Fiction: Undisclosed desires

Je joue avec les hommes comme on peut jouer avec des marionnettes. En faire ce que je veux puis les rejeter, c'est mon jeu préféré: facile et distrayant. J'oublie ainsi ce qui c'est passé cette nuit là, lors de mes cinq ans... "il" m'a détruit. Violée et humiliée, cherchant en vain de me sortir de là, je me délecte de cette vengeance contre les hommes en échangeant les rôles: Je ne serai plus leur marionnette, mais celle qui les contrôlerai.
Classé: -12D | Drame / Romance | Mots: 5230 | Comments: 12 | Favs: 11
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kikibiss-Sane (Féminin), le 18/03/2011
Je vais raconter ma vie, mais bon^^ alors voilà, j'avais déjà entamé ce chapitre, mais malheureusement, il a été supprimé... T^T Dégoûté....
Mais bon, j'ai quand même recommencé, malgré le fait que je persiste à penser que celui là n'est pas aussi bien écrit que le précédent... Tant pis! Petite anecdote achevée, je vous laisse déguster!!!! ENJOY!!
P.S Je tiens à préciser que je me suis inspiré du drama génial hana yori dango. J'ai pris disons le "cadre de vie" de ce drama, et l'ai réécrit.




Chapitre 2: Two different worlds



4H50: la lumière de la lune illumine deux corps endormis. Ils étaient recouverts par un léger drap, cachant les courbes généreuses de la femme, et le corps viril de l'homme. Ils respirent lentement, paisiblement, le souffle soulevant l'un après l'autre le tissu. Soudain, quelque chose bouge. Le drap se soulève, un gémissement se fait entendre. Quelqu'un s'assit sur le lit, laissant apparaître une jeune femme nue. Elle essaye de se mettre debout, titube un peu, ramasse ses habits, et part dans la salle de bain tout doucement, pour ne pas réveiller son partenaire. Elle s'habille en vitesse, superposant n'importe comment les vêtements, puis s'empare de son sac , et à l'aide de son rouge à lèvre, signe son passage. Puis, elle s'en va.
L'homme ne se réveillera que bien plus tard, vers 12h00, où il découvrira que sa bien-aimée a disparu, ne laissant que pour seul message un " Thanks for this night, I'll call you soon".Ah, bon, ça va alors, c'était ce qu'il pensait, après tout, elle l'avait promis. Il était heureux rien qu'à l'idée de la revoir. Malheureusement pour lui, elle ne rappellera jamais. Il se faisait des illusions. C'était de cette façon que marchait Hinata ; comme un enfant, dès qu'elle s'était assez distraite, elle jetait son joujou, pour en choisir un autre, et ainsi de suite. Pauvre homme, victime parmi tant d'autres.Il pouvait l'attendre cet homme, mais jamais elle ne réapparaîtra, un homme sans nom, qui ne demandait qu'à être aimé, mais qui n'aura une fois de plus, connu que la trahison.

Une silhouette cherchait quelque chose dans un buisson, elle y trouva une échelle. Elle la hissa le long d'un mur qu'elle escalada, pour arriver dans une chambre. Un homme l'attendait, Nishibi. Il avait patienté tranquillement sa jeune maîtresse. N'aurait-il pas dû informer son patron sur la disparition de sa fille, partie on-ne-sait-où ? Oui, il aurait dû. Mais il ne pouvait pas. Pourquoi? Parce que sinon, il perdrait son boulot, sa famille, sa vie. Oui, Hinata le faisait chanter. Comment? En ayant couché avec lui, et le reste des employés et majordomes mâles. Elle filmait leur ébat, puis cachait les preuves. Ainsi, ils devaient obéir au doigt et à l'oeil. Car si leur boss avait su, ils ne seraient plus ici. Leur vie aurait été arrachée, et l'affaire étouffée. C'était le prix à payer pour avoir oser goûter au fruit interdit...
Hinata savait pertinemment que très rare étaient les hommes qui osaient refuser ses avances. Sauf Kirai. Il était trop intelligent pour se laisser berner. Elle pressentait qu'il refuserait, qu'il irait raconter à son père que sa chère fille n'était plus si pure que ça...

~***~


Le soleil brillait haut dans le ciel bleu, sans aucun nuage, avec quelques oiseaux planant gracieusement au gré du vent. L'herbe tendre courbait sous l'effet de la brise qui balayait à ce moment là la plaine. Les grillons étaient au rendez-vous, stridulant sur les arbres qui trônaient fièrement au milieu de toute cette verdure. Un magnifique paysage, où tout s'harmonisait parfaitement. Une route sinueuse où roulait un camping-car, s'étalait jusqu'à l'horizon. Une musique joyeuse s'y échappait, renforçant la sensation de gaieté qui flottait dans l'air. Une petite famille y voyageait; un père au volant, habillé d'une salopette, une mère à la coiffure légèrement étrange à cause de ses cheveux en pétard, une jeune femme avec une queue de cheval et un tatouage de fleur sur le bras jouant aux cartes avec un jeune adolescent. D'innombrable chiens étaient installés à l'arrière du véhicule, aboyant en choeur. Un des canins sauta sur son maître, lui léchant entièrement le visage. "Rohh!! Akamaru! Arrête, c'est dégoutant!" se fit alors entendre, provoquant l'hilarité de tout ce petit monde. Ils avaient tous un tatouage rouge, ressemblant à un croc, débutant sous l'oeil pour finir sur le bas de la joue. Ce motif était propre à la famille Inuzuka. La mère se nommait Tsume, le père Fumei* et leurs enfants Hana pour la fille et Kiba pour le jeune fils. Ils avaient déménagé à cause du travail de leurs parents. L'automobile arriva enfin à leur nouveau domicile, une charmante maison traversée par un arbre géant et dont la plupart des murs étaient recouverts par le lierre. Un vaste terrain leur servait désormais de jardin, où l'herbe folle avait pris le pouvoir. La demeure, malgré sa beauté, tombait en morceau. Les tuiles étaient presque toutes tombées, à cause de l'arbre tordu qui avait traversé le toit, et les racines passaient à travers les fissures des façades, les agrandissant encore plus. En somme, de nombreux et coûteux travaux pour arranger son état. Mais cela devait attendre, car demain, sera un grand jour pour le jeune homme.

La cloche qui annonça le début des cours retentit. Hinata et ses amies débarquèrent. La foule les attendit, impatiemment. Les cris se firent entendre lorsqu'elles dépassèrent le portail de l'école. Les filles rejoignent leur salle, tandis que les autres élèves leur salle respectif.
Un garçon arrive alors en retard, et cherche désespérément sa classe sur un tableau. Il la trouve et court à travers les long couloirs. Il freine, se rattrape de justesse à la poignet pour éviter de tomber puis tape à la porte. Son professeur le laisse entrer, le reluque, et en conclut qu'il s'agit bien du nouvel élève :

- Et bien, je présume qu'il s'agit du nouvel étudiant, qui a finalement réussi à se réveiller !
- Excusez-moi de mon retard ! C'est que je n'ai pas eu le temps de brancher mon réveil, et mon portable...
-Oui, oui, oui, je connais bien cette réplique. Présentez-vous plutôt.
-Euh oui, dit-il en se courbant, bonjour, je m'appelle Kiba Inuzuka et je viens de Gokayama.

Un brouhaha où on pouvait entendre différents " ahhhh! Mais c'est un pecnot" ou "Bahh, un pouilleux" rendait le reste de sa présentation inaudible. Il attendit donc que tout ce petit monde se taise pour reprendre la parole :

- Oui, Gokayama. Evidemment, je ne suis pas riche, du moins, pas encore, car je compte bien le devenir, mais ce qui n'empêche pas que je suis un très bon ami pour toute personne qui saura apprécier ma présence. Et j'allais oublier, j'ai 17 ans.

Toute la classe commença à chuchoter pour critiquer l'audace de ce nouvel individu.Tous, sauf un. Au fond de la classe, se tenait un jeune homme blond, qui se balançait sur sa chaise. Il regardait Kiba intensément.
L'Inuzuka se dirigea vers la seule place libre, et s'y s'assit. Son nouveau voisin continuait de le reluquer de haut en bas. Kiba en éprouva une certaine gêne, tant le regard posé sur lui était intense. Il tourna alors sa tête vers l'inconnu pour lui demander d'arrêter :

-Pourquoi tu me regardes comme ça ?
-...
-Tu pourrais répondre au moins.
-...
-Ok... J'ai affaire à un muet...En tout cas, arrête de me fixer, tu me gênes.
-...J'taime bien.
- Quoi ? Qu'est-ce que t'as dit ?
-Je disais que je t'aimais bien, tu m'as l'air simpa.
-Euh... ok, je sais pas si je dois le prendre bien de ta part...
-Salut! Moi c'est Naruto Uzumaki! J'ai aussi 17 ans, fit-il tout en ignorant sa phrase.
-Salut...
-...
-...
-...
- Alors, t'as redoublé toi aussi, fut la seule phrase qui trouva pour échapper au lourd silence qui commençait à s'installer.
-Ouais j'ai rien foutu l'année dernière donc voilà, redoublement. Et toi ?
-Moi aussi j'ai pas bossé une seule fois, donc ma mère m'a envoyé ici en espérant qu'intégrer une école prestigieuse m'aiderait à remonter la pente. Mais j'ai pas l'impression que ça m'aidera beaucoup...
-Ouais ce n'est pas une très bonne idée. J'en sais quelque chose... Mais si tu trouves cela inutile, pourquoi venir ici?
-Ma famille se serre la ceinture pour payer les frais de scolarité, donc je leur dois bien ça, affirma-t-il sur un ton amer.

Ils continuèrent à parler ainsi pendant tout le cours, ainsi que ceux qui suivirent, apprenant chacun les facettes de l'autre. Les deux garçons s'entendaient à merveille : ils rigolaient ensemble des blagues les plus foireuses, taquinaient les filles de leur classe, aimaient sécher les cours pour aller traîner en ville ou tout simplement sur le toit du lycée. Enfin, la belle vie quoi.

~***~


Un garçon portant un long manteau marchait avec raideur dans un couloir plongé dans le noir. En sueur et la mâchoire contractée, signe de stress, il se dirigeait vers une salle éclairée, seule source de lumière dans les parages. Il frappa à la porte.
Une voix féminine lui incita à rentrer, suivit de gloussement. Le jeune homme débarqua dans une gigantesque salle, où de magnifiques objets coûtant une fortune étaient aménagés harmonieusement. Il en fut ébloui, mais se ressaisit. Il essayait de commencer son discours, mais balbutia. Fermant les yeux, il inspira un bon coup, puis ré-ouvrant les yeux, il présenta son discours travaillé au préalable. Il essayait de convaincre le D4 d'arrêter leurs menaces, leurs jeux envers les élèves, qu'aucun de leurs prétextes n'étaient valables. A chaque parole, les regards des quatre jeunes femmes se faisaient encore plus durs que les précédents. Surtout le regard assez dérangeant, à cause d'un blanc inhabituel, d'une des filles. Ses yeux reflétaient parfaitement la méprise quelle éprouvait envers ce garçon trop audacieux... Une idée lui vint à l'esprit.
Elle lui promit de réfléchir à sa demande, et lui pria de s'en aller. Il ne se fit pas attendre, et courut presque vers la porte, heureux de pouvoir quitter cette pièce. Il la referma, et la dernière chose qu'il aperçut, fut le sourire en coin sadique, et deux yeux brillants telle une lumière blanche, le fixant jusqu'au bout. Des frissons de frayeur parcoururent son corps. Il courut le plus vite possible pour échapper à ce couloir trop noir, et à cette fille, bien trop effrayante...
Il arriva rapidement au bout du couloir, donnant sur la cantine bondée. Personne ne l'avait vu arrivé. Il décida de s'installer à une table, et en profita pour se détendre. Le souffle court, il essaya de le stabiliser en pensant à autre chose, un truc joyeux. Il pensa à ses insectes, qui devaient l'attendre impatiemment chez lui. Il remonta sur son nez une paire de lunette toute ronde qui lui tombait sur le nez. Il passa sa main sur sa nuque et son front qui perlait tant il avait sué. Les idées redevenues claires, il sourit, se persuadant que ce n'était rien, qu'il n'avait pas offensé le D4 dans ses propos, qu'il avait été au contraire, très diplomate, leur laissant le choix de refuser, si elles le désirent, sa requête. Il se changea les idées en notant sur un petit carnet les nombreux achats qu'il devrait effectuer à la sortie des cours pour ses petits insectes.

~***~


Le lendemain, le jeune garçon ouvrit son casier, et son visage fut remplacé par une frayeur absolue: Une carte rouge était scotchée à l'intérieur de son casier. Un garçon la vit, déambula dans le hall, plaça ses mains autour de sa bouche pour que sa voix porte plus loin, et se retourna pour crier dans le couloir principal:
-Aburame Shino de la seconde B a reçu une carte! Aburame Shino a reçu une carte!
C'est alors que tous les élèves assis en classe écoutèrent attentivement les cris d'appel, et se levèrent avec les professeurs pour se diriger vers la source. Tous, couraient vers le hall.
Des bruits de pas, des hurlements, c'était ce que l'on pouvait entendre dans tout le lycée. Naruto et Kiba jouaient à ce moment là sur le toit quand ils entendirent par le biais d'un interphone la nouvelle: un dénommé Shino avait reçu la déclaration de guerre du D4. Mais Kiba ne comprenait pas du tout l'origine de cet agitation :
-Naruto, c'est quoi ce boucan ?!
-Ben quelqu'un a reçu une carte rouge.
-Super, et c'est quoi ? Une invitation à une soirée importante?
-Mais arrête de dire n'importe quoi...Attend, quoi ?! T'es pas au courant?
-Au courant de quoi?
-Quelqu'un vient de recevoir une carte rouge!
-Hein ? Mais c'est quoi ça à la fin ?
-Comment peux-tu avoir intégrer cette école et ne rien savoir de ça ? Enfin bon, je t'explique. Au lycée, règne un groupe constitué de quatre filles surnommées le D4 :
~Sakura Haruno, descendante du PDG Haruno, qui travaille dans la plus grosse industrie de vin,
~Temari no Sabaku, fille d'un homme qu'on pense être le boss des Yakuza mais on en est pas sûr, vu que les informateurs ont disparu...
~Ino Yamanaka, héritière de la compagnie YAMA, le plus gros producteur de thé,
~Hinata Huyga, future dirigeante de l'économie japonaise.
-Purée, l'économie japonaise...Enfin, elles sont belles?
-On s'en fou, rétorqua-t-il, mais devant le regard de Kiba qui implorait une réponse, il dut lui donner une réponse.
-Oui, si tu veux vraiment savoir elles sont de vraies canons, comme dans les magasines.
-Yahou ! Mais pourquoi ne les voit-on jamais? Et comment ça "régner'?
- Premièrement, vu qu'elles ont énormément d'argent, elles font ce qui leur plaît dans le lycée. Donc elles ont décidé qu'on ne méritait pas de suivre leur cours, que c'était ridicule de traîner avec des personnes si peu riche que nous.
-Ça pour être peu riche, je le suis...
-Deuxièmement, dès que quelqu'un leur fait quoi que se soit qu'elles trouvent déplaisant, il reçoit une carte rouge déposée dans son casier. A partir de ce moment, tout le monde dans l'établissement, élèves et professeurs, doivent faire de ta vie un enfer. Tu es victime de toute sorte de torture :
Psychologique car personne ne vient à ton secours et tous tes amis te lâchent sinon ils risquent de subir le même sort,
Physique car tu peux te faire attaquer à tout moment de la journée.
-Mais c'est... c'est... dégueulasse! Comment des filles, et encore plus si elles sont hyper jolies peuvent elles faire cela ?
-Oui je sais. En plus, elles profitent de leur beauté pour disons, presque "contrôler" les élèves et les profs. Du coup, ils leur obéissent au doigt et à l'œil. Heureusement que nous ne sommes pas obligés de participer à toutes ces conneries...
-Et moi qui pensais que toutes les filles jolies étaient innocentes...
-Ici non en tout cas.
Kiba bouillonnait, enrageait. Il ne supportait pas ces méthodes. Il aurait vraiment voulu aller voir ces filles, et leur faire subir tout ce qu'elles osaient faire aux élèves visés. Non, d'abord, il leur demanderait pourquoi. Mais quelles connes! Pour qui se prenaient-elles ? Juste parce que leurs parents ont du pouvoir et qu'elles ont un joli minois elles peuvent faire ce qu'elles veulent?

- Calme-toi Kiba, ça sert à rien. Moi aussi je déteste ces pestes, mais on peut rien faire, à part rester là et prier pour que Shino n’ait pas trop de problèmes.
-Oui je sais...Mais c'est incroyable quand même! Et pourquoi le proviseur ou les professeurs laissent faire?
-Parce qu'ils sont soudoyés! Tous! Un quart de l'argent de notre école, provient de la richesse de la famille Hyuga. Un autre quart est une donation des trois autres filles! C'est grâce à elles que notre école possède autant de matériel performant ou qu'il peut financer nos voyages scolaires!
-QUOI ?! Elles sont si riches que ça ? C'est impossible!
-Sauf si tu es fille des plus hauts dirigeants du Japon.
-Bon, je sais ce qui me reste à faire.
Sur ce, il se leva. Naruto le regardait, la tête penchée sur le côté, signe de questionnement.
-Où vas-tu Kiba ?
-ON va sauver Shino.
-Non, on ne peut pas.
-Ne me dit pas que t'as peur ?
-Non, c'est que...
-Pfff... Espèce de trouillard ! Lâche !
-Retire tout de suite ce que tu viens de dire!
-Pourquoi ? Je te signale qu'un innocent est en train de se faire tabasser par une bande de cons qui obéissent à des ordres stupides qui leurs sont donnés par des sales bourges ! Et qu'elles utilisent leur charme et leur argent pour "contrôler" tout le monde, vociférait Kiba, une veine battant rapidement sur sa tempe.
-Oui je sais bien tout ça ! Mais il faut que tu saches quelque chose.
-Ah ouais, esp...
-TAIS-TOI BORDEL!
-...
- C'est bon? T'es calmé?
-Oui...
-Ok, alors écoute bien: si tu t'opposes à elles, elles se vengeront. Si tu vas le sauver, tu recevras dès demain une carte rouge et tout le monde t'attaqueras. Tu n'auras plus aucun ami. Tous seront tes ennemis. Ici, il ne faut pas compter sur l'amitié, c'est du baratin. Ceux qui te promettent de rester des amis pour toujours, se sont des menteurs. Tu seras seul, sans aucune aide. Même en cas d'attaques physiques graves, ils étoufferont l'affaire avec leur argent. La quasi totalité des gens qui ont reçu la carte rouge ont du déménager et changer d'établissement. Mais il y a pire. Si tu les attaques directement, elles s'en prendront à ceux qui te sont chers.
-C'est pas vrai...Mais quelles...
-Oui je sais, souffla Naruto.
La gaieté que dégageait Kiba, c'était désormais transformée en une profonde rancune et haine envers le D4. Il détestait toute cette emprise qu'elles avaient sur les élèves. Juste pour quelques liasses de billet, les gens se transformait en animal féroce, croyant ainsi s'attirer la sympathie de leurs "reines". Comment était-ce possible ? Kiba ferait tout pour ne pas succomber et aller porter secours à son camarade.
Mais les cris de détresse de Shino et les cris de ricanement des autres élèves venaient effriter sa volonté. Kiba dut se retenir fermement pour ne pas aller frapper toutes ces personnes qui prenaient un malin plaisir à brutaliser Shino.
Mais que pouvait-il faire ? Rien. Mis à part rester là, et attendre que tout ce vacarme cesse.
Naruto aussi ne supportait pas ce "règlement" ; il avait beau affirmer qu'il ne fallait pas agir, il bloquait tous ses muscles et sa respiration pour empêcher son corps d'aller droit dans la bagarre et taper tout le monde, ce qui eut pour résultat un visage tout rouge et crispé.
Lorsque se fut terminé, les deux amis se promirent de ne rien faire de stupide qui pourrait attirer la malveillance des quatre filles ; qu'ils devront rester loin pour ne rien faire de stupide, qui pourrait leur faire regretter leurs actes par la suite...
Naruto et Kiba restèrent sur le toit, n'étant pas d'humeur à se mélanger avec les autres.
Après un temps de réflexion, Kiba prit la parole:
-Juste une question.
-Hm ?
-Si par hasard, je faisais une connerie, viendrais-tu m'aider Naruto ? Ou ferais-tu comme eux, tu me trahirais ?
-...Je ne sais pas.
-Ouais, j'comprend. Tu penses que l'on est pas encore de très bons amis, ajouta-t-il sur un ton acide.
-Je pense que tu ne saisis pas encore bien ce que l'on risque à se frotter à ses gens. C'est vraiment très dangereux.
-Ouais.
La discussion se termina sur ce dialogue, qui fit réfléchir Kiba sur l'étrangeté de cette école. Comment un petit groupe de fille pouvaient obliger les gens à leur obéir grâce à leur charme et/ou leur argent? Ou bien contraindre les amis à se séparer, pour après devenir ennemis. C'était impensable, et pourtant cela se produisait sous ses yeux. La femme était vraiment manipulatrice



* Fumei : signifie en japonais inconnu




voilà^^ excusez-moi pour le retard mais le manque d'idée + un voyage en Italie = un GROS retard!
Un chapitre, qui ne parle pas trop d'Hinata, mais plutôt de Kiba X)
ENJOYYYY!!!
P.S com's??




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