Fiction: Amitié ou ... (terminée)

Quand il a échappé de peu à la mort, c'est là que tout a commencé entre ces deux amis ... Par la suite, ils s'étaient attendu à tout. Mais comment auraient-ils pu deviner que leur histoire se finirait de cette manière ?
Classé: -12I | Drame / Humour / Romance | Mots: 8995 | Comments: 9 | Favs: 9
Version imprimable
Aller au
~Sunamaru~ (Masculin), le 26/06/2011
Me voilà avec une nouvelle fiction. Elle sera en deux chapitres. Le dernier étant plus long que l'autre pour une question d'esthétique que vous verrez au chapitre deux.
J'espère que cela vous plaira et que les personnes qui n'aiment pas trop ce genre d'hisoire auront la gentillesse de lire jusqu'au bout. Mais quelle est-elle ?




Chapitre 1: Là où tout a bien failli se terminer ...



Au petit matin, le café de Kiba fumait dans sa tasse fétiche. Il trouvait les oursons décoratifs sympathiques et amusants. Ses cheveux courts étaient ébouriffés ; ils lui donnaient un mignon air enfantin. Ses yeux encore à moitié fermés, il jura en marmonnant comme un petit vieux ; la lumière du soleil avait la fâcheuse habitude, si tôt le matin, de le mettre de mauvaise humeur. Il touillait paresseusement sa boisson chaude avant de mordre dans un croissant et boire une gorgée de jus d'orange.

Soudain, trois coups toquèrent contre le battant de la porte. Le châtain posa son croissant sur la table d'un geste vif, maugréa puis marcha grand-peine dans l'étroit couloir. Il déverrouilla la porte puis prit appui sur son encadrement en dévisageant l'homme qui se tenait face à elle.

« Salut, Kiba ! lui dit-il.
-Oh, merde … qu'est-ce que tu fais devant chez moi à une heure pareille, demanda-t-il en se grattant la joue, je viens de me réveiller tu le savais, ça ? »

L'adolescent de 17 ans qui se tenait devant la porte de Kiba s'appelait Kankurô. Les deux amis sortaient souvent au cinéma avec d'autres camarades. Le 7ème art les passionnait tous. Il leur arrivait régulièrement de prendre un verre en tête à tête dans un bar branché du coin. Les garçons aimaient beaucoup passer du temps tous les deux. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que cela les rapprochait de plus en plus.

« Je vois ça, oui … »

Ses yeux se sont baissés au niveau de son bassin. Kankurô esquissa un sourire amusé.

Il se rendit compte en suivant son regard qu'il était en érection malgré lui. Comme presque tous les garçons à la tuyauterie en bon état, cela lui arrivait souvent la matinée. Cette fois-ci il avait rougi.

« Si tu pouvais essayer de ne pas y faire attention …, il s'écarta de l'entrée pour lui permettre d'entrer dans son studio, bon, je suis en train de déjeuner, installe-toi mais ne fais pas de bruit. Tu me connais bien assez pour savoir que …
-Que tu n'aimes pas avoir du bruit dès le matin, le coupa-t-il, oui, je sais ! Il sourit.
-Chut ! »

On ne tarda pas à entendre le parquet de la chambre d'à côté craquer. Naruto avait été réveillé par des bribes de conversation dans la cuisine. Il apparut dans le petit passage qui séparait les deux pièces, le pas lourd et la main dans ses cheveux or. Point de vue financier et surtout pour entretenir et faire durer le plus longtemps possible une grande amitié, les deux garçons se partageaient le studio.

Le blond était le plus vieux ; âgé de 17 ans, il travaillait dans un restaurant à quelques rues de leur domicile en tant que serveur. Ce jeune adulte appréciait beaucoup le contact avec les gens, pas seulement pour les pourboires que les clients lui donnaient si généreusement, mais parce qu'il avait toujours eu ce secret bien à lui d'être aussi proche des autres et de s'attirer très vite les bonnes grâces.

À 16 ans et son Bac en poche, Kiba était le meilleur élève de sa promotion et ne tarderait pas à apporter la main à la pâte pour payer le loyer. Il cherchait depuis quelques temps une place dans une société pour animaux canins. Les chiens ont toujours été sa passion, il voulait pouvoir s'occuper d'eux à longueur de journées, les dresser, les dorloter et les nourrir jusqu'à ce qu'ils trouvent une nouvelle famille pour qu'elle prenne le relais.

« Tiens, salut, Naruto ! lui dit Kankurô assis en face de Kiba. »

Le blond s'avançant jusqu'à la table en traînant les pieds regarda un long moment le garçon qui lui adressait la parole avant de se rendre compte de qui était-ce, de bâiller aux corneilles et de pousser d'une petite voix un « yo » à peine compréhensible. Contaminé par ce syndrome mystérieux, son colocataire ouvrit la bouche à s'en décrocher la mâchoire.

« Oh, là ! Vous tirez de ces têtes le matin, les gars ! s'écria l'invité avant d'éclater de rire pendant que son ami le dévisageait.
-Parce que tu crois p'têtre que ta tronche n'est pas pire que la nôtre ?
-Je rigolais ! »

Le beau blond s'installa à côté de Kiba et ronchonna en prenant une tartine. Il avait une sainte horreur qu'on lui pique sa place. Le maladroit haussa un sourcil et regarda le meilleur étudiant de sa promotion qui lui faisait signe de changer de place s'il voulait survivre le reste de la journée. Naruto planta rageusement ses dents dans la tartine à la confiture de fraise et en arracha un morceau en grommelant.

« Excuse-moi, je savais pas que tu avais une place bien à toi, dit-il penaud en se levant, je t'en prie, assieds-toi là ! »

Naruto se dressa sur ses jambes le sourcil froncé, fit le tour de la table puis se laissa choir sur sa chaise sans rajouter quoi que ce soit. Kankurô n'eut d'autre choix que de poser ses fesses sur l'ancienne chaise du serveur.



Bien des tartines après, ils commençaient à débattre sur leur journée. Kankurô fut le premier à proposer une idée : shopping. Naruto avisa une journée sportive et Kiba une sortie dans un grand parc d'attraction. La dernière proposition fut votée à l'unanimité.

Ils prirent place dans les sièges d'un manège à sensation, le premier d'une longue journée remplie d'émotions. Le gérant vérifia les harnais devant chacun des occupants pour éviter tout accident probable. En face des deux amis, Naruto gigotait comme une puce sur le siège inconfortable à tel point que, s'ils n'étaient pas dans un lieu public on aurait pu croire qu'il faisait autre chose.

« Oh ! l'interpella l'Inuzuka, t'as pas trop les jetons, dis-moi ?
-Moi ? Nan, pas du tout ! Je suis trop excité ça fait super longtemps que j'ai pas fait un manège comme ça ! »

Une brève alarme retentit. Le départ de l'attraction était lancé et les wagons furent tirés progressivement vers le sommet. Bientôt ils seraient tous à la verticale. Il fallait espérer pour ceux de devant que derrière ils aient tous digéré leur petit déjeuner.

La peur au ventre, les mains de Kiba devenaient halitueuses et glissaient le long des poignées du harnais qui le tenait solidement contre le siège. Le train d'enfer qui grattait enfin le ciel se figea un instant. Une fille hurlait avant même que la descente fût entamée puis l'espace d'un instant au châtain de s'essuyer à son pantalon que la machine dévala à toute vitesse la pente abrupte. Naruto s'enfonça dans son siège, évacuant tout le stress qui comprimait ses poumons à s'en déchirer les cordes vocales. La descente était si vertigineuse et effrayante qu'il était difficile de respirer sans haleter. Les wagons firent un looping et prirent un virage incliné à 160°.

À côté de Kankurô, Kiba avait les yeux crispés et braillait encore plus fort que le blond, poings et fesses serrés. Son ami qui avait l'air de biens s'amuser rit aux éclats. Le rejeton des Inuzuka ouvrit un œil. Ciel et Terre semblaient se confondre et entrer en collision permanente. Le paysage tournait dans tous les sens, les wagons étaient secoués avec une brutalité sans précédent à chaque virage trop aigu. Son petit déjeuner lui brassait l'estomac et il faillit virer au vert.

« N'aies pas peur ! Ouvre grands les yeux et regarde le paysage sous un tout autre angle de vue !
-C'est la première fois que je fais ce manège !
-On se croirait dans une autre dimension, s'époumona l'Uzumaki. »

Quelques jeunes intrépides levaient les bras, la tête en bas, en éclatant de rire. Le terrible fracas des rails malmenait leurs tympans. La douleur était presque insupportable. Kankurô poussa un cri semblable à un « Yaouh ! » et quelques secondes plus tard, le train pila. L'attraction était terminée.

Les visages qui descendaient de l'engin diabolique étaient blêmes, les jambes grelottantes. Le sol paraissait se mouvoir sans pouvoir s'arrêter puis ralentissait petit à petit. Naruto se rattrapa bien vite à une barrière et l'Inuzuka dans les bras de Kankurô qui le soutenait pour ne pas qu'il tombe.

« Oh ! Tombe pas, vieux !
-Ouah … C'était … génial ! Il leva la tête vers son ami qui le redressait doucement puis lui sourit. Merci de m'avoir rattrapé.
-Mais de rien ! T'aurais fait pareil pour nous.
-Oui, je crois … »

Il se retira de ses bras tandis que son colocataire s'approchait d'eux en titubant. Un sourire nerveux étirait la commissure de ses lèvres et l'un d'eux demanda quel était le programme suivant. Kiba répondit qu'il y avait plein d'autres attractions aussi cool que celle-là.

Tripes et estomac retournés, les garçons étaient assis sur un banc à l'ombre d'un platane pendant que Naruto revenait les mains pleines de gâteries sucrées. Ils discutaient joyeusement du manège qu'ils avaient préféré à d'autres. De fil en aiguilles ils poussaient leur conversation sur des sujets bien plus poussés, en toute innocence. Quand Naruto s'invita entre eux deux, ils paraissaient frustrés. Ils se turent alors que l'Uzumaki leur tendait leur glace.

« Faut pas vous gêner, dit-il en les regardant, c'est pas parce que je suis là qu'il faut interrompre votre conversation, les mecs !
-Non, c'est bon …, répondit Kankurô après un instant de réflexion, on avait fini. » Conclut-il en lançant un rapide coup d'œil à Kiba qui ne manqua pas de lui sourire.

Le blond passa en revue chacun d'eux puis ses lèvres s’étirèrent soudainement.

« Ah ! Vous deux, y a quelque chose qui se prépare, pas vrai !? »

La déclaration du blondinet fit sursauter Kiba. Sa tête s'est très vite tournée de l'autre côté avant qu'un de ses amis ne le devançât de découvrir son visage explosé... Il assura en bafouillant que ce qu'il racontait était totalement absurde et sordide. Le rire de Kankurô tonna.

« Pourquoi sordide ? Je ne vois pas le mal qu'il y aurait si c'était vrai ! »

Comme par ironie, les glaces fondaient juste à ce moment-là pour couper court à cette très embarrassante situation. Naruto sentit ses doigts lui coller.

« Bon, c'est pas que je vous aime pas mais ça fond, les gens ! »

Kankurô s'empressa de prendre la sienne et Kiba fit de même en essayant de ne pas poser les yeux sur lui … Chose très utopique.

À la fin de la journée, l'ami de Kiba était rentré chez lui et lui avait assuré qu'il le rappellerait dans la soirée. Il n'avait pas donné d'heure précise. Les derniers rayons du soleil couchant illuminaient le parc en contrebas du studio. Les ombres s'étiraient dans le lointain et un grand cygne blanc se laissait dériver paisiblement le long de la rivière qui séparait le lieu public en deux parts égales. La douce brise du soir faisait virevolter et tourbillonner les feuilles tombées des arbres fleuris tout autour de la sublime architecture du pont de bois qui enjambait la rivière et des bancs abandonnés.
Le jeune blond fit doucement coulisser la baie vitrée qui donnait sur la somptuosité du lieu situé un peu plus bas. Kiba, son cellulaire posé bien en évidence sur la petite table de la terrasse, semblait attendre un appel qui ne venait toujours pas.

« Qu'est-ce que tu fais dehors à une heure pareille ? Tu mattes les seins de la voisine d'en face ? plaisanta-t-il en s'asseyant près de son meilleur ami. Kiba sourit.
-Mais non, baka. En plus elle est périmée la vieille, je vois pas ce qu'il y aurait à regarder !
-Justement, s'écria-t-il, et c'est bien là tout le centre du problème ! Pourquoi regarder les nichons d'une vieille décrépie ? Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu fais ici, hm ?
-Il y a un moment … j'observais ce cygne, là-bas. Maintenant il est loin. »

Naruto fit pivoter sa tête sur la gauche et regarda dans la même direction que le châtain.

« Il est beau … mais bien seul, ses yeux se posèrent dans ceux de l'Inuzuka, il me fait étrangement penser à quelqu'un ... » Où voulait-il en venir, ce baka blond ? En s'approchant de Kiba il murmura, l'air complice.

« Il te plaît, pas vrai ? Kiba jeta un coup d'œil instinctif à son portable. Toujours rien.
-De qui parles-tu ?
-Allons … Tu sais très bien de qui je parle ! »

Le colocataire feignit un instant réfléchir et souffla doucement le nom de son ami en penchant la tête de côté. Le visage de Naruto s'illumina d'un sourire généreux et Kiba rougit.

« Alors je peux te dire qu'une chose, qu'une seule : si tu ressens quelque chose pour lui ne perds pas de temps. Ne fais pas la même erreur que j'ai faite. Quand on a eu des relations éphémères décevantes, on ne perd plus de temps quand on trouve la perle rare, lui a-t-il dit. Malheureusement pour moi, il était déjà trop tard pour Sasuke … »

Kiba le regarda intrigué ; il ne lui avait jamais parlé de ses relations amoureuses et il venait d'apprendre quelque chose d'autre sur son meilleur ami. Pour dire vrai, Naruto n'aimait pas trop en parler pour la bonne raison que cela lui déchirait le cœur. Mais cette fois il avait trouvé la force : pour l'aider.

« Qu'est-ce qui s'est passé, lui demanda-t-il. Il eut sa réponse quelques secondes après.
-Il a déménagé très loin d'ici. »

Le blondinet baissa lentement sa tête, ses yeux commençaient à lui piquer et soudain le portable vibra intensément au moment où il s'apprêtait à le consoler. Il s'excusa, saisit son cellulaire d'un geste rapide, enjamba la baie vitrée, interrogea son ami du regard et s’éclipsa dans le salon d'un leste pas. Naruto lui avait fait signe que ce n'était pas grave. Il avait deviné que c'était Kankurô à l'autre bout de la ligne. Cela l'apaisa un peu ; il savait que le No Sabaku comptait beaucoup pour lui.

Le jeune garçon fit abstraction de tout ce qui l'entourait pour se plonger dans les limbes de ses souvenirs partagés en compagnie de l'Uchiwa. Toutes les fois où il était resté avec lui, toutes les journées qu'il passait à ses côtés sans jamais pouvoir lui avouer ses sentiments, toutes les rares fois où Sasuke lui souriait, tout ressurgissait de son esprit et s'enfuyait le long de ses joues. Toutes ces fois, se noyèrent en bas de son menton.

Non désireux de vouloir subir une seconde de plus ces souvenirs douloureux qui consumaient son petit cœur, il les chassa d'un revers délicat de la main. Il se pencha sur le balcon ...

… Le cygne qui se laissait porter par le courant de l'eau avait disparu.



Le lendemain.

Il n'était pas loin d'être midi ; le soleil ne tarderait pas à atteindre son zénith. Sous l'ombre d'un grand parasol blanc, derrière une petite table pour deux personnes, Kankurô regarda sa montre. Il commençait à croire que Kiba avait oublié leur rendez-vous et s'impatienta. Les doigts du jeune homme pianotèrent fébrilement sur le marbre puis après un moment il soupira.

*


Le rejeton de la famille Inuzuka dévala les marches de l'immeuble à rapides petites foulées. Au premier étage, il sauta sur la rambarde de métal froid, glissa sur les fesses jusqu'au rez-de-chaussée et se rua dehors. Encore une fois il était en retard. Décidément, son souci de bien faire lui aura porté préjudice même jusqu'au choix de la couleur de ses vêtements.

*


Quelques minutes plus tard, Kankurô s'apprêta à saisir son portable pour sermonner son ami. À ce moment-là, une silhouette se découpa dans la rue en face à contre-jour. Il plissa les sourcils et mit une main en visière. Quelqu'un courait, et pas qu'un peu. Une voiture pila, les pneus crissèrent sur le goudron et le klaxon rugit. Kiba sursauta et bondit instinctivement sur le côté en lançant un regard apeuré au chauffard qui leva un doigt malpoli dans une position peu élégante. Tous les piétons furent interpellés par le boucan infernal qui venait de résonner entre les immeubles de la ville. Le coureur se précipita sur le trottoir, le cœur battant à ton rompre et le souffle court.

La main encore devant la bouche, frappé par ce qu'il venait de se produire sous ses grands yeux ouverts, il courut vers lui en criant son prénom.

« Kiba ! Tu as failli te faire tuer en traversant cette rue ! T'as vu un fantôme ou quoi ? Ça va ?
-Oui, répondit-il en reprenant son souffle, je suis désolé d'arriver en retard mais …
-C'est rien, le coupa-t-il, t'inquiète pas pour ça ! L'important c'est que tu sois en un seul morceau.
-J'ai eu trop peur !
-Moi aussi, qu'est-ce que tu crois ?! »

Son soulagement étant trop intense, le réflexe ne fut qu'instantané ; il le serra de très près. Peut-être même de trop parce que le rescapé avait rougi à ce moment.

Les garçons se remirent de leurs émotions quelques temps après. Kankurô l'invita à prendre place à la table qu'il avait réservée puis une serveuse vint prendre leur commande. Ils prirent chacun un café.

« Tu cherches un travail en ce moment ? lui demanda Kiba.
-Oui, j'ai commencé avant hier. Je voudrais faire carrière dans le spectacle, répondit-il en souriant.
-Ça te plaira très certainement tu as le sens de l'humour !
-Ah bon ? s'étonna-t-il, et mon sens de l'humour est-il si poussé que ça pour plaire à un garçon sérieux tel que toi ? Kiba posa la main qui était sous la table dessus et détourna un moment les yeux avant de répondre à sa question.
-Ouais ! J'aime beaucoup rigoler avec toi. Kankurô observa son ami. Avait-il une chance de lui plaire plus que cela ?
-Kiba … le concerné leva sa tête et incrusta son regard fougueux dans le sien qui paraissait subitement sérieux, je vois bien que t'es bizarre en ce moment. Qu'est-ce qui ne va pas ? Déjà qu'hier soir au téléphone t'avais une petite voix … Tu peux tout me dire je suis prêt à tout entendre. »

Alors qu'il eut un long moment de réflexion, les paroles de Naruto lui revinrent en mémoire.

« Ne fais pas la même erreur que moi. Tu sais … quand on a eu des relations éphémères décevantes on ne perd plus de temps quand on trouve la perle rare. »




La suite au prochain épisode, bien sûr ! :D

Aaahhh ... C'est pas cool ce que je vous fait ? Ne vous inquiétez pas, pour ceux qui ont accroché vous aurez la suite très vite ! ;p




Chapitres: [ 1 ] 2 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: