Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Ai ouin eiei Aori ( amour rime avec Aori)

Une jeune fille du nom d'Aori, changera à tout jamais le comportement d'un des membres de L’akatsuki: Sasori, qui vous racontera lui même comment il a fait sa connaissance... Bonne lecture
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piracnos (Féminin), le 16/03/2011
Tout un changement dans la vie de Sasori à cause ou plutôt grâce à une fille qui était sa cible lors d'une mission. Sasori vous racontera tout exclusivement et en détails.



Chapitre 1: Retour aux sources.



Le boss nous avait donné comme dernière mission, avant notre congé, retrouver une certaine Aori. Pourquoi ? Il n'avait pas précisé, et bien sûr on n'avait pas posé la question. Il fallait aller la chercher dans le village de Suna. Mon coeur battait la chamade, j'allais revenir à mon village natal que j'ai quitté il y a longtemps.

Pour me distraire un peu, je revis la photo de notre cible : C'était une jeune fille d'environ 16 ans. Elle était très belle. Elle avait de longs cheveux marron, des yeux verts émeraudes, et un joli visage. Elle m'avait paru élégante et gentille. Et en plus elle était une fille de mon village !
Mais attendez, je m'emballe ! Je dois me reprendre, c'est ma cible ! Et je dois la capturer !
On n'était plus loin de Suna. Deidara m'accompagnait, il était silencieux. Tout comme moi d'ailleurs. Mais quand on arriva aux portes du village, nous nous mîmes d'accords sur notre plan : on devait entrer ni vu ni connu, puis aller voir les endroits que nous avez montrés Pein.

Donc on fit comme prévu, on entra. Deidara me suivait vers l'appartement de notre cible. Arrivés, j'y pénétra, laissant mon coéquipier faire la garde devant la porte.
Elle vivait dans un bel appartement ensoleillé et bien organisé. Je cherchai dans toutes les pièces. Aori n'était pas là. Alors je sortis rejoindre Deidara.

- Alors ? Me dit-il.
- Rien, répondis-je.

On se dirigea donc vers un parc qu'elle fréquentait beaucoup.
Tout au long du trajet, Deidara n'arrêta pas de sa plaindre de parcourir tout Suna. Au contraire, moi cela m'enchantait, mais au même temps, je me rappelais de tant de souvenir que j'aurai bien aimé oublier, mais bon, on arrive. Nous entrons, et à notre grande surprise, Aori était déjà suivie par quelqu'un d'autre. Plutôt elle était en train de se battre contre un ninja. Je le reconnut, grâce à son bandeau frontal indiquant qu'il venait de Konoha.

C'était Maïto Gaï. Je ne savais pas ce qu'il veut à Aori. Mais si Konoha est à ses trousses, c'est qu'elle a bien quelque chose de spécial cette fille. Deidara, n'attendant pas d'invitation, décida de combattre Gaï. Moi, j'attendais que quelqu'un surgisse. Ce ninja ne pouvait pas venir seul en mission.
Et j'avais raison, car après quelques instants, trois chuunins se lancèrent vers moi. Je déployai donc mes marionnettes.

Le combat dura à peu près une dizaine de minutes, ils étaient coriaces. A la fin, ils s'éloignèrent et s'enfuirent.
Je m'avançais vers Aori, elle était plus belle que sur la photo.
- Vous êtes de l'Akatsuki, c'est ça ? Commença-t-elle.
Je hochais la tête en guise de réponse.
- Je vous dois la vie. Merci, continua-t-elle.
- Nous avons comme ordre de t’emmener avec nous, fit Deidara.
- Pein veut me parler ? Chuchota-t-elle.
- Ne prononce plus ce nom ! Compris ? Menaça un Deidara en colère.
- Tu dois nous suivre, lui répondis-je en tournant les talons.
Je fis à Deidara signe de me suivre, Aori ne tardât pas à faire de même.

Nous sortîmes du parc, laissant un vrai champ de bataille derrière nous. Nous nous dirigeâmes vers la sortie du village silencieusement. Et comme on est bien plus que chanceux, la pluie commença à tomber fortement.
- C’est ce qui nous manquait ! Râla Deidara tout en enfonçant sa tête dans son chapeau.
Aori ne semblait pas du tout gênée par la pluie, ni par les lamentations de mon compagnon qui m’agaçait.
- On passera la nuit dans cette grotte, là-bas, leur annonçais-je.

Je pointais le doigt vers un trou dans la pierre qui était à quelques mètres de nous. Deidara y couru en me laissant avec Aori.

- Comment t’appelles-tu ? Demanda-t-elle.

J’eus un moment d’hésitation, puis je lui répondis que je m’appelais Sasori.

- J’aime ton nom, continua-t-elle. Tu viens de Suna c’est ça ?
Je ne voulus pas répondre. De toute façon on arrivait à notre refuge.

Deidara était allongé. On entra. Aori prit quelques branches d’arbres et souffla dedans une boule de feu : une petite flamme s’était formée. Je la regardais faire. Quant elle eut fini, elle s’assit en face de moi. Elle me fixait parfois, j’étais gêné. Quand elle voulut me parler, Deidara le fit avant elle.

- Tu ne sais pas ce qui lui veut ?
- Non, et je ne veux pas en parler, lui dis-je sèchement.
- Donc tu en sais quelque chose, et tu essaies de le cacher, prononça Aori avec un air malin, tout en regardant la sortie de la grotte.
- Je pense que c’est plutôt toi qui en sais plus que nous, lui répliquais-je.
- S’il ne vous a rien dit, c’est qu’il ne veut pas que vous le sachiez. Mais moi je le sais, dit-elle en tournant vers nous.

Je voyais bien que Deidara allait commencer à avoir de la sympathie pour elle, et j’en étais jaloux.
Heureusement la pluie s’était arrêtée et on allait repartir.

- Allez, si on part maintenant, on arrivera dans trois jours. Donc mettons-nous en marche.

Les deux se levèrent. Aori passa devant moi, et Deidara clôtura la marche. On marchait à proximité des grands villages, et cela était très dangereux, vu qu’on était déserteurs, et qu’on avait soi-disant, enlevé un des villageois.

- Tu ne penses pas qu’ils ont donné l’alerte ? C’est risqué de marcher par là chef ! Balança Deidara en regardant dans tous les sens.
- Tu as raison. Nous allons devoir nous arrêter. Le temps qu’ils se calment, lui dis-je.
- Mais où voulez-vous qu’on se plante. On est totalement à découvert !

Je réfléchissais un peu. Mais pas le temps de le faire : quatre ninjas venaient de débarquer.

- Encore Konoha ?! Deidara lança en colère ses explosifs en criant cette phrase.

La pleine lune éclaira les visages sanglotant des ninjas.
J’admirai le combat, mais je ne voulais pas y prendre part. Or quand l’un de nos ennemis s’avança vers Aori, j’étais obligé de me mêler. J’imagine le chef si elle mourait. Je me mis entre elle et son agresseur, avec mes pantins. Mais quand tous les ninjas nous encerclèrent, je fis signe à Deidara de prendre ma place. Je portai Aori dans mes bras et je quittai les lieux rapidement. Je la portai pendant maintenant dix minutes, et à la fin on s’était réfugié sous les arbres. Deidara ne tarda pas à arriver.
On reprit ensuite la route. On n’avait plus parlé de rien, Aori avait été gênée, tout à l’heure quand je la portais, je le sentais. Mais bon.

On marchait jusqu’au petit jour. Deidara eut, comme d’habitude très faim, on s’arrêta donc pour manger. Deux jours plus tard, on était plus loin de notre quartier général. Personne ne parlait encore.
Voilà, on arrive. Itachi et Kisame étaient devant la porte, ils nous attendaient.

- Salut, ça s’est bien passé à ce que je vois, lança Kisame en regardant Aori.
- La réunion est pour ce soir, à 23 heures. Ne venez pas en retard, dit l’Uchiwa avant de tourner les talons pour rentrer au quartier général.

Nous entrâmes aussi, je me chargeai de surveiller Aori. Je lui montrai donc sa chambre provisoire et m’assis dans un coin de celle-ci. Quant à elle, elle s’allongea sur son lit.

- Sasori, dit-elle.

Je levai les yeux pour voir celle qui avait prononcé mon prénom d’une voix charmante. Elle fixait le plafond. Elle était si belle !

- Tu aimes toujours Suna ? Demanda-t-elle.
- Suna… Je l’ai quitté… bafouillais-je ému.
- Je sais. Mais est-ce que tu aimes encore Suna ? Recommença-t-elle.

Je réfléchissais. C’était une question à laquelle je n’avais jamais pensé depuis que j’ai déserté Suna.

- Ton silence affirme que tu l’aimes encore. Elle sourit

J’étais perdu dans mes pensées. Suna… Je ne sais plus.

- N’y penses plus, me rassura-t-elle.

Elle s’était levée, et elle approchait dans ma direction. Quand elle fut à quelques centimètres de moi, elle se pencha vers mon visage : elle chuchota dans mon oreille cela.

- Tu aimes Suna, et Suna t’aime aussi. Imagine que c’est moi Suna, et tout ira bien.

Elle marqua de nouveau ce doux sourire qui me faisait chavirer. Elle revint s’allonger. J’étais sur mon petit nuage : ce qu’elle venait de dire affirmait ses sentiments. On n’avait plus bougé depuis, jusqu’à ce que Deidara vienne frapper à la porte.

- Salut, allez venez si vous ne voulez pas être en retard pour la réunion, nous dit-il.
- Tout le monde est venu ? Lui demandais-je.
- Ben, non pas encore. Mais tu connais Pein, il n’aime pas attendre, me répondit-il.
- Je vais prendre une douche, et puis je vous rejoins. Emmène avec toi Aori, je crois que cette elle qu’il ne veut pas attendre, lui dis-je.
- C’est vrai. Mais t’inquiètes, tu as tout le temps pour ta douche, faut toujours que notre étourdi de chef trouve ses feuilles. Je sens qu’il va encore nous faire un de ses ennuyeux discours qui nous font dormir, j’aurais préféré ne pas venir non plus, se lamenta-il.
- Alors si tu ne veux pas l’écouter, mets un peu de coton dans tes oreilles, t’entendras rien, conseillais-je.
- Tu veux me conduire à ma perte ? Non merci, je préfère toujours l’écouter. Allez viens princesse, on va être en retard, dit-il en donnant sa main à Aori.

Ils sortirent, j’en profitais pour aller me doucher. Je pensais sous la douche que Deidara aimait Aori aussi, car il l’avait appelée « princesse ». Non, il l’a toujours fait avec les filles, pas la peine de m’inquiéter. Et après ce qu’elle m’avait dit tout à l’heure, je doute que Deidara aie une chance de conquérir son cœur. Enfin, je l’espère.




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