Fiction: Ma vie,mon amour,mes problèmes...l'adolescence quoi

Bonjour je me nomme Tenten,élève "passe partout" qui fréquente le lycée de Konoha. Manque de chance pour vous j'ai décidé de vous faire partager mes délires avec ma bande, mes moment de joies, mes disputes amicales avec ma grand-mère,...ma vie si vous préférez. Et justement il y a peu je me suis rendu compte qu'elle n'était pas un long fleuve tranquille...
Général / Drame / Humour | Mots: 10178 | Comments: 11 | Favs: 8
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tenten03 (Féminin), le 22/06/2011
Bon alors première fiction que je poste sur WON. Bon comme tout le monde je vous souhaite bonne lecture et je vous remercie d'avance pour vos commentaires.



Chapitre 2: Fête intersidérale



18H06
Je sonne chez les Inuzukas puis entre sans attendre une réponse. Je me fais accueillir par un concert d’aboiements produit par les chiens de Madame Inuzuka. Celle-ci les rappelle d’ailleurs immédiatement à l’ordre avant de me saluer.

-Salut Tenten, désolée pour les chiens mais tout le monde est énervé ce soir.

-Pas de problème je prends cela pour ma punition d’être arrivée en retard.

-En retard ? Mais au contraire la fête commence dans deux heures.

-Je sais mais j’ai promis à Kiba de venir l’aider à tout préparer.

-Mais tout est déjà prêt…dit-elle de plus en plus perplexe. On s’y est pris très tôt ce matin sous l’insistance de Kiba.

Je dois avouer que je nage aussi dans l’incompréhension, Kiba m’a cassé les pieds toute la semaine pour que je vienne plus tôt l’aider à tout préparer. Alors pourquoi s’y est il prit avant mon arrivée ? Je connais suffisamment cet abruti pour savoir qu’il y a anguille sous roche. Et je pense que sa mère aussi a du sentir quelque chose. Mais voilà le concerné qui débarque accompagné d’Akamaru qui saute dans tous les sens autours de lui.

-Eh Tenten t’es en retard ! me hurle t-il sans même me saluer.

-Dis donc Kiba pourquoi as-tu demandé à Ten…commence Tsume.

Mais celui-ci la coupe en la poussant gentiment vers l’extérieur.

-Oui c’est ça à plus maman.

J’ai juste le temps de la voir soupirer avant que Kiba ne claque la porte et qu’Akamaru me fonce dessus en me faisant tomber à la renverse. Ce chien n’arrive décidément pas à se faire à l'idée qu’il n’est plus un chiot que l’on pouvait tenir dans ses bras mais un gros chien. Le temps que j’arrive à me relever je suis pleine de bave.

-Dis donc Kiba t’as pas l’impression d’avoir mis ta mère à la porte ?

-Qui moi ? Noon pas du tout ! dit Kiba avec un sourire innocent. Ou alors juste un petit peu.

Face à mon regard blasé (que j’ai appris de Shikamaru) il perd son sourire.

-La faute à qui aussi ? Un peu plus et ma mère se serait doutée de quelque chose !

-Mais de quoi parles-tu?

-Eh bien officiellement j’ai terminé mais officieusement… dit il en prenant un air énigmatique.

-Bon accouche.

-Étant donné que je suis un homme et que je ne suis pas enceinte je crois que j’aurai un peu de mal à …

Je n’ai pas entendu le reste de la phrase : un coussin qui a malencontreusement glissé de ma main vient d’atterrir sur sa face.

- Comment veux tu que je te réponde si tu m’envoies tout et n’importe quoi sur la gueule dès que j’ouvre la bouche, dit-il en envoyant le projectile un peu plus loin.

- Allons, tu exagères je ne fais cela que quand tu dis des choses sans intérêt.

- Mais ce que je m’apprêtais à dire était très intéressant !

-Je suis sceptique.

-Eh bien tu n’as…

Un aboiement sonore recouvre le reste de sa phrase. Akamaru, le regard plein d’espoir, le coussin dans la bouche, attendait que son maitre veuille bien continuer à jouer avec lui. La tête d’Akamaru est tellement drôle que je m’écroule de rire sur un des canapés. Mon rire redouble d’intensité face à la mine fatiguée que tire Kiba. Le temps qu’il envoie le plus loin possible la balle rebondissante dans le jardin je me suis (un peu) calmée. Mon meilleur ami s’est assit en face de moi et daigne enfin m’expliquer ce qu’il a derrière la tête.

-Bon comme je te l’ai déjà expliqué officiellement j’ai déjà terminé : les boissons sont sur la table, les canapés ont été mis sur les côtés, les pizzas sont au four et tous les voisins sont prévenus.

J’ai peur de comprendre ce qu’il veut dire par « officieusement ».

-Mais il manque plein de trucs pour que la fête soit réussie ! Il faut que j’installe un coin tabac avec des cendriers dans le jardin et il y a aussi les boissons a…

-Tu viens de me dire qu’elles étaient prêtes.

-Les non-alcoolisées mais il faut aller acheter de l’alcool, d’ailleurs si tu pouvais t’en occuper.

-Eh oh je suis mineure je fais comment pour l’acheter ?

-Je ne sais pas débrouille-toi ! Rembourre-toi la poitrine, mets des talons ou fait le genre de trucs que les filles normales font !

-Traite moi encore d’anormale et je te jure que…

-…T’iras chercher ces foutus packs de bière. Allez dépêche-toi on n’a pas que ça à faire.

Et c’est comme ça que je me suis retrouvée à la supérette du coin en train de me cacher bêtement derrière les rayons, des packs de bières à la main. J’ai finalement pris mon courage à deux mains et je me suis avancée vers l’une des caisses en me répétant en boucle l’histoire que je venais d’inventer si on me posait des questions. Je pose donc mes packs avec un air détaché sur le tapis roulant (enfin j’espère que j’ai un air détaché). Personne ne fait attention à moi jusqu’à ce que la caissière passe mes articles aux bippers. Elle marque un temps d’arrêt en voyant mon âge, je me mords les lèvres, mais elle me fait un grand sourire avant de continuer à passer les articles comme si de rien n’était. Je sens mon stress descendre de manière significative sans compter que je viens de reconnaitre l’une des amies d’Hana (la grande sœur de Kiba qui fait actuellement ses études en Amérique afin de devenir véto). Je sors donc du magasin sans gardes, policiers, chiens enragés, hélicoptères, monstres, porte-avions,… aux trousses mais je dois avouer que je n’ai été réellement rassurée qu’à l’intérieur de la maison (eh oui les petites vieilles du quartier sont toujours à l’affut de ragots, surtout sur nous vu ce qu’on leur a fait). Je mets les bières aux frais et grimace en voyant que Kiba a ouvert le bar familial et a sorti quelques boissons. En revanche je ne sais pas où est cet abruti.

-Kiba t’es où ?!, je hurle depuis l’entrée.

-En haut.

Je monte donc l’escalier et le retrouve dans sa chambre qui est, oh miracle, rangée. Mon voisin me tourne le dos mais je vois à sa manière de se gratter le crâne qu’il y a un truc gênant.

-Qu’est ce qui se passe Kiba ?

-Dis tu crois que deux chambres vont suffire ?

Je ne comprends pas jusqu’à ce que je remarque ce qu’il tient dans sa main. Je ne me vois pas mais je suis sure qu’à ce moment précis je suis plus rouge qu’une tomate.

-Non parce que tu vois j’hésite à fermer la chambre de mes parents.

Je compte jusqu’à trois dans ma tête puis expire lentement pour me calmer.

-Non mais tu n’es qu’un sale pervers !, je hurle.

-Mais qu’est ce que tu vas t’imaginer ! Ce n’est pas pour moi. Je te rappelle qu’il y a des terminales qui viendront.

Excédée je tourne les talons et redescends dans le salon. Je sens que la soirée va être longue. Mais qu’est ce qui m’a pris d’accepter de venir !

*****
Bon finalement la fête a commencé sans autres incidents majeurs. Il faut dire que je n’ai pas pu surveiller Kiba étant donné que j’ai été séquestrée dans la salle de bain par Ino. Celle-ci est arrivée vers 19h pour nous aider, mais en me voyant elle a décidé que j’étais un plus grand problème que la disposition des canapés. Elle m’a donc trainé de force chez moi pour essayer de trouver un truc « potable » comme elle dit. Ma garde robe ne lui plaisant pas on a fini par chercher dans les anciennes affaires d’Hana et finalement dans la salle de bain. Je dois avouer à contrecœur qu’Ino ne s’est pas ratée. Elle m’a affublée d’un slim blanc et d’un top rouge à strass. Malgré mes protestations(le « je suis allergique » n’a pas marché) elle m’a maquillée avec tout un attirail dont j’ignorais le nom et l’existence il y a deux heures à peine (et que j’ai retiré dès qu’elle a eut le dos tourné). Mais le fait le plus mémorable est qu’elle a réussi à me retirer mes macarons. Et malgré ce que dit Kiba (« pour moi elle ressemble toujours à une mutante échappée du laboratoire d’un savant qu’il faudrait remettre aux autorités pour le bien de la nation») je pense que je suis mieux que d’habitude et ça me met mal à l’aise. Un peu avant l’heure prévue on a délivré Kiba de la cave (sa punition pour ses remarques) pour qu’il puisse accueillir les gens.
Sakura a été la première à arriver puis il y a eu Deidara, les Hyûgas, les Uchihas, Kisame, Shino (un ami de Kiba) etc. Mais je n’ai commencé à me détendre que lorsque Temari et ses frangins sont arrivés. Après j’ai papoté, mangé, bu (du coca! J’ai l’intention de ne pas boire une goutte d’alcool.) et regarder les autres danser sans y prendre part. En parlant de danse Naruto m’a invité sans me reconnaitre. Sa tête était tellement hilarante lorsqu’il a percuté que la jolie demoiselle qu’il voulait draguer ressemblait bigrement à Tenten, que même Hinata a ri. Après cela il a directement été vidé une bouteille de bière cul-sec pour prouver à Sasuke que son cerveau arriverait à le supporter.
A présent j’aide Temari à chercher ses frères. Je suis donc sorti dans le jardin tandis qu’elle restait à l’intérieur. Je cherche un peu partout et finit par entendre des vois derrière le gros chêne. Je regarde et y trouve Shikamaru, Gaara et plusieurs autres personnes une clope au bec ou à la main. Le coin fumeur bien sûr ! J’aurais du y penser tout de suite. On me propose une cigarette que je refuse avant de me mettre à réfléchir. J’ai réussi ma part de la mission : j’ai retrouvé Gaara, mais j’hésite à le dire à Temari étant donné qu’elle finira pertinemment par savoir où était son jumeau et qu’elle pétera un câble. Je décide finalement de lui dire que je ne l’ai pas vu et fais demi-tour pour lui faire mon rapport. Mais à ce moment là je la vois passer la porte vitrée pour me rejoindre. Elle me voit et me fait un signe avant de s’approcher de moi.

-Eh Ten’ c’est bon j’ai trouvé Kanky, il était dans la salle de bain en train de maquiller des filles et…

Elle stoppe sa phrase lorsqu’elle voit le spectacle que j’essayais désespérément de lui cacher. Il y a un instant de flottement durant lequel quelques personnes qui connaissent Temari essayent de cacher leurs cigarettes puis la bombe éclate et même en me bouchant les oreilles j’entends tout le discours. La plupart des fumeurs filent pour sauver leurs pauvres oreilles, tant et si bien qu’à la fin il ne reste plus que Gaara et Shikamaru qui font comme si de rien n’était.

-MAIS VOUS VOUS CROYEZ OU SÉRIEUSEMENT !! ET TOI GAARA QUE DIRAIT MATSURI SI ELLE LE SAVAIT !

-Pour ta gouverne Matsuri est d’accord tant que je ne sens pas le tabac quand je l’embrasse. Et je me crois chez Kiba pour une fête.

-PARCE QU’EN PLUS CE N’EST PAS LA PREMIÈRE FOIS !

A ce moment là Gaara termine sa cigarette, il part donc à l’intérieur sans prêter plus d’attention à sa sœur. Cela n’empêche pas Temari de continuer de crier, au contraire, ses cris redoublèrent d’intensités (ce que je ne croyais pas possible). Mais le pire c’est que cette fois c’est sur moi qu’elle dirige sa rage.

-ET TOI TU NE DIS RIEN! MAIS SUIS-JE BÊTE TU ÉTAIS COMPLICE DEPUIS LE DÉBUT !

-Temari tu pourrais arrêter de gueuler, j’ai mal à la tête. S’interpose Shikamaru.

-NON MAIS ET PUIS QUOI ENCORE, JE…

A cet instant Shikamaru se lève et, sans qu’aucune émotion ne transparaisse à travers ses traits, embrasse Temari. Il y eut un grand silence, tout semblait s’être arrêté, même les oiseaux, comme si le monde entier saluait le suicide assuré de notre flemmard national. Lorsqu’ils se séparent Temari le gifle directement avant de lancer:

-Matsuri a raison : c’est horrible d’embrasser quelqu’un qui pue la clope.

Puis elle le ré-embrasse aussi sec. Des cris éclatent alors dans tout le jardin qui s’était rempli sans que je ne m’en rende compte.

-Hey Pucca j’ai gagné mon pari contre Naruto, me dit Kiba qui s’était rapproché de moi une bouteille de bière dans chaque main.

-Ce n’est pas compliqué de gagner un pari contre Naruto.

-N’empêche qu’on doit fêter ce nouveau couple, répondit-il en me tendant une bouteille.

Je sens ma résolution vaciller puis se briser. Je prends donc la bouteille, trinque avec Kiba et avale une gorgée.
C’est comme ça que j’ai bu la première bouteille d’une longue série.

*****
Je suis super joyeuse. Attention je ne suis pas saoule comme le sous-entendait Hinata, je me sens seulement vachement bien. Et puis d’abord pourquoi serais-je bourrée ? Je n’ai bu que deux, non trois,…un peu plus de cinq bouteilles. A vrai dire j’ai arrêté de compter à partir de la cinquième, ça me sapait le moral. Pour la vodka je plaide coupable, mais je n’ai mis que quelques gouttes pour corser le goût du coca. Comme le dit si bien Hidan (un pote à Itachi) : « prends un verre de coca, c’est bon, rajoutes y de la vodka, c’est meilleur, maintenant enlève le coca et tu as l’une des meilleures boissons qui existent ». Et puis merde quoi arrêtez de me faire chier il n’y a aucun danger. J’ai juste à traverser une rue pour rentrer chez moi et au pire je reste dormir ici, alors laissez-moi profiter. La bière m’a complètement décoincée. J’ai dansé comme tout le monde, j’ai chanté comme tout le monde, je me suis marrée comme tout le monde quand Naruto a continué à chanter tout seul sans musique (juré je n’ai pas vu Sasuke enlever le CD !).Et surtout j’ai participé à la bouteille comme tout le monde. Je ne vois pas pourquoi je trouvais ce jeu complètement stupide avant, il est au contraire super drôle et puis il y avait tant de monde que je n’ai jamais été désignée. Je crois que le meilleur baiser (après celui de Shikamaru et Temari) a été celui de Sasuke et Naruto. On aurait dit que Sasuke allait dégueuler quand il a vu un Naruto complètement bourré se précipiter sur lui (j’ai des photos pour quand il émergera).
En ce moment je suis toute seule dehors avec une bouteille à la main, assise au bord de la cabane perchée en haut du chêne. L’ambiance a beau être au top à l’intérieur je n’ai jamais réussi à tenir longtemps dans une foule, et puis j’avais soif. Je sens tout à coup une présence derrière moi et me retourne juste à temps pour voir émerger une silhouette de la trappe. Je retiens une exclamation de surprise lorsque mon esprit embrumé arrive à lui coller un nom.
Neji Hyuga.
Il s’assoit à côté de moi.

-Salut, me dit il tout en décapsulant sa bouteille.

Je prends le temps de boire une gorgée avant de lui répondre d’un « ‘lut ». Un silence règne pendant quelques minutes avant qu’il ne se décide à m’expliquer la raison de sa présence.

-Tu es une amie d’Hinata n’est ce pas ?

-Euh oui effectivement…

-Comment va-t-elle ?

J’ai du le regarder comme s’il venait de m’annoncer qu’il était un extraterrestre qui avait fuit sa planète juste avant sa destruction et qu’il cherchait à présent à s’intégrer à la population de la Terre, parce qu’il m’a donné plus de détails.

-Ce que je veux dire par là c’est qu’elle est très timide et cela lui a posé pas mal de problèmes par le passé alors je me demandais si ça allait mieux.

-Quels genres de problèmes ?

Cette fois c’est à son tour de me regarder bizarrement. Eh oh ça va si il veut des infos sur sa cousine il n'a qu'à lui demander nan mais j'te jure.

-C’est que je ne suis réellement son amie que depuis la deuxième année au collège, et encore ce n’est que parce qu’elle est sortie avec Kiba. Sinon en primaire j’étais plus avec les garçons qu’avec les fi…

-Elle est sortie avec qui ?

La question avait été posée d’une voix calme et froide mais on sentait toute la rage de Neji derrière ces quelques mots.

-Euh avec Kiba, mais ça n’a pas duré plus de deux semaines : elle en aimait un autre. En fait elle n’avait pas le courage de lui dire non lors de sa déclaration. Mais maintenant c’est terminé il est avec Ino.

Il peste à voix basse de sorte que je n’entends que les mots : « pas son destin », « tombée bien bas » et « faible ». J’essaye de diriger la conversation vers un terrain moins dangereux en reposant ma question.

-Quels genre de problèmes a-t-elle eu ?

-Des gamins en primaire lui rendaient la vie impossible. Je m’en suis occupé.

Je n’ose pas lui demander comment. Il se tourne vers moi et plante ses yeux blancs dans les miens. Je me mets à m’imaginer des tonnes de scénarios invraisemblables (ça allait de la déclaration d’amour, à mon meurtre par étranglement).

- De qui est-elle amoureuse ?

Là il commence à me gonfler avec ses questions et l’alcool aidant je lui balance un : « C’est fou je croyais que tout le monde était au courant à part le concerné. Et encore lui ce n’est pas de sa faute : il est complètement stupide. »
Un conseil : ne balancez jamais à celui ou celle pour qui vous craquez qu’il est stupide comme je viens de le faire (même si c’était de manière détournée).
Il me regarde avec surprise : ça ne devait pas être tous les jours qu’on l’insultait. Puis après il sourit discrètement. Mon esprit embrumé par la bière a vraiment du mal à suivre là,et encore moins à comprendre, mais il sort un bout de papier et un stylo et y griffonne quelque chose avant de me le tendre.

-Mon numéro de portable, n’hésite pas à m’appeler…

Je comprends qu’il ne connait pas mon nom alors je prends le numéro en disant :

-Tenten, ne t’occupes pas de mon nom de famille.

Je n’aurais pas du dire cela mais là j’ai le cerveau encore plus embrumé qu’avant. Je le remercie avant de sauter à terre depuis la cabane et de courir à l’intérieur. Mon esprit ne se concentrant que sur une seule chose.
J’ai le numéro de portable de Neji Hyuga !


Cet instant de bonheur si anodin à l’époque, comme je le regrette à présent. J’étais si naïve, si innocente…Pourquoi a-t-il fallu que tout bascule ? Qu’ais-je fais de si mal pour mériter tout ça ?





Alors deuxième chapitre un peu moins long que le premier. Je pense qu'ils feront à peu près tous cette taille voir un peu moins. C'est aussi le dernier chapitre"school-fic où une fille essaye de sortir avec le mec populaire qui ne la connait même pas"(j'aime bien ces fics mais il n'y a pas vraiment de problématiques dedans ou alors des trucs invraisemblables du genre:le frère du grand-oncle de son meilleur ami l'enlève parce qu'elle a refusé de sortir avec le cousin d'un inconnu)



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