Fiction: Quand Sasuke rencontre Sakura

Sasuke, cinq ans après sa désertion, est capturé puis gracié. Seule Sakura ne lui pardonne pas. Notre déserteur préféré va devoir habiter chez Sakura le temps qu'il soit guéri. Leur confrontation sera ... explosive !
Classé: -12D | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 26124 | Comments: 29 | Favs: 37
Version imprimable
Aller au
colalieseven (Féminin), le 08/05/2012
Et un nouveau couple, un ! Non, deux en fait.
Mes deux premiers chapitres ne sont toujours pas validés, mais bon au moins je peux m'avancer.
Je suis devenue addict à ce site, j'y passe mes soirées ... et mes nuits en fait. Non, non, je ne suis pas folle ! Quoique.
Je met fin à mon monologue pour vous souhaiter bonne lecture !




Chapitre 3: Apprivoise-moi !



Le lendemain, Sasuke se sentait un peu mieux. Sakura était partie à l'hôpital en lui laissant son numéro si quelque chose n'allait pas.
Il en profita pour prendre un bain. Cela faisait si longtemps qu'il n'en avait pas pris qu'il faillit s'endormir dans l'eau chaude.

Il déambulait sans conviction dans l'appartement lorsqu’il aperçut le chat qui sortait furtivement de la chambre de Sakura en le regardant d'un air soupçonneux. Cela lui rappela que LA photo se trouvait peut-être à l'intérieur. Sasuke poussa alors la porte et fut assailli par une avalanche d'odeur : rose, vanille, myrtille, jasmin, cerise ...

Il regarda d'abord une étagère contenant des livres. La photo n'y était pas, mais il apprit quand même que son hôte aimait la poésie chinoise du 1er et 2 eme siècle.
Puis il inspecta l'endroit où elle rangeait ses armes. Il y avait de tout : des shurikens, des shurikens fuma, des kunais, des sabres etc. …
Sakura semblait beaucoup aimer les poignards, elle en possédait une bonne dizaine. Mais pas de photo.

Il découvrit aussi par hasard son journal intime, un carnet rouge. Un instant, il envisagea de l'ouvrir, mais son sharingan lui indiqua qu'elle avait placé des parchemins explosifs entre les pages. Il aurait pu le désactiver, mais pour se faire pardonner, ça n'était pas une bonne entrée en la matière. Pas fou, le Sasuke ! Il avait déjà fait connaissance avec le poing de Sakura et ne tenait pas vraiment à recommencer. Il le reposa précipitamment et passa à autre chose.

Il restait deux endroits où il n'avait pas cherché : la table de nuit et l'armoire. Il commença par l'armoire : une tringle surchargée et cinq tiroirs.
Le premier contenait ses tee-shirts et débardeurs, le deuxième, ses pantalons et le troisième ses collants et chaussettes. Sasuke, en toute innocence, ouvrit le tiroir suivant et piqua un fard. Il n'imaginait pas que Sakura puisse porter ces … choses. Elles semblaient inconfortables ! Malgré sa gêne il remua les soutiens-gorges, sans succès. Le dernier tiroir paraissait si gênant qu'il ne prit même pas la peine d'y fouiller.

La tringle supportait tellement de jupes et de robes que l'uniforme d'anbu à côté faisait tâche. Rien de concluant.
Restait la table de chevet. Il y avait une lampe, un réveil et un livre dessus, et des somnifères, des chewing-gums et quelques stylos à l'intérieur.
Bref, si la chambre de Sakura renfermait bien des choses étranges aux yeux de Sasuke, ce qui était clair, c'est que la photo ne s'y trouvait pas. La jeune kunoichi l'avait peut-être jetée après que Sasuke ait déserté le village. Au fond, c'était mieux pour elle, même si Sasuke eut un pincement de cœur en la voyant si distante et si antipathique. Après tout, il était revenu pour la protéger !

Soudain, il entendit un bruit. Il se raidit et activa son sharingan.
- Sakura ? Sasuke ? Il y a quelqu'un ?
- Ouf, c'était Naruto, pensa Sasuke.
- Suis là... grogna-t- il avec sa bonne humeur habituelle, en sortant de la chambre de Sakura.
- Aha ! Ça y est, tu te l'es faite ? Se moqua Naruto avec un sourire goguenard.
- Ben voyons !
- Alors qu'est-ce que tu faisais dans sa chambre ?

Naruto avait perdu son sourire. C'était la première fois que Sasuke le voyait si sérieux.
- Ça ne te regarde pas !
- Tout ce qui concerne Sakura me concerne.
- Ah oui ? répliqua Sasuke avec un sourire malsain. Même … ça ?
Le brun tenait du bout des doigts un soutien-gorge.
- Idiot ! Repose ça !
- Je me disais aussi. Bon, on fait un marché : tu ne dis pas à Sakura que j'ai fouillé sa chambre et je ne dit pas à Hinata que tu as saigné du nez devant les sous-vêtements de Sakura.

Le blond passa un doigt sous son nez et rougit. Pardon, Hinata … pensa-t-il.
- Toi aussi, je te fais remarquer, rétorqua Naruto d'un ton acerbe.
Sasuke vérifia et lui lança un regard assassin.
Tout d'un coup, le brun et le blond entendirent le bruit de la porte qui s'ouvrait. Naruto s'exclama :
- Oups … Bonne chance Sas'ke ! Avant de sauter par la fenêtre.
- Naruto, attend !

Le brun, handicapé par ses multiples blessures, ne pouvait pas se déplacer aussi vite que son ami.
Sakura le trouva, en plein milieu du salon, un de ses soutiens-gorge à la main. Pendant une fraction de seconde ils se regardèrent, pétrifiés. Sasuke vit son existence qui défilait sous ses yeux. Là, c'était sûr, Sakura allait le tuer.
La jeune fille eut une réaction très étrange. Elle ne rougit pas. Elle ne se mit pas en colère. Elle ne le frappa pas.
Elle se mit à pleurer. Hé oui, aussi étrange que ça puisse paraître, Sakura Haruno était assise par terre dans son salon, pleurant à chaudes larmes.
- Sakura … Je suis désolé … Je ne voulais pas, c'est Naruto qui … (rapporteur !!)

Sakura lui coupa la parole et hurla :
- MES PARENTS SONT MORTS !
- Hein ?
Sasuke ne comprenait plus rien. Jusqu'au moment où l'Hokage entra en coup de vent par la porte restée ouverte. Elle ne parut pas se formaliser de voir Sakura qui hurlait par terre et Sasuke, l'air ahuri, un sous-vêtement à la main.

Elle se précipita sur Sakura et lui dit :
- Sakura ! Calme-toi !
- COMMENT VOULEZ-VOUS QUE JE ME CALME ALORS QUE MES PARENTS VIENNENT DE MOURIR SOUS MON NEZ ? hurla celle-ci en se levant.
- SAKURA CALME TOI !
La jeune fille se calma un peu. Elle hoquetait et les larmes coulaient sans retenue sur ses joues, mais au moins elle ne hurlait plus.
- Tu as été victime d'une illusion. Tu ne l’as pas détectée à cause du choc. Tes parents vont bien, déclara Tsunade d'une traite, de peur que Sakura se remette à crier.

Sakura s'évanouit dans les bras de Sasuke (qui avait lâché son soutien-gorge). Le brun la rattrapa.
L’Uchiwa s'adressa à l' Hokage :
- Quelqu'un peut-il m'expliquer ce qui se passe ?
- Sakura passait devant la maison de ses parents ce matin et ...
- Je croyais qu'elle ne leur parlait plus ?
- Elle s'est disputé avec eux, mais tous les matins elle passe devant chez eux pour vérifier s'ils vont bien. Bref, Sakura a cru les voir morts, mais c'était l’œuvre des illusionnistes d' Oto. On dirait qu'ils veulent semer la panique dans le village. En plus, ils se sont alliés à l'Akatsuki !

Son ton devint suppliant.
- Sasuke, si tu sais ce dont il s'agit, dis-le-moi, sinon ils vont s'attaquer au village ! L'heure est grave !
Sasuke savait exactement ce dont il s'agissait.
- Ils me cherchent.
- Nani ? cria l'Hokage.
- Ils veulent venger Orochimaru, que j'ai tué.
- Hum … Nous n'avions pas prévu cela …
- Tsunade-sama, cela peut attendre. Vous pouvez la prendre s'il vous plaît ? fit Sasuke.

Il commençait à fatiguer, lui, avec cette fille dans les bras ! Elle était légère mais il était blessé, quand même. L'Hokage l'ignora.
- Occupe-toi d'elle, je me charge du reste, ne t'inquiète pas.
- Je ne m'inquiète pas, répliqua l’Uchiwa, blessé dans sa fierté.

L'Hokage s'en alla en courant, sans écouter Sasuke qui lui demandait quoi faire pour Sakura.
A défaut de la porter dans sa chambre, il la posa sur le canapé. Il était complètement largué. En désespoir de cause il lui passa de l'eau froide sur le visage, ce qui eut pour effet de la réveiller immédiatement. Elle se redressa, manquant de la faire tomber. Effroyablement pâle, elle regarda autour d'elle puis se jeta au coup de Sasuke en sanglotant.
- Oh Sasuke … J'ai eu tellement peur …
Le brun, surpris par son étreinte, maudit ses joues qui avaient pris une délicate teinte coquelicot.

µµµµµµµµµµµµµµµµµµµµ

Sur le toit de l'immeuble d'en face, Naruto observait la scène. Au début, en voyant Sakura tomber dans les pommes, il voulait intervenir mais finalement Sasuke s'en sortait très bien. Sakura était comme sa petite sœur, il se devait de la protéger.
Mais Sasuke paraissait apte à s'en occuper. Il avait beaucoup changé depuis qu'il était parti. Il était devenu plus tendre, moins froid.
Naruto eut un sourire satisfait et disparut.

µµµµµµµµµµµµµµµµµµµµ

Sasuke et Sakura étaient toujours enlacés. La jeune fille se retira en rougissant et lui présenta ses excuses.
- Excuse-moi ...
- Pas grave, fut la seule réponse de l’Uchiwa.

En réalité, il était ravi et sautait partout dans son cerveau. Ses neurones en prenaient un coup. Devinez pourquoi on dit que l'amour rend bête ?

Mais il avait quand même sa fierté, et un Uchiwa ne montre jamais ses sentiments, alors il reprit son habituel masque d'indifférence.
Sakura se redressa et dit :
- Je vais voir l'Hokage, elle doit avoir besoin de moi.
- Hn.
- Ah, le Sasuke que je connais est de retour, ironisa-t-elle, tentant de masquer sa gêne pour avoir enlacé son ancien équipier dans un moment de faiblesse.

Voyant qu'elle se levait pour attraper sa pochette d'armes, Sasuke poussa le soutien-gorge (le revoilà ! ) du pied sous le canapé. Sakura le regarda d'un air soupçonneux mais ne fit pas de commentaire. Elle n'avait pas semblé voir quoi que ce soit lorsqu'elle était entrée dans l'appartement, ce qui arrangeait bien Sasuke.

Le brun alla chercher son kimono et déclara à la jeune fille :
- Je viens avec toi.
- Pas question ! Tu es blessé ! Pff... Tu veux toujours montrer que tu es plus fort que tout le monde mais cette fois c'est trop.
- Mais je vais mieux ! Et tu n'es pas ma mère.
- Peut-être mais je suis docteur et je t'interdis de sortir de cet appartement. Et regarde-moi quand je te parle ! rétorqua Sakura.

Sasuke regarda Sakura avec incrédulité. Elle ne croyait quand même pas qu'elle allait le faire obéir ?
Le brun poussa un grognement et s'affala devant la télé sans daigner répondre à sa colocataire. Colocataire qui, se prenant aux jeux, le délogea de son siège et le plaqua contre le mur. La situation se retourna lorsque le brun se dégagea et la plaqua à son tour.

Il pouvait sentir son souffle chaud, son corps contre le sien, voir ses yeux étincelants de défi … Gêné, il la lâcha et fit demi-tour.
Elle n'attendait que ça. Sakura se colla à son dos et l'empêcha d'avancer.
Le malaise de Sasuke s'accentua. Il la repoussa, écarlate, et repris sa place sur le canapé. Il avait encore la sensation de la poitrine de Sakura s'écrasant dans son dos.
Sakura effaça son sourire narquois et rajusta ses vêtements.

# S : Qu'est-ce qui m'a pris de faire ça ?
SFI : En même temps il n'a pas vraiment changé, toujours aussi froid. Mais j'ai cru le voir rougir … Toujours aussi sexy !
S : Arrête de fantasmer ma vieille ! #
Sakura s'apprêtait à sortir lorsque Sasuke lâcha depuis le canapé :
- Ce n'est pas pour montrer que je suis fort que je veux sortir ... Je me sens inutile.
- Eh bien bonne chance parce-que tu as encore deux semaines à passer enfermé ici !
- CA VA PAS LA TETE !!
- Oh, c'est bon, je plaisante... Ah oui, à propos, il faut que je te parle.
Sakura se rapprocha.
- J'ai invité Naruto, Hinata, Kiba, Shino, Ino, Chôji, Shikamaru, Neji, Tenten, Lee, et Temari, Gaara et Kankuro qui sont de passage à Konoha demain chez Ichiraku. Il faut qu'ils sachent que tu es revenu. Je sais que ça ne sera pas facile mais...
- Ne te fais pas autant de souci Sakura. Et... merci.

La kunoichi aux cheveux roses lui adressa un sourire hésitant et dévala les escaliers en courant.
Tsunade allait la tuer.

µµµµµµµµµµµµµµµµµµµµ

Pendant ce temps-là, chez Hinata :
Naruto embrassait sa petite amie passionnément, elle le repoussa et lui chuchota :
- Naruto, ma famille est absente mais quand même...
Le blond lui ferma la bouche par un baiser. Il était incroyablement sexy, sa chemise ouverte laissait voir son torse musclé.
Hinata, elle, portait un chemisier à moitié déboutonné qui s'ouvrait sur sa poitrine généreuse et une jupe.

Les lèvres d' Hinata étaient si douces que Naruto avait peur de les abîmer à force de l'embrasser. La jeune fille répondait à son baiser, ils commençaient à bousculer tout autour d'eux, et Naruto assit Hinata sur la table du salon. Ses caresses se firent plus insistantes, il l'embrassait dans le cou et elle se mouvait sensuellement contre lui.

Seulement, Hinata restait Hinata, et lorsqu'elle sentit que les mains de Naruto s'aventuraient autour de son décolleté, elle recula en baissant la tête.
- Excuse-moi Naruto-kun, je crois que je ne suis pas encore tout à fait prête...
- C'est moi qui suis désolé, je n'aurais pas dû te forcer.

Naruto venait inconsciemment de réveiller une tempête dans la tête de sa petite amie.
Hinata rougit et reboutonna son chemisier. Intérieurement, elle se traitait de tous les noms. Elle s'en voulait beaucoup et avait peur que Naruto aille voir ailleurs si elle ne voulait pas coucher avec lui. Retenant ses larmes, elle mit pratiquement dehors le pauvre Naruto qui ne comprenait plus rien et alla pleurer sur l'épaule de Tenten, une de ses rares amies.
- Oui, j'arrive … Oh, c'est toi Hinata ! Qu'est-ce qui se passe ?
- Je … Bouhouhou !

Et une Hinata en pleurs, une ! Les passants la regardaient bizarrement alors la brune aux macarons fit entrer son amie. Tenten qui ne comprenait rien mais qui jugeait plus sage de ne rien demander pour l'instant installa Hinata sur son lit et lui fournit une boite de mouchoirs.
Il fallut de longues minutes de sanglots et de hoquet à Hinata pour expliquer à Tenten la raison de sa tristesse.
- Et là il m'a dit -hic- qu'il ne voulait pas me forcer ! Mais ce n'est pas parce-que je ne veux pas coucher avec lui maintenant que je ne l'aime pas !
- Mais ce n'est pas grave ça, et surtout pas de ta faute ! Je m'en vais lui péter la gueule à ce... fit Tenten avec son langage fleuri habituel tout en se craquant les doigts d'un air menaçant.
- Tenten !
- Je plaisante ! Quoique … Enfin, pour en revenir à ton histoire, va, cours lui dire que tu l'aimes même si tu ne veux pas franchir le pas tout de suite !
- Bien sûr ! Pour toi, c'est facile, vu comment tu t'es déclaré à Neji...
La brune aux macarons rougit et son regard se fit rêveur.

Flash-back :

Tenten se réveilla. Elle lança un regard ensommeillé à son réveil qui indiquait 5 heures du matin. Gaï-sensei était un adepte des entrainements matinaux. Puis ses yeux s'illuminèrent et elle se souvint qu'aujourd'hui, on était le 14 février, le jour de la Saint-Valentin !
Tenten revêtit sa tenue de combat, attacha ses cheveux en deux macarons, petit-déjeuna en vitesse et sortit de chez elle.

Pour y rentrer immédiatement car elle avait oublié ses chocolats ! Elle en avait fait trois : deux petits pour Gaï-sensei et Lee et un gros pour Neji.
En arrivant au terrain d'entrainement, toute son équipe était déjà là. Elle offrit leurs chocolats à Lee et à son sensei puis s'approcha de l'endroit où Neji lançait des shurikens.
- B-bonjour Neji ! C'est la Saint-Valentin aujourd'hui alors j-je t'ai préparé un chocolat.
- Je n'ai pas le temps pour ce genre de bêtises, tu le sais bien. Et en plus je n'aime pas les chocolats.
- Ah...

Tenten s'éloigna, le cœur gros. Tous les efforts qu'elle faisait pour que Neji la remarque restaient vains.
Prise d'une soudaine impulsion, elle se retourna et s'adressa au dos de Neji.
- Ça te plaît de me faire souffrir hein ?
Neji ne répondit rien.
La brune aux macarons sortit un kunaï et se rua sur le détenteur du byakugan. Détenteur qui n'eut pas le temps de réagir car il était concentré sur sa cible.
Il se retrouva plaqué par terre, Tenten à cheval sur lui, le chocolat et le kunaï en main. Elle lui tendit la boite ornée de rubans multicolores.
- Mange-le ou je te saigne à blanc !
Neji ouvrit le paquet et découvrit un chocolat rond, le dehors était au lait, fourré au chocolat blanc, avec un carré de chocolat noir en guise de noyau. Il en mangea un morceau, ça fondait sous la langue, délicieux... !

Tenten se leva et lui dit, la voix tremblante, en s'essuyant furtivement les yeux :
- Je conçois le fait que tu sois un glaçon sans cœur, mais au moins répond quand une fille te donne un chocolat ! Depuis le premier jour tu me fais souffrir, et tout ça parce-que... je t'aime.
Elle s'enfuit en courant.
Neji fut sonné par quelqu'un pour la première fois de sa vie. Se faire battre, et par une fille... ! En réfléchissant bien, Neji aimait beaucoup Tenten. Elle était intelligente et avait le goût des défis. En plus, elle était jolie, et ses yeux... On les croyait marrons au premier abord mais en fait ils étaient plutôt pourpres.

Le brun se leva et balaya la forêt environnante des yeux avec son byakugan. Il aperçut Tenten qui se défoulait sur de pauvres arbres qui n'avaient rien fait à personne. Neji apparut derrière elle et la désarma doucement. Elle se retourna d'un bond et les dernières choses qu'elle vit furent les yeux couleur perle de celui qui faisait battre son cœur, la dernière chose qu'elle sentit fut les lèvres de Neji sur les siennes...
Lorsque Gaï et Lee retrouvèrent Neji et Tenten une dizaine de minute plus tard, ils n'avaient pas bougé : enlacés, ils s'embrassaient, les yeux fermés.

Fin du flash-back

Hinata sécha ses larmes et décida d'éclaircir les choses avec Naruto. Elle remercia son amie qui avait toujours les yeux dans le vague et un sourire béat accroché sur les lèvres.





Petit commentaire : Sasuke n'a pas vécu avec des filles depuis ses 13 ans alors c'est un peu normal qu'il soit aussi "pur" et "innocent" dans l'armoire de Sakura. Je trouvais ça trop kawai en fait !!
Bon, je vous laisse, il faut que j'écrives le............. chapitre 4 !! Non, vous aviez deviné ?




Chapitres: 1 2 [ 3 ] 4 5 6 7 8 9 10 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: