Fiction: Tayuya et Kimimaro (terminée)

Petit résumé: A l'âge de sept ans, une jeune fille au nom de Tayuya se fait recruter par un certain Orochimaru. Et c'est en le suivant qu'elle rencontrera Jirobo, Kidoumaru et Sakon qui voue une certaine affection à l'égard de celle ci qui évoluera avec le temps. Mais c'est sans compter la présence d'un certain Kimimaro que Tayuya va avec les années apprendre à connaître mais surtout à aimer... Voila, fic que je poste ici, je l'avais mise ailleurs mais je vais la faire partagé ici. Bonne lecture
Classé: -16D | Action/Aventure / Romance | Mots: 44239 | Comments: 25 | Favs: 9
Version imprimable
Aller au
ministribulle (Féminin), le 14/08/2011
J'aime relire mes conneries. On voit que j'étais à fond dedans je trouve XD
Huitième chapitre: Kimimaro, Tayuya, que va-t-il se passer?
Bonne lecture à vous :p




Chapitre 8: "La récompense"



« Qu'est-ce qui se passe ? Je suis en mouvement alors que je ne bouge pas..
.Mes paupières s'ouvrirent. Les arbres défilaient sous mes yeux.
« Mais, je me fais porter... »
J'osai bouger un peu mais une douleur me coupa dans mon élan..
-Aouch, ça fait mal!
-Tayuya, est-ce que tu vas bien? Me demanda-t-on
Mon regard se porta vers celui qui devait se coltiner mon poids. Kimimaro...
-Kimimaro...qu'est-ce qui s'est passé?
-Qu'est-ce que tu veux savoir? Tu ne te souviens de rien?
-Si. Je me rappelle que nous nous sommes...
-Tu t'es évanouie après être passée au niveau deux. Le reste, je pense que tu dois le savoir.
Effectivement, comment pourrais-je oublier ça?
Il marchait lentement et sans bruit. Une légère brise rafraîchit mon corps et je commençai à trembler. Je me collai le plus possible de son corps pour me réchauffer.
-Tayuya...dit-il, tu peux te mettre debout?
« Quoi? Tout de suite? »
Et déçue, je lui répondis que oui.
Il s'arrêta et doucement, il me reposa au sol. Mes jambes avaient du mal à me soulever tant elles tremblaient.
Je lui fis face et nous nous regardâmes.
-Je ne sais pas quoi te dire...lança-t-il.
-Comment ça? M’étonnai-je. Vous n'avez de toute manière rien à me dire.
-Je t'ai fait des choses dont je ne comprends pas tout, dit-il d'une douce voix.
Kimimaro était difficile à cerner...
-Après tout ça, est-ce que ça veut dire que je t'aime? Demanda-t-il
Mes yeux s'écarquillèrent tandis que mon cœur s'affola à nouveau.
-Ou étais-je seulement attiré par cette expérience nouvelle?
-Vous seul pouvez savoir ce que vous avez ressenti..
Il leva la tête s'échappant de mon regard.
-Quelle étrange situation, s'esclaffa-t-il.
Ne m'écoutant plus, je rejoignis Kimimaro. Il me regarda à nouveau. Mes mains s'enlacèrent aux siennes.
-Toi en revanche, aucun doute ne semble te ronger. Tu sais pertinemment ce que tu désires.
-Dîtes-moi que vous me voulez, lui dis-je.
-Que je te veuille? Mais si ça se trouve, je ne souhaite pas vouloir de toi.
-Oui, peut-être...
Il soupira profondément.. Il se libéra de mes mains et reposa les siennes sur mes hanches. Je rougis une fois encore.
- Pourquoi fais-je ceci? Je n'aurais jamais eu idée de te prendre ainsi alors pourquoi...
Le désir revint s'accaparer de mon corps. Mes mains s'agrippèrent à son vêtement.
Il étouffa un rire avant d'ajouter:
-Tss et si j'arrêtais de me poser des questions? Seulement Tayuya, je dois te dire une chose...
Sa main droite remonta pour se poser sur ma joue. Sa froideur rafraîchit mon visage fiévreux.
-Jamais dans ma vie quelqu'un n'aura autant perturbé ma petite vie. J'ai toujours su ce que je devais faire même si quelques obstacles m'ont compliqué la tâche. Toi, en revanche, tu m'as complétement chamboulé. Je ne sais plus ce que je ressens, je ne sais plus ce que je dois faire. Tu es chiante...
Je ne pus retenir un rire.
-Ça te fait rire? C'est pourtant très déroutant.
Je respectai son malaise et me promis de ne rien dire avant qu'il ne tire sa conclusion. Quelques minutes plus tard, un long soupir fit couper ses songes. Sa voix interrompit le silence:
-Je crois que Sakon va me détester. Si il t’aime vraiment…
Son visage s'avança vers moi. Une onde de chaleur me parcourut avant que Kimimaro ne vienne frôler mes lèvres jusqu'à complétement se les accaparer. À mon grand étonnement, il n'avait pas fermé les yeux. Ce n'était pas comme j'avais l'habitude de le voir dans les films par exemple. Je n'avais pas fermé les miens moi non plus. Et nous échangeâmes notre baiser sans nous quitter du regard. Cela me procurait une nouvelle sensation. Sa langue caressa la mienne en de tendres mouvements qui me firent fondre de plaisir. Kimimaro, tu me rends folle.
Il se détacha de mes lèvres et malgré la pénombre de la nuit, je pus distinguer que ses joues étaient rosis.
-Tayuya, qu'est ce qui m'arrive? Demanda-t-il en évitant de croiser mes yeux. Je me sens tout drôle.
« Je ne sais pas quoi te répondre »
Je m'en mordis les lèvres.
-Tayuya, murmura-t-il. Pourquoi je t'ai amené t'entraîner dehors? Je ne serais pas aussi torturé si on serait restés chez nous. En tout cas, pas ce soir..
« Allonge-moi par terre, Kimimaro »songeai je.
-Kimimaro...
-Non attends, me coupa-t-il.
Il me prit par les poignets, comme s'il pensait que je voulais me libérer de lui.
-Je crois que je ressens quelque chose pour toi. Et ce, peut-être depuis plus longtemps que je ne le pense.
-...
« Je crois que je vais pleurer... »
Il me regarda en esquissant un tendre sourire avant de poursuivre:
-Ça va peut-être te faire rire mais maintenant que j'y pense, je te trouve attachante. C'est ce que je m'étais dit le jour où tu étais venue m'épier le premier jour où on m'a amené ici. Je ne me suis pas attardé sur cette idée. Et elle resurgit comme ça...
Il desserra son étreinte de mon poignet pour enlacer ma main.
- Comment peux-tu m'aimer? Me demanda-t-il.
-Vous dégagez quelque chose qui me rend folle, lui répondis-je.
-Oh...
Il sourit à nouveau.
-Il me semble que tu as de l'importance pour moi, m'avoua-t-il. Je ne suis pas sûr mais...
Il s'arrêta de parler, sans doute à la recherche de mot pour s'exprimer. Je me souviendrai toujours de cette expression qu'il fit apparaître sur son visage quand il me déclara:
-Je crois que je t'aime..
Je mis un temps considérable avant de réaliser ce qu'il m'avait dit. Et c'est sans prévenir que des larmes vinrent humidifier mes joues. Des larmes qui descendirent en deux secondes sur mes lèvres.
Kimimaro me poussa tendrement avec son nez sur le visage et me déposa un baiser.
-Je crois que c'est ça, m'assura-t-il.
Il essuya d'un revers de main mes joues.
-Ce que je t'ai dit...ça t'a peiné?
Je lui fis signe que non.
-Tant mieux alors, murmura-t-il, le sourire. Au fait, tu as bien atteint le niveau deux si je me souviens bien?
Je compris ce qu'il voulait me dire.
-Oui, lui répondis-je.
-Tu es géniale, en l'espace d'une soirée d'entraînement, tu es au point pour le reste des évènements. Mais avant ça, je t'ai promis quelque chose.
-Vous allez me...
-Dis-moi comment je dois faire.
« Comment décrire ça? Est-ce qu'il va savoir le faire? »
Une violente bise se leva et s'abattit sur nous.
-La tempête se lève, remarqua-t-il. Rentrons, on va voir ça là-bas.
J'acquiesçai. Sa main ne lâcha pas la mienne et comme avec Sakon, nous rentrâmes main dans la main. Je crus vivre en plein rêve. Comment avait-il pu accepter mon amour?
Il accéléra la cadence tandis que la pluie commençait méchamment à tomber.
-Plus vite Tayuya ou nous allons être trempés..
-Oui, j'arrive...
Je faillis trébucher. Un petit cri de surprise sortit de ma bouche. Kimimaro se retourna et s'arrêta.
-Tayuya, qu'est-ce qu'il y a?
Le bruit infernal de la pluie tombant sur le sol camoufla ses paroles. Il s'approcha de moi et à mon étonnement, il me souleva comme tout à l'heure.
-On sera plus vite rentrés comme ça.
Il se mit à courir sous l'averse battante sans dire mot. Je profitai de cet instant pour le regarder à nouveau. Dire qu'il voulait bien de moi, dire qu'il m'aimait, dire qu'il allait me...
Une boule de stress s'incrusta dans ma gorge en même temps que se nicha à nouveau cette douce chaleur dans mon bas ventre.
Il courait dans les flaques d'eau, sauta par moment pour éviter de détourner des obstacles...
Nous arrivâmes quelques minutes plus tard à l'antre de notre maison. Il me reposa au sol. Lui et moi étions trempés jusqu'aux os (référence à Kimimaro pour qui cette expression se pourrait être possible). Des perles d'eaux s'égouttaient de nos cheveux et il ne me tarda pas à trembler de froid. Kimimaro remarqua mes tremblements et m'incita à le suivre. Nous parcourûmes donc ensemble les longs couloirs de ce repaire jusqu'à arriver...au seuil de sa chambre.
-Ça te dérange si on se pose « chez moi ». J'y suis bien.
Je hochai la tête. Il ouvrit donc sa porte. Tout était sombre, je ne pus rien distinguer. Il s'aventura dans la pièce et sans que je ne m'en aperçoive il s'était déjà emparé d'une allumette et il fit flamber une bougie sur son bureau.
-Approche, m'ordonna-t-il.
Il agita son allumette pour l'éteindre et la posa à côté de sa bougie. J'eus le temps de me présenter devant lui. Il me regarda avant de me dire:
-Tu es toute trempée. Permet-moi de t'essuyer.
J'acquiesçai. Il se retourna et pris de son placard au fond, une serviette blanche. Il revint à moi et la passa sur mes cheveux. Il prit soin d'essorer chacune de mes mèches. L'opération dura quelques minutes. Un petit coup sur le visage et il déposa sa serviette sur une chaise.
-Je vais en chercher une pour moi.
Il s'en alla une seconde fois et s'accapara donc d'une serviette. Pendant qu'il s'occupait de lui, mes yeux s'en retournèrent en direction de son lit. Soigneusement fait, propre. Il m'avait l'air plus confortable que le mien.
« Je veux m'allonger dedans et puis... »
J'eus l'envie subite de me ronger les ongles. Cette situation me stressait à un point que je ne pus me retenir d'effectuer ce terrible tic....
Heureuse et angoissée en même temps, je me contais ce qui allait se produire des centaines de fois dans la tête avant que Kimimaro ne m'enlace par les hanches par derrière. Ses lèvres se déposèrent sur mon cou encore trempé. Il sortit timidement la langue et il caressa avec elle les contours de ma nuque.
Je mis de côté mon envie de me bousiller les doigts et profiter de lui.
-Je ne sais pas te décrire ce que je ressens actuellement, me murmura-t-il à mon oreille. C'est comme si je voulais te bouffer.
Ses paroles m'emmenèrent loin. Mes yeux regardèrent le plafond tandis que mes mains se posèrent là où il avait mis les siennes.
-J'ai envie de toi, tout simplement, conclut-il.
Mon ventre s'enflammait devant ses propos. Le désir grandissait en moi.
- Alors, prenez-moi, lui dis-je dans un murmure.
Son souffle commençait à s'entendre à mon oreille. Kimimaro était lui aussi excité.
-Jamais je n'aurais cru faire ce genre de chose ce soir.
Il me fit sourire. Si j'avais su moi aussi.
-Comment te prendre? Se demanda-t-il. Comment faire de toi ma chose?
Ce qu'il dit m'étonna. Moi, sa chose? Bah, qu'importe...
-Je veux sentir tout ton corps, Tayuya.
-Je veux le vôtre, lui dis-je en contrôlant ma respiration.
-Pour ça, il faut que...je voie.
Il se libéra de mes mains et glissa ses doigts sous ma tunique. Un coup de chaleur s'éprit de tout mon corps. Sentir ses doigts effleurer ma peau me fit manquer d'air.
-Tu es...si douce, me déclara-il. Et ton parfum... il me rend toute chose.
-Si vous saviez à quel point j'aime le vôtre aussi...
Mes paupières se fermèrent et je cherchai à le toucher le plus possible.
Mon vêtement me remonta jusqu'au nombril. Kimimaro vint le caresser ce dernier avec ses doigts. Un long soupir de satisfaction sortit de mes lèvres. Les siennes continuèrent de me couvrir de baisers près de mon sceau qui m'élançait par moment. Mais qu'est-ce que j'en avais à foutre? Mon sceau était bien la dernière de mes préoccupations.
-Kimimaro...
-Ça me gêne mais je voudrais te l'enlever complétement. J'en veux plus.
-Bien sûr qu'il en faut plus. Le but, c'est de se retrouver nu...
-Intéressant.
Il ne se fit pas attendre. Il souleva ma tunique pour entièrement m'en débarrasser. Il la jeta par terre Il me remit en place quelques mèches de cheveux. Ensuite, il fit glisser ses mains tout le long du haut de mon corps, en me provoquant la chair de poule.
-Ton corps est agréable à toucher. Tu m'en fais voir des choses ce soir.
Je sentis sa main remonter sur la boucle de mon soutien-gorge.
-C'est quoi, ce truc? Me demanda-t-il dans un murmure.
-Un truc de fille.
-J'en veux pas, c'est toi que je veux.
- Enlevez-le, dans ce cas...lui dis-je le rouge aux joues
-Je n'allais certainement pas m'encombrer avec ça.
Il le détacha en deux secondes. Mes bras remontèrent sur ma poitrine. Les bretelles me tombèrent sur les épaules.
-Tu as peur? S'amusa-t-il. Aide-moi donc à me débarrasser de tes bretelles là.
-At..attendez..
-Mh?
Je tremblais de tous mes membres: l'angoisse s'était emparée de moi.
-Vous avez raison, j'ai un peu peur.
-Tayuya, tu sais déjà ce que c'est d'après ce que j'ai compris. Je ne pense pas que ce sera différent ce soir.
- Si justement! Répliquai-je.
-....
-...Ce sera différent parce que vous, je vous aime. Plus que je n'ai aimé personne. Alors, ce n'est pas du tout la même chose.
Il souffla à mon cou.
-Tu me flattes.
-Le faire avec vous, poursuivis je, c'est dingue ce que ça peut représenter pour moi. C'est avec vous que je voulais découvrir ça. Mais ce n'est pas grave, je m'offre à vous ce soir et cela me convient. Je suis persuadée que vous réussirez à faire ce que Sakon a échoué.
-C'est moi que tu attendais depuis tout ce temps. Tu es adorable. Je crois vraiment que ce mec va me détester. Mais qu'importe. Après tout, ce n'est pas de ma faute si c'est sur moi que tu t'es voué. Tayuya, que dois-je faire pour te rassurer?
-Rien, lui dis-je.
-Ne t'inquiète pas, si il y a quelque chose qui te dérange, tu n'auras qu'à me le dire. Je cesserai tout de suite.
-Je vous aime tant...
Je m'enquis à laisser mes bras se repositionner le long de mon corps. Kimimaro fit glisser mes bretelles à l'aide de ses mains. Mon soutif se retrouva au sol à coté de ma tunique.
-Je te veux, Tayuya.
Je réfléchis un long moment avant que je ne me décide de me retourner vers lui. Kimimaro me dévisagea.
-Tayuya...
Je rougis encore et me détournai de son regard. Il me reprit par la taille et me dit:
-Tu es belle... Ton corps est juste magnifique. C'est la première fois que je vois celui d'une femme et je n'en suis pas déçu. Et encore, je n'ai pas vu le bas.
Mes joues brûlèrent davantage face à ses paroles. Je me mis à me coller contre lui pour qu'il cesse de me regarder ainsi.
-Tu es belle dans ta gêne. Tayuya, c'est à toi de me déshabiller.
Déshabiller Kimimaro...Je vais tomber dans les pommes.
-Allez Tayuya, m'incita-t-il. Nous ne pourrons pas faire ce que tu as envie de faire si tu ne t'exécutes pas.
Je hochai la tête et d'une main tremblante, je détachai la ceinture de son kimono. Il s'ouvrit, laissant voir son torse. Il se le retira lui-même.
Mes yeux durent briller de joie tant j'étais heureuse de le voir ainsi.
-Ça y est, murmura-t-il. J'ai l'envie pressante de m'accaparer de toi. Quelque chose vient de se réveiller en moi.
-Comment?
Kimimaro stoppa net la conversation en m'embrassant sur la bouche. Il s'avança et me fit allonger sur son lit. Il me rejoignit et se mit au-dessus de moi comme Sakon la nuit dernière.
-Je sais comment faire, me dit-il en souriant. Ça me paraît si logique. Coucher avec quelqu'un, c'est ça. J'ai entendu Sakon te dire un jour, pendant un entraînement qu'il te ferait hurler de plaisir. Pour ce faire, il faut solliciter une partie du corps. Je crois savoir laquelle.
-Comment le savez-vous? Lui demandai-je.
-Il suffit d'observer et d'y tirer des conclusions. Rien que dans la nature, il se passe des choses qui nous permettent d'en savoir un peu plus. Deux animaux par exemple. Nous sommes un peu pareils..
-....oui, je n' y aurais pas pensé...
-Cependant, il a bien une chose que je n'ai su comprendre par la nature, c'est l'amour. Deux renards ne se font pas de câlins, ne se touchent pas, ne s'embrassent pas, ne se parlent pas. C'est pour ça que j'ai eu du mal. Tout est clair dans ma tête. Par contre, peux-tu m'expliquer une dernière chose?
Je hochai la tête. Ensuite, il avança son visage vers le mien et me demanda à l'oreille:
- Quel genre de plaisir ressentiras-tu lorsque je m'occuperai de toi?
Il ne me laissa pas le temps de répondre puisqu'il suça passionnément mes lèvres ensuite. Je lui renvoyai son baiser de la même manière tout en songeant à ce que j'allai lui dire. Des éléments de réponses me vinrent à l'esprit. Il se retira de ma bouche et attendit que je ne lui réponde.
-Ce plaisir là...Il est différent de ceux que l'on peut ressentir dans la vie de tous les jours. Celui-là, j'ai cru comprendre qu'il était le résultat de notre désir, de notre excitation. Je n'en sais pas beaucoup plus si ce n'est qu'il se fait aussi appeler orgasme. La relation sexuelle est une réussite si on l'atteint.
-Je vois merci Tayuya. N'ai crainte, je vais te le faire atteindre moi. Sakon n'est qu'un minable. Il n'est doué à rien celui-là. Contrairement à lui, je saurai te combler de joie.
J'acquiesçai.
-Vous avez l'avantage. Rien que de vous regarder sur moi comme ça, j'en ai des élancements au ventre.
-Avantage ou pas, c'est moi qui te ferai ce plaisir là...
Kimimaro s'empara de mes lèvres à nouveau et je sentis sa main plongeait dans mon leggins. Je l'enlaçai à la nuque en me retenant de ne pas soupirer bien fort.
Il se mit à cheval sur moi et m'enleva complètement mon bas. Il me regarda ainsi pendant de longues secondes de la tête aux jambes.
-Tu es appétissante, Tayuya.
-...
Il me sourit et enleva à son tour son pantalon. Je n'osai le regarder alors que j'en rêvais depuis tellement longtemps. Il me fit tout de suite remarquer mon malaise.
-Je ne me déshabille pas seulement pour ce que tu sais, j'ai aussi envie de me sentir désirer. Regarde-moi.
Mes yeux s'en retournèrent vers lui.
-Eh ben voilà, s'exclama-t-il, le sourire aux lèvres. C'est beaucoup mieux.
-Kimimaro...
-Oui, je sais. J'y arrive.
Sa main descendit tout le long de mon ventre et s'arrêta à un endroit qui me fit frémir.
-Surtout, laisse toi faire, m'ordonna-t-il. Bien sûr, si ça ne va pas, tu me le dis.
-Allez-y, maintenant.
Kimimaro ne dit mot et s'exécuta.
Le rêve de ma toute jeune vie était à moitié réalisé. Il ne me restait plus qu'à savourer l'autre partie.




OMG, cette Tayuya est une chanceuse, j'aimerais être à sa place...
Bon, heu. Je sais pas trop quoi mettre en ce fin de chapitre. Je vais être obligée d'aménager les chap suivants parce que c'est à moitié hot et ya pas droit d'en mettre ici :/ (et perverse comme je suis , j'arrive toujours à caler des lemons dans mes trucs -_-) Je verrai :)
Sur ce, salutations :)
N'hésitez pas à mettre un com sur cette fic bizarre et n'en mettez pas si vous avez pas envie :)
Yoooooo




Chapitres: 1 2 3 4 5 6 7 [ 8 ] 9 10 11 12 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: