Fiction: Un pas pour une vie (terminée)

"Plus qu'un pas. Un pas pour une vie. Là, debout devant ce ravin, elle regardait ses pieds. Plus qu'un pas et elle tombait, plus qu'un pas et elle laissait toute sa vie derrière elle. C'est ce dont elle rêvait, alors pourquoi n'arrivait-elle pas à avancer ? Le courage elle l'avait, l'envie elle l'avait, alors pourquoi ? Tous ses problèmes, ses angoisses, tous partiraient avec elle. Elle était au fond du gouffre, alors pourquoi ne pas en finir. Un pas et elle mourrait enfin..."
Tragédie | Mots: 3011 | Comments: 2 | Favs: 4
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tobi-fanna (Féminin), le 30/05/2011
Et voilà un nouveau O-S, un peu plus triste cette fois.
Personnellement je ne le trouve pas très bien, mais bon à vous de juger.
Bonne lecture !




Chapitre 1: Un pas pour une vie



Plus qu'un pas. Un pas pour une vie. Là, debout devant ce ravin, elle regardait ses pieds. Plus qu'un pas et elle tombait, plus qu'un pas et elle laissait toute sa vie derrière elle. C'est ce dont elle rêvait, alors pourquoi n'arrivait-elle pas à avancer ? Le courage elle l'avait, l'envie elle l'avait, alors pourquoi ? Tous ses problèmes, ses angoisses, tous partiraient avec elle. Elle était au fond du gouffre, alors pourquoi ne pas en finir. Un pas et elle mourrait enfin...


Assise sur son lit, collée au mur, elle regardait les photos éparpillées sur sa couette. Elle en prit une dans ses mains et la détailla : deux adolescents. Un garçon assis sur un banc et une fille sur ses genoux, ils se regardaient en souriant. À côté d'eux, leurs amis riaient, s'amusaient. Eux, étaient dans leur bulle.
Une larme coula le long de sa joue, et vint se poser sur la photo. Elle se rappelait de cette belle époque, ils étaient amoureux, heureux. Elle passait ses journées avec lui et ses amis, à rire. Maintenant c'était fini. Du jour au lendemain, plus rien. Alors elle s'était enfermée dans la solitude, et la voilà dans sa chambre, à deux heures de l'après-midi, alors qu'il faisait beau dehors. Elle entendait ses voisins dans leur jardin, parler de leur journée d'hier et de celle de demain. Elle, elle se rappelait les bons souvenirs, s'enfermant encore plus dans son monde. Elle ne voulait plus affronter ces regards, les regards de ses anciens amis. Ces regards de haine qui se posaient sur elle dès qu'elle passait à côté d'eux. Qu'avait-elle fait pour mériter ça ? Elle les avait trahi. Tout ce qui lui arrivait, c'était de sa faute à elle, s'ils l'avaient laissée, c'était de sa faute à elle.
Elle soupira, reposant la photo où elle l'avait trouvée. Puis elle prit celle à côté. Dessus, on pouvait voir deux fillettes jouer dans l'eau. Plus loin un garçon d'une dizaine d'années les regardait, les bras croisés au niveau de sa poitrine, boudant. À la vue de cette image, elle sourit, encore de bons souvenirs. Elle se voyait elle et sa sœur, s'éclabousser pendant que leur meilleur ami faisait la tête car il n'avait pas eu de gâteau.
Soudain, un bruit vint casser la nostalgie de ce moment, elle leva la tête mais ne vit rien d'autre que la réalité. Sa chambre, vide, poussiéreuse, sans vie. Elle n'en pouvait plus de cette situation. Elle se leva et descendit de son lit, faisant tomber au passage de nombreuses photos qu'elle n'avait pas eu le temps de regarder. Elle ouvrit la porte de sa vieille armoire en bois, prit les premiers vêtements qu'elle vit, et se changea en quatrième vitesse. Elle devait le faire, elle était décidée. Enfin, elle serait libérée de cette prison. Elle se jugea rapidement dans le miroir et, se trouvant à peu près correcte, elle alla dans le salon. Elle prit dans ses mains un papier blanc et un crayon puis s'installa sur une des chaises devant sa table, puis elle commença à écrire.


"J'ai décidé d'arrêter tout ça, de ne plus vous faire de mal, de ne plus faire de mal à personne. De ne plus avoir mal. Je ne sais pas comment je vais le faire, ni pourquoi, mais j'y vais quand même. Je sens au plus profond de moi que je dois le faire, que je dois arrêter d'être malheureuse et de rendre malheureux toutes les personnes autour de moi. Je ne vous manquerais pas, je ne dois pas vous manquer. Je ne veux pas que, en me libérant de tout ça, et en libérant tout le monde de moi, je vous fasse du mal. Non, je ne le veux pas. Soyez heureux, amusez-vous, marchez, parlez, riez, vivez. Ne vous occupez plus de moi, je vous ai fait assez de mal comme cela, mais maintenant c'est fini. Vous allez enfin pouvoir commencer à vivre pleinement. Je ne regrette pas mon choix, je ne le regretterai pas, pour vous rendre heureux je dois m'en aller. Je vous aime vraiment, je suis désolée pour tout ce que j'ai fait.
Adieu"


Elle posa le stylo sur la table en verre puis sortit de chez elle. À pied, sans se presser, elle se dirigea vers la falaise près de chez elle. Elle passa par la forêt pour être sûre de ne croiser personne, à cette heure-là, les villageois préféraient aller aux parcs avec leurs enfants. Elle marchait, sûre d'elle pour une fois. Elle s'apprêtait à accomplir ce qu'elle aurait dû faire depuis longtemps. On ne pouvait entendre que le bruit des feuilles se déchirant sous ses pieds et celui des branches bougeant en rythme grâce au vent, elle se sentait bien ici. Elle sourit un instant en balançant sa tête en arrière. Elle aurait aimé profiter de cet endroit, de cette paix un peu plus, mais elle ne pouvait pas, elle ne regretterait pas son choix, son destin était tracé, rien ne la ferait revenir sur sa décision. Elle accéléra l'allure, comme pour reprendre le courage qui s'envolait peu à peu en elle. Les arbres défilaient, toujours le même paysage. Les feuilles mortes au sol ne faisait que rendre cette vision plus déprimante encore. Toute chose à une fin, elle le savait, la sienne l'attendait bientôt.


Enfin arrivée. Elle était sortie des bois et elle se trouvait maintenant face à son destin. Un pas et c'était fini, un pas et toute une vie s'éteignait. 17 années disparues à jamais. Mais c'était ce qu'elle voulait, elle était décidée à en finir. Ça ne pouvait plus continuer ainsi, elle ne l'avait jamais voulu. Petite, elle s'était promis de vivre éternellement avec son futur mari et ses enfants. Les paroles d'enfants ne sont jamais tenues finalement. C'est étrange la vitesse à laquelle le courage et la confiance en soi est partie aussi vite qu'elles étaient venues. Une larme s'échappa d'un de ses yeux, traversant sa joue et son menton, pour tomber sur l'herbe sèche par le manque de pluie de ces derniers jours. Elle gardait cependant la tête haute, ne voulant la baisser, car si elle regardait le vide, elle ne le ferait pas. Elle n'avancerait pas.

Elle repensait à tout ce qu'elle avait vécu pendant dix-sept ans, les crises de nerfs, les coups de gueules, les rires, les pleurs, elle avait été heureuse. Elle fouilla dans la poche de son jean, ça faisait des mois qu'elle ne l'avait pas mis et il était devenu beaucoup trop grand pour elle vu que ça faisait quelques semaines qu'elle ne mangeait plus. Elle trouva un papier et une petite photo, celle de son meilleur ami et elle. Ils étaient l'un à côté de l'autre, la tête du garçon sur l'épaule de la fille qui devait avoir, à ce moment là, quatorze ans. Ils s'entendaient si bien, mais là encore, elle a tout gâché. Je ne sais faire que ça, gâcher les bons moments que je vivais, et ça continue, pensa-t-elle.

Sur le petit bout de papier y était écrit : Tiens, cette photo te portera chance pour ton rendez-vous, je suis de tout cœur avec toi. Shika'.
Elle sourit en pensant à ce fameux rendez-vous, totalement raté. Shikamaru, qui était très -voir trop- protecteur avec elle, avait envoyé quelqu'un la surveiller, car il était trop fatigué pour le faire lui-même. C'était donc Kiba qui s'était chargé de la surveiller, elle et son futur petit-ami de l'époque, Neji. Mais vu qu'il était amoureux d'elle, dès qu'elle avait voulu embrasser Neji pour lui dire au revoir, Kiba était sortit des buissons dans lesquels il s'était caché pour les empêcher.
Elle rit en repensant à ce jour, puis son rire s'arrêta, laissant place à un visage triste quand elle s'imagina, elle et Neji, sur le banc où ils avaient gravé leur prénom. C'était lui, le premier à lui tourner le dos. Puis tous les autres ont suivi.

N'en pouvant plus, elle se décida enfin à avancer. À mettre fin à cette vie. Elle levait sa jambe pour avancer quand quelqu'un l'appela par son prénom. Elle se retourna, puis vit son meilleur ami. Quand elle l'aperçut elle baissa les yeux, lui continuait à l'observer. Un lourd silence s'installait sur la falaise, Shikamaru le cassa.

«- Qu'est-ce que tu allais faire ? »

Elle ne répondit pas, n'osant pas le regarder en face. Qu'est-ce qu'il venait faire là ? Pourquoi il est venu maintenant ?
Elle leva la tête et l'observa quelques secondes avant d'ouvrir la bouche, mais aucun son n'en sortit. Elle n'arrivait pas à parler, à lui parler. Ça faisait trop longtemps qu'elle se taisait, elle ne pouvait rien lui dire. Il s'approcha doucement, de peur qu'elle ne recule et qu'elle ne tombe. Elle, elle ne bougea pas, sachant que si elle faisait un pas en arrière, elle n'aurait pas l'occasion de s'expliquer une dernière fois.

« - Alors ?
- Ça ne se voit pas, réussit-elle à murmurer.
- Pourquoi tu veux faire ça ? Lui demande-t-il, toujours calme.
- Qu'est-ce que ça peut te faire ? Ah si, tu veux peut-être répéter aux autres que celle qui vous à trahi il y a quelques mois va en finir une bonne fois pour toute, c'est ça que vous attendiez, n'est-ce pas ?
- Non, je voulais m'excuser en fait. Je sais que je n'ai pas été très sympa avec toi et, pour être franc, tu me manquais. Enfin "me" manquais, tu nous manquais à nous tous. J'ai été désigné par les autres pour venir te voir pour te demander pardon.
- Comment je vais avaler cette histoire ? Pourquoi aujourd'hui tu viendrais t'excuser ?
- Ben, car c'est aujourd'hui ton anniversaire. Quand on s'est vus avec les autres on a parlé de toi, et du fait que ce qu'on t'a fait été horrible et qu'on voulait tous s'excuser. Et puis t'imagines pas l'effort considérable qu'il m'a fallu pour venir jusqu'à chez toi pour trouver une maison vide.»

C'était son anniversaire, elle l'avait complètement oublié. À vrai dire, elle ne faisait plus attention à rien ces derniers temps, et ce jour-là n'était finalement pas très festif.

« - Comment t'as su que je serais là ? Pourquoi tu ne t'es pas dit que je n'ouvrirais pas la porte ?
- Ben après le boucan que j'ai fait pour essayer de monter à la fenêtre de ta chambre pour la voir vide, j'ai décidé sous les cris de tes voisins de regarder dans le salon à travers la vitre. Là j'ai trouvé une lettre sur la table avec un stylo à côté, vu que quand tes parents écrivent des mots ils ne laissent jamais le stylo à côté, enfin avant ils faisaient ça mais je ne pense pas qu'ils aient perdu leurs habitudes, j'en ai déduit que c'était toi. Vu que t'aimais venir là avant je suis venu, expliqua-t-il, le sourire aux lèvres, un sourire triste.
- Tu me connais bien... »

Il y eu un nouveau silence, mais cette fois-ci un silence apaisant. Shikamaru s'était assis sur une pierre non loin d'elle et continuait à la regarder, analysant le moindre de ses gestes. Elle, elle regardait ses pieds, puis le sol, puis ses pieds et ainsi de suite. Il était venu lui demander pardon, lui, son meilleur ami. Malgré le fait qu'au fond d'elle même elle était heureuse de le revoir, elle ne pouvait pas reculer. Elle les avait fait souffrir, elle avait fait du mal à ceux qu'elle aimait le plus, à quoi bon continuer de se battre après ça ?
Au bout de quelques minutes elle releva la tête, fixant son meilleur ami dans les yeux.

« - J'accepte vos excuses, à vous tous. Mais ma décision est prise, j'en ai fait souffrir plus d'un et je ne veux pas que ça continue !»

Elle était encore trop attachée à eux pour ignorer leurs excuses, même si elle ne pourra pas retourner avec eux.

« - Ne fais pas ça. Tu n'as fait souffrir personne à part toi-même. C'est nous qui sommes en tord et pas toi. S'il te plaît, ne fais pas ça. Tout peut redevenir comme avant.
- Non, pas après ce que j'ai fait.
- Tu n'as rien fait. C'est Neji qui nous a monté contre toi les uns après les autres. »

Elle le regarda, surprise ? Ce serait à cause de Neji que tous ses amis lui auraient tourné le dos ? Elle ne pouvait pas le croire, c'était faux. Neji n'était pas comme ça, elle le savait.

« - Shika', Neji n'y est pour rien dans tout ça, si vous le vouliez vraiment, vous seriez restés avec moi.
- C'est-à-dire qu'il avait de bons arguments. Mais que des mensonges, et ça, on ne le savait pas. On ne l'a appris que cette semaine par la nouvelle copine de Nej', Tenten. Elle est venue nous voir en nous disant que, lors d'une soirée il y a quelques semaines, Neji lui aurait tout avoué. D'après elle, il avait honte de son geste et il voulait en finir avec cette histoire. Elle ne savait pas comment nous le dire et c'est pour ça qu'elle n'est venue qu'il y a quelques jours.
- Il a une petite-amie ? Demanda-t-elle, triste. Elle soupira avant de reprendre. Après tout, il fait ce qu'il veut, et moi aussi. Je ne veux pas vous faire du mal encore une fois. Je tiens trop à vous tous.
- Justement, en faisant ça tu vas nous rendre malheureux. On tient beaucoup à toi tu sais.
- Non. »

Il n'ajouta rien. Il s'avança doucement de quelques mètres pour arriver juste devant elle. Ils se regardaient dans les yeux. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que se soit il la prit dans ses bras. La présence de son ami la rendait heureuse. Tous ce qu'elle avait vécu ces derniers mois, elle l'oublia là, dans ses bras. Elle ne pensait qu'au moment présent. Elle pleura, là, sur son épaule, quant à lui, il lui chuchotait des paroles réconfortantes.

« - Tu comptes beaucoup pour nous tous. Tu comptes beaucoup pour moi. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, ces mois étaient horribles. Je n'avais personne pour me rappeler pourquoi je sortais avec la femme galère, personne pour me réveiller avant qu'elle ne me voit, personne pour me faire rire comme toi. Je ferais tout pour que tout redevienne comme avant entre nous, alors s'il te plaît, ne fais pas ça. Tu es si importante pour moi, je regrette mon comportement de ces derniers mois, et j'aimerais tout effacer. Je sais que c'est impossible donc je veux me racheter, laisse-moi une chance de le faire s'il te plaît. Ne le fais pas que pour moi, fais-le pour les autres aussi. Et remonte la pente pour montrer à Neji que tu peux revenir en force. »

Elle se détacha de lui, toujours sans reculer, et fixa ses yeux marrons. Les larmes continuaient de dévaler ses joues, mais elle ne pouvait pas détacher son regard de celui de Shikamaru.
Peut-être qu'elle était trop attachée à eux pour les quitter. Peut-être qu'elle n'était pas assez égoïste pour les laisser. Peut-être qu'une petite partie d'elle voulait encore se battre. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle voulait passer le plus de temps avec Shikamaru et les autres, qu'elle voulait revivre des moments extraordinaires avec ses amis.

Elle l'enlaça pour le remercier, ce qu'il comprit rapidement en l'emmenant un peu plus loin pour éviter tous risques. Elle ne pouvait pas faire ça, elle ne voulait faire de mal à personne, elle comptait changer. Tout le monde la verrait différemment à présent. Il la ramena chez elle, ils entrèrent et s'assirent sur le canapé du salon. Il prit d'abord le temps d'aller chercher la lettre qui était toujours sur la table, puis il se posa à ses côtés. Il lut le texte, puis donna le papier à son amie. Elle regarda la feuille, la prit dans les mains et la déchira. Les morceaux blancs tombant sur le sol. Elle les contempla quelques instants avant de diriger son regard vers Shikamaru. Elle observa ses mains avant de se lancer.

« - Merci, merci pour tout. Je suis désolée d'avoir voulu faire ça.
- T'inquiète, c'est passé. Maintenant tout va redevenir comme avant. On se le promet ?
- Promis, dit-elle en étouffant un petit rire.
- Bien, bon c'est pas tout ça mais c'est que je suis fatigué moi. Mais vu que je ne suis pas un fou furieux je vais rester faire une sieste ici, on ne sait jamais.
- Malgré ta remarque, je t'autorise à rester, répondit-elle en souriant.
- J'ai fait assez de choses pour toi, tout ce chemin, monter à un arbre, parler autant, donc j'ai le droit de lancer quelques petites moqueries gentilles. Ah, avant que j'oublie, car j'étais aussi venu pour ça, Kib' organise une petite fête samedi, si tu veux venir. Ça pourrait symboliser ton retour et c'est une bonne méthode pour reformer les liens.
- Je serais ravie de venir, cria-t-elle tout en sautillant depuis la cuisine où elle cherchait deux verres d'eau, pour son ami et pour elle. »
Elle se remet vite, comme avant, mais j'espère que ça va aller mieux à présent, pensa Shikamaru.

Elle lui donna un des deux verres qu'elle avait dans les mains et posa le sien sur la table basse avant de s'affaler sur le canapé beige. Elle reprit le récipient et se tourna vers son camarade.

« - À notre toute nouvelle amitié ?
- Non, à notre amitié tout court.
- À notre amitié alors. »

Les deux verres s'entrechoquèrent alors, provoquant un bruit assourdissant dans toute la salle. Il l'avait sauvé, il l'avait empêchée de faire cette chose qu'elle aurait regrettée par la suite. S'il n'était pas venu, elle l'aurait sûrement fait, elle aurait descendu la dernière marche la menant au fond du gouffre. Mais maintenant, c'était son ancienne vie qui recommençait, elle était sortie du gouffre avec l'aide de Shikamaru, et à présent tout irait pour le mieux. Ils se le sont promis.



Voilà, alors ça vous a plu ?



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