Fiction: Laringan (terminée)

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Le soleil venait caresser de ses rayons les différents chantiers de Konoha. Les ouvriers travaillaient déjà, l'aube à peine annoncée. Quelques enfants courraient à travers les rues, jouant aux ninjas.

- Tu fais le méchant !
- Non, je l'ai fait la dernière fois, rouspéta un roux.
- Moi, je fais Sayori, cria une petite fille.
- J'étais Tsunade hier, c'est à ton tour maintenant.

Ils continuèrent à se disputer mais se turent quand la véritable Sayori apparut. Ils se poussèrent, l'observant silencieusement. Sayori ne leur accorda aucun regard. Elle marchait d'un pas vif, impatiente de retrouver un lit, même si cela signifiait revoir un certain d'Uchiwa. Elle savait qu'il lui poserait moult questions sur son absence. Elle soupira. Elle exigerait le silence, au moins une heure. Elle gravit les marches menant à l'appartement. Elle chercha sa clé. Ne la trouvant pas, elle se résigna à toquer. Elle entendit des bruits de verre, un grognement (Konoha ne dépensait visiblement pas des fortunes dans l'isolation) puis la porte s'ouvrit. Un Sasuke endormi se tenait devant elle. Il mit quelques secondes avant de comprendre et se renfrogna.

- Tiens, une revenante.

Il s'éloigna, la laissant entrer. Elle sourit intérieurement. Peut-être allait-elle éviter l'interrogatoire ? Elle récupéra une pomme dans la cuisine puis s'installa dans le lit. Elle se déshabilla, enfila de nouveaux sous-vêtements et un tee-shirt. Croquant dans le fruit, elle s'appuya contre l'oreiller, fatiguée. Sasuke glissa sa tête dans l’entrebâillement de la porte.

- Tu ne veux pas me dire où tu étais ?
- Pas maintenant, tu veux ?
- Hgn.

Il quitta la pièce. Sayori le remercia au fond d'elle et s'endormit aussitôt.



Sayori se réveilla dans la nuit. Elle jeta un coup d’œil au réveil. Une heure du matin. Elle alla chercher quelque chose à manger, s'assit dans l'unique fauteuil du salon. Sasuke sur le canapé juste en face, ne pipa pas un mot.
Un silence perdura cinq minutes avant que l'Uchiwa ne le rompt.

- Tu m'as manqué.

Cette simple phrase fit sursauter Sayori. Elle se gratta la joue, gênée. N'attendant pas de réponse, Sasuke poursuivit :

- Naruto était chiant et Neji me posait dix mille questions sur toi.
- Vraiment ? Que cherchait-il à savoir ?
- La même chose que tout le monde : où tu étais.
- Je vois.

Sasuke inspecta l'expression neutre de sa colocataire, n'y décela aucun indice de collaboration. Il décida alors de rentrer dans un sujet embarrassant, mais important pour lui.

- Tu comptes te marier avec Hyûga ?
- Quoi ?

Sayori écarquilla les yeux.

- Il m'a dit que sa famille t'avait fait une proposition.
- Et tu pensais que si je ne voulais pas me lier à toi, c'était parce que je souhaitais faire partie du clan Hyûga ?

Sasuke fut désarmé face à la perspicacité de Sayori. Il hocha la tête, penaud. Sayori éclata de rire.

- Pourquoi tu te fais des idées aussi bêtes ? J'ai refusé leur proposition, même s'il ne semble pas l'avoir vraiment compris.
- …
- Tu es rassuré ?
- Hgn.
- Bon, si c'est tout ce que t'avais à me demander, je vais me balader.
- Tu vas rejoindre Naruto ?
- Qu'est-ce que tu baragouines encore ?

Sayori, debout, posa les mains sur les hanches. Sasuke était bizarre. Elle répliqua :

- Je vais voir qui je veux, en fait. Et pourquoi Naruto vient sur le tapis ?
- Tu vas bien t'entraîner avec lui tout les dimanches. Alors bon.
- Tu me fais quoi là ? Une scène de ménage ?
- Laisses tomber.
- Expliques-toi.
- Je trouves que te lier à l'ennemi comme tu le fais, surtout avec Naruto, c'est une erreur.

Sasuke venait d'inventer cet argument. Il se félicita.

- Ne dis pas n'importe quoi. J'évalue ses capacités en m'entraînant avec lui.
- J'ai dû mal à y croire.
- Tu crois que j'ai envie de me le faire ?

Sasuke, choqué, regarda Sayori d'un autre œil. Elle bouillonnait.

- Tu me fais une scène de ménage, j'y crois pas.
- N'importe quoi !
- Écoutes-moi bien, Uchiwa (il nota le passage du prénom au nom de famille), je suis libre. Même si je voulais me taper Chôji, ça ne te concernerait pas.
- Bien sûr que si. On est venu ici dans un but bien précis, et toi tu batifoles.
- Je batifoles ?

Sasuke crut entendre un craquement.

- QUI C'EST QUI VEUT SE MARIER AVEC MOI POUR L'HONNEUR DE SON CLAN ET QUI ME DIT QUE ÇA NE LE DERANGE PAS SI JE L'EMBRASSES DE NOUVEAU ? QUI ?
- Attends, calmes-toi...
- JE VAIS T'EPILER LES POILS DE NEZ ET TE LES FAIRE BOUFFER, UCHIWA ! NE ME DIS PLUS JAMAIS QUE JE BATIFOLES SI TU VEUX RESTER EN VIE !

Et elle partit. Sasuke venait d'assister à un extrait de la fin du monde. Il se promit de ne plus jamais reprocher quoi que ce soit de ce genre à sa coéquipière, se recoucha.

***

Sayori, Naruto, Neji et Sasuke étaient en route vers un village voisin. Une mission les attendait : ils devaient capturer un ancien déserteur, devenu gérant d'un bar. Proxénète, l'homme était une ordure, ayant tué dix personnes.
Le plan était simple mais posait quelques difficultés. Sayori postulerait pour devenir une des prostituées. Neji avait déjà la confiance du gérant grâce à d'anciennes missions et il l'influencerait pour qu'il la prenne. Ensuite, Naruto et Sasuke se ferait passer pour des clients. Ils simuleront une prise d'otages (avec Sayori comme « victime »), le gérant et ses acolytes débarqueront, Neji avec eux. Ils n'auront plus qu'à capturer le gérant et ses amis. Tsunade trouvait ce plan brillant.
Sayori, elle, n'y croyait toujours pas. Elle allait jouer les prostituées. Voilà une raison de plus de détruire Konoha, nota-t-elle.

Une fois sur place, ils se séparèrent. Sasuke lança un regard brûlant à la jeune femme. Avant le coucher du soleil, il la verrait dans une tenue provocante. Il avait hâte.
Sentant des ondes perverses, Sayori partit sans rien dire.

***

Sayori avait été embauchée sans problème. Sa mini-jupe remontait à chacun de ses pas et son débardeur la serrait beaucoup trop. Elle n'était vraiment pas de bonne humeur. Pour le moment, elle s'occupait de servir les clients. Ces derniers la mataient sans gêne mettant à rude épreuve les nerfs de la jeune femme. Soudain, Naruto apparut dans le bar. Il chercha Sayori du regard et quand il la reconnut, il ne put s'empêcher de rougir. Il se maintint le nez craignant un saignement imminent. Il alla s'installer comme si de rien n'était et commanda en évitant les yeux gris foudroyants de la serveuse. Sasuke arriva alors. Il se figea un instant. Il se reprit rapidement et s'assit avec le blond. Il jeta un coup d’œil à sa colocataire.
Ses longues jambes fines étaient vraiment mises en valeur avec la jupe. Elle portait des talons hauts qui la rendaient encore plus impressionnante, terrible. Sa poitrine ne débordait pas du tee-shirt mais attirait également le regard. Ses longs cheveux ébènes libérés, ils flottaient autour d'elle à chacun de ses mouvements. Son visage, cependant, malgré sa beauté incontestable, dégageait des envies de meurtre. Mais les hommes ne s'en plaignaient pas puisqu'ils étaient plus concentrés sur le reste de son corps gracieux.
Sasuke reprochait l'insistance de certains. Naruto pencha la tête tout en jouant avec son verre.

- Pas trop dur de voir tous ces mecs qui la draguent ? demanda ce dernier.
- De quoi tu parles encore ?
- Tu comptes nier combien de temps votre relation ?
- On est amis, rien de plus.
- Mais tu aimerais plus.

Sasuke l'ignora. Ils devaient continuer leur mission. Plus vite terminée, plus vite il pourrait être seul avec Sayori. Il se secoua intérieurement. Quel idiot. Il fit alors le signal à Naruto. Ils devaient prendre en otage Sayori. Elle revint les débarrasser et se laissa faire quand Naruto l'empoigna, lui mettant un kunai sous la gorge. Sasuke se leva et cria :

- Que personne ne bouge ici. Nous voulons juste votre argent.

A peine sa phrase achevée, un groupe de six hommes l’assomma avec Naruto .


Sasuke cligna des yeux, se réveillant. Il tenta de bouger mais des cordes l'enserraient. A ses côtés se trouvaient Neji, encore dans les bras de Morphée. Le plan avait échoué, lamentablement. L'Uchiwa réfléchit à toute vitesse à une solution. La pièce où il était enfermé contenait un grand lit. Cet unique meuble l'inquiétait.
Une porte coulissa brusquement. Le gérant du bar entra avec ses acolytes, ces derniers tenant Sayori et Naruto. Sasuke détourna les yeux. Sa colocataire était droguée et à demie-nue, sûrement déshabillée par les pervers qui la détenaient. Elle se fit jeter sur le lit avec Naruto.
- Je déteste qu'on me prenne pour une truffe, déclara le chef de la bande.

Sasuke fusilla du regard l'homme. Le mac continua tout en l'ignorant.
- C'est dommage. Cette fille était bien jolie.

Des ricanements fusèrent.
- Alors je vais quand même l'utiliser. Ce lit est juste en face d'une vitre sans teint. Mes clients ont payé cher pour voir cette belle brune faire des choses coquines à quelqu'un. Mais tu sais ce qui leur plaît le plus ?

Sasuke ne répondit toujours pas en craignant le pire.
- Ce qu'ils adorent, c'est le viol. Quand la femme n'a pas envie. C'est bizarre, je l'admets... Mais ça rapporte gros.

Le mac claqua des doigts. Ses hommes attrapèrent Sayori par les cheveux pour l'obliger à s'allonger sur le dos, face à un Naruto désemparé. Deux autres hommes menacèrent Sasuke et Neji avec une épée. Sasuke analysa la situation. Sayori avait une flèche pointé sur elle, ainsi que Naruto. Neji, lui, n'était toujours pas réveillé. Il ne savait pas quoi faire sans sacrifier un des membres de l'équipe. Le gérant s'approcha de Naruto.
- Maintenant, embrasses-la. Après, tu la baises.

Naruto secoua la tête. Il ne pouvait pas.
- Si tu ne le fais pas, je tue tes deux copains, puis elle, puis toi.

Le blond observa son équipe, cherchant de l'aide. Sayori était encore sous sédatifs, ce qui l'empêchait de se rendre vraiment compte de sa situation. Le mac s'impatienta.
- DEPECHES-TOI !

Naruto commença alors à s'exécuter. Il ne voyait pas d'autres moyens pour le moment. Il retira son tee-shirt. Il prit le corps de Sayori dans ses bras pour l'asseoir, plaça ses deux jambes autour de lui. Il détestait ce qu'il faisait. La brune ne le dégoûtait pas, loin de là, mais à cet instant il aurait souhaité qu'elle soit laide. Moche pour qu'il n'ait pas au fond de lui un plaisir à la tenir ainsi, dans ses bras. Il se dirigea vers son cou, y déposa un léger baiser. Sayori frémit légèrement. Quant à Sasuke, il sentait la haine monter en lui. Il devait agir rapidement. Naruto continua jusqu'au moment où il arriva sur ses lèvres. Il hésita.
- Arrêtes de te retenir. Les clients veulent de la violence.

Le gérant croisait les bras, un œil critique. Il mima le geste de trancher la gorge puis désigna Sasuke et Neji. Le blond obéit, posa ses lèvres sur celles de la brune. Il la pressa contre lui et il sentit alors un signe de résistance. Mais avant tout, il sentit une chaleur inhabituel dans son ventre. Le symbole du scellement du Renard à neuf queues brillait. Son démon était attiré. Sayori reprit alors ses esprits. Jûubi l'avait réveillé, dû à la proximité du démon renard. Elle comprit alors très vite. Elle se débarrassa des hommes avec Sasuke, qui avait réussi à éliminer ceux avec les épées. Ils embarquèrent Neji, suivit de Naruto. Sayori décida de mettre le feu au bâtiment. Le gérant était enfermé à l'intérieur, ce qui ne la gêna pas le moins du monde. Naruto remarqua :
- Nous devions le ramener au village.

Elle se tourna vers lui, le visage fermé et effrayant.
- Tu as l'impression que cette mission est une réussite ? Ce plan était minable. Alors quitte à échouer, autant tuer cette ordure.

Naruto ouvrit la bouche, la referma. La brune ajouta :
- Mais si tu as envie de le sauver, vas-y.

Il partit alors le récupérer. Neji reprit ses esprits une demie-heure plus tard. L'équipe retourna au village dans une ambiance glaciale. Personne ne voulait parler de ce qui s'était passé.
Tsunade ne posa pas trop de questions, comprenant qu'il valait mieux éviter le sujet.


Quelques jours passèrent. Sayori avait discuté avec Naruto, tout s'était plus ou moins arrangé. Elle savait pertinemment qu'il serait le premier à se battre (et donc le premier à tomber) quand elle attaquerait Konoha. Mais une tension subsistait entre elle et Sasuke. Ce dernier ne lui adressait presque plus la parole. Elle ne comprenait. Ainsi, elle le coinça dans le salon pour l'interroger.
- Sasuke, je peux savoir pourquoi tu m'ignores à moitié ?

Il haussa les sourcils puis les épaules.
- Qu'est-ce que ça peut bien te faire ?
- Tu es mon coéquipier pour le moment, alors expliques-toi.
- Naruto aussi, c'est ton coéquipier. Va le voir lui si tu n'es pas contente.
- Qu'est-ce que Naruto vient faire dans cette discussion ?
- …

Elle s'assit dans le canapé, à ses côtés.
- Ecoutes-moi. Bientôt, Konoha aura terminé sa reconstruction. Nous pourrons alors attaquer.
- Parce que tu en as toujours envie ? Tu ne veux pas continuer ta vie ici ?
- Bien sûr que non !
- On dirait pourtant.

Il regarda ailleurs. Cette attitude blessa Sayori. Elle n'aimait pas quand il agissait ainsi, comme si elle n'était qu'une ninja ordinaire. Elle toussa, essuya rapidement le sang qui s'échappait de ses lèvres. Elle baissa la tête.
- Pourquoi tu penses ça de moi ?..

L'Uchiwa se tourna vers elle, surpris de sa voix triste. Il fit la moue.
- C'est ce que tu démontres. Tu pardonnes à Naruto ce qu'il t'a fait.
- Je pourrais le tuer plus tard. Et puis, ce n'était qu'un baiser. Relativises.
- Non.
- …

Elle ne comprenait pas. Il plongea son regard dans le sien.
- Il est à égalité avec moi, dorénavant, dit Sasuke.
- Quoi ?
- Quand moi je t'ai embrassé, j'ai eu le droit à tout un cinéma. Alors que lui, rien.
- Tu rigoles ? Je n'ai presque rien dit. C'est toi qui t'es pris la tête.
- Tu te trompes.
- Parler de suite de mariage, ce n'est pas se prendre la tête ?
- Je t'ai déjà tout expliqué.

Ils se toisèrent silencieusement. Sasuke soupira.
- Si je veux me marier avec toi, c'est avant tout pour donner plus d'importance au clan. Ta présence en tant qu'Uchiwa lui donne plus d'éclat, c'est une évidence. De plus, il s'agissait d'un souhait des mes parents, alors je suis sûr qu'ils en seraient heureux.

Sayori le fixa avec intensité.
- Sayori... Tu m'as toujours dit que tu n'aimais pas ta famille, que ton clan n'était rien. Je te donne la possibilité de faire partie du mien.
- …
- Et ce n'est pas parce que nous serons mariés que nous devrons mener une vie de couple. Ce mariage ne t'enchaînera pas, loin de là. Même si...

Il hésita. Sayori demanda :
- Même si ?
- Même si... Je serais heureux de me marier avec toi. Tu es sûrement la femme qui me conviendrait le plus dans ce monde.

Sayori ne dit rien. Elle se leva et avant de disparaître ajouta :
- Je vais réfléchir.

***


Le soleil resplendissait dans le ciel de Konoha, obligeant la population à se cacher dans les magasins climatisés. Les ruelles ombragées se remplissaient, désirées pour leur fraîcheur. Les enfants s'amusaient, couraient. Un jeune homme se promenait, attendant la nuit. Il arborait un air las et un regard triste. Sasuke n'aimait plus être seul depuis sa rencontre avec Sayori.

***

Un lampadaire rouillé clignotait, attirant tous les insectes des environs. Une ombre passa rapidement. Elle se dirigeait vers un garçon assis sur un banc. Sayori retira son capuchon une fois aux côtés de Sasuke. Elle allait lui donner sa réponse définitive. Sasuke la dévisagea sans gêne. L'obscurité assombrissait son visage, accentuant malgré tout sa beauté. Avant qu'il n'ouvre la bouche, elle prit la parole.
- Sasuke, il faut que tu saches une chose. J'ai des objectifs, et rien ni personne ne m'empêchera ne les atteindre.

Il la laissa continuer, silencieux.
- Tu sais... Tout le monde cherche son but, la raison de sa présence sur cette Terre. La plupart abandonne leur rêve à l'âge adulte, pour rentrer dans le moule : s'ensuit alors la fondation de leur propre foyer. Vivre et mourir heureux, voilà leur seul et unique but, peu importe leurs anciens rêves. Il faut bien se l'avouer, Sasuke... Essayer de réaliser ses rêves engendrent à coup sûr du malheur, alors presque personne n'ose se lancer. Il faut donc plus que de la volonté pour y parvenir : accepter la douleur pour mieux apprécier le plaisir d'avoir gagné. Alors, je ne veux pas renoncer à mes rêves. Je ne veux pas finir comme le voudrait les autres, les mœurs.
- Je ne le veux pas non plus. Tes rêves sont les tiens et je t'aiderais à les réaliser s'ils correspondent aux miens.

Sayori se perdit dans ses pensées. Sa réponse lui convenait.
- J'accepte.
- …
- J'accepte ta demande en mariage. Mais cela devra être fait rapidement, sans chichi.
- J'en suis heureux.

Elle se retourna vers lui. Il souriait. Légèrement, mais un sourire se dessinait sur ses lèvres. Elle se leva et partit. Elle devait se reposer. En sautant dans un arbre, elle laissa tomber un mouchoir emplis de sang. Jûubi se réveillait.



Alors ??? Qu'en pensez-vous ? Donnez votre avis, j'en serais très heureux :)

Que vos vacances se terminent bien, et à bientôt pour le chapitre quatoooooooooorze (youhou)

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