Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Rose Noire

Petite school-fic' mi drama' mi romantique. Écrite spécialement pour Rasylpha, Miss Erusa et Natamaru ;). C'est l'histoire d'Alice, nouvelle arrivante au Lycée Konoha. Elle se lie d'amitié avec Mifune, un étrange jeune homme solitaire et du groupe " Akatsuki " , une bande de rebelles douteux. Mais son lourd passé la rattrape et elle se retrouve obligée d'abandonner son identité pour sauver ceux auxquels elle tient plus qu'à la prunelle de ses yeux...
Classé: -12D | Spoil | Drame / Humour / Romance | Mots: 2799 | Comments: 11 | Favs: 4
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Amy Sôma (Masculin), le 09/11/2011
Hey hey hey!
Salut les amis! Voilà ma nouvelle school-fic: Rose Noire.
Bon ,interprétez le titre comme vous voulez ;).
Spécialement écrite pour Rasylpha, Miss Erusa et Natamaru, cette fiction n'a même pas encore de fin définie ... Enfait, je ne sais pas du tout ce qui va s'y passer. J'ai bien un plan vague en tête mais rien de plus. Nous allons donc découvrir en même temps l'histoire de notre petite Alice ;P.
Bonne Lecture et au Plaisir!
Votre chère petite Amy =]




Chapitre 2: Bonheur, Tristesse?!? Pas un jour ne passe sans qu'elle ne verse une larme!



*Et ils se serrèrent la main.*
Ils discutèrent beaucoup le restant du voyage. Ainsi, Alice apprit qu'Hidan était aussi orphelin, qu'il vivait avec son frère Kakuzu, qu'il était masochiste (elle avait testé sa résistance et avait fini par se faire mal aux doigts tellement elle le pinçait fort), et qu'il faisait parti d'un étrange groupe nommé Akatsuki. De ce groupe, elle n'avait apprit que peu de choses. Elle savait seulement que les membres de ce groupe avaient chacun une bague différente, qu’ils avaient les ongles violet foncé et que leur symbole était un nuage rouge entouré d’une fine bandelette blanche sur fond noir. Elle l'avait questionné, car ces faibles informations ne la satisfaisaient pas, mais Hidan ne lui avait répondu que par cette énigmatique phrase:

«Tu comprendras en arrivant au lycée!»

Alice n'avait pas insisté et ils avaient continué à papoter. Au bout d’un quart d’heure de trajet, le lycée fut enfin en vue. Il était divisé en trois énormes bâtiments blancs et bleus et en un immense gymnase qui trônait environ deux cent mètres derrière les bâtiments. Le tout était entouré de petites constructions diverses, sûrement aménagées pour les clubs du lycée. Il y avait une cour démesurée et un peu partout fleurissaient des coins d’herbes ombragés par de grands saules pleureurs. Alice ouvrit de grands yeux étonnés et se colla contre la vitre du bus. Hidan rigola:
«Tu es facilement impressionnable, toi!
Elle se retourna et le regarda d’un air interrogateur.
-Attends de voir l’intérieur pour être étonnée!»
Elle haussa les épaules et reporta son attention sur le lycée. Le bus s’arrêta et Hidan la tira en avant.
«Viens, si tu ne bouges pas tu vas être en retard.
-Bah, ce n’est pas si grave, dit-elle.
-Tu connais pas la dirlo ! Un vrai monstre, des fois je me demande si elle est humaine.
-Elle est si terrible que ça?»
Pour toute réponse, le regard d’Hidan devint vide et il frissonna. Alice déglutit, si la principale faisait cet effet là à un énergumène du genre d’Hidan, elle s’imagina qu’en effet, la femme était monstrueuse. Hidan reprit ses esprits, prit la main d’Alice, et la força à descendre en catastrophe du bus. Une fois dehors, il se mit à courir, emportant avec lui la jeune fille qui se demandait sur quel genre de rigolo elle était tombée. Ils passèrent les portes du lycée en courant à toute vitesse et s’engouffrèrent dans le bâtiment qui arborait l’insigne « Secondes ». Alice devina que les deux autres bâtiments étaient réservés, l’un aux premières, l’autre aux terminales. Ils continuèrent à courir et arrivèrent au bout d’un couloir. Ils dérapèrent et tombèrent pêle-mêle dans un bel ensemble.
«-Hidaaan, relève toi, tu m’étouffes, marmonna Alice.
-Oups, excuse»
Les élèves présents les regardèrent avec étonnement. Hidan se releva avec difficulté et les gratifia d’un regard noir.
«Qu’est-ce que vous matez comme ça? Allez dégagez!»
Les élèves s’enfuirent sans demander leur reste. Hidan soupira et aida Alice à se remettre debout. Celle-ci était rouge pivoine et semblait de mauvaise humeur. Elle traita Hidan de tous les noms et celui-ci, penaud, l’écouta sans broncher. Quand la jeune fille eut terminé, Hidan la regarda d’un air si malheureux qu’elle éclata de rire malgré elle. Le jeune homme la rejoignit peu de temps après dans son fou rire et les deux compères se dirigèrent en riant vers le panneau d’affichage. Des élèves leur bouchaient la vue et Hidan cessa de rire. Il prit un air patibulaire et poussa violemment les autres élèves, en emmenant Alice avec lui près du panneau. Les secondes présents le regardaient avec crainte et Hidan les fusilla du regard. Ceux-ci s’enfuirent à toutes jambes. Alice le questionna du regard et il haussa les épaules. Puis il reporta son attention vars le panneau. Il s’étonna :
«Oh! Apparemment, un petit lycée de banlieue s’est regroupé avec le notre, du coup il y a beaucoup plus d’élèves. J’me disais aussi, j’les avait jamais vu.
Alice fit la moue.
-T’aimes pas les gens?
-Nan, grommela t-elle.
-Cool, on est deux alors! Bon, voyons si on est dans la même classe.
-Oui! fit Alice, en pointant du doigt une liste d’élèves. Nous sommes en seconde C.
-Ah, une bonne nouvelle! Y’a qui d’autre avec nous?»
Il lut la liste des élèves :
Alice Jones
Chôji Akimichi
Deidara
Hidan
Hinata Hyûga
Ino Yamanaka
Kiba Inuzuka
Lee Rock
Mifune Kazekami
Naruto Uzumaki
Neiji Hyûga
Sakura Haruno
Sasori No Akasuna
Sasuke Uchiha
Shikamaru Nara
Shino Aburame
Ten Ten
Tobi
«Tiens, c’est bizarre, l’ordre alphabétique est fait avec les prénoms, s’étonna Alice.
-T’inquiètes, c’est normal. C’est la CPE, elle est un peu frappée.
-Je vois ça… »
Soudain, la sonnerie retentit. Alice et Hidan sursautèrent. Alice ouvrit la bouche, et fut tellement étonnée par ce qu’elle entendit qu’elle en resta muette. La sonnerie du bâtiment S (S pour secondes, NDA) était en fait une chanson de René La Taupe, intitulée « Mignon Mignon ». Alice et Hidan écoutèrent la chanson jusqu’à la fin, bouche-bée, puis la jeune fille regarda le masochiste d’un air effrayé:
«Non, mais sur quoi je suis tombée, fit-elle en se tenant la tête dans les mains.
-Ahahaahahaa, rigola Hidan. Bienvenue au lycée Konoha ma belle!
-Hidan, fais moi plaisir.
-Tout ce que tu voudras.
-Ne m’appelles plus jamais «ma belle».
-Entendu, ma jolie !» Répliqua Hidan avec un sourire jusqu’aux oreilles
Alice soupira, mais ne releva pas. Le portable d’Hidan se mit à sonner, le faisant sursauter. Il décrocha:
-Ouais? Salut Dei. Ah bon?... Pff, dis pas n’imp. OK, on arrive.
-Qui était-ce? S’enquit Alice.
-Deidara, il est dans notre classe. Il nous demande de venir, la principale fait un discours et elle a un œil de faucon, elle va tout de suite repérer qu’on n’est pas là.
-Alors, qu’est-ce qu’on attend? Il faut se dépêcher!»
Hidan prit (encore) la main d’Alice et l’emporta hors du bâtiment. Ils coururent jusqu’à ce qu’ils arrivent au milieu de l’immense cour. Ils se glissèrent parmi les élèves et rejoignirent leur classe.
«Alors Hidan, chuchota un garçon aux longs cheveux blonds et aux yeux bleus, on prend du bon temps?
-Oh, ferme-là Dei, je discutais avec Alice, c’est tout.
Deidara se tourna vers Alice, qui n’avait pas tout compris:
-Alors, tu t’appelles Alice. C’est joli comme prénom. Moi c’est Deidara, mais appelle moi Dei, fit Deidara avec un sourire enjôleur.
-Enchantée, Dei, fit Alice avec un sourire encore plus lumineux et légèrement narquois.
-Pas touche, Dei, dit Hidan avec un regard suspicieux.
-Hey, pas la peine de t’énerver, je n’y comptais pas. J’ai une copine, je te rappelle» s’offusqua Dei.
A ce moment, la messagerie du blond se mit à sonner. Il sortit son téléphone et regarda son SMS. Il blêmit, verdit puis bleuit sous le regard étonné d’Alice. Deidara acheva sa transformation en arc-en-ciel quand il rougit de colère. Il rangea rageusement son portable dans sa poche et bouda.
-Euuuh…Que se passe-t-il? S’inquiéta Alice.
-T’inquiètes pas, il vient sûrement de se faire plaquer, la rassura Hidan.
-Mais ! C’est…» commença Alice.
Hidan la fit taire en metta son doigt sur la bouche de la jeune fille, et désigna du regard la principale, qui venait de finir son barbant discours et qui regardait dans leur direction. Alice rougit de honte.
«Et, je suppose que mon discours était tellement intéressant que vous ne pouvez pas vous empêcher de le commenter positivement, je me trompe? Monsieur Hidan et Mademoiselle…
-Alice, Madame. Alice Jones.
-C’est exact. Alors, une réponse? A moins que vous ayez épuisé votre parole en bavardant pendant mon sublime discours !
-Bien sûr que non ! S’exclama Alice. A vrai dire, votre discours était tellement intéressant que nous n’avons pu nous empêcher de bavasser à propos de vos tournures de phrases, ma foi assez bien écrites pour que nous les remarquions, notamment votre « Ainsi donc, ce nouveau lycée a pour but de booster la lucrativité du lieu », et…
-Comment osez-vous….la coupa la principale.
-C’est assez malpoli de votre part de couper la parole aux honnêtes élèves Madame. C’est aussi assez malpoli de vous imaginer qu’aucun des élèves présents ici n’écoutent pas votre, comment avez-vous dit ? Ah oui, « sublime » discours, et par conséquent ne remarquent pas que vous avez assurément utilisé le même que l’année passée, un discours ma foi bien médiocre.
-Vous…vous…vous, balbutia la principale, rouge de honte et de rage.
-Je ? S’enquit Alice, ironique.
-Je vous ai dans le collimateur! Si vous vous imaginez vous en sortir comme ça, vous vous trompez lourdement !
-Ce qui veut dire que vous ne me punissez pas?
-Que…
-Et bien, vous avez dit, je cite «Je vous ai dans le collimateur», ce qui signifie que vous ne me punissez pas, mais qu’à la moindre bêtise je me retrouve virée, n’est-ce pas?
-Vous avez raison, fit la principale, qui avait l’air très très en colère, ce n’est pas de mon essor de vous punir, et de toute façon les punitions, quelles qu'elles soient, sont strictement interdites durant la première semaine de cours. Mais méfiez-vous! Vous allez payer de votre insolence d’une manière ou d’une autre.
Alice s’inclina, moqueuse, et lui dit:
-J’en prends note. Ah! Oui, Madame! Fit-elle à la principale qui s’éloignait, drapée dans le peu qui lui restait de dignité. Au fait, j’ai oublié de vous dire mais…je suis une nouvelle élève!»
La directrice devint aussi rouge que son tailleur, grinça des dents mais ne releva pas et partit en courant presque. Dès qu’elle eut disparu, les élèves présents acclamèrent la petite Alice, qui arborait toujours un air moqueur et bizarrement, légèrement sadique.




Bonjour tout le monde :D! J'avoue avoir débloqué en écrivant ce chapitre. La fiction va vraiment prendre un tournant débile, c'est moi qui vous le dit -.-.
Bwah, sinon, rien à dire, sauf, désolée pour le temps d'écriture, et aussi, COMMENTEZ:D!




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