence à divaguer, commencer à faire une digression sur ce sujet…

Notre jeune ninja, car il n’a que 21 ans --on peut l’appeler ainsi car on verra cela plus tard mais il a le grade de Jounin, ne l’ayant obtenu que récemment il ne dirigera pas d’équipe ou plutôt si mais ce n’est pas exactement le genre d’équipe à laquelle vous pensez au premier abord-- s’approcha donc du kunai, il remarqua un petit papier, enroulée délicatement autour du manche de celui-ci. Il était écrit en kanji qu’il lui suffisait d’enlever le kunai pour ouvrir le passage. Mais quel passage ? Enfin il s’exécuta et le tronc de l’arbre s’ouvrit, ne remarquant pas que la petite arme qu’il tenait dans la main avait disparue on ne sait comment, il rentra, dedans et fut étonné de l’avancée technologique qu’il avait devant ses yeux émerveillés. Comme un enfant devant un jouet ou un dessin animé qu’il adore, il retrouvait avec plaisir ce sentiment qui avait longtemps disparu de sa mémoire.

Il se révéla qu’il était juste très bien caché. Il était dans un ascenseur, ne faisant pas plus de bruit que le souffle d’un homme, transparent qui offrait a voir plusieurs centaines de câbles qui passaient, s’entremêlaient quelque fois, mais on voyait qu’ils étaient classés, qu’ils n’avaient pas été mis la par hasard, tout était calculé, jusqu’aux caméra si petites qu’il faudrait s’approcher d’elles pour les remarquer. Pourtant sans le savoir, Naguinata était observé depuis le début. Depuis son arrivée devant le chêne, peut-être même lorsqu’il était sorti de la forêt, qui peut savoir, pas moi en tous les cas… Enfin le plus important était à venir. L’ascenseur s’arrêta net, surprenant quelque peu notre jeune homme qui ne se fit pas prier pour sortir, se méfiant toujours de ce qu’il pouvait lui arriver. Il entra dans une pièce faiblement éclairée, une simple lumière indiquait la porte. Commençant a peine à avancer vers cette porte qui semblait a priori normal, la pièce s’illumina soudainement. Mettant sa main devant son visage comme une personne qui aurait une convulsion, il essaya progressivement de s’habituer a ce choc.
Qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit que les murs de la pièce n’étaient en fait que des écrans, dissimulé par la faible lumière qui pendait au plafond… Sur l’écran un visage, inconnu, mais d’une expression si calme, qu’il en était déstabilisé. Un léger sourire apparu sur les lèvres de la personne qui apparaissait à l’écran. La seconde d’après il brisa le silence qui entourait Naguinata depuis le début lorsqu’il était arrivé.

« Bonjour Naguinata… »




Voila c'est un prologue un peu court certe mais le prochain risque d'être un peu plus long. Merci de l'avoir lu pour ceux qui l'ont fait :)



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