Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Recueil d'acrostiches

Un acrostiche est un poème ou une strophe ou une série de strophes fondés sur une figure de style consistant en ce que, lues verticalement de haut en bas, les initiales d'une suite de vers composent un mot ou une expression en lien avec le poème.
Spoil | Poésie | Mots: 1607 | Comments: 2 | Favs: 2
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Nakomi (Féminin), le 01/02/2012
Comme dit dans la description, et dans le titre, ceci est un recueil d'acrostiche, écrit au gré de mes sentiments et de mes envie... Les poèmes n'ont en soit aucun lien les uns avec les autres, et peuvent etre dans un total desordre chronologique. Bref...
J'ai decider de les faire ecrire de la main de personnages et de les placés dans un contexte pour qu'on comprenne mieux le sentiment que je cherche a faire passer...

Accrocherez vous a l’acrostiche ?




Chapitre 1: Temari Nara; Guerre; Ninjas;



Temari Nara :


Tant de mots à écrire
Et si peu de courage
Malgré cela je prends ma plume,
Afin de te délivrer ce message
Rien ne compte plus à mes yeux
Irréel, je serais transporté de bonheur
N'attendant que ta réponse
Alors pour mieux me comprendre
Relit les premières lettres de ce poème
Accepte tu de devenir mienne ?...

Shikamaru souffla un grand coup en reposant son stylo, une légère teinte rosée sur ses joues, comment pouvait il écrire des choses aussi niaises ? Et surtout pourquoi cela le mettait dans tous ses états ?

Il roula le parchemin et l'accrocha a la patte de l'aigle qui attendait patiemment, une lueur amusée dans ses yeux. Le jetant dans les airs il lui donna de l'élan, puis le regarda s'éloigner quelques secondes et enfin de détourner le regard du volatile.

Il eu l'envie de s'allumer une cigarette et fit distraitement rouler les petits anneaux d'or surmonté d'une émeraude dans sa main… Cette fille galère le mettait dans tous ses états… se dit t-il avant de hausser les épaules, qu'importais ce détails, du moment que c'était SA fille galère.

Tout en ruminant ses pensées il n'imaginait pas qu'à l'autre bout du village, une jeune ambassadrice aux cheveux blonds comme les sables, sentait couler le long de ses joues de fines perles salées

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Guerre :

Guidés par la soif de combat
Une armée, tel une lance
Ennemi, ce sera toi ou moi
Risquons tout dans cette danse
Rien qu'une mort nous séparera
Et survivre, qui aura cette chance ?

Gaara posa le stylo sur la table et relut une dernière fois son texte, puis, satisfait il la rangea dans un tiroir de son bureau. Se levant lentement il accrocha sa jarre dans son dos et réajusta sa tenue de combat.

Ecartant les rideaux de la tente, il vit son frère et sa sœur qu'il l'attendait, et même si aucun de prononça mot, ils comprirent parfaitement se qu'ils ressentaient en ce moment même.

Prenant la tête du trio, mais fermement suivi par ses ainés, le Kazekage monta sur le promontoire et toisa les milliers de shinobis qui dans un chaos organiser, attendait les ordres.

Une bonne partie allait probablement mourir dans cet affrontement…

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Ninjas:

N'écoutant que leur courage
Intransigeant dans leurs combats
Ne jamais verser une larme
Jamais montrer de sentiments
Au dernier souffle, ils ne regrettent
Si chère patrie sauvée, contre leur vie

Le petit hiruzen se rassit, fier de lui. Ce poème qu'il avait lui même écrit semblait avoir fait sensation dans la classe, et ô comble de la joie, son sensei qui avait probablement compris l'astuce le couvait d'un regard bienveillant, toute fois percé d'un invisible regret, si jeune, et il avait déjà compris les priorités d'un shinobi… une mort certaines vers laquelle ils se dirigeaient tous avec joie…

Le futur Hokage tassa ses feuilles sous les appréciations de ses camarades, sans se douter que des années plus tard, même après son règne, les jeunes étudiant de la feuille réciteraient se poème comme une prière.

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Papa, Maman:

Parce que vous êtes maintenant loin de nous
Alors qu'il vous restait tant d'années
Pour vous les larmes coulent sur mes joues,
Animées d'un pesant passé
Malgré la douleur je tiendrais le coup
A votre souvenir effacé
Me raccrocherais contre tout
Amour infini, je vous ai toujours porter
Ne pouvant rêver de parents mieux que vous


Devant la tombe naruto essuya rageusement ses larmes et amena le petit papier a la lueur de la flamme.

Il la regarda se consumée et les douces cendres partirent, volant au vent avec grace, emportant sa haine, ne laissant place qu'a la tristesse en son cœur.

Il se leva et parti sans se retourner, Rejoignant Sakura et Sasuke a la sortie du cimetiere, se blottit dans les bras de sa coequipière et fondit de nouveau en larme, la main de son ami sur l'epaule.

A chaque anniversaire de mort d'un de leurs parent, ils se retriuvaient tout les 3 pour epancher leur peine, puis partaient la noyée dans l'alcool, riant en chœur jusqu'au petit matin…

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Amour:

As-tu ta place ici bas
Monde de larmes et de combats
Où la séparation est quotidien
Ultime échappatoire ? Inévitable douleur ?
Risque, je tiens à te prendre…

La jeune femme pressa la lettre contre son cœur… elle avait tellement attendu ces mots… Et enfin l'élu de son cœur se décidait

Une soudaine bourrasque de vent ébouriffa ses cheveux roses, et bien que frissonnante, elle s'allongea sur le toi, attendant patiemment son corbeau
( Ndla: Probablement le poème que j'aime le moins... )


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(Ndla: Les deux qui vont suivre et fermer ce chapitre sont un peu différents, il faut lire le premier mot de chaque vers )
Tu me manquera. Je t'aime:

Tu sais qu'en guerre,
Me dit-on du moins… On;
Manquera de stratégie pour communiquer
Je pense que cela est dangereux
T'ai-je dis que la moindre information peut nous nuire ?
"Aime tu la vie" ? me répète t ils ?

Jiraya


Il savait qu'il allait mourir… quand elle reconnu l'écriture, des la première phrase, Tsunade des limaces congédia les ANBU présent et même sa si douce assistante Shizune. Au fur et à mesure que ses yeux parcouraient les lignes, ils s'emplissaient de larmes…

Il savait qu'il allait mourir, et il osait crever l'abcès qu'ils avaient entretenu depuis de si longues années ? Peut être qu'il avait besoin de se soulager avant de s'éteindre définitivement… mais elle ne voulait pas, ces quelques lignes avaient brisé la carapace qu'elle s'était savamment construite.

Elle se laissa doucement glisser contre le mur, ramenant ses bras et ses jambes contre elle. La princesse des limaces, La légendaire Tsunade, probablement la kunoichi la plus puissante de son époque, fondit en larmes comme une petite fille, pleurant son premier et dernier amour…

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Ce soir a sept heures, l'ennemi mourra:

Ce matin, je cueillais des fleurs
Soir et matin, je suis active
A ma mère je fais des bouquets sublimes
Sept en tout, j'ai pris des heures
Heures qui paraissaient minutes
L'attente est si longue quand je pense à toi
Ennemi de l'amour, j'ai mangé trop de gâteaux
Tomberas-tu dans mes bras ?

Ta Miyuki

Le cheval s'arrêta en se cambrant quand les gardes bloquèrent le passage de leurs lames. D'un ordre sec un des subordonnés demanda au cavalier de se découvrir et de justifier son passage. La forme sous la capuche noire serra les dents et écartant les pans de la cape, qui couvrait son corps, elle laissa sortir une main, qui bien vite abaissa la capuche, révélant une Anko souriante, d'un sourire quelques peu niais.

Les saluant d'un fort accent paysan elle fouilla a l'intérieure de sa cape et ressorti un passeport de facteur local. Le garde haussa un sourcil et comme le voulait la consigne en temps de guerre, il fouilla les sacs qui pendaient sur la croupe du cheval, en sortant quelques lettres, il les examina attentivement et ne trouvant là que des correspondances locales sans intérêt, aucun texte codés.

Il ne sut jamais a quel point il passa prés de la mort, quand anko vit qu'il avait saisit la si précieuse lettre, elle avait raffermit sa prise sur le kunai cacher dans sa cape, prête à l'égorger si son visage trahissait le moindre signe de compréhension.

Il sourit en lisant la lettre d'une certaine miyuki qui attendait son homme au pays, et remit toutes les lettres dans la sacoche, n'ayant pas le temps de toutes les lire. De toute façon cette jeune femme avait l'air trop simplette pour être dangereuse…

Il permit a anko de repartir et celle-ci, s'empressant de remettre sa capuche, éperonna violement son étalon et partit au triple galop, un sourire mauvais s'étirant sur ses lèvres rosées, au fur et a mesure que les sabots soulevant la terre humide l'éloignait du camp ennemi.

Demain à cause de sa stupidité, ils seraient tous morts… avant même que le soleil se lève

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(Ndla: Celui ci a été écrit pendant la période des fêtes, et même si il n'y a plus lieux d’être, je l'aime bien donc le met tout de même )
Joyeuses Fetes:

Juste quelques phrases de bonheur
Oublions tout nos soucis
Y a-t-il un plus merveilleux endroit
Et de plus doux moments a passés, que
Unis avec ceux que nous aimons ?
Surement pas
Et nous avons la chance d'etres tous ensembles
Si rare sont les moments de quietude

Fils et filles de la feuille
En l'honneur de ceux qui sont tombés
Tous en cœur, rions, chantons, dansons
Et que notre joie rechauffe les coeurs
Si douce periode de paix

Pendant que la venerable Tsunade, hokage cinquieme du nom, recitait ce poeme en presence de tout son village, un silence quasi religieux avait pris toute l'assemblée.

Tout le monde ecoutait attentivement et s'en impregnait, enfin sauf les plus jeunes, pas encore genin ou ne comptant pas le devenir, bien plus interéssé par les magnifiques decorations dont le village était paré.

Et dans ce paysage féerique, toutes les personnes en age de lire et d'ecrire, retenait avec soin les premieres lettres de chaque vers, c'était bien connu dans le village que la princesses des limaces avait gardée ce vieux tics de son defunt ecrivain, pour faire passer un message encore plus fort.

Lorsque qu'elle finis le dernier vers, tout le village applaudit a s'en rompre les mains, tendit que les spectacles commençaient un peu partout, que les stands s'animaient, et que au loin, de sublime feux d'artifice decoraient le ciel si noir qui veillait avec sagesse sur le village de la Feuille.





Voila, j’espère que cela vous a plus, que vous avez bien accrochez aux acrostiches, normalement j'entretiens un rythme de parution régulier, mais vu que ici, il y a un minimum de caractères a respecter, et que cela correspond a plusieurs poemes que je poste normalement seuls je ne pense pas en mettre un ça demanderais trop de travail.
N’hésitez pas a me laisser un commentaire pour me donner votre avis, ou me proposer un theme pour l'un de mes acrostiches




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