Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Je veux te voir à genoux

Etudier à l’université de Konoha, un rêve qui vient de se réaliser pour la jeune Temari. Malgré quelques évènements inquiétants, tout va pour le mieux. Jusqu’à ce qu’une de ses amies en soit la victime. Aidée de Shikamaru, elle décide de découvrir à tous prix ce qui peut bien se passer dans cette maudite fac…
Classé: -16D | Spoil | Action/Aventure / Romance / Suspens | Mots: 10211 | Comments: 16 | Favs: 19
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starmornielna (Féminin), le 15/01/2012
Bonsoir les gens ^^

Bonne année à tous ! Pour ceux qui ont eu des partiels, j'espère que ça s'est bien passé, et puis ben que vous teniez vos résolutions. Pendant ces vacances, j'ai découvert un nouveau manga : 20th Century Boys. Je vous le conseille, c'est absolument génial. Bien-sûr, ce n'est pas récent, mais je ne connaissais pas, j'suis sur le cul quant à la compléxité du scénario, ce type est un génie ! C'est le même qui a fait le manga Monster ^^

Enfin... tout cela n'a aucun rapport avec ma fiction dont voici le premier chapitre. Il ne se passe pas grand chose, mais c'est tout de même important pour la suite ^^ Faut bien commencer quelque part. Sur ce, je vous dis bonne lecture !




Chapitre 2: Je découvre.



« Ca t’arrive souvent de faire entrer chez toi les inconnus qui te gueulent dessus pour leur proposer une partie de jeu-vidéo ? » Temari



Sous mes yeux, à travers le pare-brise pourri de ma voiture, je découvrais Konoha, ma nouvelle maison pour au moins deux ans. Et c’était très étrange. Tout était vert, ou coloré, avec de grands arbres aux fleurs roses, que je ne connaissais absolument pas, dont les pétales se décrochaient des branches et voletaient un peu partout avant de s’échouer sur le sol qui en était déjà recouvert. L’horizon semblait être étendu à l’infini, parsemé de grandes forêts claires et de lacs argentés. C’était si différent de chez moi. A Suna, le paysage n’était que dunes et sable. Rares étaient les coins de verdures. La ville était entourée de remparts immenses afin de se protéger des tempêtes qui pouvaient faire des ravages. L’air était sec et brulant, agressant nos poumons avec le sable qu’il transportait. Vers l’heure de midi, seuls les fous osaient encore se balader dans les rues, car il faisait tellement chaud que rester chez soi était une évidence. Les commerces reprenaient le plus souvent en fin d’après-midi où c’était beaucoup plus supportable. J’aimais beaucoup, enfant, monter sur les remparts au lever du jour et regarder les dunes onduler comme un océan jaune étendu à mes pieds. Et le soleil, qui se levait au loin, baignait le désert d’une aurore orangée, dans mes yeux d’enfant j’avais l’impression que des vagues de magie pure inondaient mon monde.

Je soupirai, tout ça allait me manquer, marcher dans les rues ensablées, le soleil cognant ma nuque brulée, l’odeur du thé mentholé de Yashamaru. Tout ce vert me foutait déjà la nausée. Pourtant, j’espérai réellement me plaire ici, j’avais tellement dû insister pour convaincre ma famille que j’étais sérieuse et que tout allait bien se passer !

J’avais deux frères plus jeunes que moi, un père, et un oncle aussi. Ma mère était décédée à la naissance de mon plus jeune frère, quand j’avais dix ans, d’une hémorragie interne.

Elle était belle ma mère, toute en douceur, dorée. Ses cheveux blonds cascadaient sur sa peau halée, abimée par le soleil. Quand elle riait, des rides entouraient ses yeux marron, elle en était d’autant plus belle. Sa mort fut dure mais nous nous en sortîmes quand même bien. Mon père était souvent très occupé avec son travail, il faisait de son mieux pour être présent mais élever seul trois gamins dont un bébé était bien trop dur. Alors notre oncle Yashamaru, frère de ma mère, était venu vivre à plein temps chez nous. Il nous avait élevés comme les enfants qu’il n’aurait jamais. Gay jusqu’au bout des ongles, rien n’était plus hilarant pour moi et mes frères que de le voir admirer sa manucure devant un quelconque livreur et l’appeler naturellement « chéri ».

La vie se déroulait ainsi, ponctuées par les excentricités de mon oncle. Si au début ça ne me dérangeait pas plus que ça, vivre au milieu d’hommes à l’adolescence n’avait pas été très facile. J’avais dû forger mon caractère et apprendre à m’imposer, sans doute un peu trop car beaucoup me reprochait d’être trop dure et peu féminine.

Ce fut une des raisons de mon départ, je voulais changer d’air non pas parce que je n’aimais pas ma famille ou ma ville, mais pour m’accomplir enfin. Je ressentais un besoin irrésistible de changement, l’impression qu’il me manquait quelque chose que je ne trouverais que si je partais. En plus d’être la ville la plus proche de chez moi, Konoha était juste l’opposée de ce que je connaissais, ce qui avait achevé de me convaincre. J’avais décidé de faire mes études là-bas. Convaincre mon père n’avait pas été facile, surtout que même mon oncle qui me soutenait toujours n’était pas de mon côté cette fois-là. Mais j’avais été implacable, assenant argument sur argument, les laissant au pied du mur. Ils n’avaient plus eu aucune raison de refuser. Le fait qu’une tante par alliance y vive, au cas-où j’aurais des ennuis, les avait rassurés. J’avais travaillé l’été, rempli les papiers d’inscription pour la fac et le logement. Et j’étais enfin partie aujourd’hui, oscillant entre excitation et angoisse.

Je pénétrai dans le centre ville sous les coups de dix-sept heures. A l’aide du plan que j’avais intelligemment imprimé avant de partir ce matin, je pus facilement me repérer dans la ville. Les rues pavées du centre étaient interdites aux véhicules, ce qui aurait dû me poser problème, mais en étudiant bien la ville, j’avais remarqué que l’entrée de la faculté était située dans une rue à sens unique, praticable en voiture. Je bénis mon père, lorsque je dus l’emprunter, de m’avoir offert une petite voiture plutôt que le gros 4x4 encombrant que je voulais au départ. C’était plutôt difficile d’y passer sans arracher un ou deux rétroviseurs, sans parler d’atteindre l’entrée de la fac. Concentrée, je ne fis pas attention à ce qui m’entourait avant d’être sortie de la voiture. La petite entrée de merde que je venais de franchir débouchait sur un grand parking entouré d’arbre. Devant se trouvait un gigantesque bâtiment de pierres jaunies, immense, à plusieurs étages, collé au loin à une sorte de parc où je pouvais apercevoir des silhouettes marcher.

Je décidai de trouver quelqu’un pour me guider avant de sortir ma valise et mes quelques cartons. J’entrai alors dans le bâtiment pour me trouver au milieu d’un... énorme rassemblement de gens. Autant dehors le calme et la tranquillité étaient maîtres, autant ici j’avais l’impression que le niveau sonore avait été enclenché d’un coup. Les gens étaient quasiment collés entre eux, se bousculant en essayant de passer pour aller je sais où, une sandwicherie dans un coin faisait face à une queue énorme. C’était flippant… et cool aussi.
Je réussis à me faufiler entre la foule et je repérai une sorte de bureau d’accueil général qui saurait sans doute me renseigner. La responsable semblait complètement noyée dans une mare de formulaires en tout genre. Ses cheveux, sans doute soigneusement tirés en arrière au début de la journée, n’étaient plus qu’un gros tas entremêlés.

« Excusez-moi, je viens d’arriver et je cherche les logements…

« C’est facile, me coupa-t-elle enthousiaste, vous revenez sur le parking et c’est juste à gauche, un bâtiment rouge.

-Oh…

- Je ne sais même pas comment vous avez fait pour ne pas le remarquer en arrivant. Enfin, j’ai du travail moi, il y a tellement de gens comme vous qui veulent des renseignements stupides ! Alors qu’il suffit juste d’ouvrir les yeux. Je ne dis pas ça pour vous hein, vous comprenez, c’est juste que c’est une telle dépense d’énergie inutile qui pourrait être consacrée à autre chose comme éviter de se tromper en prélevant les frais d’inscription. L’an dernier c’est mille euros qui ont été prélevés par erreur...»

Je souris poliment, assez perplexe devant le monologue de cette femme qui semblait un peu folle, et reculai doucement. La femme n’y prêta guère d’attention et continua de parler toute seule. Je retins un sourire et retournai à ma voiture. L’année commençait bien, fallait quand même que je pense à vérifier mon compte. Parce que bon… s’ils se trompaient souvent je ne voudrais pas avoir de mauvaises surprises.

De retour sur le parking, je constatai qu’en effet j’avais besoin de lunette. Enfin, aussi il y avait des arbres qui le cachaient, si on ne regardait pas bien on pouvait ne pas le voir… qui j’essayais de convaincre là ? Le bâtiment était rouge et imposant, il devait faire au moins cinq étages !

Je soufflai avant d’y aller. J’étais assez excitée, j’allais enfin voir ce qui serait mon chez moi durant au moins les deux prochaines années. Je me doutais que ça allait être tout petit, et sans doute pas très insonorisé, mais ce n’est pas grave j’irai gueuler. Puis c’était la vie étudiante, il me tardait d’en être immergée, de faire partie de tout ce système.

A l’intérieur, je déboulai dans un grand hall. Deux ascenseurs me faisaient face, menant sans aucun doute aux chambres, alors qu’à ma droite une double porte vitrée donnait sur un réfectoire. Les murs avaient été peints en vert pâle avec une bordure rose, ce qui était tout bonnement affreux. Contrairement à l’accueil de la fac, il n’y avait pas grand monde ici. A ma droite se tenaient les locaux administratifs ainsi qu’un bureau d’accueil. La personne derrière le comptoir semblait beaucoup plus sereine, ses cheveux blonds étaient parfaitement lissés et tombaient élégamment sur ses fines épaules recouvertes d’un tailleur ouvert sur sa plantureuse poitrine, à première vue hors de prix. J’essayai d’ignorer le malaise que je ressentais alors que je ne pouvais pas m’empêcher de nous comparer.

Je toussai discrètement pour attirer son attention. Lorsqu’elle releva la tête, ses yeux bleus aciers me transpercèrent. J’avalai ma salive, clairement mal à l’aise. Ce n’était pas du tout mon genre de me sentir aussi misérable devant quelqu’un, surtout qu’elle n’avait rien fait. Mais en plus d’être parfaite, alors que j’étais totalement négligée, elle dégageait quelque chose de très intimidant, comme une sorte d’aura qui me forçait à me sentir inférieure. Je me haïssais d’être comme ça. Si elle l’avait remarqué, elle n’en montra rien, se contentant de me sourire aimablement avant de me demander mon nom.

« Temari… Temari No Sabaku.

-Ah oui, vous êtes inscrite en première année de Lettres Modernes c’est bien ça ?

-Oui. »

Je la regardai fouiller dans ses papiers parfaitement rangés alors que sa fine fragrance emplissait l’espace. Elle me donna une enveloppe avec deux trousseaux de clé, ma carte pour le réfectoire, des plans des lieux, un guide de « survie de l’étudiant », le règlement des locaux, les activités proposées par la fac et ma carte de bibliothèque.

« Voilà, vous logez tout au fond du couloir à droite de l’ascenseur, numéro 250. Quant aux papiers d’inscription pour les activités, vous devez nous les remettre lundi. Lisez-les bien. Si vous avez besoin de quoique ce soit n’hésitez pas à venir nous voir, termina-t-elle avec un sourire scintillant.

-Euh bien, merci. »

Je m’enfuis presque en courant, me morigénant contre ma stupidité. Quand j’aurai dormi, ça irait sans doute mieux. Je retournai dans ma voiture prendre mes affaires.

L’intérieur de ma chambre était plus spacieux que ce à quoi je m’attendais. Me faisant face, un bureau en bois clair était installé sous la fenêtre qui faisait tout le mur. Les rideaux rouges qui l’ornaient semblaient lourds. A gauche j’avais un lit convertible en canapé, entouré de deux étagères. J’avais aussi un grand placard mural dans l’entrée, ainsi qu’une petite table grise, deux chaises en plastique et une table basse. Une petite porte sur ma droite devait être la salle de bain. C’était simple mais parfait. De meilleure humeur, je commençai à m’installer.

En branchant mon PC, je remarquai qu’il était déjà dix-huit heures trente. Moi qui voulais faire une balade c’était mort. J’étais fatiguée en plus, et puis je devais appeler ma famille qui devait être morte d’inquiétude à l’heure qu’il était. Chose que je m’empressai de faire immédiatement avant d’oublier encore.

« Ma princesse ! S’exclama mon oncle tellement fort que je dus éloigner l’appareil de mon oreille, si tu savais le sans d’encre que je me suis fait ! Comment ça se fait que tu appelles si tard ? Il t’est arrivé quelque chose ? Tu…

-Du calme, soupirai-je, je suis désolée de n’appeler que maintenant mais, et bien je visitais tu vois… alors, bafouillai-je embarrassée, j’ai un petit peu oublié. »

Le rire de mon oncle raisonna à mes tympans, je dus une fois de plus reculer le téléphone, il allait me rendre sourd.

« Qui y a-t-il de drôle ? M’étonnai-je.

-Je ris de ma bêtise ma chérie, je suis vraiment une petite chose effrayée tu ne crois pas ?

-Et bien…

-Pure question rhétorique, me coupa-t-il alors que je soupirai d’exaspération, raconte-moi plutôt comment c’est là-bas.

-C’est… différent, ris-je.

-Tu m’étonnes !

-Tu verrais, rien à voir avec Suna, j’ai l’impression de m’être enfermée dans la serre botanique du père Adib, tout est…

-Vert ?

-Ouais, confirmai-je, et floral. Mais sinon c’est joli hein, je t’enverrai des photos.

-Et ta fac ? Me demanda-t-il.

-Là je suis dans ma chambre et c’est franchement pas mal, après j’ai pas eu le temps de visiter donc je peux juste te dire que ça a l’air grand.

-Je me doute ! J’espère que tu vas te plaire chérie. On se fait du souci pour toi à la maison.

-Yashamaru !

-Bon ok, concéda-t-il, je me fais du soucis.

-T’as pas de raison, le rassurai-je même si je savais que je n’y parviendrai pas entièrement, je suis vraiment très bien ! Et puis quand les cours vont commencer, je vais rencontrer des gens et je ne serai plus seule.

-Je sais bien chérie…

-T’inquiète ! Insistai-je en rigolant, manquerait plus qu’il se mette à pleurer.

-Tu veux parler un peu à tes frères ?

-Euh… non c’est bon. Passe-leur le bonjour, ajoutai-je alors qu’il riait.

-Allez princesse, je te laisse, tes ogres de frangins ont faim. On t’embrasse tous ici, et donne-moi souvent des nouvelles, ton vieil oncle a la peau fragile, c’est pas bon pour les rides le soucis tu sais. »

Je souris et raccrochai non sans l’avoir embrassé une dernière fois. Je fixai l’écran de mon portable. Je me sentais étrangement nostalgique, ça nouait mes entrailles et me piquait les yeux. J’imaginais parfaitement, comme lorsque j’étais encore là-bas, le dîner qu’ils allaient faire. Mon oncle aurait cuisiné un super plat « sain et équilibré », qui allait faire râler mes frères. Surtout Kankurô, parce que Gaara ne ferait que froncer les sourcils, appuyant les dires de son ainé. Evidemment, malgré ce qu’ils pourraient bien dire, ils se resserviraient, comme à chaque fois. Puis ils se raconteraient leur journée, ou bien il parlerait de moi… Ils me manquaient terriblement. Je me sentais quand même seule là, dans ma petite chambre. Qui sentait bizarre d’ailleurs. Je grimaçai. Tout à l’heure, l’odeur n’y était pas… on aurait dit… Comme… de la fumée de cigarette. Mais je ne fumais pas. Je tournai sur moi-même pour trouver la source mais rien. Sauf que là, ça devenait légèrement irrespirable, puis toutes mes affaires allaient sentir. Merde ! Je n’avais vraiment pas l’intention de me tuer les poumons à cause d’un autre, ni puer la clope. Je n’avais qu’un voisin, ça ne pouvait être que lui. Remontée, je sortis en trombes dans le couloir et allai frapper frénétiquement à sa porte. Qui s’ouvrit brutalement sur un garçon plutôt grand, brun, l’air nonchalant, l’objet du crime aux lèvres.

« Salut.

-Salut, répondis-je bêtement.

-Oui, qu’est-ce que tu veux ? S‘impatienta-t-il pile au moment où j’allai parler, chose qui ne fit qu’augmenter ma rage.

-Tu… tu enfumes mon appartement, m’énervai-je en gesticulant, c’est juste irrespirable ! Ouvre ta fenêtre au moins ! Le tabagisme passif, tu connais ? »

Il me regarda, choqué, avant qu’un petit sourire orne ses lèvres.

« Viens, m’ordonna-t-il. »

Complètement surprise je le suivis bêtement. A quoi cela servait-il que j’entre chez lui ? Il avait juste à éteindre sa clope et ouvrir sa fenêtre. Ce type était étrange. Je fermai derrière moi alors qu’il ouvrait sa fenêtre. Bien, au moins il m’avait écouté. Je n’étais pas passé pour une barge pour rien.

J’observai sa chambre alors qu’il se vautrait sur son lit. Elle était comme la mienne, sauf que lui avait mis un petit écran plat sur sa table qu’il avait poussée en face de son lit. C’était étonnement bien rangé pour l’apparence qu’il affichait. Avec son vieux jean trop grand qui glissait sans arrêt de ses hanches, son vieux tee-shirt de groupe de rock, ses cheveux bruns relevés en queue de cheval au dessus de sa tête et ses anneaux en argent aux oreilles, c’était détonant.

Il se tourna vers moi, me tendant une manette.

« Tu joues ? »

De plus en plus surprise, je lui pris machinalement la manette des mains et le rejoignit sur le canapé. Je trouvais la situation assez insolite.

« Ca t’arrive souvent de faire entrer chez toi les inconnus qui te gueulent dessus pour leur proposer une partie de jeu-vidéo ? Ne pus-je m’empêcher de lui demander après un instant de silence.

-Jamais, sourit-il malicieusement, mais j’étais justement à la recherche d’un coop’ pour le trophée que je veux débloquer et t’es tombée à pic je dirais. »

J’haussai un sourcil, il était complètement décontracté, me parlant avec assurance. J’avais même l’impression qu’il se moquait un peu de moi aussi. Mais bon, peut-être que je me faisais des idées aussi, et qu’à Konoha, réagir comme il l’avait fait été dans la norme des choses.

« Temari, annonçai-je brusquement.

-Pardon ?

-Mon prénom, je m’appelle Temari crétin, et j’suis ta voisine.

-Ah ! Bah moi c’est Shikamaru. T’es prête, ajouta-t-il alors qu’il lançait la partie. »

J’acquiesçai et sourit. L’année commençait bien, la journée n’était pas encore finie et j’avais déjà rencontré quelqu’un, spécial certes, mais qui avait l’air sympa dans le genre taré.




Comme d'habitude, n'hésitez pas à me laisser un petit message de votre passage... Comment avez-vous trouvé le chapitre ? J'espère que ça vous a plu ^^

Je ne donne pas de date pour la suite, vous savez très bien que je suis atteinte de procrastination aigûe, qu'en plus je fais plein de trucs en même temps, du coup je respecte jamais rien. Merci d'ailleurs d'être compréhensif avec ça ^^

Merci de m'avoir lue et à bientôt <33




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