Fiction: Naruto l'ouragan orange

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Loin de la civilisation, dans une campagne éloignée, un petit village était lieu d'un événement important. Un grand chevalier de l'armée royale était venu s'installer en ville apportant avec lui des membres de sa division, dans le but d'avoir plus de sûreté et relation privilégiée. Il avait des longs cheveux blonds et un regard d’aigle. Avec une grande queue de cheval et une grande mèche qui tombe devant son œil gauche. Il esquissait un air malin et sûr de lui :
« Mes frères et sœurs… L’heure de gloire arrive enfin dans votre cité… Si par la vie ou la mort nous pouvons vous protégez, nous le ferons… Gloire à votre nouvelle destinée !!!
- HOURRA ! HOURRA ! HOURRA ! »

Sur un toit, loin de la tumulte et des bruits incessants de la fête, se tenait un jeune homme blond au yeux azur. Il contemplait le ciel d’un air infiniment blasé. Ce qui attira son attention en revanche était le bruit d’une femme qui criait à l’aide… Le jeune homme se leva d’un bond… Il se retourna et dans une ruelle à quelques mètres plus loin il vit une femme qui allait se faire violer par 2 hommes. Sans perdre un instant, il sauta du toit de rambarde en rambarde puis atterrît directement sur l’un des 2 hommes, l'autre prît la fuite. Il en profita pour roué de coup celui qui était parterre, le combat du jeune blond ce termina assez rapidement, ce dernier n’ayant ne pas laisser de chance à son adversaire. Il n’eût le temps de fêter sa victoire parce qu'il entendit des bruits de pas derrière lui, lorsqu’il se retourna il aperçut le fugitif de tout à l’heure accompagné d’une bonne quinzaine de camarades. Le fugitif prit alors la parole :
« Cette femme nous appartient jeune homme, elle a osé dévoiler des propos honteux à mon égard… Elle mérite punition !
- Et j’imagine que tu te prends pour Dieu pour faire appliquer ta justice ? Répondit vivement le blond.
- Ferme la… Le refus de coopération sera réglé par la torture puis d’une bonne rouée de coups, AUSSI BIEN POUR TOI QUE POUR ELLE !!!
- Si vous voulez la fille… Venez donc la réclamer, répondit le blond avec détermination. »

Les ennemis foncèrent alors sur eux. La jeune femme fut alors prise de peur… Consciente qu’elle gênait, le blond attrapa la femme et fonça parmi les ruelles de la ville, leurs poursuivants ne les lâchaient pas d’une semelle. Le jeune homme et la femme gagnaient en vitesse… Lors d’un virage, le jeune homme plaça la jeune fille derrière un tas de paille. Il se retourna alors pour faire face aux adversaires. Le jeune homme n’était que légèrement essoufflé tandis que ses poursuivant eux, étaient exténués :
« Pauvre fou… Tu penses pouvoir nous affronter tous en même temps ? Beugla le leader.
- Oui… Si vous pensez que vous allez me trucidé. Venez me le montrer… Qui ne tente rien n’a rien…
- Le salop, tuez-le !!! »

Les ennemis foncèrent tous sur lui, mais le jeune homme se battait bien… Même très bien… Son style de combat était complètement différent et inconnu, c’était belle et bien de la bagarre de rue… Mais il utilisait beaucoup ses pieds et ses genoux. Après une scène de bagarre, le jeune homme était debout, parmi tout les autres corps se roulant par terre. Ils se levèrent tous en courant loin du blond :
« Ouais c’est ça allez, partez pleurer chez vos mère, cria ce dernier. »

Sans demander son reste, il regrimpa de rambarde en rambarde et se remit à regarder le ciel et à observer le centre ville où se tenait le dénommé Deidara…
Il commença à s’endormir quand une voix féminine l’interpella quelque part derrière lui, en se retournant il aperçut la même femme qu’il avait aidé avant :
« Vous ne m’avez même pas laissé le temps de vous remerciez… Vous êtes partis sans même un au revoir… dit-elle avec légèrement de froideur.
- Oh je vous prie de m’en excuser.. Mais je n’apprécie pas vraiment être remercié, répondit le blond.
- Allons bon ! Le plus important c’est que je vous ai retrouvé, vous passez souvent votre temps à contempler le ciel ?
- Hum, ouais on peut dire… Comment avez-vous fait pour venir jusqu’ici ?
- J’ai suivi votre chemin… Vu les traces de pas vous passez souvent par là-bas…
- Ma foie on ne peut rien vous cachez… Mme ?
- Claudia… Claudia Sakura Haruno da Auditore.
- Oh oh… Vous me donnez déjà votre prénom… Ça commence fort.
- Allons allons, vous me mettez dans une situation gênante, jeune homme, dit-elle sur un brin de rougeur.
- Hi hi, je vous prie de m’en excuser miss Auditore.
- Vos yeux bleu azur sont également très pesant… Mais on s’y perdrait presque dedans.
- C'est trop de flatterie que vous me faites là, répondit le blond légèrement gêné.
- Et bien, voilà qui nous met à égalité… cette vue est superbe… on a entièrement la vue sur la ville. Et sur l’assemblée de Deidara… Je pense qu’une nouvelle est…
- Ce Deidara et ses soi-disant soldats de l’armée royale ne sont qu’un fléau pour la ville… Les types qui en voulaient à votre corps sont des Gardes (Policiers) de l’armée royal. Car je connais absolument tout les registres de tout les gardes de la ville… Et ce type n’y figurait pas… Par contre j’ai trouvé ça, dit-il en jetant un morceau de papier à Claudia, Oui… C’est son papier indiquant qu’il fait bel et bien parti de la Garde de la ville…
- Je vois, dit Claudia en terminant de lire le prospectus, Konoha qui était autrefois si prospère est sur le point de retomber dans une bien triste époque… Quel dégoût, nous ne sommes pas assez influent pour changer le sort de cette ville !
- Tout le monde le peut… Tout le monde peut avoir un rôle à jouer dans la vie de quelqu’un ou quelque chose… La politique ne sera jamais aussi puissante que le peuple… C’est comme comparer un pigeon à un faucon, rajouta-t-il alors qu’une brise de vent secoua ses cheveux dorés.
- Hum hum oui… Vous avez sans doute raison… Quelle est votre prénom ?
- Je vous en prie tutoyez moi, Uzumaki… Uzumaki Naruto… Mais vous pouvez m’appeler Narut’ , rajouta-t-il d'un clin d’œil. »


Naruto l‘ouragan orange, épisode 1
Chapitre 1: Le fugitif au yeux bleus.

8 mois plus tard :
Naruto se réveilla dans la maison de Claudia, cette dernière n’était plus là… Étrangement il ne se souvenait plus de rien si ce n’est qu’il avait bu à s’en péter le cerveau… Il osa tout de même se laver puis, il sortit de la maison et partit chez lui mais quand il arriva il découvrît que la maison était fermée… alors qu’il faisait demi-tour une femme arriva en courant, c’était une blonde, elle avait l’air inquiète, elle s’appelait Ino, c’était la femme de ménage de sa famille :
« Monsieur Uzumaki la situation est grave… Ils les ont emmenés, IL FAUT FAIRE QUELQUE CHOSE, hurla-t-elle.
- Calme toi Ino. Qui les a emmené? Que s’est-t-il passé ?
- Je… Je… suis désolée, je n’ai rien pu faire, des gardes de l’armée du Seigneur Deidara… Ils parlaient de faire régner l’ordre, ils sont partis vers la place de Boulogne, je craint le pire Monsieur Uzumaki.
- Mon Dieu… Et ma mère? Mes sœurs?
- Il ont tous été emmenés.
- D’accord, reste là, je vais aller délivrer ma famille de là…
- Faites attention… Ils vous recherchaient également. »

Naruto ne l’écouta pas et fonça vers le centre ville. La ville était bondée c’était un samedi après midi. La place de la ville était abondante, il y avait une estrade où toutes les personnes de sa famille ainsi que Deidara étaient affichés. Il fonça parmi la foule qui était dense, la progression était donc difficile. Il entendit alors la voix de son père à l’intérieur de sa tête.


« N’avance plus Naruto… Cela doit se passer comme ça… Après le verdict, fonce chez nous, il y a une trappe secrète à côté de la cheminée. Ouvre la et entre à l’intérieur, prends tout ce que tu y trouveras, dans un certain coffre. Certains objet te paraîtront étrange mais prends tout c’est impératif… Après cherche ton oncle Kakashi sans relâche il vit avec ton grand père Jiraiya. Au revoir mon fils, nous t’aimons tous et nous te surveilleront de l’autre monde. »


LE VERDICT EST DONC LA MORT !
Naruto n’en crut pas ses oreilles, il fonça vers l’estrade en hurlant de terreur et de peur. Mais trop tard, les cordes se levèrent et il vit sa famille se faire pendre devant lui.
Naruto avait la haine… Cela en était trop…
Mais des mains le saisirent et Deidara le pointa du doigt :
« Lui… C’est un membre de leur famille. Ramenez-le ici… La justice doit être appliquée !!!
- RAAAAAAAH VOUS LE PAIEREZ DE VOTRE VIE. DEIDARAAAAAA, hurla Naruto en poussant les gardes. »

Derrière lui Claudia se tenait debout seul, en le regardant, terrorisée. Les Gardes étaient au moins une cinquantaine. Claudia se sentait mal à l’aise mais l’adrénaline l’emporta sur sa raison. Elle lui cria:
« NARUTO! COURS ! COURS AUSSI VITE QUE LE VENT SAIT TE PORTER. »

Après avoir esquiver une attaque, Naruto se roula par terre pour en esquiver une deuxième puis, fila comme une flèche. De nombreux gardes étaient postés partout dans la ville. Ce qui rendait la course poursuite beaucoup plus complexe. Il réussit tout de même à semer ses adversaires. Il se cacha avant de foncer chez lui. C’était la première fois qu’il entendait la voix de son père dans sa tête mais il n’était pas fou. Son père lui avait vraiment parlé, c’était sûr. Il suivi les consignes de son père et chercha la trappe. Après une longue demi heure de recherche il la trouva, en entrant dedans il pénétra dans une sorte de salle au trésor et trouva un coffre fort ouvert.
« Hein mais qu’est-ce que ? Quelqu’un l’a déjà ouvert ? »

D’un coup, une main se posa sur son épaule, il se retourna en panique et vit Claudia, qui plaqua sa main contre sa bouche.
« Chuuuut… Ils ont déjà pris tes affaires. Suis moi on ne doit pas faire de bruit. »

Naruto n’avait pas eu le temps de réellement bien saisir la situation mais il s’actionna sans problème. Elle le fit marcher parmi d’innombrable couloirs souterrains. Ils arrivèrent dans un sous-sol qui menait sur des escaliers. Ils arrivèrent alors dans le couloir éclairé d’une maison. Plusieurs courtisanes étaient postées à gauche et à droite des extrémités. Claudia lui fit signe de le suivre et ils montèrent au première étage de la maison. Ils entrèrent dans une chambre. Quatre personnes étaient installées toutes encapuchonnées. L’un d'eux prit la parole :
« Oh, Claudia, Naruto… Enfin… Allons Naruto assieds toi donc, Claudia, veux-tu te joindre à nous ?
- Pourquoi pas…dit la jeune fille en s’asseyant.
- Bien nous allons pouvoir commencer la réunion. »



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