Fiction: La princesse d'été

La grande guerre s'est terminée sur la défaite de Madara Uchiwa et la paix est de retour. Cependant une ombre plane, Sasuke court toujours et il semblerait qu'il soit à la recherche d'un artefact pour détruire Konoha. Naruto, 21 ans et désormais Jounin, essaie d'arrêter son ami. Suite à un traumatisme, Natsuhime Ayumu, 19 ans est à la recherche de son passé. Simple civile elle doit faire face au monde shinobi et sa violence. D'ailleurs, pourquoi le dernier des Uchiwa s'intéresse-t-il à ell
Classé: -12D | Action/Aventure / Romance | Mots: 6049 | Comments: 2 | Favs: 3
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Natsuhime (Féminin), le 03/12/2011
Salut salut !
Je poste ici une fiction commencée il y a de cela quelques temps et dans laquelle je m'investis beaucoup.
J'espère qu'elle vous plaira et que vous passerez de bons moments de lecture grâce à elle.

Dans cette histoire, les personnages principaux sont les même que dans le manga mais j'ai ajouté Natsuhime, un personnage totalement inventé. Il y en aura d'autres, mais secondaires cette fois-ci et qui sont aussi de moi. Je les citerai au fur et à mesure de l'avancement de l'histoire.




Chapitre 1: Natsuhime Ayumu



Un souffle de vent souleva la longue chevelure noire de la jeune femme. D’un geste impatient, elle replaça une de ses mèches rouges derrière son oreille et continua sa lecture. Assise sur un banc, ses yeux verts parcouraient les lignes, avides d’en savoir plus. Passionnée par le petit livre jaune qu’elle tenait d’une seule main, la civile ne se rendait pas compte du temps qui passait. La chaleur étouffante de l’été du pays du feu avait laissé place à une atmosphère plus rafraichie. Elle entendit des élèves quitter l’académie des ninjas et referma son roman. Basculant sa tête en arrière, elle regarda un instant l’azur du ciel puis ferma les yeux. Elle se sentait vide, lasse. Une fois de plus, elle chercha dans sa mémoire des souvenirs qu’elle ne trouva pas. Soupirant, elle se leva et s’étira, faisant craquer sa colonne vertébrale. Cela faisait tout de même deux bonnes heures qu’elle se trouvait sur ce banc, à l’ombre d’un grand chêne, dans le quartier militaire. Appréciant cette place à cause de sa solitude, elle y venait souvent pour observer les ninjas aller et venir. Certains de nombreux dossiers en main, d’autres blasés ou bien pressés. Parfois, l’un deux disparaissait dans un « pouf » de fumée blanche, ou bien dans un sifflement caractérisant sa grande vitesse de déplacement. Le banc sur lequel la jeune femme avait jeté son dévolu était à la fois au milieu de tout cela sans pour autant s’y imposer. Il n’était jamais pris, comme si pour ces hommes et femmes de l’ombre, le repos n’existait pas.

L’après-midi touchait à sa fin et elle décida de rentrer chez elle. En passant devant le bâtiment de l’Hokage, un ninja la salua, pensant peut-être qu’elle était une collègue. Elle lui rendit son sourire en s’éloignant. Il était vrai que sa tenue ressemblait à celle des nombreuses kunoichi du village. Elle portait un short noir assorti à ses sandales. Sur sa ceinture, ornée de nombreuses chaînes en acier, aurait aussi pu être accroché de nombreux kunais et autres armes. Son large t-shirt blanc découvrait une de ses épaules et de petits croissants de lune étaient imprimé sur les bords. Continuant de marcher, la jeune femme âgée de dix-neuf ans, se retrouva devant l’hôpital. Elle y vit, comme pratiquement tous les jours depuis deux semaines, une jeune médic-nin aux cheveux roses entrer dans le hall. La civile contournait le bâtiment pour rejoindre une rue parallèle lorsque soudain un cri la fit sursauter.

- Narutoooooo !!!!

Levant vivement les yeux vers la source de ce vacarme, elle vit un jeune homme blond s’échapper d’une des fenêtres de l’hôpital. Il atterrit juste à côté d’elle et la jeune femme fut surprise de voir la kunoichi aux cheveux roses lui hurler de revenir.

- Désolé, Sakura-chan ! Je suis guéri depuis une semaine, alors maintenant la bouffe décontaminée ça suffit ! On se retrouve plus tard, lui cria le ninja.

Ce dernier se rendit compte de la présence de la civile et voyant que sa coéquipière s’apprêtait à le poursuivre, il prit sa main et commença à courir dans une direction, connue de lui seul.

- Mais, que faites-vous ? balbutia sa prisonnière.
- Je vous épargne un interrogatoire et sauve ma vie par la même occasion ! sourit-il.

Leur course attira le regard de nombreux ninjas et civils, dont deux en particuliers, assit sur la terrasse d’un bar, en train de déguster des dangos. Jumeaux, ils haussèrent d’un même mouvement leur sourcil gauche tandis qu’ils voyaient la jeune femme passer au pas de course devant eux. La main dans celle d’un ninja. Au détour d’une rue, devant un stand de ramens, le blond finit par s’arrêter.

- Désolé de t’avoir embarqué dans cette histoire ! dit-il gêné. En fait, Sakura-chan ne voulait pas que je sorte avant trois jours, mais les nouilles d’Ichiraku me manquaient trop !

Tandis qu’il se grattait l’arrière du crâne d’un air embarrassé, la civile en profita pour le détailler. Des cheveux d’or, mi-longs et ébouriffés, des yeux turquoise, trois fins traits sur chaque joue, elle le reconnut comme le ninja duquel la plupart des civiles étaient amoureuses. Le sauveur de Konoha.

- Uzumaki Naruto ? demanda-t-elle.
- Ha ? Tu me connais ?
- Pas vraiment, non… En fait c’est mon frère qui m’a parlé de toi.
- Vraiment ? sourit-il. Il est vrai que je serai le sixième Hokage ! Mieux vaut que tu me connaisses maintenant !

Un arrogant, génial. Voilà de quoi était amoureuse sa meilleure amie Ran. Elle détourna la tête, méprisante.

- Mais, et toi ? Comment est-ce que tu t’appelles ? Je t’en dois une.
- Je m’appelle Natsuhime. Natsuhime Ayumu.
- Natsu-chan ? C’est joli comme prénom ! remarqua le jinchuriki.

Quelle familiarité ! Alors qu’ils se connaissaient à peine.

- Je te suis redevable ! Si tu veux, je te paye un repas.
- Non, merci ! répliqua-t-elle sèchement.

Une goutte apparut derrière la tête du jeune homme. C’était lui, ou bien cette fille le méprisait ? Ce n’était pas très gentil de refuser son invitation, alors qu’il faisait cela pour s’excuser de l’avoir fait courir à travers le village de la feuille.

- D’accord… Bah je te laisse deux bons pour le restaurant de yakiniku de la rue des samouraïs.

Elle prit les deux morceaux de papier et alors que Naruto soulevait les demi-rideaux du stand de ramens, elle le héla.

- Pour toi ce sera Ayumu-san.

Et elle tourna les talons sans plus de cérémonie. L’hôte de Kyubi failli s’étouffer de colère. Non mais pour qui se prenait-elle ? Certes, il l’avait faite courir vite, mais il s’était excusé. Et en plus il lui avait donné deux billets gratuitement pour se faire pardonner. Son repas programmé avec Choji la semaine prochaine dans ce fameux restaurant allait lui coûter une fortune.

- Quelle ingrate celle-là ! Non mais franchement ! Hautaine en plus de cela, bougonna-t-il en s’asseyant sur un des tabourets du stand.
- Et bien Naruto, quelque chose te tracasse ? lui demanda Teuchi, le restaurateur.
- Non, c’est rien, juste une orgueilleuse qui prend les gens de haut… Enfin, ce n’est pas ça qui va me gâcher la journée.
- Ça fait longtemps qu’on ne t’a pas vu ici, remarqua Ayame la fille du propriétaire.
- J’étais en convalescence et Sakura-chan m’a interdit de manger des ramens durant ce laps de temps. Mais aujourd’hui j’en avais marre alors je me suis échappé de l’hôpital et j’ai couru directement ici ! sourit le ninja.
- Tiens, fit Ichiraku, dans ce cas, je t’offre ton premier bol !
- Sérieux ?! C’est super sympa, vous êtes le meilleur ! Itadakimasu !

Naruto sépara ses baguettes et commença son plat avec avidité. Des larmes de joie et de plaisir coulèrent sur ses joues, le bon goût de ses ramens préférés pénétrant son être entier. Le restaurateur rit de bon cœur face à la spontanéité de son meilleur client. Il prépara un autre bol voyant que le jeune homme avait déjà bientôt fini l’autre.
Trente minutes et une dizaine de ramens avalés plus tard, le jeune jounin se dirigea vers la bibliothèque. Mieux valait esquiver Sakura pendant encore quelques heures. Voilà donc pourquoi il ne rentra pas chez lui. Sur sa route il rencontra son premier sensei, Iruka Umino, qui portait de nombreux livres dont quelques feuilles menaçaient de s’échapper.

- Oï ! Iruka-sensei ! lui cria le jeune homme. Vous allez bien ?
- Oui, lui répondit le chuunin, enfin si on oublie toute cette paperasse… Mais et toi, tu n’étais pas sensé être à l’hôpital ? J’ai croisé Sakura il y a une vingtaine de minutes, elle te cherchait.
- Gloups, s’étrangla le jinchuriki. En fait je me suis fait la malle, malheureusement, elle arrivait pile à ce moment-là…
- Naruto… le réprimanda gentiment son ancien professeur.
- Mais et si je vous aidais ? proposa l’élève devenu grand.

Il prit une partie des dossiers de la grande pile et retint son souffle un quart de seconde. Comment Iruka arrivait-il à tous les porter ? C’était super lourd !

- Comment ça se passe à l’académie ? s’enquit le blond.
- Les élèves sont gentils pour la plupart, mais il y a quand même quelques fortes têtes… soupira-t-il avant de se taire. Enfin, pour le moment je n’ai pas eu pire que toi, plaisanta-t-il.
- Iruka-sensei, vous êtes méchant… répondit l’autre, gêné.

Puis, ayant pénétré dans l’édifice rempli de livres, Naruto décida de l’abandonner après avoir déposé sa pile sur une grande table de bois. Il allait partir lorsqu’une pensée lui vint à l’esprit.

- Dites…
- Oui, Naruto ?
- Vous vous y connaissez un peu en Fuinjutsu ?

Quelle était cette question ? Iruka se demanda ce que voulait réellement son ancien élève. Il répondit cependant par l’affirmative en précisant tout de même que ses connaissances étaient assez limitées dans ce domaine. Le jeune homme semblait songeur.

- J’ai appris récemment que le clan Uzumaki dont faisait parti ma mère était spécialisé dans les sceaux. C’est pourquoi ça m’intrigue un peu. Enfin, là n’est pas le plus important. Je voulais savoir en quoi cela consistait réellement et à quoi cela pouvait bien servir. Bon, je vous laisse, à plus tard !
- Naruto attends !

L’hôte de Kyubi s’arrêta et se retourna.

- Passe à l’académie un de ces jours. Je t’aurais sûrement trouvé un livre pour les novices là-dessus. En échange, il te suffira de faire une petite démonstration à mes élèves !
- C’est d’accord ! conclut le jounin avant de pousser la porte de la bibliothèque et de disparaître de la vue d’Iruka.

Ce dernier sourit, nostalgique. Cela faisait longtemps qu’il n’avait rien enseigné à son protégé.

- N’empêche, le fuinjutsu ce n’est pas une mince affaire ! se dit-il à lui-même. Beaucoup ont du mal avec, alors j’espère quand même que Naruto ne va pas trop s’enliser dans ça.

Il soupira. Un casse-tête supplémentaire venait de s’ajouter aux autres, dont la composition des futures équipes de genins. Et ça n’allait pas être de tout repos.

– oOo –

Il était près de minuit et une jeune femme aux longs cheveux noirs parsemés de mèches rouges sortait d’un théâtre. Elle salua de la main le garçon qui lui disait au revoir puis s’avança à travers les rues. Elle quitta le quartier des artistes et passa devant un bar, où quelques trainards y étaient encore. L’un d’eux, un civil aux courts cheveux bruns, la siffla et l’invita à se joindre à eux. Natsuhime l’ignora superbement et continua sa route.

Ce que les hommes étaient grossiers tout de même. Oser l’appeler de cette manière. Elle était une demoiselle !
Le soulard, vexé d’avoir été méprisé de la sorte, sortit du bar en compagnie de trois amis à lui. Tout aussi imbibés de saké. La civile rajusta un sac de toile noire sur son épaule et marchait sur un rythme connu d’elle seule, comme si elle était en train de danser. Arrivée devant une fontaine, elle déposa son paquet sur le rebord de celle-ci et farfouilla à l’intérieur à la recherche de ses clefs. Soudain, elle entendit un rire gras qui la fit sursauter.

Se retournant vivement, elle découvrit quatre hommes, ivres, qui la regardaient, l’air vicieux, le regard fou. Elle reconnut celui qui l’avait accosté devant le bar et qu’elle avait fait semblant de ne pas entendre. La jeune femme se mordit la lèvre. Elle n’en menait pas large, mais elle décida de faire semblant d’être confiante et se composa un visage hautain, fier.

- Que puis-je pour vous ? fit-elle, cassante. Je n’aime pas perdre mon temps avec des abonnés au saké.
- Une fille à la fierté mal placée à ce qu’on dirait, dit l’un d’eux.
- On va t’apprendre, gamine, à respecter tes aînés ! aboya un autre, en s’avançant.
- Cet air que tu arbores aura vite fait de disparaître, gloussa le troisième.

Le dernier ne dit rien, mais d’un commun accord avec ses compères, ils s’approchèrent d’elle. Sachant ce qu’ils préparaient, Natsuhime prit son sac et commença à s’enfuir. Elle ne devait pas rester là, c’était dangereux. Elle essaya de s’enfuir, mais les quatre bandits – même saouls – la rattrapèrent vite. Une douleur sans nom, frappa alors la civile de plein fouet. Celui qui paraissait le leader venait de l’attraper par les cheveux et la fit tomber par terre.
Elle voulut crier mais un autre lui bloqua la bouche en posant sa main dessus. Continuant à se débattre, le troisième immobilisa ses jambes tandis que le quatrième lui serrait les poignets. Horrifiée de ce qu’il se passait, la demoiselle ne se laissa pas abattre et mordit la main qui l’empêchait de respirer. L’homme la retira dans un juron puis la gifla, l’étourdissant. Le chef qui lui tirait les cheveux la libéra et échangea sa place avec son compagnon qui retenait ses jambes. Un sourire malsain étirait les lèvres de ces hommes et Natsuhime se retenait à grand peine de ne pas pleurer.
Des larmes de rage et de dégoût coulèrent cependant lorsque le plus vil des quatre caressa ses cuisses bronzées par le soleil. Elle frémit et jeta un regard assassin à son agresseur. Il ricana et déboutonna son short tandis qu’un autre déchirait son t-shirt blanc. C’était la fin. La civile les détestait plus les uns que les autres. Comment osaient-ils s’en prendre à elle ? Pourquoi ? La jeune femme avait honte. Tellement honte. On brisait sa fierté. On la brimait. Cette sensation si horrible de ne plus rien contrôler la submergea et fit couler de nouvelles larmes sur ses joues. En plus de cela, ces hommes le faisaient en pleine rue. Elle ouvrit les yeux, elle ferait face.

Un éclair jaune.
L’agresseur qui lui tenait les jambes reçut un puissant coup de pied dans les côtes et s’envola trois mètres plus loin.
Des flammes orange.
Ceux qui lui enlevaient les derniers morceaux de son haut blanc eurent la mâchoire brisée sous l’impact d’un poing fermé.
Un bandeau de ninja.
Un bruit sec et un coup dans le cou. Le dernier s’effondra inconscient à quelques centimètres de la victime.
Des yeux bleus.
Un inconnu la relève, enlève sa veste et la lui met sur les épaules. Il la soulève et la porte sur son dos.

- Merci, murmura Natsuhime avant de tomber dans les bras de Morphée.

Son sauveur ramassa le sac de la jeune femme et se dirigea vers l’hôpital. Lui qui pensait l’avoir fui pour un bon bout de temps. Il s’y retrouverait encore pour une période indéterminée, que l’enquête se fasse. Avec sa coéquipière très énervée par dessus le marché et une fille arrogante qu’il venait de secourir. Naruto soupira, heureusement qu’il était passé là par hasard. Le drame avait été évité de peu. Il se pressa et la laissa au bon soin d’un médecin avant de rentrer chez lui. La journée n’avait pas été facile.

– oOo –

Un « bip » incessant, la tirait doucement du sommeil. Un rayon de soleil l’éveillait avec sa chaleur. Une odeur de désinfectant l’irrita. Une main serrant la sienne la réveilla.

Natsuhime ouvrit les yeux. Le blanc de la pièce l’éblouit. Elle tourna la tête et vit du matériel médical. Déduisant qu’elle se trouvait à l’hôpital, elle regarda l’homme qui dormait assis sur une chaise, le visage sur son matelas de malade. Elle sourit en reconnaissant son frère aîné. La porte s’ouvrit. Son jumeau entra et lui sourit. Elle y répondit faiblement et resta pensive.

Il y avait une chose qu’elle n’avait jamais oubliée. Ses deux grands frères. De sa sombre mémoire, c’était la seule chose qu’il lui restait.

– oOo –

Naruto se précipitait dans les couloirs du bâtiment de l’Hokage. Grimpant les marches à une vitesse folle, il entra sans frapper dans le bureau de Tsunade. S’y trouvaient déjà Kakashi, Sakura et Shizune qui tenait une feuille.

- Combien de fois devrais-je te dire de toquer avant de pénétrer dans ce bureau ? le gronda la dirigeante.
- Désolé Tsunade-baachan, mais…
- Baachan ? souffla l’Hokage de mauvaise humeur.
- Euh, je veux dire Tsunade-sama, se corrigea le jeune homme.

Il se plaça aussi à la droite de son ancien sensei afin de prévoir les mouvements de sa coéquipière dont la colère semblait avoir disparu. Mais mieux valait être prudent.

- Pourquoi me faire venir à une heure aussi matinale ? demanda-t-il, ennuyé.
- Naruto, il est onze heures… soupira Shizune.
- Même Kakashi est arrivé avant toi, baka ! lâcha la kunoichi aux cheveux roses.
- Mais au fait, Naruto… commença la blonde. Où est passée ta veste ?
- Ah ça ?... Euh, en fait hier soir j’ai surpris quelques hommes ivres mort en train d’agresser quelqu’un. Ses vêtements étaient déchirés alors pour qu’elle ne prenne pas froid, je lui ai prêté ma veste.

Sakura se radoucit. Son ami avait véritablement un cœur d’or.

- Elle ? siffla-t-elle un veine palpitant dangereusement à son front.
- Heeee… Pourquoi j’ai l’impression d’avoir fait quelque chose de mal ? Si tu veux imaginer des trucs, fais-le avec Kakashi-sensei…

Tsunade se rendit compte que cela allait très prochainement se terminer en dispute. Aussi, elle préféra couper court à cela en leur révélant l’objet de leur convocation.

- Sasuke Uchiwa a été retrouvé.



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