Fiction: Ampoule

Ils ont tous 15 ans. Ils entrent tous en seconde au lycée Notre-Dame dans la grande ville qu'est Paris. Ils se connaissent tous depuis le jardin d'enfants. Tout semblent les relier,pourtant ils sont tous différents. Cette rentrée sera pour eux comme une arrivée dans un nouveau monde. Entre les mensonges,la drogue,le sexe, l'amour, les doutes, la haine,leur amitié sera-t-elle préservée ? Prenez garde,La vie est une maladie Mortelle sexuellement transmissible...
Général | Mots: 25684 | Comments: 31 | Favs: 34
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Lorely (Féminin), le 02/06/2012
Enfin un nouveau chapitre!
Ça devient dur d'écrire avec le brevet qui arrive & tout.
Qu'est-ce que je peux dire...? Je pense que ce chapitre est un petit récapitulatif des certaines relations (pas toutes) à venir. Les premières disputes arrivent et la séparation du groupe.
Bonne Lecture!




Chapitre 4: Le pire est à venir.



Tenten


_ Atchoum ! 

Je crois que j'ai attrapé froid. J'ai passé la nuit dehors. Je n'avais pas voulu rentrer chez moi et comme une idiote je suis restée à errer dans les rues de Paris. Je ne sais pas quelle heure il est mais l'aube est là depuis quelques minutes. Je pousse la porte de ma maison. Logiquement,personne n'est levé... Je referme derrière moi et grimpe dans ma chambre. Une fois dedans j'inspire un grand coup,puis je saute sur mon lit,enfoui ma tête dans mon oreiller et hurle de toute mes forces. Je hurle mon déchirement. Je hurle ma peine. Je hurle mon amour pour ce gars qui ne voit que sa petite personne.
Je me retourne et fixe le plafond,les bras ballants dans le vide,les jambes tendues. Il fait noir,il fait froid. Mais ça va mieux maintenant. Mon regard pivote vers mon réveil à cadran numérique. Il est 6 heures du matin. Ça ne servirait à rien de m'endormir. Je soulève mon dos,attrape mes chevilles et reste en position assise quelques minutes. Le regard dans le vide je ne pense à rien. Puis je soupire et m'étire :

_ Allez ma grande. Profite de tout ce temps devant toi pour cacher ta nuit à tes amis ! 

Ouais bon s'encourager toute seule c'est pas la joie non plus. Je me lève et me dirige nonchalante vers la salle de bain. Je constate avec dépit mon reflet. Les yeux bouffis,les cheveux en pétard,les joues noires de mascara,la tenue de la veille sale. On dirait une clocharde.
Sous la douche je prend mon temps. Je n'ai plus besoin de rien. Je me sens revigorée. Une fois sortie de la douche je regarde l'heure. 6H50. J'ai juste une pensée pour lui...

Neji

Putain ma tête,j'ai trop mal ! Je suis devant mon café bien noir que m'a préparé Hinata. Je lève les yeux vers elle. Elle est à l'opposé et ma plus jeune sœur est entre nous. Elle déjeune gaiement,ignorant la tension qui règne. Je sens le regard d' Hinata sur moi quand je ne la vois pas. Il exécute une pression sur mon dos qui me donne envie de vomir. D'ailleurs j'ai un goût de carton dans la bouche. Un goût pâteux affreux. Putain mais j'ai fait quoi hier pour avoir autant mal ? Mon regard s'apprête à vaciller à n'importe quel moment et j'ai l'impression que le monde tourne. Je n'ai pas faim. Je pousse mon petit déjeuner et me dirige vers la salle de bain. Une fois dans le couloir je sens qu'on m'attrape le poignet. Je me retourne,c'est Hinata. Son regard est perçant et semble déterminé à quelque chose.

_ Je dois te parler.
_ 'Pas le temps,je lui réponds sèchement
_ C'est important.
_ Je ne crois pas non.

Je libère mon bras de son poignet de princesse. Cette fille me dégoûte. Je la hais c'est tout. A tout avoir pour elle. A être traité comme un petit être fragile. Depuis que le soir de la mort de notre mère et que notre père lui avait donné un verre d'alcool au lieu d'un verre d'eau...Oui c'est depuis ce jour que je n'existe plus. Je me souviens très bien qu'après avoir bu,elle avait fait une tentative de suicide. Heureusement que je l'avais découvert à temps. J'avais préféré éviter les détails sur son presque-suicide à notre père mais depuis,elle était le petit être fragile de la maison qu'on devrait protéger par dessus tout. Et moi on m'oublie. Des fois je regrette qu'elle ne se souvienne pas de ce soir. On lui avait inventé un mensonge du pourquoi de sa venue à l'hôpital mais là,j'avais envie de tout lui raconter. Je frémis en me souvenant dans l'état dans lequel elle était. Sa peau blême couverte de sang,son visage exaspéré,effrayé... Je secoue la tête et fait un pas alors qu'elle m'interpelle :

_ S'il te plaît Neji,c'est à propos de toi.
_ Je m'en contrefiche.
_ Tu ne devrais pas.
_ Arrêtes de me faire perdre mon temps.

Je fais quelque pas lorsqu'elle m'interpelle de nouveau :

_ Je suis vraiment un démon pour toi ?


Kiba

J'ouvre un œil endormi mais le deuxième s'ouvre rapidement quand je découvre la chevelure blonde d' Ino. Je me relève,tout rouge et la contemple dans la pénombre. Ha oui c'est vrai ! La fête d' Itachi Hier. Je l'avais oublié celle-là. Merde,j'ai oublié d'appeler leur parents ! Bon il est quelle heure ? Mon réveil affiche 7h00. D'ici 10 minutes il sonnera et Naruto comprendra où il est,j'espère...
Je m'habille vite fait et sors en trombe de chez moi. Je me précipite chez les voisins,en l’occurrence la famille Uzumaki et sonne. C'est un homme aux cheveux blanc en bataille et à la carrure forte qui m'ouvre. Et c'est seulement quand il ouvre ses yeux endormi et me demande « Quoi ?! » sur le ton de la reproche que je le reconnais ! C'est Jiraya,mon prof principal ! Oh non la merde,que fout mon prof Titulaire chez Naruto ?!
Tout timide-ce qui ne me ressemble pas- je demande quand même :

_ Euh je suis bien chez les Uzumaki ?
_ Ouep !

Oh là là sur quoi je suis tombé moi ?! Est-ce que je dors encore ? Parce que sérieux il existe pas pire comme situation ! Je peux vous dire que là je suis bel et bien réveillé. Mon professeur Titulaire que j'ai en première heure ce matin en passant,se tient sur le péron de la maison de mon meilleur ami en caleçon de fond bleu à moitié parti avec des nounours comme motif. Son torse poilu est à l'air quand à ses jambes elles me font peur. Ses cheveux semblent plus explosés que d'habitude et il a l'air fatigué.
Intimidé je murmure :

_ Euh,désolé il doit y avoir erreur. Je recherche les-
_ Eh ! Mais tu serais pas un pote à Naruto ?
_ Euh...Si ?
_ Tu serais pas où il est passé ? Je me suis inquiété moi ! Je l'ai cherché toute la nuit et j'en ai pas fermé l’œil ! J'ai eu peur pour lui au point de m'en mordre les doigts ! Il va bien au moins ! J'ai tellement peur pour lui le pauvre !

J'aurais dû me sentir coupable. Ce n'est pas le cas puisqu'une jeune fille qui doit avoir la moitié de l'âge de mon prof arrive nue. Oui une Nana Nue qui doit être un peu plus vieille que moi prend Jiraya par le torse et lui fait une bise sur la joue avant de se barrer dans le salon en me faisant un clin d' œil. La face cachée de mon prof... Arghhh je viens d'assister à quelque chose que je n'aurais pas dû voir. Comment je pourrais le voir en face moi ce gros pervers ?!
Bon à la limite il s'est senti seul et il s'est faite une pute...Dans la maison de MON Ami ! Bon il faut que je lui explique qu'il était bourré la veille et qu'il ne sait plus ce qu'il fait. Mais une seconde Nana du même âge que la première arrive dans un caleçon de Jiraya et prend ce dernier par le bras :

_ Tu viens déjeuner ?
_ J'arrive.

Elle lui sourit,me fait un signe de la main et repart à l'intérieur.

_ Tu veux te joindre à nous?me demande Jiraya
_ Euh je...
_ T'inquiète,y'en a encore deux autres mais elles ne doivent pas être levées. En même temps hier soir elles ont été très sportives...

Il se caresse le menton avec son pouce et son index en regardant en l'air. J'avoue que si quatre nanas quasi-nues désirent déjeuner avec moi...
Non,je ne suis pas venu pour ça. Cette fois je décide d'y aller franco !

_ Je suis venu voir Minato et Kushina Uzumaki !

Jiraya redevient normal et son regard se baisse. J'ai dit quelque chose de mal ? En tout cas il en oublie complètement l'appel d'une de ses conquête et l'envoie bouler.
Puis il pose son regard dur sur moi et me répond en toute franchise :

_ Ils sont morts cet été dans un accident de voiture.

Naruto

[i] _ On arrive quaaand ?
_ Naruto ! Tu vas arrêter de répéter cette question plus stupide que ton père toute les 5 minutes oui ?!
_ Ne t'énerves pas ma chérie...Bientôt fils.

Je boudais. Je me renforçais sur mon siège et croisais les bras sur ma poitrine et regardait le paysage défiler à travers la vitre de la voiture. J'en avais marre et en plus j'avais faim. Papa et Maman m'avaient promis des Ramens ce soir mais vu l'allure à laquelle on avançait j'ai l'impression que je vais les prendre au petit déjeuner mes Ramens. On était parti pour 2 semaines de camping mais il y avait un énorme bouchon sur l'autoroute. Pff qu'est-ce que je pouvais m'ennuyer. J'avais hyper mal aux fesses en plus.

_ Attends,fit mon père, t'as dis quoi à propos de cette question stupide ?
_ T'es long à la détente mon pauvre,lui réponds alors ma mère
_ T'es méchante,enchaîna mon père comme un gamin
_ Mais tu m'aime,affirma ma mère sur le même ton
_ Oui très fort !
_ Tant mieux ! Moi aussi je m'aime !
_ Sérieux,des fois j'ai l'impression d'être plus mature que vous,je leur murmurais.

Mon père me sourit à travers le rétroviseur tandis que ma mère éclata de rire. Puis elle engueula un « chauffeur du Dimanche » alors que Papa était parfaitement calme. Il tapa ensuite dans ses mains et annonça :

_ Allez,ce soir : Ram-

Il n'eut pas le temps de finir. Le chauffeur du Dimanche. Du sang. Des cris. Des corps qui me protègent. Des éclats de Verre. She's Rebel de Green Day. [/i] Non attendez,il n'y avait pas de Green Day à ce moment là !
J'ouvre un œil et me rend compte que je suis dans le noir. Je soupire et essuie mes joues trempées. J'éteins le réveil qui n'est pas le mien. Où suis-je ? J'entends un gémissement féminin. Au putain j'ai trop mal au crâne ! Je me sens mal et en plus je veux mettre quelque chose dans ma bouche.
Je me tiens le front et me lève du lit. Un cri de femme proche me crie dans les oreilles. Elle me hurle :

_ Ne bougez plus ! Qu'est-ce que vous me voulez et où suis-je ?

La panique la gagne. Je remarque qu'elle est dans le canapé au fond de la pièce. Je m'approche un peu plus et elle se recroqueville sur elle,ramenant ses genoux contre sa poitrine. Je la distingue un peu mieux. Elle a de longs cheveux blonds qui l'entourent et tombent sur chaque parties de son corps. Ses yeux bleu semblable aux miens semblent me décrire. Puis elle articule doucement :

_ Naruto,c'est toi ?
_ Ino ?

Elle acquiesce. Je lève les yeux au dessus d'elle et je vois un poster de Green Day dédicacé par le chanteur. J'ai le même dans ma chambre. On l'avait eue avec Kiba il y a un an,à leur concert. Ha,on est dans la chambre de Kiba. Pourquoi ? J'en sais rien. Déjà que j'aime pas réfléchir mais si en plus je le fais alors que j'ai mal au crâne.

_ T'inquiète,on est chez Kiba.

Elle paraît étonnée. Et alors que ses lèvres s’entrouvrent pour me demander pourquoi je lui réponds le plus naturellement possible :

_ Pourquoi ? J'en sais rien ! Tout est flou dans ma tête.
_ Moi aussi...

Connaissant cette chambre comme la mienne,je me dirige vers l'interrupteur. L'ampoule grésille faiblement avant de s'allumer parfaitement. Ino et moi avons le même hoquet surpris. Ses longs cheveux blonds sont décoiffés et ses yeux sont injectés de sang. Son mascara a coulé sur ses joues et son haut est de travers. Je ne vois pas ses jambes mais je les devine très bien.
Elle prend son haut et le sent avant de faire une grimace. Elle reste étonnée le temps d'un battement de cils et parle enfin :

_ Je...vais prendre une douche.

Je lui indique où est la salle de Bains et elle y part. J'aperçois ses jambes de mannequins,ce matin de pute. Une fois qu'elle entrée,je me laisse tomber sur le canapé du salon. Akamaru,le chiot de Kiba me reconnaît et vient me lécher le bout du nez. Je rigole et le pose à terre :

_ Doucement vieux !

La porte d'entrée claque plus fort qu'une Tornade faisant claquer les vagues contre une falaise. Kiba arrive mi-furieux,mi-triste. Il a une expression que je ne lui connaît pas. Il me voit et me fixe méchamment. Comme si il m'en veux pour quelque chose.

_ Je suis allé chez toi et devine qui m'a ouvert la porte.

J'ouvris grand les yeux imaginant très bien mon oncle,à poil,une bouteille d'alcool à la main,les seins d'une nana dans l'autre. La honte !
Eh ! Mais si il est allé chez moi et qu'il a vu Jiraya,alors il sait pour mes parents. Je me lève d'un bond et sort le truc que tout le monde sort quand il cherche une excuse :

_ C'est pas ce que tu crois !
_ Arrête Naruto,tu peux trouver mieux. On dirait que je t'aie surpris avec ma copine.
_ T'as une copine ?

Son regard devient encore plus noir qu'avant. Il s'approche et me pointe du doigt,en colère. Je déglutis tandis qu'il cherche de quoi m'engueuler. Puis il soupire et baisse son bras.

_ Pourquoi tu m'as pas dit que tes-
_ Eh oh !

Il arque un sourcil alors que j'évite du mieux que je peux le sujet :

_ On rentre du boulot ! Eh oh ! Eh oh Eh oh !

Je lui fait un grand sourire d'abruti. Il soupire et se dirige vers la salle de bains :

_ Écoute,mon vieux si tu veux me-
_ Non pas par là !

Trop tard. Il a ouvert la porte de la salle de bains. Il devient tout rouge et je ne cherche pas à savoir ce qu'il a vu. Il recule d'un pas en bégayant des excuses mais il reçoit une brosse à dent dans la gueule et le cri strident d' Ino. La porte se referme méchamment suivies d'injures.
Le regard de Kiba m'indique que le pire est à venir.

Shikamaru

Untouched de The Veronicas me sort d'un rêve aussi délicieux que les précédents que j'ai pu faire cette semaine. J'ouvre les yeux et tourne la tête du côté où j'avais laissé Temari la veille. Mais elle n'est plus là. C'est juste mauvais signe. Merde où elle est ? J'éteins le réveil à cadran numérique. OK bon il est 7h15. Elle n'a pas pu aller très loin. Voyons voir,réfléchis Shikamaru. Où peut aller une Nana blonde,vêtue d'un chemise nuit et qui s'est droguée la veille ? Ça ce peut elle s'est faite violer cette nuit alors que je dormais. J'étais pourtant persuadé d'avoir bien verrouiller la maison. J'ouvre la porte de sa chambre précipitamment et dévale les escaliers. Une délicieuse odeur de pain chaud et de chocolat chaud me caresse les narines. Doucement je me dirige vers la cuisine et est-ce que je rêve de nouveau ? Temari vêtue d'une culotte et d'un tablier de cuisine est en train de préparer le petit déj'. Ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules nues,seulement couvertes des bretelles du tablier. J'aperçois quelques rondeur de sa poitrine et de ses jambes longilignes. Elle sifflote un air qui passe à la radio et se retourne vers la table derrière pour déposer une dernière crêpe dans une assiette. Elle regarde l'heure et soupire. Elle se frotte les mains sur son tablier et se tourne vers moi.
Elle écarquille les yeux et nos regard se croisent. Ses yeux d'émeraude me font chavirer et me transporte dans un monde de couleur.
Elle sourit et pose ses mains sur ses hanches :

_ Toujours aussi flemmard ?

Je suis d'abord étonné. Puis je décide de faire comme si de rien n'était :

_ Rien que pour toi.

Son rire angélique me pousse à avancer. Son rire s'arrête et elle me détaille de la tête au pied. Quand nos regard se croisent à nouveau,elle pouffe de rire. Je me dirige vers la vitre d'une fenêtre,les sourcils froncés. Je ne suis qu'en caleçon. Elle ne manque pas cette occasion pour me critiquer :

_ C'est la fête du slip chez les Nara aujourd'hui ?

Je me tourne vers elle et attrape la bouteille de jus d'orange :

_ Et chez les Sabaku No on fait les ptit déj sans soutif ?

Elle se regarde,rougit légèrement et je vois bien qu'elle essaie de garder une contenance. Elle m'attrape la bouteille de jus d'orange et approche son visage à un souffle du mien. Je retiens ma respiration tandis qu'elle me demande :

_ Il s'est passé quoi pour que tu te retrouves dans mon lit ce matin ?

Ses prunelles cherche une réponse dans les miennes et dans la sincérité je réponds :

_ A la fête d' Itachi tu...(Je la prend par la taille et cache mes frémissements quand je sens sa peau contre moi. Je la rapproche de moi et évite son regard curieux.) Tu t'es droguée. Je sais pas quoi ni comment mais j'ai décidé de te ramener ici et de ne pas te laisser seule.

Je ferme les yeux,m'attendant à une explication radicale et violente ou à une claque. A la place le souffle chaud de mon amie me caresse les lèvres. J'ouvre les paupières et la découvre à quelques centimètres de moi. Elle me remercie dans un murmure. Décidé à prendre les devants,je prends son menton dans une main et de l'autre je serre un peu plus ses hanches. Je fixe ses lèvres avec intensité. Elle promène son regard sur les miennes. Sa poitrine est collée contre mon torse et j'entends nos battements de cœurs battent à l'unisson. Ses bras me chatouillent le torse et viennent grimper avant de s'accrocher autour de ma nuque. J'en peux plus. Je ferme les yeux et approche mes lèvres des siennes.
Je me penche. Encore et Encore. La chaleur de son corps disparaît et j'embrasse le vide. J'ouvre les yeux et tourne la tête vers Temari qui rougit auprès de Gaara.

_ J'ai faim grande sœur.
_ C'est pas une raison pour m'interrompre Gaara !
_ Mais...

Gêné,je passe mon bras dans mes cheveux quand la voix de Kankurô me parvient de derrière :

_ T'es chiant Gaara. Ils étaient sur le point de revivre le feu d'artifice du 14 Juillet mais dans la cuisine.

Temari critique son frère et j'esquisse un sourire. Je ne peux que faire ça, sourire.

«_ Oh,si tu savais le nombre de choses que tu ne pourras plus faire. »




Merci d'avoir lu jusqu'au bout!
J'espère que ça vous a plu et qu'il n'y a pas trop de fautes...
Sinon, vous prenez quoi au petit déjeuner? :r




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