Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: The Last Jinchuriki

Un jinchuriki un peu "spé"... Un clan de malades mentaux férus de guerre et baston en tout genre... Un démon à queue curieux, feignant, et glandeur... Entre la connerie omniprésente parmi les personnages, et leur amitié tout aussi riche en connerie, fail, et idioties en tout genre, ces derniers vont vivres quelques péripéties qui vont, pour certains, changer complètement leur caractère... Les couples seront définis au long de la fiction, et rating -16D pour les passages violents. Enjoy!
Classé: -16D | Spoil | Général / Action/Aventure | Mots: 38560 | Comments: 22 | Favs: 34
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Kenryuu (Masculin), le 21/10/2011
C'est ma premiere fic mais soyez francs dans vos coms. Pour les crédits: Takami et Kitsuke sont à moi, tous les autres sont à Masashi.



Chapitre 1: Chapitre 1: Rencontre



Dans le village caché de Konoha, deux garçons regardaient le vide, pensant la même chose. Au même moment, à Suna, un autre garçon aux cheveux roux se posait la même question qu’eux, qui était :

" Mais pourquoi ... pourquoi j'existe ? "

Sur cette question existentielle et très philosophique, ils rentrèrent chez eux pour se coucher.
Trois ans plus tard.
Un enfant se leva difficilement pestant contre son réveil :

- C'est qui l'en***** qui a inventé le réveil que je lui fasse bouffer, s'énerva-t-il.

Il alla jusqu'a son miroir se regarda dedans ; il avait des cheveux couleur jais lui arrivant à la nuque, il mesurait 1m26, mais ses yeux étaient ce qu'il y avait de plus étrange : il avait une couleur oscillant entre le noir et le jaune et était assez musclé du fait des multiples appareils qu'il utilisait pour s'entrainer, aussi bien pour la musculation que des cibles à kunais ou shurikens. Il alla s’habiller, affectionnant les habits noirs, il prit, comme à son habitude un ensemble noir (pour les commères de Konoha il a une armoire complète d'habits identiques) et enfin il se retourna sur lui même et son regard tomba sur son épée : elle mesurait un peu moins d'un mètre et la lame avait un design assez particulier ; elle était noire et des rayures rouges la parcouraient de manière aléatoire. Il y tenait beaucoup , c'était le Sandaime qui le lui avait offert en lui disant que c'était un héritage de ses parents et qu'elle pourrait lui porter chance, avait-il dit en regardant le village . Il avait pris congé en le remerciant. Il respectait vraiment cet homme.

Il resta à sa contemplation un moment, avant de la remettre dans son fourreau, il sortit de sa "maison" qui était en fait un repère aménagé sous les têtes des Hokage. Il avait 8 ans et allait commencer l'académie. Comme d'habitude les gens lui lançaient des regards haineux, plus que d'habitude aujourd'hui, nota-t-il, ou bien changeaient de trottoirs en le voyant, sans doute parce qu'il rentrait à l'académie. Il ricana à cette idée, se permit de faire un sourire qui les narguait et qui voulait dire "Ca vous étonne, bande d’enfoirés ?"
A mi-chemin, il vit dans une ruelle un garçon blond aux yeux bleus se faire tabasser par 3 jeunes de leur âge (8 ans).

-Alors démon, demanda l'un deux, il parait que tu vas aller à l'académie ?
-Tu devrais rentrer chez toi, ce sera trop difficile pour toi, lui recommanda le deuxième.
-Et puis avec ta sale odeur tu vas nous polluer l'atmosphère, renchérit le troisième.
-Serais-je en train de vous déranger, puis en pensée : "bande de connards», siffla-t-il , il ne supportait pas ce genre de scène; vous voulez que je vous aide peut-être ?

Dans un accord parfait, ils se retournèrent et LE virent, Le second démon du village. Il dégaina son katana.

-A... Attends, tenta de parlementer le premier.
-Mauvaise réponse, dit-il d'un regard que celui des villageois ne pourrait jamais atteindre question haine. Il planta le katana dans son épaule droite qui rentra dans la chair comme dans du beurre puis, d'un coup sec abaissa la lame jusqu'à atteindre une côte puis la retira. Le garçon s'effondra en gémissant de douleur.

-Douillet comme pas deux, en plus, marmonna-t-il dans sa barbe.

Il répéta cette opération avec les deux autres puis il arriva au niveau du blond, dans un sale état.

-Aide-moi, supplia-t-il.

Il lui tendit une main, que le blondinet attrapa.

-Merci, souffla-t-il en se relevant.
-De rien, fit-il, il faut t'amener à l'hôpital.
-J'ai mal, se plaignit-il.
-Attends. Il prit son bras blessé et le fit passer dans son dos, de manière à le soutenir. C’est bon, reprit-il. On peut y aller. Et avant que j'oublie, quel est ton nom ?
-Naruto Uzumaki, sourit-il, et toi ?
-Kitsuke no ryuu. Enchanté.
-De même.

Kitsuke se rendit d'abord au bureau du Hokage, histoire de l'avertir, mais surtout qu'il savait que l'hôpital ne s'occuperait pas de lui sans ordre direct du Sandaime. Finalement, en ce moment, il apprécia que les gens changent de trottoir en le voyant. A chaque fois que quelqu’un lui barrait la route, il lui lançait un regard disant "Je passe ou tu trépasses, c'est clair ?".Naruto s'évanouit.
-« Il m'aide pas, pensa Kitsuke. »

Après avoir fait passer une bonne dizaine de Chûnin par les différentes vitres, il arriva dans son bureau. Il avait les yeux dans des documents, il avait senti leurs présence, il allait leurs demander ce qu'ils faisaient là, mais Kitsuke le devança.

-Jii-sama, il leva les yeux.

Il obtempéra et quand il l'état de Naruto il écarquilla les yeux :

-Tu ne l'as pas amené à l'hôpital, Kitsuke ? demanda-t-il.
-Vu que nous sommes des monstres ou des démons, au choix d’ailleurs, lança ironiquement Kitsuke en accentuant les derniers mots, je ne pense que nous y ayons droits sans autorisation directe du Hokage.
-Pourquoi affirmes-tu cela ? répondit-il.
-Expérience personnelle, dit-il sombrement.

Silence de mort.

Le Sandaime appela quelqu'un pour amener Naruto à l'hôpital, Kitsuke le détailla : cheveux gris, masque lui recouvrant le bas du visage et son bandeau était de travers. Il prit Naruto. Avant de partir, Kitsuke s’approcha :

-S'il arrive quoi que ce soit à mon pote, jounin ou pas, je t'arrache la tête, t'as percuté l'épouvantail.
-C'est une menace ? demanda Kakashi.
-C'est une promesse, rectifia-t-il.
-Tu penses me battre ? Tu sais je peux TOUT faire, tu sais, le questionna Kakashi.
-Pour les mecs qui lisent "Le paradis du batifolage" je sais quoi faire.
-Hein ?

Il attrapa le bouquin sans que Kakashi puisse réagir. Il ouvrit le livre et regarda le début.

-Je ne sais pas qui est l'obsédé qui a écrit ce bouquin ni où il pêche son inspiration et je ne veux pas le savoir.

Il remarqua le regard blasé du Sandaime.

-Qu'y a-t-il ? demanda Kitsuke.
-Non rien, fit le Sandaime.

Puis il brula le livre d'un Katon.

-Nooooooooooooooooooonn, hurla Kakashi de désespoir en tombant à genoux. Il se releva et en sortit un autre.
"(Goutte) Il en a combien d’exemplaires ?" pensèrent Kitsuke et l'Hokage.

-Ah oui, si tu peux TOUT faire, reprit Kitsuke, viens à la place à 17h30, ou après les cours, t'as 10 mn pour arriver, pas une seconde de plus.
-Et je dois faire quoi, demanda Kakashi.
-Lis ton bouquin haut et fort, et en entier, si tu viens je me fais un devoir de t'écouter jusqu'au bout.

GROS BLANC

-Prévenez-moi pour l'état de Naruto, OK ? Et aussi j'ai laissé trois gosses dans la troisième ruelle parallèle à l'académie en partant de la droite. Ce sont eux qui ont tabassé Naruto.
-Tu en as fait quoi, soupira-t-il en redoutant la réponse.
-Je les ai un peu embrochés, sourit-il. Et oublie pas hein, lança-t-il à l'adresse de Kakashi. Et il partit vers l'académie content. La journée venait de commencer, il s'était fait un ami et avait pris son pied à dégommer ces inconscients.(Note: Kitsuke est sado sur les bords).Il partit vers l'académie le sourire aux lèvres malgré le fait que les villageois l'évitait comme la peste.

-Il me les fera toutes, murmura le Sandaime tandis que Kakashi amenait Naruto à l'hôpital.

Pendant ce temps, dans une grotte sombre...

-Alors ? demanda une personne portant un masque orange.
-Ce Jinchuuriki a foutu un bordel tout simplement hallucinant dans Konoha. J'ai perdu le compte du nombre de ses meurtres, répondit l'autre.
- Brave gamin, dit un homme à tête de requin, à ce rythme, y aura pas besoin de décimer Konoha, il va s'en charger à notre place.
-Je peux le manger ?
-Non tu te la fermes on en a besoin.
-Ah ? Dommage...
-Pff... Morfal, va.
-Bon, Kisame, Zetsu, taisez-vous un peu, répondit l'homme masqué, une goutte derrière la tête.

Kitsuke arrivait pile à l'heure à l'académie. Pendant qu’Iruka faisait le discours le Sandaime à ses côtés, trois jounins arrivèrent :

-Hokage-sama, ne sauriez-vous pas où sont nos enfants ? Cela fait des heures qu'on les cherche, demandèrent l'un deux.
Avant que l'Hokage ne puisse répondre, Kitsuke s'était avancé et prit la parole.

-Troisième ruelle parallèle sur la droite, déclara-t-il.
-Tu veux quoi sale dr....
-Excuse-le, dit le deuxième en le foudroyant du regard, comment tu sais qu’ils sont là-bas.
- C'est pas la peine de vous écorcher la gueule avec des politesses hypocrites, dit Kitsuke d'un ton plus qu'acide, pour vos gosses, j'les ai trouvés en train de tabasser Naruto qui est maintenant à l'hôpital. Il fut coupé par les cris des autres enfants, il s'approcha de l'oreille du jounin le plus malpoli envers lui et continua : dans la salle de soin intensive n°3.
Le Sandaime écarquilla les yeux en entendant à grande peine cette phrase, il faudra renforcer la sécurité à ce niveau, pensa-t-il.

-Et alors, bougonna le jounin.

Et Kitsuke sourit. Pas un sourire franc un sourire de triomphe. Tout en murmurant, il continua :

-J'avais raison, si Naruto et moi sommes des monstres ou des démons, vous, je ne veux même pas vous nommer tellement vous êtes écœurants. Le Sandaime bassa la tête, il avait entièrement raison.

Puis en mettant une distance respectable entre eux, il ajouta à voix haute, avec un sourire carnassier :

-Comme je sais que vous n'en avez pas assez là où je pense , je me suis permis de les punir comme il le fallait, histoire qu'ils s'endurcissent et ne soient pas aussi au ras des pâquerettes que vous.
-Tu leur a fait quoi, hurla un jounin.
-Ecoutez-moi, cria-t-il, vous voulez tous devenir des ninjas, non ?
-Oui, crièrent les enfants en chœur.
-Suivez-moi, dit il en se dirigeant vers la ruelle en question.
-Hors de question, hurlèrent presque Hiashi et Fugaku.

Kitsuke se plaça devant eux et siffla :

-Fugaku-dono et Hiashi-dono, vous voulez peut-être que je fasse aux autres clans un cours détaillé sur la méthode d'acquisition et d'utilisation du mangekyou sharingan -Itachi et Sasuke écarquillèrent les yeux de surprise et de curiosité- et du principe de fonctionnement de la Soke et de la Bunke, non ?

La tête de Hiashi et Fugaku était vraiment à mourir de rire, ils dirent dans une coordination parfaite :

-COMMENT ES-TU AU COURANT ?
-Je prends ca pour un non, au fait souriez-vous êtes filmés, dit-il en montrant une caméra dissimulée par un genjutsu tellement évident que personne n'y avait prêté attention puis il la rangea et dit aux aspirants : suivez-moi !

Tout le monde le suivit et quand il ramassa un corps d'un des trois enfants évanoui il le montra à tout le monde. Plusieurs rendirent leurs déjeuners sous l'œil amusé et sévère de Kitsuke. Il proclama :

-Si vous ne pouvez pas supporter ne serait-ce que sa vue, rentrez chialer chez vos mères, c'est clair ? Et avis aux amateurs.

Les jounin ramassèrent leurs gosses pour les amener illico presto :

-Mais t'es fou, hurla une jeune fille sous le regard choqué de sa mère.

Kitsuke éclata alors d'un rire près de la démence et se tourna vers Ino :

-Ca se voit que vous n'avez jamais participé à la fête du 10 octobre, est-ce que vos parents vous ont seulement expliqué ce qui se passe, à part toi, dit-il en se tournant vers Itachi :

-Je n'y participe pas, dit-il avec un regard réellement dégouté et écœuré.

Kitsuke hocha la tête en le scrutant :

-Tu es quelqu'un de bien.

Il bailla et dit :

Vous voyez la caverne sous les têtes des Hokage avec une porte.

Ils hochèrent la tête :

-Si vous avez des questions vous savez où me trouver.

La cérémonie d'entrée à l'académie se passa sans autre incident. De même pour les cours. En sortant des cours, il se dirigea vers l'hôpital, et après avoir menacé de tuer la réceptionniste, cela n'eut aucun effet, il la menaça donc de l'assommer et de l'enfermer dans une chambre close avec Jiraya dès qu'il rentrerait si elle ne lui donnait pas le numéro de chambre de Naruto, elle le lui donna tout de suite. Il se rendit donc vers sa chambre et le trouva réveillé dans son lit, regardant le ciel. Kitsuke toussa et il se tourna vers lui.

-Salut, fit simplement Naruto.
-Salut, répondit Kitsuke, alors tu sors quand ?
-Dans trois jours, dit-il.
-Eh ben, tu récupères vite.
-Tu m'étonnes. Mais j'ai l'habitude.
-Bon ; dit-il plus sérieusement, je vais aller m’entrainer ; quand tu seras sorti, pourrait-tu venir t'entrainer avec moi ?
-J'ai déjà vu un de tes entrainements, et c'est pas de la rigolade, mais pourquoi tu t'entraines autant ?
-Les villageois ?
-Je vois. Pour ta proposition, j'accepte.
-OK. Viens chez moi dès que possible. Il lui dit où il habitait. Il faut se préparer.
-Se préparer ? Mais pourquoi ?
-Pour CETTE "fête".
-Ah.
-Sur ce, je te laisse. J'ai un pervers à humilier.
-Tu le filmeras ? Si oui, tu pourras me montrer la vidéo ?
-Sans problème. A plus et fais attention à toi et aux villageois.
-D'accord. A plus.

Mais ce qu'il ne savait pas c'est que Sasuke avait épié la scène et rentrait chez lui pensif. Pister Kitsuke n'était pas très compliqué : il fallait suivre les gens blessés et le sang.
Au grand étonnement de Kitsuke, Kakashi était venu - à l'heure c'est déjà un exploit- et il releva le défi lancé et Kitsuke écouta et filma consciencieusement et discrètement la scène. Il essayait difficilement de réprimer un fou rire. A la fin, il rentra chez lui tout content ; il avait eu une excellente journée et médita en rentrant chez lui. Il se retrouva dans une grande salle: il y avait une cage ouverte, à côté gisait par terre un parchemin avec le kanji "sceau" dessus et enfin dans la cage ouverte ou pouvait voir un dragon noir avec des rayures dorées pouvant faire penser à des cicatrices sur un peu partout sur le corps, deux ailes noire dorées basiques et qui collaient avec l'image que se faisait Kitsuke des dragons et deux verts fendus en croix verticale et horizontale. Ses onze queues étaient derrière lui disposées en éventail.




Alors? Vous en pensez quoi?



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